L'Ami De Ma Fille

Charles avec qui je corresponds m'a demandé d'imaginer un récit sur le thème l'ami de ma fille.

Depuis quelque temps, j'ai remarqué que le comportement de Charles, l'ami de ma fille, à mon égard était plus que tendancieux. En effet, j'ai surpris plusieurs fois, son regard libidineux plonger dans mon décolleté très généreux ou souriant, me déshabiller du regard sans vergogne.

Mariée depuis plus de trente ans, je suis une femme fidèle. Parfois je l'avoue, je m'ennuie au point de vue sexuel. Mon mari et moi sommes moins ardents qu'il y a dix ans, mais nous faisons encore l'amour une fois par semaine et mes orgasmes, sans être délirants, sont corrects. Mais je dois y mettre du mien, car Pascal tend à devenir popote et me saute souvent en égoïste.
Quand il a déchargé, il m'arrive de plus en plus souvent d'aller me terminer dans la salle de bains, sous prétexte de me rincer la chatte. Je suis experte en masturbation, et je m'envoie aussi facilement en l'air avec mon doigt qu'avec la queue de mon mari
Tout cela pour vous dire que le comportement de Charles me gênait, me troublait. Comment ce jeune homme pouvait vivre avec ma fille et me désirer.

Ma fille et lui habitent l'appartement au-dessous du nôtre. Un arrangement leur permet de venir faire leur lessive chez moi. Et depuis quelques temps, j'ai remarqué que dans le panier à linge sale mes dessous se trouvaient ensemble, alors que la logique veut qu'ils se trouvent répartis séparément dans le panier. Certains étaient très chiffonnés et humides. Je ne voulais pas admettre que ce petit cochon reniflait mes dessous, et peut-être faisait-il pire. Je voulais en avoir le cœur net. J'étais très troublée par ce que j'allais découvrir. La situation était plus que gênante, mais se savoir désirer par un jeune homme me troublait, me déchirait.

Vers quatorze heures, on sonne à ma porte. Je suis seule, mon mari travaille et ma fille est sortie.

Il fait très chaud ce jour là. C'est Charles venant faire une lessive. Après 10 minutes, je m'approche de la salle de bains et j'entends des soupirs. La porte est entrouverte et je jette un œil ; il est en train de se masturber, le petit cochon ! Mais il est de dos, je ne vois pas sa queue. Je commence à mouiller sans même le vouloir. Tout à coup, il se retourne et se met face au lavabo. Et là, je tombe presque à la renverse ; il a un sexe énorme, long et surtout très gros avec un gland comme un citron. Je ne m'attendais pas à un sexe pareil. Je me sens à la fois excitée et angoissée ; ce sexe me fait peur, il est énorme. En même temps, ça m'excite, je mouille abondamment. Il a passé ma culotte autour de son sexe et il se branle en fermant les yeux. Il se caresse les couilles avec le tissu tout en se branlant. De longs et lourds jets s'écrasent dans le lavabo. Il gémit mon prénom en jouissant. Le ventre tordu par le désir, l'entrejambe trempé à ma plus grande honte, je reviens au salon, où il me rejoint sans que rien dans son comportement ne laisse deviner ce qui vient de se passer.

Un soir en rentrant chez moi, j'ai découvert ma fille penchée en avant, appuyée à la table de la salle à manger, en train de se faire prendre par son ami. Paralysée par la surprise, je n'ai pas su quoi faire.
Elle lui offrait sa croupe, creusait les reins tandis qu'il promenait, debout derrière elle, sa queue le long de son sillon ténébreux. Les lobes écartés, elle était prête à tout. Son gland s'arrête sur sa rosette qu'il presse un peu, avant de continuer plus bas entre ses lèvres ruisselantes. Il les écarte avec son sexe avant de l'enfoncer d'un coup au tréfonds du ventre de Nadia, lui donnant un orgasme. Il la bourre, il la lime, il la pistonne vigoureusement. Son ventre claque sur ses fesses à chaque pénétration. Il fait trembler ses seins durs et fermes en la secouant.
Elle n'hésite pas à dire tout haut le plaisir que lui donne Charles. Ils changent de position.
Nadia s'allonge, le dos sur la table de la salle à manger. Il lui écarte les cuisses, et la pénètre à nouveau sans ménagements. A chaque coup de reins, je vois sa belle queue luisante disparaître au fond du ventre de ma fille. Elle ouvre largement ses jambes pour que Charles s'enfonce encore mieux. Il lui bourre la chatte à grands coups de pine. Le rythme s'accélère encore. Nadia jouit une nouvelle fois le suppliant d'en finir, mais il ne réduit pas sa cadence, au contraire.
Il la pilonne jusqu'à ce que, enfin, il décharge ses bourses gonflées de plaisir en plusieurs jets drus et puissants au fond de son ventre.
Une nouvelle fois, je me retire. Le trouble m'a envahi, j'ai une furieuse envie de faire l'amour.

Mon trouble au fil des jours grandissait. Les regards de Charles se faisaient plus insistants. Je pensais à longueur de temps à lui. Le matin quand je choisissais mes dessous, le soir quand je les déposais dans le panier à linge sale. Un peu comme si je postais une lettre d'amour. J'en faisais déborder du panier, comme une maitresse pouvait accrocher un ruban pour signifier à son amant que le chemin était libre. J'avais remarqué que les dessous pas toujours de bon goût que m'offrait mon mari, semblaient être appréciés par Charles. En particulier le string panthère et la culotte noire et mauve. Ces dessous étaient très souillés. Au moins je connaissais ses goûts.

Charles est venu faire une lessive. Il me dit qu'il a une course à faire, qu'il reviendra dans une heure pour retirer sa lessive. A peine a-t-il refermé la porte que je me précipite dans la salle de bain pour y découvrir ma culotte gluante de son plaisir. Mon ventre se tord de plaisir. Je m'assois sur la partie de la baignoire transformée en banquette.
Je commence à écarter les cuisses. J’enfouis ma main sous mon string et je commence à me caresser le sexe.. Sans me contrôler, je gémis et je tortille du bassin. En glissant une main sous mon chemisier, je me caresse les seins.
J’ai deux doigts dans ma grotte humide que je vrille dans un rythme effréné. Je fonds et je ne tiens plus. Je glousse, je me tortille. Je suis en sueur.
Étant tellement à mon plaisir, je ne fais pas attention, et je continue à me faire du bien puis une voix me ramène à la réalité :
Un petit coup de main, ma petite salope ?
Pétrifiée, je suis incapable de répondre. Charles s'approche de moi.
- Qui dit mot …

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