L'Aspirateur
Je mappelle Diego, jai 35 ans et je suis célibataire. Je ne suis pas très grand mais mon charme latin me permet dêtre assez sollicité par la gente féminine. Je vie seul mais en ce moment je fréquente une jeune femme très belle depuis quelques mois nommée Nadia. Ma réputation de séducteur nest plus à faire et on dit de moi que je suis un très bon amant.
Une nuit, je me trouvais assis au comptoir du bar où Nadia est employée, et derrière moi, à une table, se tenait 2 hommes face à face qui se prenaient par la main. Ils se souriaient et sembrassaient furtivement et je ne pus mempêcher de tirer loreille pour espionner leur conversation. Lun des 2 racontait à lautre quil se connectait souvent sur un cite de dialogue et que cela lui permettait de faire des rencontres réelles pour des soirées très chaudes. Nadia terminait son service et nous sommes rentrés chez moi. Nous avons fait lamour, puis Nadia cest endormie. Deux heures plus tard je narrivais toujours pas à dormir, alors je me suis levé pour fumer une cigarette dans mon salon. Comme il ny avait rien dintéressant à la télé, je me suis dirigé vers mon ordinateur et tout en vérifiant mes emails je me suis connecté sur le net. Au bout de 10 minutes je tapais le nom du site que lhomme du bar avait indiqué à son amant.
Ma curiosité Était telle que je me suis prêté au jeu. Jai suivis les indications dinscription du cite en donnant bien entendu de faux renseignements. Je me retrouvais connecté avec des centaines de personnes inconnues, des femmes et des hommes, aux pseudos allant des plus délirants aux plus tordus que jai connus dans ma vie. Puis tout à coup, je venais de recevoir un message, puis un second. Je clique sur cette fameuse case et je vois le premier apparaitre.
Loulou 23 me demandait sy jallais bien. A coté de son pseudo jai vu que cétait une femme de 31 ans qui était du département de la creuse, et sa phrase de présentation disait quelle voulait faire des rencontres cool.
Je me rallumais une autre cigarette quand un second message de Michel 42 saffichait. « Je veux sentir tout ton membre dans mes entrailles, et avaler ta sève bien chaude».
Plusieurs insultes me passaient par la tête mais je me suis rendus compte que mon pénis commençait à grossir dans mon boxer. Puis une idée me vint à lesprit, je lui répondis tout en jouant le jeu, durant plus de vingt minutes il me racontait ce quil adorait faire et que lon lui fasse. Mon sexe était très dur et mes testicules étaient tous gonflés. Je quittais mon ordinateur et je retrouvai Nadia dans la chambre. Je lui retirais le drap qui recouvrait son superbe corps, et je vis sa vulve épilée, doucement je lui écartais les jambes et je me mis à lui sucer le sexe. Très vite elle se mit à mouiller et ma langue sintroduit dans son vagin, un peu de mon sperme si trouvait encore et je bus le jus qui coulait abondement. Nadia se cambrait de plaisir et dun coup je la retourna. Je lui léchais lanus tout en lui introduisant mes doigts. Nadia hurlait de plaisir et me suppliait de la sodomiser et deux secondes plus tard ma pine frappait à la porte de son cul Étroit. Mes vas et viens lui firent prononcer des mots que je ne connaissais pas. Prêt à exploser je me retirais de son fion tout ouvert, elle gobât ma queue entière et je me vidais les couilles dans sa gorge de plus de cinq jets de spermes quelle avalât avec délectation. Puis nous sommes effondrés de fatigues et je me suis endormi dans les bras de Nadia. Le lendemain matin, Nadia tout sourire, membrassa sensuellement. « Tu mas fais jouir comme personne ne ma fait jouir auparavant. » Et elle parti à son travail.
Sa phrase raisonnait dans ma tête, mon excitation métait venue de ce dialogue avec ce Michel 42. Le fait de repenser à cette conversation je senti ma bite se raidir et je ne pus mempêcher de me masturber.
- Allo ?
- Oui allo cest moi. Cest Kévin ! Ca va ?
Inconsciemment, je lui avais donné mon numéro, certainement pris par le feu de laction.
- Euh, oui euh et bien je vais bien ?
- On peut se voir dans une heure ? Me demanda t il.
- Ok, où ?
- Je te récupère et on va dans un coin ;
- Daccord, devant le supermarché.
- A tout à l heure, jai ce quil faut !
Je pris une douche, très longue et presque bouillante, puis jenfilais un boxer blanc et un jeans. Mon téléphone se remit à sonner, cétait le numéro de Kévin.
- Je serai au supermarché dans 1 minute !
Je me mis à ma fenêtre, le supermarché Était en bas de chez moi et de là, je pouvais voir à quoi il ressemblait.
Un monospace gris sengageât dans le parking, à son bord, un homme dune trentaine dannées aux cheveux clair. Le monospace se garât et son conducteur en ressortit.
Puis tout se passa vite, la présentation physique, le son des voix, tout senchainait rapidement. Cela faisait près de 15 minutes que nous avions quittés la ville, quand le monospace quittât la route pour un chemin de terre, puis le véhicule stoppa. Mon cur battait la chamade, et je nosais pas le regarder dans les yeux. Tout à coup, il se jeta sur moi et se mit à membrasser sur les lèvres, sa langue essaya de sintroduire dans ma bouche à plusieurs reprises et sa main compressait mon sexe qui était raide comme une trique. De façon habille il me déboutonna le pantalon, glissa sa main dans mon boxer et en ressorti ma pine. Il me branlât lentement et se penchât sur mon membre. Sa langue me caressa le gland et elle en fit plusieurs fois le tour, puis il lenglouti goulument. Ses allers et retour me rendaient fou. Il maspirait les testicules tout en mastiquant le manche, il se tortillait de plaisir et il avait sorti son pénis de son fourreau. Je voyais sa bite bien raide, elle était belle et lisse, je ne puis contenir se besoin que javais de la toucher, de la saisir dans ma main et je me suis mis à le branler. Je ronronnais de plaisir, ces doigts faisaient de petits cercles autour de mon anus puis sy introduisaient doucement, jécartais mes jambes et ils sengouffraient plus profondément à lintérieur. Ma bite se gorgeât de plaisir et mon sperme jaillit comme un jazzer dans sa bouche, il ne tressaillit même pas et but mon jus tout en entier. Il se redressa et minvita à passer à larrière du monospace. Plus à laise, il me retira mon pantalon que javais sur les chevilles et retira le sien, son sexe était toujours dressé, il me prit la main et la déposa sur sa barre de 21 cm. Je me remis à le branler, sa main passa derrière ma nuque et avec une légère pression il me dirigeât mon visage sur son sexe. Je restais ainsi durant presque 1 minute la bouche à 2 cm de son pénis, ma langue sorti doucement et lui lécha le gland, puis petit à petit ma bouche suivie et je lengouffrais à mon tour.
Fin
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