Découverte De Ma Bi Sexualité 2
Après avoir accompli mes premiers pas vers l'homosexualité durant mon service militaire, avec mon copain Gilles, dans son lit de jeune homme (voir récit précédent « découverte de ma bi-sexualité ») nous avons continué nos jeux amoureux dés notre retour à la caserne. Mon emploie dans le casernement me permettait de posséder les clefs d'un grenier où l'on entreposait le mobilier reformé et ou personne semblait ne jamais se rendre. Nous avons donc aménagé notre petit nid d'amour à l'aide d'un sommier, d'un matelas pas trop sale et de draps et couvertures récupérés à la lingerie. N'étant pas surchargé par le travail, nous le bâclions en général le matin, pour nous retrouver souvent toutes les après midi dans notre petit nid. J'étais vraiment tombé dingue amoureux de Gilles, moi l'hétéro pur et dur quelques mois plus tôt, amoureux d'un mec !!!. Je pense ne pas me tromper en disant que Gilles éprouvait également des sentiments très forts pour moi. Quand nous étions au grenier, au début nous passions notre temps, après nous être foutu à poil, à nous caresser mutuellement, nous rouler des pelles, frotter nos corps l'un sur l'autre, se tailler de magnifiques pipes, souvent dans des 69 d'enfer et à cette occasion se caresser le trou du cul à l'aide d'un doigt bien mouillé qui se permettait de s'introduire rapidement pour le plus grand bonheur du receveur. Pour moi un doigt dans le cul me procurait beaucoup de plaisir, j'aimais bien aussi m'occuper de celui de mon partenaire, mais je refusais fermement d'aller plus loin. J'avais été clair auprès de Gilles, pas de sodomie autre qu'avec nos doigts. Après quelques temps, il me dit pourtant son désir de passer à une étape supplémentaire de notre aventure, qu'il désirait vraiment me sentir en lui, que la première fois que nous avions couché ensemble, il avait gardé un souvenir très agréable du moment où à notre réveil je lui avais caressé les fesses et qu'il avait secrètement espéré que j'aille plus loin.
J'étais, comme je l'ai dit plus haut, raide dingue de mon petit copain. Il était à mes yeux beau comme un dieu, très fin de trait, pas un poil de graisse, moyennement musclé. Une taille mince donnait à son sexe, déjà bien proportionné pour son âge, une impression de taille supérieure à la réalité et surtout un petit cul de toute beauté. Bien rebondi avec une peau douce et pas un poil dans la raie. Je passais des heures à le caresser, le lécher, l'embrasser. J'ai découvert que je prenais un grand plaisir à pratiquer une chose qui m'aurait horrifiée quelques mois plus tôt, voir me faire gerber, lui bouffer le cul. Je pense que le plaisir que j'éprouvais était aussi dû au plaisir que je procurais à mon copain à l'aide de ma bouche, de ma langue et de mes doigts. Depuis plusieurs jours il me réclamait de plus en plus fort que je l'encule, pratique que je nétais mentalement toujours pas prêt à accepter, je pensais que franchir cette dernière étape ferait de moi définitivement un PD, ce que je ne me sentais pas encore devenu complètement. Et puis cette fois là il se mit à fondre en larme devant mon énième refus et à piquer une petite crise de nerf. Il me dit que je me foutais de lui, que je ne laimais pas vraiment comme je lui disais souvent, qu'il ne me comprenait plus, j'acceptais de lui mettre un doigt dans cul, la langue, que tout cela était très beau, l'excitait bien, mais que maintenant il voulait absolument sentir ma queue lui labourer le cul. Devant son désarroi et sa peine, je l'ai pris dans mes bras pour le calmer et lui ai enfin promis de faire comme il le voulait. Après tout j'aurais le rôle du mâle actif, et enculer un mec ou une nana ce ne doit pas être bien différent comme sensation. Certainement de peur que je revienne sur ma promesse, il voulait qu'on le fasse de suite. Je lui ai dit de me faire confiance et que l'on verrait cela demain sans faute, que l'on prendra tout notre temps pour nous préparer et que nous passerons avant aux cuisines pour prendre du beurre afin que ce dépucelage se passe bien et ne soit pas à l'origine de douleur trop violentes (c'était l'époque de la sortie du film « le dernier tango à Paris »).
Le lendemain il est arrivé tout excité, il me dit ne pas avoir beaucoup dormi de la nuit car il était super énervé par l'idée de son prochain dépucelage anal qui l'attendait et que son cul l'avait tellement titillé qu'il avait été obligé de se rentrer deux doigts en permanence pour se calmer et essayer de trouver un improbable sommeil. Des que avons été à poil, nous nous sommes allongés en 69 et pendant qu'il s'occupait de ma bite, je me suis occupé de son trou du cul. Je l'ai admiré longuement. J'ai déjà dis que son cul était magnifique, pas un poil dans sa raie, son petit illet brun tout plissé, bien serré, bien propre bien caché au fond de cette petite vallée. Dommage que le numérique n'ai pas existé à cette époque, je l'aurais pris en photo sous tout les angles. Ensuite je l'ai amoureusement caressé, léché, sucé et j'ai commencé à lui introduire un doigt. La pression, l'attente et sans doute sa nuit agitée, ont eus raison de sa résistance, il a joui à ce moment là dans un orgasme d'une puissance que je ne lui connaissais pas encore, il a hurlé son plaisir, son corps s'est tendu comme un arc et son anus s'est resserré très fort sur mon majeur qui était toujours en lui. Ma main accompagnait du mieux qu'elle le pouvait les soubresauts incontrôlés de son corps. Cet orgasme l'a laissé anéanti au moins 5 minutes. Je l'ai félicité pour le magnifique spectacle de jouissance qu'il venait de m'offrir et lui ai demandé s'il voulait que nous remettions notre projet à plus tard s'il se sentait trop fatigué. Au contraire, me dit il, je suis encore super chaud et je veux que tu t'occupe immédiatement de mon cul comme tu me l'as promis hier. J'ai donc repris mes attouchements sur son anus là où je les avais laissés ¼ d'heure plus tôt. Je lui ai remis un doigt puis deux puis trois très rapidement car je commençais à être également super excité et je voulais dorénavant me soulager également. Le seul changement dans nos plans, c'est quau lieu d'utiliser le beurre pour le lubrifier, j'ai utilisé son propre sperme que j'ai récupéré sur son ventre.
Mon excitation était à un tel point que mon coté fleur bleue en à pris un sérieux coup dans l'aile. Après avoir sorti mes trois doigts de son cul, je l'ai fait immédiatement mettre à quatre pattes sur le lit, j'ai remis encore un peu de sperme sur son trou pour pouvoir rentrer plus facilement et là j'ai posé mon gland sur son anus et j'ai poussé assez fort; Il s'est bien ouvert sur le passage de mon chibre super bandé. J'aurais dû m'arrêter là quelques instants pour qu'il s'habitue à la taille de mon engin, mais je ne me contrôlais plus. Malgré ses cris et suppliques d'arrêter, qu'il avait trop mal, ma super excitation m'a fait rentrer ma bite dans son cul jusqu'aux couilles d'un seul coup. J'étais comme fou, sans lui accorder de temps pour s'accoutumer à l'intrusion et malgré ses pleurs, je me suis mis à le limer de toutes mes forces en le secouant comme un prunier. Il ne disait plus rien, je nentendais plus que ses pleurs, je pense même que cela m'excitait et me donnait encore plus de vigueur. La seule chance qu'il a eu c'est que je n'ai pas pu me contrôler très longtemps et je me suis lâché dans ses reins au bout de peut être cinq minutes seulement. J'ai immédiatement déculé et lui ai demandé de rester dans sa position à quatre pattes de façon à ce que je voie son anus se refermer doucement et mon sperme en ressortir tout mousseux. Il m'a obéi, des larmes coulaient toujours sur ses joues et chose étonnante cela me faisait plaisir de le voir comme cela. C'est à ce moment là que j'ai eu l'envie de le soumettre, de le dominer et d'en faire mon esclave. Après cette forte jouissance, ma bite avait repris des proportions normales mais des traces brunes la zébraient. Je suis donc venu devant lui pour qu'il nettoie avec sa bouche le sperme et la merde qui étaient dessus. Bien entendu il a refusé trouvant cela dégueulasse. Il a fait un geste pour descendre du lit, je l'ai choppé par une oreille et l'ai obligé à se remettre à quatre pattes comme je lui avais ordonné. Il a été très surpris de la violence dont je faisais preuve à son encontre pour la première fois.
Cela ne l'empêcha pas de nouveau refuser de procéder à ma toilette intime. Je lui ai donc proposé un marché, soit il acceptait d'obéir à tous mes ordres, soit il s'habillait de suite et c'était fini entre nous, nous ne baiserions plus jamais ensemble. Il devait vraiment m'avoir dans la peau car il a enfin accepté de se soumettre et m'a demandé de m'approcher de sa bouche pour la toilette. J'ai jugé que ses deux refus de suite méritaient une punition, j'ai donc retiré le ceinturon de mon pantalon et lui ai donné deux coups sur ses fesses. Ce sentiment de domination sur mon copain, la vue de son joli petit cul tout blanc barré de deux marques rouges et mon sperme qui sortait encore de son anus, tout cela m'a refait rebander un max et c'est ma queue au top de sa forme qu'il a due se gober et nettoyer à fond. L'action de ses lèvres et de sa langue m'ont rapidement excité et lorsque j'ai senti la jouissance arriver, je me suis introduit en force au fond de sa gorge pour éjaculer. Il a failli s' en avalant mon sperme. Après cela on s'est calmés pour se refaire une petite santé, je l'ai beaucoup caressé, cajoler, surtout ses petites fesses endolories, pour lui prouver que malgré mon changement d'attitude, je continuais toujours à l'aimer et peut être encore plus fort. La douleur suite à son enculage commençait à diminuer et il m'avoua qu'après le premier moment de surprise passé, il avait aimé être mon soumis et voulait bien que l'on recommence cette expérience le plus rapidement possible, ce que je lui promis être dans mes intentions également. J'ai réussi à lui faire comprendre que ce jeu de dominé dominant pourrait nous amener à connaître des jouissances hors du commun, et que je mengageais à ne lui procurer que quelques châtiments corporels qui ne mettrons jamais son intégrité en cause et ou jamais il n'y aura de blessure charnelle mais plutôt des blessures morales et de toute façon, je ne tenais surtout pas à abîmer mon si joli petit jouet d'amour. Le lendemain Gilles me supplia de ne pas l'enculer car il ressentait toujours une petite douleur au cul. Je lui ai demandé s'il pensait vraiment que c'était lui qui décidait. Après avoir reçu ses excuses, je lui ai dis que je connaissais une solution pour faire disparaître cette douleur, c'était de détourner le centre du mal et que j'allais le fesser et l'enculer tout de suite après. Après quelques préliminaires classiques, je l'ai fait mettre à genoux devant le lit et là je lui ai frappé les fesses avec mes mains jusqu'à ce qu'elles me cuisent. Je l'ai pénétré lorsque son cul à pris une jolie couleur rouge et cette deuxième enculade de notre vie fut vraiment une réussite pour lui comme pour moi. En effet, la douleur de ses fesses lui à fait oublier celle de son trou du cul et il a ainsi pu se concentrer sur le plaisir que ma bite lui procurait. Cette fois ci jetais vraiment en forme et moins pressé d'en finir que la première fois, je l'ai limé pendant au moins ½ heure, déjà doucement lors de l'introduction puis avec de fortes modification de rythme. J'alternais des mouvements longs et lents à d'autres vifs et rapides, je déculais fréquemment pour mieux lui rentrer ma bite vigoureusement dans le cul. Mon plaisir qui montait, me procurait une sensation encore inconnue de moi à ce moment; Je navais encore jamais ressenti un plaisir aussi violent de ma vie, même pas avec mes anciennes copines (que je n'avais encore jamais réussi à enculer c'est vrai). Lui aussi commençait à complètement partir, il avait commencé à se masturber au début de son enculage, mais maintenant il ne pouvait plus que se concentrer sur le plaisir que lui procurait son cul. J'ai passé ma main sous son ventre pour le caresser un peu. Il bandait très dur et il s'est mis de suite à éjaculer sur ma main en criant très fort sa jouissance des que je l'ai touché. Chose extraordinaire, moi qui n'étais toujours pas venu je continuais à l'enculer vigoureusement et j'ai constaté qu'il continuait à jouir en permanence, son sexe n'a même pas débandé dans ma main, je ne pensais pas que cela puisse exister deux ou trois jouissances à la suite sans débander!!! Quand j'ai senti que moi aussi j'allais venir, je suis sorti de ses entrailles avec l'intention de me finir dans sa gorge, mais il avait fermé les yeux et était incapable du moindre geste. Je me suis fini à la main sur son visage et c'est là que j'ai compris qu'il avait eu une telle jouissance qu'il avait fait comme un petit malaise qui heureusement n'a duré que quelques secondes. Après être revenu à lui, il m'a dit n'avoir jamais joui avec une telle intensité, il avait très bien déterminé que sa jouissance était partie de son cul, déjà bien chauffé par ma vigoureuse fessée, puis excité par la sodomie et le point culminant à été atteint lorsque je l'ai branlé, à ce moment là il a eu l'impression que son corps ne lui appartenait plus, il ne pouvait plus rien contrôler, qu'il n'avait plus l'impression de toucher terre, comme s'il flottait dans l'air. Il avait l'impression que cette période avait durée longtemps et fut très surpris quand je lui ai dit que cela avait peut être duré une minute, mais quelle minute!!! Il m'a informé quaprès cette jouissance là, toute sa vie il se ferait enculer, même s'il doit se marier un jour. Pour ma part, mon blocage et mon refus de me faire mettre une bonne et vigoureuse bite au cul, commençait à faiblir dangereusement. Je commençais à furieusement envier et même le jalouser mon copain, de connaître avant moi de tels plaisirs. La suite de mes aventures à l'armée, que je vous raconterai plus tard, à fait que des queues de toutes sortes, de toutes longueurs, et de tous diamètres m'ont pénétrées par le haut et par le bas, sans que j'ai eu le pouvoir de m'y opposer. Cela fera l'occasion d'un prochain récit que je vous ferais bientôt. Cette mémorable deuxième sodomie fut suivie par beaucoup d'autres au cour du mois qui suivi. Presque chaque jour nous nous échappions pour vivre notre amour avec passion, jusqu'au jour ou notre adjudant, qui commençait sûrement à se poser des questions sur notre emploi du temps et nos absences, nous à piégé et surpris en pleine action. C'est à ce moment que commenceront mes prochaines confidences intimes que je n'ai jamais faites à personne sauf à vous bandes de veinards.
admin
Jan. 31, 2023
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