« Jules Prends Tamara Dans La Douche. » Épisode 7/18
Pendant ce diner pris un peu à la va vite, Tamara avait su, par ses petites caresses et ses baisers redonner de la vigueur à son mâle si puissant. Elle nétait toujours pas rassasiée, elle désirait encore jouir comme si elle voulait rattr, près de dix ans de sa vie en une seule nuit. Lorsquelle se dirigeait vers la salle de bain entièrement nue, Jules la regardait de dos, sa démarche féline, gracieuse et sensuelle, était une invitation à la débauche. Ses superbes fesses rebondies se balançant de droite à gauche, donnèrent à Jules une envie de les attr et de les malaxer ou même de les croquer comme des beaux morceaux de viandes tendres à souhait.
Après son invitation à la rejoindre, Jules, dont le pénis était dur et tendu, repensait à ce que Tamara lui avait demander avant le repas. Elle avait raison, il reconnaissait fantasmer avec ses conquêtes, il était évident que ses partenaires jouissaient beaucoup entre ses bras mais lui aussi avait besoin de se lâcher et de les prendre sauvagement, si elles nattendaient que cela, pour lui aussi cétait un besoin de sexprimer et cela lexcitait dautant plus quelles se donnaient à fond.
Tout ceci le fit réfléchir, avec Tamara il neut pas ce besoin, pourtant son plaisir fut immense, il avait apprécié cette possession de son corps tout en tendresse. Peut-être que cétait tout simplement une invitation, se demanda-t-il. Elle désirait peut-être essayer, pourquoi ne pas en profiter ? Il se leva, se rapprocha delle et lui mis gentiment deux petites claques, une sur chacune de ses fesses en disant :
Ça cest pour mavoir mis dans cet état. Lui dit-il en montrant son sexe en érection avec son index.
Surprise au début et légèrement vexée Tamara se força à ne rien dire et fit semblant de jouer le jeu, il vit tout de suite qu'elle navait quà moitié apprécié. Ce qui lui augmentait lenvie de la baiser de toutes ses forces. Voulant lui rendre la pareille, elle posa sa main sur sa queue et la serra puis lattira ainsi jusquà la salle de bain :
Attend un peu, leau froide va te la faire redescendre.
Avant de rentrer sous la douche, Tamara lui sauta au cou et lembrassa, plaqué contre lui, sur la pointe des pieds, elle remuait son bassin de droite à gauche afin de ressentir son sexe contre le sien, elle en avait besoin. Ils étaient si bien comme ça quils restèrent dans cette position un long moment à sembrasser et à se frotter lun contre lautre. Ce fut elle qui mit fin à leur bien-être, elle saccroupit devant lui, son visage à la hauteur de sa verge tendue comme un arc, elle prit sa queue dans la main et approcha sa bouche :
Jai très envie de te sucer mon chéri. Je peux ?
Elle navait pas attendu sa réponse, elle la connaissait, elle savait que tous les hommes rêvaient que leur femme les suce. En fait, ce nétait même pas une question. Dun seul geste, elle enfonça le gland de son amant entre ses lèvres et laspira. Sa langue passait et repassait sur le bout durci de sa verge puis avant de lenfoncer dans sa bouche, elle la ressortit. Elle ne recommença pas, elle ne pouvait pas faire ça, cétait impossible car elle ne prenait aucun plaisir à faire une fellation. Cen était trop pour elle, Jules sen aperçut et lui dit darrêter, ment déçu mais résigné. Il attendrait encore, cétait elle qui déciderait de linstant. Ce nétait pas pour lui une obligation et il ne voulait pas la forcer.
Par contre, elle avait très envie de faire une nouvelle fois lamour, elle voulait que Jules soit en pleine possession de ses moyens, afin quil lui apporte une nouvelle fois du plaisir. Pour continuer leur jeu érotique, Jules l'attrapa et la colla, au mur sans lui faire mal, tout en la rassurant afin quelle se laisse aller au plaisir. Elle se trouvait son ventre et ses seins plaqués sur le carrelage du mur de la salle de bain. Il lui tenait dune main, les deux siennes au-dessus de la tête puis plaça sa verge entre les cuisses et senfonça dans sa fente, sans aucun autre préliminaire. Heureusement, elle nen avait pas eu besoin, elle était assez mouillée comme ça, il la pénétra pour la seconde fois de la soirée.
De ses va et vient puissants, s'enfonçant et se retirant en elle encore et encore, Tamara chavirait, était-elle en plein bonheur, ça, il nen savait rien ce quil entendait, était des soupirs, des râles, et des gémissements, des cris forts et rapide au fur et à mesure de la pénétration, simulait-elle ? Il ne voulait pas le savoir, il la possédait avec toute la robustesse dun athlète quil était. Cétait littéralement du sexe physique. Ne voyant pas son visage, pour être certain quelle aimait ce quil lui faisait endurer, il se retira, la retourna et lui demanda :
Ça va ma princesse ?
Non mon chéri !
Attends, allons sous la douche.
Dans lappartement dà côté, Bénédicte Pennys narrivait pas à dormir contrairement à Jérôme qui sétait effondré dans un sommeil profond. Elle regrettait à présent de navoir pas accepté la proposition de son mari. Les bruits quelle entendait lexcitaient fortement quelle sen caressait. Comme elle ne voulait pas réveiller Jérôme, elle se masturba. Pendant que sous la douche, Tamara et Jules se lavaient mutuellement se passant le savon liquide, tout en caresses sensuelles, sur chaque partie de leurs corps.
Jules en avait profité, pour lui savonner la raie de ses fesses, Tamara avait aimé son petit doigté dans lanus tout à lheure, ce fut la raison pour laquelle, elle se laissait faire, la pénétration dun doigts de Jules, facilité par le savon, lui donna quelques sensations bizarres mais lui demanda darrêter. Lorsquil la rinça, il la fit se pencher en avant et ayant mis le pommeau de douche en jet fin et puissant, il lui appliqua sur lanus. Leau tiède pénétrant dans son rectum augmenta tout de suite le désir quelle avait déjà, en elle. La douce chaleur lui apporta un réel plaisir, elle serrait les fesses pour garder leau le plus longtemps possible dans son conduit anal.
Jules remit la pomme de douche en place, attrapa Tamara, la leva devant lui et la pénétra une fois encore.
Elle serra toutefois les dents et appréhendait mais Jules pensant avoir suffisamment dilaté son anus avec son doigts et leau chaude qui coulait sur eux, essaya denfoncer son sexe. Tamara cria puissamment, elle eut mal lorsque le gland essayait de pénétrer en elle :
Je continue ma princesse ?
Non ! Ça fait mal, je ne veux pas essayer
Jules fut encore un peu déçu mais lui pardonnait, cétait un peu trop pour la première fois, il ne lobligea pas. Cétait dommage car il savait par expérience que la douleur allait satténuer. Doucement, très doucement, il se serait enfoncé, Tamara se serait habituée et aurait apprécié. Mais encore une fois, elle ne semblait pas être encore prête à la sodomie. Lorsquil avait pénétré son gland dans son vagin, elle gémissait de nouveau de plaisir. Il était entré entièrement, il renouvela sa demande :
Cest bon comme ça ma princesse ?
Oui ! prends-moi, Ah ! Vas-y ! Oh mon chéri ! Oui ! Je crois que je vais jouir
Il recommençait à la posséder mais cette fois-ci, lentement avec des mouvements longs et réguliers, en essayant dêtre le plus tendre possible et surtout quelle ne puisse plus se passer de sa verge. Elle devait trouver son bonheur, il se létait juré. Écartant bien ses jambes, il la pénétrait et ressortait, leau bien chaude coulant sur eux, apportait un peu de douceur et le désir montait et montait encore, à tel point quelle criait :
Oui mon amour ! Mon chéri plus loin ! Prends-moi, cest bon !
Ce fut dans un spasme terrible, quelle jouit, elle hurlait à présent et en sagrippant à ce quelle avait trouvé sous la main, la petite étagère mal fixée au mur, tomba dans un bruit à réveiller les morts, raisonnant dans la salle de bain, juste au moment où Jules se retira enleva sa capote et éjacula sur son ventre.
Bénédicte qui venait de prendre du plaisir, sétait enfin endormie mais le hurlement quelle venait dentendre et le bruit que létagère avait fait en tombant, la réveilla en sursaut. Elle secoua son mari :
Jérôme ! Chéri, jai peur, il est arrivé quelque chose à Tamara. Jespère quelle nest pas blessée. Va voir sil te plait
Que veux-tu quil lui soit arrivé, ça doit être une chaude la Tamara et on ne le savait pas. Laisse-moi dormir merde !
Bénédicte prit peur, elle était persuadée que la jeune martiniquaise était blessée et quelle avait probablement besoin daide. Elle se leva, enfila un petit peignoir, par-dessus sa nuisette et alla sonner à la porte de la voisine. Elle attendit quelques secondes, avant de sonner de nouveau. Pendant ce temps, Tamara et Jules riaient de bon cur, en se lavant mutuellement, en commentant leurs ébats quils venaient de vivre.
Lorsquils entendirent, retentir la sonnerie de la porte, Tamara eut un sursaut, ils pensèrent immédiatement à la police car ils reconnaissaient avoir fait beaucoup de bruit :
Tu veux aller voir mon chéri, jespère que ce nest pas les flics qui viennent pour tapage nocturne.
En effet, il était 1h10 à lhorloge de la cuisine. Jules navait pas pris le temps de sessuyer, avait uniquement remis son slip avant de se rendre dans lentrée. Il regarda par lilleton et ouvrit la porte à Bénédicte :
On vous a réveillé ? Merde excuse-nous surette.
Mais cest toi ? Que fais-tu là ? Dit-elle en fixant lentrejambe de son beau-frère.
Dans son slip moulant et mouillé, elle apercevait par transparence le sexe de Jules déformant le tissu fin de son sous vêtement. Elle écarquillait les yeux tout en se demandant si Jérôme était bien son frère. Elle jalousait presque Tamara de lavoir comme partenaire de sexe. Mais elle revint à la réalité et demanda :
Tamara nest pas blessée ? Je lai entendue hurler puis comme un bruit de chute.
Ne tinquiète pas Bénédicte, Tamara va bien, elle se lave.
Tamara qui attendait cachée derrière le mur du couloir, étant toute nue ne passa que sa tête derrière la cloison, en disant :
Tout va bien Bénédicte, je tassure. Bonne nuit.
Bénédicte regarda de nouveau le sexe de Jules et toujours aussi impressionnée, lui demanda si Tamara navait pas eu mal en lui désignant son engin du menton :
Ne tinquiète pas surette, elle va shabi et dans quelques temps, elle ne pourra plus sen passer.
Dit donc, tu es bien gaulé. Osa dire la belle-sur en riant, tout en le regardant de la tête aux pieds.
Tu nes pas mal non plus Bénédicte pour ton âge. Lui répondit-il en écartant les pans de son peignoir. Allez ! Retourne te coucher avant quil me prenne lenvie de te prendre sur le palier.
Ils se mirent à rire et se firent la bise avant que la belle-sur regagne son appartement. Tamara avait ramassé toutes les affaires de toilette qui jonchaient le sol de la salle de bain et était venue rejoindre Jules à la cuisine. Ce petit jeu leur avait donné soif, ils trinquèrent ensemble en se délectant de leur petit vin blanc puis allèrent ensemble nus se coucher. La nuit fut longue en émotions physiques et cérébrales mais très courte en sommeil.
Tamara fut insatiable, Jules dut se démultiplier pour la satisfaire, il navait jamais fait lamour autant en si peu de temps. Elle prit tellement dorgasmes pendant cette journée et cette nuit, quelle ne pouvait pas les compter. Elle nageait dans le bonheur et ferait tout pour garder Jules auprès delle. Dès le lendemain matin, Tamara fut aux petits soins pour lui, elle avait tout préparé pour son petit déjeuner, elle lui avait rangé toutes ses affaires, lui avait même ciré ses chaussures.
Elle ne désirait plus quil rentre chez lui, dautant plus quelle navait pas confiance à Karine et à Sandy, la fille de la boite de nuit. Le lendemain soir, elle lui avait demandé de passer chez lui prendre quelques vêtements, ses affaires de toilette afin quil sinstalle chez elle. Elle voulait avoir un il sur lui et comme sa famille était là aussi, il ne pourrait pas faire décart pendant quelle travaillait.
Ils vécurent ainsi pendant plus dun mois et tous les soirs, sétait le même rituel, dès quelle rentrait du travail, ils faisaient lamour sur le tapis du salon avant de diner. Puis passaient se laver mutuellement sous la douche avant de se coucher. Ils ne regardaient pas la télé, avant de sendormir au petit matin, ils prenaient au moins trois fois du plaisir. Ils semblaient heureux dêtre ensemble, Jules navait dyeux que pour sa princesse des îles, il ne pensait plus à toutes les filles quil avait pu connaitre.
Tamara quant à elle avait trouvé lhomme de sa vie. Les seules choses quelle navait pu lui empêcher de faire, cétait daller trois fois par semaine, à la salle de sport et laide aux devoirs de Manon quil recevait chez lui, les lundis, mercredis et vendredis, avant daller rejoindre banlieue sud. Tamara était toutefois assez jalouse, lorsquil lui avait imposé les cours particuliers quil donnait à la fille de Karine. Lors de la deuxième semaine, voulant se rendre compte par elle-même, elle lui demanda de laccompagner ce soir-là afin de connaitre cette fameuse Manon.
Jules se sentant tout à fait clean, accepta immédiatement, toutefois il eut un doute car il avait remarqué depuis que Manon montait chez lui faire laide aux devoirs, elle profitait de labsence de sa mère pour changer ses vêtements, elle montait en petite robe saillante et se maquillait un peu plus. Dautre part, elle le regardait différemment, elle était beaucoup plus aguichante quautrefois. Il la trouvait même très belle et très femme, son corps sétait épanoui. Cétait la raison pour laquelle, il essayait de rester lui-même et évitait de croiser son regard.
Il sétait même aperçu, que lorsquelle travaillait et quil était derrière elle, les mains au bord du dossier de sa chaise comme il faisait depuis toujours, lors de ses derniers cours, elle rapprochait son épaule afin que ses doigts touchent la peau nue du haut de son bras. Il avait donc décidé de ne plus se tenir ainsi et de rester à lécart de tout attouchement. Le jour où Tamara devait venir laccompagner, à la sortie du cours danglais, Manon allait quitter la salle avec ses amis lorsquil lui demanda :
Mademoiselle Marchand, venez me voir, jen ai que pour quelques minutes.
Manon fut très surprise quil lui demande de rester à la fin dun cours, il ne lavait fait quune seule fois et ce fut pour la coller et cela remontait à plus dun an :
Quai-je fait Monsieur Pennys ? quelque chose vous a déplu ?
Rien de tout ça Manon. Je voulais simplement tannoncer que ce soir ma fiancée sera présente chez moi lors de laide aux devoir. Je voulais simplement de prévenir.
Pourquoi Monsieur Pennys ? Mon comportement vous dérange ?
Non ! rien de tout ça Manon, tu peux aller dans la cour.
Cette fois-ci, il sut que Manon fantasmait sur lui et daprès ses propos, elle ne sen cachait pas, il devait rester très prudent. Il était maintenant persuadé quil navait quun mot à dire et cette gamine sallongeait dans son canapé. Cette jeune fille était très intelligente, ce soir-là, Manon était montée sans aucun maquillage et avait remis son jean et son sweat large à capuche. Pendant laide aux devoirs, elle fut une élève exemplaire pendant que Tamara tout en passant laspirateur partout, surveillait ses faits et gestes. Jusquau jour où
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Nous verrons la suite dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous aussi, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par e-mail, avec votre aide, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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