Jalousie

Un soir, j'invite mes amis, Pierre et sa compagne Mathilde depuis 25 ans, ainsi qu'Alice et Baptiste, mariés eux après une première union chacun de leur côté depuis 10 ans. Mes quatre amis sont bien plus âgés que moi, qui n'ai que 26 ans, parce que je les ai connus grâce à mon compagnon précédent qui était lui aussi plus âgé que moi.
Même si cette histoire n'a pas duré, l'amitié qui s'est peu à peu construite entre nous continue toujours.

Ce soir-là, donc, j'invite chez-moi mes amis pour leur présenter mon nouveau compagnon, Eliott, qui a le même âge que moi. Je me suis faite belle pour l'occasion, petite robe noire, décolleté pas vulgaire mais juste charmant, ballerines noires. J'ai laissé mes cheveux bruns ondulés aller librement sur mes épaules, j'ai maquillé mes yeux façon charbon, habillé ma bouche d'un gloss gourmand. Je porte mon parfum préféré, Flower by Kenzo.
Il est 19h, les invités ne doivent arriver que dans une heure. J'entends la sonnette d'entrée, c'est mon copain. On s'embrasse, il me complimente sur ma tenue, mon allure. Il est lui-même très beau, il a mis un peu de cire sur ses cheveux bouclés bruns assez courts, ses yeux bleus ressortent, il a du mettre un peu d'auto-bronzant car sa peau est dorée. Il porte un pantalon blanc en toile légère, une chemise bleue océan, elle aussi en tissu léger. Il porte lui aussi un parfum qui le rend encore plus craquant et qui va à merveille avec le mien, Kenzo Jungle. Je ne lui connaissais pas ce parfum et cette coïncidence me donne envie de le remercier.
Il nous reste une heure et nos tenues m'ont émoustillée, en le regardant droit dans les yeux, je caresse son endroit intime et une bosse ne tarde pas à se former. Ses yeux se mettent à briller, j'ai encore plus envie de lui. Mais je lui réserve ce plaisir, je préfère me réserver pour après notre soirée.
Je flatte la bosse par dessus le pantalon léger, si léger que je le sens durcir, que je peux attr une partie de son sexe.

J'aime sentir cette rondeur tiède dans ma main. Je le masse de plus en plus, il n'en peut plus, il écarte les jambes en respirant fort, mais je fais durer le plaisir, cherchant à aiguiser un peu plus son désir, à retarder l'explosion. J'aime toucher son sexe, mon rêve serait d'en toucher deux à la fois.
Je l'embrasse, en glissant ma langue autour de la sienne, il me répond bien, qu'est-ce que j'aime quand il m'embrasse, et ses yeux sont si beaux, tout illuminés de désir ! Pendant ce baiser langoureux, j'ouvre uns à uns les boutons de sa braguette, je fais glisser son pantalon à ses chevilles, il sera tout froissé mais tant pis.
Son boxer blanc semble prêt à éclater, la bosse qui le déforme est énorme, il y a même une petite tâche humide qui envahit le tissu. Mon chéri est déjà très excité, cela va sans dire !
Je glisse ma main dans son boxer, je le décalotte en écartant le tissu, il frémit et laisse échapper un gémissement, les yeux fermés. Je choisis ce moment pour me baisser, ma tête à hauteur de son sexe triomphant, je baisse enfin ce tissu gênant, sa bite sort, raide, belle, le gland rouge, une petite goutte de rosée à son bout.
Je prends mon temps, je le branle doucement, je lape son gland comme un chat sa gamelle de lait, puis je rentre son gland dans ma bouche tout en continuant à le branler. Je le suce avec ma langue, le chouchoute du bout des lèvres, caresse ses boules délicates, gorgées de sève.
Je lève les yeux vers son visage, il a la tête baissée vers moi, il me scrute, je sens que le regarder dans les yeux l'excite encore plus, j'accélère le rythme avec ma bouche et mes mains. Il renverse la tête en arrière, je sens qu'il ne va plus en avoir pour très longtemps avant de jouir. Je diminue le rythme, continue seulement avec ma bouche, en rentrant plus profondément sa bite dans ma bouche, il gémit, je tends mes bras et lui pince doucement les tétons sous la chemise. Il tient alors ma tête avec ses mains et se branle très vite avec ma bouche.
Il jouit en gémissant, éjacule dans ma bouche. J'avale sa jouissance, je le nettoie et me relève.
En tout, ça n'aura pas duré plus de 5 minutes. Il me regarde reconnaissant, avance sa main vers ma robe, mais je l'arrête. Je suis trempée, j'en ai très envie, mais je me réserve pour plus tard. Nous allons nous laver le sexe chacun de son côté, je ne peux pas m'empêcher de me caresser le clitoris légèrement, mais j'arrête car je risquerais de jouir très vite et j'ai peur de ne plus avoir envie ensuite. Je change de string quand il me fait remarquer qu'il n'a pas de boxer de rechange et que le sien n'est pas remettable car il est humide. je lui conseille de le faire tremper avec un peu de lessive et de ne rien mettre sous son pantalon, ce sera encore plus excitant pour moi et le frottement du tissu doux à chaque mouvement risque de lui être très agréable !

Nous terminons de mettre la table, de préparer à manger et mes invités sonnent à la porte. Ils arrivent tous les 4 ensemble, on se dit joyeusement bonjour, je présente Eliott. Je remarque que mes amis semblent l'apprécier, à part peut-être Pierre qui contrairement à d'habitude se montre assez distant.
Cela me surprend car Pierre est du genre à mettre à l'aise les gens qu'il ne connaît pas, toujours chaleureux et préoccupé du bien-être des autres. Je me dis qu'il s'est peut-être disputé avec Mathilde et que ça passera. Je n'en fais pas trop cas et je commence ma soirée comme prévu.
Pendant l'apéro, Pierre me regarde avec insistance, ça commence à me troubler. Les trois rhums commencent à me brouiller la vue, Eliott s'occupe du service. Il semble vouloir se déplacer le plus possible et je comprends pourquoi vu la forme de son sexe en semie-érection qui apparait parfois. Mes amis peuvent le remarquer comme moi mais ça m'est bien égal. Moi ça m'excite, c'est tout ce qui compte pour le moment.
Après l'apéro, mes amis et Eliott s'installent à table et je rassemble mes forces pour aller dans la cuisine chercher l'entrée.

J'entends des pas se diriger vers la cuisine, j'espère que c'est Eliott, j'ai envie de toucher son sexe à travers le pantalon, juste pour le sentir bien à moi, voire me frotter dessus à travers ma robe, je suis si excitée. J'ai le dos face à l'entrée, j'entends Pierre me demander si j'ai besoin d'aide. Je lui réponds que non, que ça va aller, je me retourne et il est là contre moi. Je ne sais pas pourquoi mais mes yeux restent dans les siens, c'est la première fois en 5 ans d'amitié. Je suis troublée, je murmure "Mais !" d'un ton surpris. Mais les pensées que j'ai eu avant au sujet d'Eliott m'ont excitée et je crois bien que Pierre l'est lui aussi.
Mais il ne faut pas céder, sa femme est là dans la pièce à côté et Eliott est là aussi. Et puis notre amitié est précieuse, je ne veux pas la gâcher.
Avec mon plat de feuilles de vigne farcies dans les mains, je fais un sourire léger à Pierre, je le contourne et je sors de la cuisine. J'arrive à table quand il arrive à son tour avec la corbeille à pain. Il se place à côté de moi, sachant que de l'autre côté il y a Eliott. J'évite de le regarder, je regarde plutôt mon bel Eliott. Son érection s'est calmée, on dirait, alors discrètement je passe une main sous la table et caresse sa cuisse, puis remonte vers son sexe. Je le sens très vite gonfler, il reste le nez dans son assiette par gène. J'arrête, ne voulant pas non plus le masturber sous la table devant mes amis. Juste l'exciter me suffit.
D'ailleurs ça m'excite de plus en plus et je me demande si finalement je ne vais pas être obligée d'aller aux toilettes me soulager. Mais le rhum m'embrume encore un peu et m'empêche de me lever pour le moment.
Je sens la cuisse chaude de Pierre contre la mienne, je me demande si je ne me suis pas faite des idées tout à l'heure dans la cuisine. Il ne me regarde pas, discute avec les autres l'air de rien et semble même s'être dégelé avec Eliott.
Après l'entrée, pose clopes. Eliott va s'occuper de la cuisson du plat dans la cuisine.
Ce qui s'est passé ou pas avec Pierre tout à l'heure me hante, je décide de vérifier. Je vais effleurer avec ma main sa cuisse, si j'ai tout imaginé tout à l'heure, il croira que c'est un geste involontaire et continuera de plaisanter avec les autres comme il le fait. Si en revanche je n'ai rien imaginé, il profitera de ce geste pour tenter autre chose.
Je prends donc un risque énorme mais je ne peux pas rester dans le doute. Et puis ça aussi m'excite. Eliott est toujours dans la cuisine, personne ne peut nous voir.
Je passe ma main sous la table pour faire semblant de me gratter et soudain je caresse le côté de sa cuisse qui me touchait tout à l'heure. Je ne le fais pas longtemps mais aussitôt il tourne la tête vers moi en me souriant. Ainsi je n'ai rien imaginé tout à l'heure !
Que faire, céder, arrêter tout, lui en parler, ou au contraire faire comme si de rien n'était ?
J'ai l'occasion, après tout, de pouvoir caresser deux sexes sous la tables à la fois sans que l'un ou l'autre ne se doute de quelque chose.
Eliott d'ailleurs revient de la cuisine, nous prévenant qu'il y en a encore pour environ 10 minutes. J'ai donc pile le temps. Eliott prend une clope, Pierre en reprend une, moi je décide de prendre d'autres cigarettes en main...
Je laisse un moment mes deux mains sous la table, Baptiste et Alice parlent de leurs boulots respectifs, tout va bien. Je commence par Eliott, j'avance ma main sur son sexe, il grossit presque instantanément, mon copain garde une tête impassible. Il devient bon en simulation, ça me plaît ! Puis, moment risqué, j'avance la main sur la cuisse de Pierre, qui en sentant que ma main va vers son sexe, se concentre sur sa cigarette. Il est déjà dur le coquin ! Moi qui croyais m'être fait des illusions ! Je commence à prendre dans ma main le sexe d'Eliott et le branler doucement à travers le tissu. Je continue juste à masser le sexe dur de Pierre. Heureusement un fou-rire de Baptiste, Mathilde et Alice permet de couvrir les souffles saccadés d'Eliott et de Pierre. Mathilde, étonnée de ne pas entendre rire Pierre, le regarde donc je décide d'arrêter avec Pierre. Il réussit alors à regarder sa femme en souriant et elle détourne la tête, rassurée. Eliott a finit sa cigarette a force de tirer dessus de façon saccadée pour couvrir ses halètements. Je retire ma main et lui demande devenir m'aider dans la cuisine pour servir les assiettes. Il se lève très vite et tourne vite le dos à mes amis, il a bien fait car il a une érection énorme qui fait apparaître sa bite par transparence dans son pantalon blanc léger. Il va falloir arranger ça dans la cuisine ! Je le fais passer avant moi dans la cuisine et lance "Interdit de rentrer dans la cuisine, le plat est une surprise !" en souriant. Mes amis rient et partant dans une nouvelle conversation. Je ferme la porte de la cuisine derrière moi et saute sur Eliott qui a déjà baissé son pantalon et se branle légèrement du bout des doigts. Ca m'excite de le voir si impatient, je soulève ma robe, baisse mon string, lève une jambe et m'empale directement sur lui. Sa bite rentre comme dans du beurre tellement je suis mouillée.
Il n'a besoin hélas que de quelques allers et retours pour éjaculer, tant son excitation était grande. Ses gémissements sont heureusement couverts par les rires dans le salon ! Je n'ai pas eu le temps de jouir mais ça m'a quand même fait du bien. Il se nettoie avec du sopalin, je m'éponge aussi comme je peux, on se lave les mains, se réajuste et on sert les assiettes.
On les apporte dans le salon, tout le monde apprécie et chacun se concentre un temps sur son assiette. L'effet du rhum est passé pour moi, mais le vin rouge commence à me griser légèrement. Pierre me regarde de temps en temps, je sens qu'il a très envie que je continue ce que j'ai commencé.
Après le plat, tout le monde se lève et retourne dans le canapé, avec son verre et ses clopes.

Pierre se lève soudain et demande en riant si les toilettes n'ont pas changé de place, avec le vin ! Tout le monde rit, mais je comprends qu'il y a une autre demande derrière cette question bien anodine. Il part aux toilettes, j'attends de finir ma clopes puis le je me rends aussi aux toilettes. Il n'est pas à ceux du rez-de-chaussée, il est allé à l'étage, quel prévoyance !
Je reviens au salon avec une nouvelle bouteille, conseillant à tout le monde de la goûter, ce qu'ils font tout de suite. Ca me laissera du temps pour faire ce qui me hante !
Je monte les escaliers, frappe doucement à la porte des toilettes, la porte est ouverte, Pierre a le sexe sorti, il se caresse à pleine main, son gland est rouge et humide, son sexe assez épais et d'une bonne longueur. "Tu en as mis du temps" me dit-il. je n'ai pas envie de parler avec lui, ça me rappellerait trop que je suis en train de gâcher notre amitié.
Je ferme la porte à clés sans répondre, je prends tout de suite son sexe en bouche, tout en relevant ma robe et en enlevant mon string. Je sens qu'il a de l'endurance, pas comme Eliott, sans doute grâce à l'âge ! Mais j'ai envie de le sentir. J'arrête de le sucer, je baisse la cuvette des toilettes, le fais s'assoir et m'assois sur sa bite. Il glisse ses mains sur mes seins sous ma robe et m'aide à monter et descendre. D'une main je me tiens à au mur et de l'autre je me caresse le clitoris. J'ai tellement envie que je jouis moi aussi très vite, ce qui me déçois car la sensation était très bonne et j'aurais voulu que ça dure toujours.
Il n'a même pas eu le temps de jouir lui aussi. Je me retire et me met à quatre-pattes et le suce. Son sexe est bon, je le fais glisser autant que je peux de ma gorge jusqu'à mes lèvres en protégeant sa bite de mes dents avec ma langue. Il apprécie mais n'est pas prêt à jouir tout de suite. Je commence à me dire qu'il ne jouira jamais et que j'aurai très mal à la bouche. Soudain je sens qu'il commence à atteindre le point de non retour et brutalement il se retire de ma bouche, me relève, me retourne un genou sur la cuvette et me pénètre violemment. Il me fait presque mal et en même temps ça m'excite à nouveau. Je me caresse le clito, les seins, j'accompagne ses mouvements de reins. Il jouit dans un râle, je sens qu'il lâche énormément de jets de sperme dans mon vagin.
Mais j'ai encore envie et je n'ai pas joui à nouveau. Je ne peux pas m'arrêter là, je m'assois sur la cuvette, jambes écartées et je lui fais signe de me lécher. Il lèche très bien et me doigte en même temps. Je ne tarde pas à jouir et je m'aperçois que son sexe est de nouveau relevé sur son ventre. Il se masturbait en me léchant le coquin !
J'ai bien peur qu'on finisse par se demander où on est, en bas, dans le salon, mais en prêtant l'oreille, j'entends que les rires fusent toujours.
Je soulève complètement ma robe, libère mes seins, les caresse et lui murmure de se branler en même temps. Il se branle violemment et lâche trois jets de sperme brûlant sur ma poitrine.
Dans les toilettes il y a des lingettes, on s'en sert chacun pour se nettoyer, Pierre sort et descend rejoindre les autres qui ne se sont rendu compte de rien.
Je descends peu après et on continue notre soirée comme si de rien n'était avec le dessert et les cafés.

Ce soir-là, à peine nos invités avaient franchi la porte, je me suis appuyée contre la porte, ai soulevé ma robe, ai sorti le sexe d'Eliott encore bandé et me suis empalée avec.
Pierre et moi avons depuis toujours fait comme si de rien n'était et n'avons jamais recommencé.

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