Sabine Est Devenue Très Salope

La sonnerie retentit. Je vais ouvrir. Deux hommes d’une trentaine d’années sont devant moi.
- « Oui, c’est pour quoi ? »
- « C’est pour votre femme, nous avons fait connaissance la semaine dernière comme elle vous l’a dit, elle nous a téléphoné tout à l’heure pour venir la baiser »
- « Ah je vois, et bien entrez et montez au premier étage, vous trouverez sa chambre »
- « Merci, si tu veux, tu peux venir voir comme on s’y prend pour faire jouir ta femme »
A l’étage, Sabine était déjà sur le lit dans une tenue que je ne lui avais jamais vu porter : des talons de 15 cm terminaient ses jambes gainées de noir (les mêmes bas couture de la semaine passée), un peu plus haut une mini jupe en cuir à ras des fesses, un juste au corps transparent ne cachait rien de sa poitrine généreuse, une bouche bien rouge, les yeux très maquillés avec cerise SM sur le gâteau, une casquette en cuir sur la tête. Elle nous regardait, offerte et impudique, les cuisses légèrement entrouvertes.
- « Venez, je vous attendais, mon mari aussi, je crois, il était impatient de voir ça, vous allez lui montrer que je ne suis pas frigide mais que je suis bonne à enfiler, c’est pour ça que je me suis habillé comme une pute, pour lui donner une bonne leçon »
Les deux hommes s’approchent du lit, jettent leur veste par terre.
- « Qui c’est qui veut commencer ? » demande Sabine en me regardant.
- « Si on changeait de tour, cette fois, Karim, je passe le premier, je vais calmer les chaleurs de la dame, pendant ce temps tu pourras te faire sucer »
- « D’accord, on va bien lui remplir ses trous, à cette salope en cuir, son mari verra ainsi quelle pute elle fait sa femme »
Sabine regarde l’homme qu’elle va prendre en bouche en tirant la langue lascivement. L’homme déboucle sa ceinture et baisse son pantalon. Sabine est déjà à quatre pattes sur le lit prête à sucer. Pendant ce temps, l’autre homme s’est retrouvé tout nu derrière elle, au garde à vous, il a mis un préservatif sur son sexe énorme et s’est approché de son postérieur en lui mettant la main aux fesses, en relevant sa jupe en cuir et en me lançant :
- « Regarde, ta femme va prendre ça dans son beau cul, car ta femme ce n’est qu’un trou du cul, elle a adoré la dernière fois, elle ne voulait pas au début et depuis elle ne peut plus s’en passer, tu vas voir comme elle va tortiller du cul dans quelques minutes »
Déjà sous mes yeux, Sabine se trémoussait en se retournant :
- « Oui, mettez la moi comme la dernière fois, je suis une chienne en chaleur qui attend son chien, je n’en peux plus, il me faut votre queue »
L’homme s’est enfoncé d’un seul coup dans ma femme en s’agrippant à ses hanches.

Elle a crié puis gémi très rapidement.
- « Mets lui ton silencieux Karim, elle est trop bruyante, elle va alerter tout le quartier et son mari n’a peut-être pas envie qu’on sache sur tous les toits que sa femme est une vraie salope »
- « Cela m’est égal maintenant, vous pouvez vous la faire comme bon vous semble, c’est gratis pour vous, les autres paieront car ma femme aime le fric, ça la fait mouiller quand on sort une queue et des billets »
- « Oui c’est vrai, il a raison, habillée comme ça, je ferai une bonne pute de luxe. D’ailleurs, regarde comme il me baise bien avec son gros engin, plus gros que le tien, je jouiiiiis…, encore, j’en veux encore… »
- « Puisque tu es une pute de luxe, alors suce-le chienne, ta bouche est faite pour ça, pour tailler des gros crayons, comme ça tu dis moins de conneries ».
- « Il a raison ton mari, tu m’as allumé fringuée comme tu es, alors maintenant tu vas pomper pendant que mon copain te défonce le cul, je m’occuperai après de ta chatte »
- « Elle est vraiment bonne ta femelle, elle a un cul d’enfer et dedans elle est brûlante, tu devrais essayer, elle vaut vraiment le coup par là »
- « Non pas lui, il n’a le droit que de regarder »
- « On dirait que la dame n’est pas très gentille avec son mari, mais s’il veut la violer, je lui laisse volontiers la place »
- « Puisque c’est comme ça, ok, je vais te violer, au point où tu en est, tu vas me vider les couilles, ça t’apprendra à être aussi provocante et salope, un vrai viol voilà ce qu’il te faut pour te remettre les idées en place »

…/…

- « Ta femme, elle nous excite, tu nous la laisse pour la nuit »
- « Je crois qu’elle n’attend que ça, montrer à quel point elle est devenue cochonne avec sa jupe en cuir, ses bottes et son coup de langue »
- « Tu ne vas pas être déçue, salope, on a pris les outils qu’il faut pour te ramoner le cul et tes conduits de cheminée »
- « Regarde ta femme, elle a la cuisse légère qui s’ouvre déjà quand on la touche, et Manu, si tu embrassais la dame pendant que je lui pelote la chatte, elle a une bouche à baiser, tu trouves pas, avec ses lèvres charnues bien rouges et ses joues creusées, on dirait qu’elle est faite pour tailler des gros crayons, profites-en on va montrer à son mari ce qu’on peut tirer de sa femme, des pipes et une bonne bourre »…
Sabine se laisse embrasser et répond avec la langue au baiser fougueux de l’homme.
Elle ferme les yeux pendant que l’autre lui glisse la main sous son string noir. Elle écarte les cuisses, impudique.
- « Dis donc, elle mouille ta femme, son petit buisson coule comme une fontaine, on dirait que la situation l’excite, ta garce… »
Sabine avait la jupe relevée sur ses cuisses dénudées en haut de ses jambes gainées de noir, ouvertes au désir de ces mâles. Elle me regarde en me disant d’une voix provocante :
- « C’est ce que tu voulais, non, voir ta femme se conduire comme une salope, tu aimes les salopes, alors tu vas voir que je suis plus bandante que toutes tes pouffiasses, n’est-ce pas messieurs ? »
- « Ce que je sais, c’est que je vais bien m’amuser avec toi, tu es mon type, et pour me mettre en forme, tu vas commencer par me sucer ma belle, ton mari va voir comme ça que tu aimes ouvrir ta belle bouche pour accueillir des queues viriles, n’est-ce pas que tu aimes lécher les gros bâtons … »
- « Oui, j’aime les gros engins, plus gros que celui de mon mari »
- « C’est pas une bouche qu’elle a ta meuf, c’est un garage à bites »
- « Oui, je suis un garage à bites, baisez-moi maintenant avec ma ficelle et mes talons hauts, je n’en peux plus et montrez à mon salaud de mari que je suis une bonne pute qui aime les coups de bâtons »
L’homme s’est allongé sur elle sans se faire prier. Il lui a donné ce qu’elle voulait, il l’a longuement possédé, en la traitant devant moi de « bon coup », de « bonne pute »... J’ai vu les mains de Sabine appuyer sur les fesses de l’homme pour qu’il aille encore plus loin en elle, jusqu’à son râle de jouissance.

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