Mon Frère Se Tape Ma Femme Et Encore Une Fois Je Me Laisse Faire ...
Cela faisait bien 2 mois que je navais pas touché ma femme, manquant totalement de libido au point dêtre même incapable de bander. Cela marrive fréquemment, depuis toujours. Pourtant jai tout juste dépassé la trentaine, et ma femme, Hélène, a 28 ans, elle est mignonne, elle a surtout des seins fabuleux (un gros 100 bonnet D !), des hanches rondes, la taille fine, et de très TRES gros besoins sexuels. Notre relation na jamais reposé sur le sexe (ment
), mais plutôt sur le fait quon sentend bien et que jai un très bon boulot, mais là quand même elle faisait vraiment la gueule, même si on nabordait pas le sujet. Je sais quelle couche avec des types mieux membrés que moi et surtout qui arrivent à bander sans problème et à être endurant au lit, et elle a déjà couché avec certains de mes copains et avec dautres mecs quelle connaît.
Moi jai toujours accepté tout ça sans rien dire, vu que je ne peux men prendre quà moi-même et que je pense quil y a, dans la vie, dun côté les gros queutards sans scrupules, et de lautre les lopettes, et que ça ne sert à rien de lutter contre ça, chacun sa nature et chacun ses possibilités, moi je suis du côté des lopettes, et les autres mecs en profitent avec ma femme, cest la vie
Dans les périodes où je narrive vraiment à rien, Hélène est rapidement en chaleur ; elle lest déjà dhabitude, alors là
je la voyais se toucher les seins le soir au moment où on se couche, je lavais surprise une fois en train de se caresser la chatte sur le lit, et je suis à peu près sûr que son jeune collègue Benjamin en avait profité pour la tringler au boulot, comme dhabitude, vu quun soir où je lappelais pour lui demander pourquoi elle était en retard, cest lui qui avait décroché et il mavait dit quelle était occupée, et javais entendu à sa voix quil se marrait en me disant ça. Déjà que dhabitude il me regarde toujours dun air narquois quand je le rencontre ... Mais bon, on restait dans le cadre habituel, ma femme est aime la queue, ses gros nibards allument tous les mecs, et moi je nassure pas au lit et je suis donc bien obligé daccepter dêtre le cocu de service dont la femme fait le bonheur des autres mecs.
Tout ça a pris un tour vraiment gênant quand mon frère, Bastien, est venu passer 3 mois chez nous pour une mission pour son boulot. Il est consultant informatique, et sa venue à la maison était prévue depuis un moment, je nai pas vu de problème. Dans la famille, les mecs sont des vrais queutards, sauf moi ; Bastien a 3 ans de plus que moi, et mon autre frère, Richard, a 18 mois de plus que moi. Bastien et Richard sont vraiment des mecs qui pensent avec leur queue, Richard est marié mais Bastien est toujours célibataire et il passe son temps à coucher avec toutes les filles qui passent. Ils font du sport tous les deux, ça leur sculpte le torse et les épaules, alors que moi je nen fait pas du tout. Je savais bien que tous les deux mataient les seins et les cuisses dHélène à chaque repas de famille, et quHélène nétait pas insensible, mais ils ont toujours été super corrects, à la différence de mon groupe damis. Ils avaient entendu un jour un de mes amis, Christophe, me traiter en rigolant de « cocu de service », mais ils avaient fait semblant de croire mes explications (javais expliqué que cétait juste une vanne entre potes). Cela dit, ils se moquent tout de même de moi depuis ladolescence à propos du fait que jai eu peu de copines et quelles me quittaient toujours très vite pour un autre, alors queux en avaient parfois plusieurs en même temps, et ils ont été assez surpris que jépouse une bombe avec des seins de rêve.
Quand Bastien est arrivé, jétais super content daccueillir mon grand frère ; je ladmire depuis toujours, et on sentend vraiment bien. Je navais pas trop fait attention au fait quHélène portait une mini-jupe vraiment très courte, vu quelle shabille toujours plus ou moins comme ça ; son chemisier blanc était normal, donc tout allait bien. Jai informé Bastien quil dormirait sur le lit pliant, dans notre chambre, puis on a commencé à dîner. Pendant le dîner je me suis quand même rendu compte que Bastien louchait carrément sur les seins dHélène ; ça ma surpris, car dordinaire je le vois faire ça plutôt en douce, mais jai compris quand jai vu quHélène avait dégrafé deux boutons de son chemisier : la vue était plongeante sur son superbe décolleté, on voyait très bien presque toute la moitié supérieure de ses deux gros seins !! A la vue de ces deux gros nibards, mon queutard de frère oubliait complètement les convenances et ma présence, et son regard ne quittait plus les seins de ma femme ! Hélène arborait un petit sourire coquin, elle semblait fière de se sentir désirée par un mec.
Quand on sest levés, Bastien arborait à travers son jean une énorme érection (mais vraiment énorme !); des trois frères, cest lui qui a de loin la plus grosse queue, je nai jamais compris, mais ça la toujours fait rigoler, il a toujours parlé de « son gros zob » avec beaucoup de fierté devant Richard et moi, dans nos conversations entre frangins. Hélène a évidemment caressé sa braguette des yeux, je lai vu et lui aussi, on avait limpression que la queue remontait jusque sous la chemise !! Il avait un peu lair gêné, mais il faisait semblant de rien, et ça sest calmé petit à petit. On a pris un café sur le canapé, puis, comme il se faisait tard, jai proposé quon aille se coucher. Lambiance était bizarre, je faisais la gueule mais sans oser dire pourquoi je la faisais, vu qu'il ne s'était rien passé de grave. J'ai donc dit "je vais me coucher, Hélène a dit quelle me rejoignait, mais jai insisté en lui rappelant quelle devait bosser le lendemain, et que pour Bastien cétait le premier jour de sa mission chez son nouveau client. Je pense quelle a compris que je la soupçonnais de vouloir allumer mon propre frère sous mon toit, pour pouvoir enfin se faire sauter, et donc elle na pas insisté ; Bastien na rien dit, il nous a suivi en faisant comme sil ne se rendait pas compte que latmosphère devenait lourde entre Hélène et moi.
Jai toujours laissé Hélène se faire baiser par dautres gars (pas par plaisir, mais parce que je pense que je nai pas les moyens de lutter contre eux), mais là, avec mon frère, cétait trop, je ne suis quand même pas un paillasson. Dans mon groupe de copains, ils se refilent le numéro de portable dHélène et se vantent devant moi quelle est bonne et pas farouche et que cest génial davoir un copain comme moi, et elle a même été la meuf « officielle » de mon ami Vincent pendant une période de deux mois où il navait pas de copine (alors quHélène et moi étions mariés depuis 2 ans).
Bastien sest mis en caleçon, Hélène est allée dans la salle de bains pour se changer, pendant ce temps Bastien ma juste demandé, dun air ironique : « ça va ? », jai répondu « oui » dune voix un peu chevrotante, et Hélène et revenue dans la chambre : elle portait un tee-shirt très court et un string !! Jai levé les yeux au ciel et je me suis couché, en pyjama, en faisant clairement la gueule, pour lui faire comprendre que je la trouvais ridicule et quelle dépassait les bornes. Bastien, torse nu et en caleçon, avait les yeux écarquillés et il essayait visiblement de se contenir. Moi je pensais déjà à lengueulade que jallais passer à Hélène le lendemain pendant que mon frère prendrait sa douche. Hélène sest couchée à côté de moi, dans notre super lit « king size » et mon frère sest couché dans le lit pliant, et Hélène a éteint la lumière. Cinq minutes plus tard, Bastien a dit tout haut : « putain il est super dur, ce lit ! » et jai répondu d'un ton sec « cest tout ce quon a ». Un silence, puis il a repris : « déjà que je vais voir un kiné, parce que je me suis fait mal au dos en faisant du sport, ça va pas sarranger avec ce lit
». Jai répondu « ben oui mais je ne peux pas tinviter à dormir dans notre lit, même sil est grand, vu quHélène est en string, ça craint ». Hélène, se sentant attaquée, a répondu, dune voix amusée « tu es ridicule Fabien,
» et Bastien a ajouté « texagère, je suis ton frère, Hélène cest ma belle-sur, je vous adore tous les deux, vas pas te faire des idées ». Je devenais apparemment ridicule
Jai donc cédé en disant : « bon, ok, cest vrai je me comporte comme un con ». Bastien sest levé et il nous a rejoins dans le lit. Comme jétais couché du côté du mur, comme toutes les nuits, il est entré dans le lit du côté dHélène, et elle sest retrouvée entre Bastien et moi. Je ne voulais pas avoir lair du mari jaloux (ça aurait bien été la première fois), mais je voulais quand même veiller au grain.
En général jai le sommeil très lourd, mais là je devais être un peu inquiet tout de même, car jai été réveillé peu après par un bruit léger, à la fois un bruit de frôlements et de chuchotements. La première chose que jai entendue, cest mon frère qui murmurait « et là, ça te fais du bien ? » et Hélène qui chuchotait « oui, jaime bien sur le ventre
tas la main chaude
». Apparemment, Bastien lui caressait doucement le ventre, sous son tee-shirt ; jai légèrement entre-ouvert les paupières, et dans la pénombre jai vu quil était relevé sur un coude, penché vers elle. Puis sa main est remontée, et il a murmuré « et là
? » et Hélène, après un silence, a répondu tout bas « cest mes seins
t'exagères ... mais jadore
» et Bastien lui a dit « ils sont énormes
putain, vraiment énormes ... jai la gaule ! ». Mon frère paluchait les gros nibards de ma femme, nus sous son tee-shirt, à côté de moi ! Je croyais avoir tout subi, mais là cétait une première. Il avait lair dadorer ça, car ils ne parlaient plus et sa main restait sur ses seins, en passant de lun à lautre. 100 D, il y a de quoi se régaler, pour un mec. Soudain jai vu, à travers mes paupières toujours mi-closes, mon frère pencher sa tête vers Hélène, et il a commencé à lembrasser dans le cou, de façon très langoureuse, avec des bruits de langue, même. Puis ses lèvres sont remontées sur les lèvres dHélène, et il a commencé à lui rouler une pelle qui ma semblé durer un temps infini ; en même temps quil lembrassait, il sest déplacé pour sinstaller sur elle, entre ses cuisses, en position du missionnaire, pendant quHélène remontait doucement ses cuisses autour des hanches de mon frère. A ce moment, elle a murmuré « et Fabien
? » et Bastien a répondu « il dort, ça va
et tu ne vas pas me faire croire que je suis le premier mec à te sauter dans votre lit ! » ; Hélène a répondu par un petit rire ; il lui a alors dit denlever son tee-shirt, ce quelle a fait immédiatement, libérant ses gros seins pour quil en profite pleinement. Ce salaud ne sest pas gêné et il sest carrément jeté sur ses seins, il sest mis à les lécher consciencieusement, à les bouffer, sans faire trop de bruit mais en sappliquant bien !! En même temps, je sentais quil faisait des mouvements de bassin, sans doute pour faire sentir à Hélène à quel point sa queue devenait grosse et raide, en se frottant contre elle. Ca a duré un long moment, elle lui caressait les cheveux, les épaules, et je sentais bien quils commençaient tous les deux à même oublier que jétais sensé dormir à 20 centimètres deux. La langue et les lèvres de mon frère ont continué à parcourir soigneusement les deux seins de ma femme, les tétons et toute leur surface, pendant que je me mordais les lèvres pour ne pas hurler de douleur et de jalousie.
Pour un queutard comme Bastien, la suite était évidente ; il a commencé à baisser le string dHélène, elle a relevé les cuisses pour quil puisse le lui enlever complètement, et il a glissé ses doigts sur les lèvres du vagin dHélène ; elle sest mise à gémir doucement, et Bastien a dit, presque à voix haute : « mhhh en plus tu tes épilée la chatte
ohhh tes toute mouillée, salope
» puis il sest replacé sur elle pour lui rouler une pelle de nouveau, et les mains de ma femme ont fait descendre le caleçon de mon frère, jai senti quil se plaçait bien entre ses cuisses de nouveau, et il a commencé à la pénétrer, à faire entrer sa grosse bite dans la chatte de ma femme, comme si cétait tout naturel. Apparemment ça nétait pas si facile, car Jai senti que Bastien arrêtait son mouvement, avec une partie de sa queue seulement enfoncée dans la chatte dHélène, et il lui a demandé « ça va ? Je te fais pas mal ? » Et Hélène a répondu « non, cest délicieux, mais je ne sais pas si tu pourras lenfoncer plus, elle est tellement énorme
». Bastien a donné quelques petits coups de reins, tout doucement, en lui chuchotant « détends toi, écartes
» et apparemment il a pu continuer à la pénétrer encore plus, sa queue rentrait mieux finalement (je me suis souvenu à ce moment dune douche que javais prise avec lui, il y a longtemps, et javais trouvé sa bite énorme, même au repos, un vrai monstre, et se couilles aussi mavaient semblé deux fois plus grosses que les miennes ; la nature est injuste). Là, Bastien a arrêté de nouveau son mouvement, et il a dit à Hélène, sur un ton un peu étonné : « quand même
tu te rends compte ? » et Hélène a répondu « oui, je sais
baise moi, jai trop envie
»pendant qu'elle s'accrochait à ses épaules musclées. Mon sort était scellé.
Ils ont fait lamour un long moment ; en regardant le réveil matin qui était sur la table de nuit, jai pu calculer que Bastien a limé ma femme pendant plus de 35 minutes, toujours en position du missionnaire. Je pense que pour son premier coup avec elle, il voulait lui montrer quil est endurant. A certains moments, le plaisir dHélène était si intense quelle poussait des cris, en oubliant totalement de faire attention à moi. Dans ces moments-là, je sentais que Bastien se mettait à la pistonner encore plus vite et encore plus fort. Je sentais chacun de leurs mouvements qui faisait bouger le matelas, cela me faisait bouger aussi, javais limpression dêtre sur un bateau qui tangue, parfois. A plusieurs reprises, jai été heurté par le coude de Bastien, ou par son pied, et je continuais à faire semblant de dormir. Après avoir ramoné la chatte de ma femme 35 minutes environ donc, et lui avoir donné deux orgasmes daprès ce que jai supposé des cris quelle a poussé, Bastien a éjaculé, très longuement et très fort, en poussant un énorme râle de plaisir. Moi jétais dans un état second, javais presque physiquement limpression de ne plus exister, dêtre juste un fantôme à côté de ce couple damants passionnés, en tout cas davoir une existence moins réelle que la leur.
Bastien a retiré sa queue de la chatte dHélène, après quelques instants de repos, et Hélène sest levée, tout doucement, comme si, après avoir baisé comme des fous à côté de moi, il était encore temps de prendre des précautions ! Elle est sortie du lit et est allée vers la salle de bains. Bastien la laissée séloigner, puis il a dit « alors frangin, tu vas continuer à faire semblant de dormir pendant que je menvoi ta femme ? ». Je suis resté silencieux puis, me rendant compte que cétait ridicule, jai répondu, tout bas « quest-ce que tu veux que je fasse dautre ? » et Bastien a dit « ben rien, tas raison, là ya plus rien à faire pour toi, jai honte pour toi, mon pauvre ! Tu te rends compte ? Je narrive même pas à y croire, tes trop naze. ». Jai murmuré « tu ne vas pas te plaindre, en plus
» et il a répondu « non, ça cest sûr, quand un mec est nul comme toi et que sa femme est une bombasse en chaleur, moi je suis un vrai mec, alors jen profite, et tant pis pour ta gueule si tes trop nul et que tu me laisse la baiser dans ton lit ! Purée jy crois pas, quel pied
je vais la tirer sans arrêt, cette salope, elle aime trop ça, et savoir quen plus cest ma belle-sur, là rien que de le dire, ça me fous la trique à nouveau
je vais la démonter toute la nuit !! Tu vas chialer, frangin, tas pas fini de mentendre lenfiler !! Si taimes lentendre gémir, ouvre les oreilles, je vais lui mettre tout ce que jai !! ».
Sans rien répondre, je me suis levé et je suis allé me coucher sur le lit pliant, dans le coin de la chambre. Bastien a murmuré « quelle nul
jy crois pas
» et Hélène est revenue de la salle de bains quelques secondes après, toujours totalement nue. Elle a vu immédiatement que javais changé de lit, elle sest assise à côté de Bastien, en regardant dans ma direction dans la pénombre, Bastien a posé une main sur un des seins de ma femme, et il la attirée vers lui, elle sest rallongée et Bastien lui a dit « on va être plus à laise, jai super envie de te faire lamour toute la nuit ! ». Il a ajouté « tu vas voir, je vais te sauter au moins 7 ou 8 fois cette nuit » et Hélène a rit en disant « vous êtes très différents, dans la famille ! ». Bastien lui a demandé « alors tu veux te la prendre encore ? » et elle a répondu « oui, j'ai envie de te sentir en moi
viens ! ».
fabien.complaisant@laposte.net
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