Aux Ordres De Ma Maitresse Suite 3

Je fis un résumé assez détaillé de ma nuit, à ma Maîtresse Marie, dans l’espoir, qu’elle soit satisfaite de moi, puis m’installée dans le divan, pour regardez la télé, en attendant de me retrouver au bistrot, à la disposition de Monsieur Jean.
Une heure et demie plus tard une icône de messagerie clignotait sur l’écran de mon ordi. Je me levai et allai voir le message. C’était Maîtresse Marie qui ne me félicitait pas car, je n’avais toujours pas obéi à son ordre. Elle insista pour que, je me trouve un chantier et me mette à la disposition des ouvriers.
Je fus, bien sur un peu déçue, qu’elle n’appréciait pas, ce qui venait de se passer dans ma vie, alors qu’avant, le bistro de Monsieur Jean et la folle nuit avec Abdou et Salim, je ne faisais qu’un peu d’hexib et que, je draguais de vieux messieurs, selon ses ordres. J’étais, quand même, passée à la vitesse supérieure depuis la veille.
Je lui répondis que, j’allais d’abord chez Monsieur Jean et lui promis que, si mon corps et ma tête en étaient encore capable, je chercherais un chantier plein d’ouvrier.
C’est alors que, je vis un dvd inconnu, sur mon bureau. Je le pris et le plaçai dans le lecteur dvd de mon pc et regardai avec stupéfaction, le dernier quart d’heure de ma nuit extrême avec les deux blacks. Ce dernier quart d’heure me montrait nue, au pied de mon lit, me tortillant à cause des godes en moi et les retirant, les léchant et les remettant en moi pour, les recouvrir de sperme, se trouvant dans mon vagin et les lécher comme une friandise.
Je pouvais voir mon visage qui reflétait la joie et le plaisir de faire cela. Je n’en revenais pas d’avoir fait cela. Mon cerveau, devait surement être complètement déconnecté de la réalité.
Un détail me frappa alors ! Sur le sol, à côté de mon lit, se trouvait un objet ressemblant, à une seringue. Je couru jusque dans ma chambre pour vérifié le sol. Rien… Sous le lit, rien… Je soulevai les descendes de lit,…rien.


Je retournai à mon pc pour revoir le film et essayai de faire un arrêt sur l’image. Je du m’y reprendre à plusieurs fois avant d’arriver, à avoir une image nette. Je pu alors bien voir la seringue en question.
Je me tâtai les bras, rien… Je me déshabillée en vitesse a la salle de bain, aucune trace de piqure. Je compris ou du moins, je cru comprendre que c’était Abdou et/ou Salim qui avait utilisés une drogue quelconque pour être aussi performant qu’ils avaient été cette nuit.
Je ne comprenais pas pourquoi, ils avaient laissé ce dvd sur mon bureau. Peut-être pensaient-ils devoir me faire chanter pour que je continue à me soumettre ?
Je me préparai une petite salade pour le repas du soir, ne voulant avoir l’estomac, trop chargé, pour aller chez Monsieur Jean.
A, huit heures moins le quart, j’étais devant la porte du bistrot. Je regardai par le carreau et vis une vingtaine d’hommes étant présents dans l’établissement.
Je sentis mon entre-jambe s’humidifié, tant par la tension que, par l’excitation de la situation.
Deux mains se posèrent, sans douceur sur mes fesses et me poussèrent contre la porte qui s’ouvrit brusquement sous cette poussée. Je fis un bond en avant et tombai sur les genoux au milieu des tables.
Le silence se fit instantanément et je sentis tous les regards sur moi. Une énorme vague de honte et d’excitation me nouèrent les intestins.
Je me retournai au moment ou la voix de Salim fit :
- Notre petite pute, hésitait à entrer, les gars ! Alors je l’ai aidé un peu. Puis, il éclata de rire suivit par une bonne partie des clients.
- Reste à quatre pates et vient ici, petite pute s’écria Monsieur Jean depuis son comptoir.
Je me mis donc en route à quatre pates en direction du bar, ma courte robe remonter sur mes fesses laissant voir à tous les clients que, je ne portais aucune culotte.
Lorsque, j’arrivai à côté du comptoir, je ne su combien de main et de doigt avaient touché, caressé ou s’étaient enfoncé dans mon entre-jambe, suivie d’exclamation sur l’humidité de celui-ci.

Monsieur Jean me redressa en me prenant par les cheveux et me sermonna sur mon retard et ma façon de traverser son bistrot. Il me traita de « trainée » de « petite salope » de « garage à bite » et d’autres gentillesses, toutes en rapport avec sa façon me voir.
- Si tu veux boire un café, petite, va falloir le gagner, dit, pour conclure, Monsieur Jean.
Salim se pencha et pris mes cheveux des mains de Monsieur Jean en lui disant :
- Je la prépare et d’ici dix minute elle sera opérationnelle, patron !
- Ok ! Salim, je te laisse carte blanche dit-il en rigolant.
- Vient petite chienne, car tu va avoir du boulot ce soir, dit Salim en tirant sur mes cheveux pour nous diriger vers le couloir des toilettes.
Toujours à genoux, je le suivis, jusqu’au local, puant et sale, des toilettes. Dès que nous fument au milieu, il me releva et ôta ma robe, seul vêtement que j’avais mit. J’étais complètement nue en sandale d’été, à genoux au milieu d’un local, contenant sur un côté, deux portes de wc et sur le mur d’en face trois urinoirs, séparés par un petit portillon qui devait, sans doute protéger des regards indiscret mais, leur grandeur ne donnait aucun doute, sur l’inutilité de ces portillons. Une odeur, d’urine et de saleté, vint titillée mes narines.
Salim me redressa complètement en me tirant par les cheveux et m’approcha de l’urinoir du milieu. Il me pencha au-dessus en me mettant la tête dedans.
J’eus le réflexe de tourner mon visage sur le côté pour que mon nez ne touche pas le fond, mais Salim poussa suffisamment pour que, ma joue touche, la crépine, dégoutante et crasseuse au fond de l’urinoir.
- Reste ainsi et mais tes mains de part et d’autres m’ordonna-t-il.
Je fis ce qu’il me demanda et je senti qu’il me donna de léger coup de pied sur mes chevilles pour que j’écarte les jambes.
Je me retrouvai, pliée à plus ou moins de 90°, la tête dans un urinoir, le derrière, bien en vue et mes mains tenant la conduite de vidange de cet urinoir.
Mes petits seins touchaient par moments la pointe en céramique de l’urinoir mais, cela laissait suffisamment de place pour que des mains puissent jouer avec.
- Surtout, tu ne bouge pas dis Salim, je reviens !
Il sorti du local me laissant dans cette position de totale soumission et revint quelques secondes après. Il dévissa, les deux petits portillons de part et d’autre de l’urinoir dans lequel reposait ma tête et après les avoir enlevés, se mit à m’attacher à l’urinoir.
D’abord mes mains, au tuyau de vidange puis passant à plusieurs reprises la corde, par-dessus et par-dessous l’urinoir, m’empêchant ainsi tout espoir de me redresser. Comme il tira suffisamment pour que je sois bien attachée, mes petits seins se placèrent de chaque côté de la pointe de l’urinoir.
Salim essaya de me tirer en arrière, surtout pour voir que j’étais bien attaché et effectivement mon corps ne bougea presque pas. Je sentis qu’il attacha chacune de mes chevilles de façon que je ne puisse restée les jambes bien écartées.
- Voilà petite pute tu es prête pour la soirée, j’espère que les clients seront nombreux et contents.
- Je… Vous… Vous n’aller… Vous n’aller pas me laisser ainsi, suppliais-je du fond de l’urinoir.
- Mais si, petite pute, mais si et même toute la nuit si on a beaucoup de client. C’est ce qu’espère Monsieur Jean en tout les cas, répondit-il.
- Mais… Mais…
- Ta gueule ! T’a juste le droit de te faire mettre et surtout de dire merci à chaque client qui viendra te remplir ! T’as compris ! Petite pute !
- Heu… Ou… Oui… Oui…
- Oui qui ?
- Ou… Oui monsieur Salim
- Ah voilà comment une petite pute blanche doit me parler.
- …
- D’ailleurs tout ce préparatif m’a donné envie.
J’entendis un zip d’une braguette et je sentis un sexe se placer contre ma vulve trempée. Le sexe s’enfonça en moi sans aucune résistance de ma part et lorsqu’il toucha le fond de mon vagin, ma tête cogna la paroi verticale de l’urinoir et ma joue râpa sur la crépine.

- Putain ! S’écria Salim, t’es tellement mouillé qu’elle rentre toute seule.
- He bien ! T’as déjà commencé dit une voix inconnue.
- Cette petite me donne envie comme pas possible à chaque fois que je la vois.
- Surtout dans cette position dit encore la voix.
- Eh ! Attend ! Pas là ! s’écria Salim tout en continuant ses coup de rien en moi, me faisant, me cogner la tête à chaque fois.
- Comment ça ? dit la voix inconnue
- Ils sont hors services ceux-là dit Salim, tu dois faire ici.
- Ha Bon !
Je vis une ombre assombrir le peut de clarté que je percevais depuis le fond de l’urinoir et avant de comprendre ce que cela signifiait, un jet d’urine frappa ma joue hors de l’urinoir et se dirigea vers ma bouche et mon nez.
Je sentis avec angoisse, l’urine éclabousser mon visage et mes cheveux mais, surtout faire monter le niveau de cette urine dans l’urinoir. Jusqu’au moment ou cette urine arriva à hauteur de ma bouche que je refermai avec précipitation. Malheureusement le niveau continua de monter, et atteignis, rapidement, mes narines. J’essayai de soulever ma joue qui, était sur la crépine, mais l’urine s’engouffrant dedans aspira ma joue et forma un bouchon. Je ne vis qu’une solution si, je ne voulais pas mourir noyée, c’était d’ouvrir la bouche et d’avaler l’urine, au moins pour que je puisse respirer.
J’ouvris donc la bouche. L’urine et autres saletés dans l’urinoir, s’engouffrèrent dans ma gorge. J’avalai cette mixture en pleurant, me disant que plus bas, je ne pourrais jamais tomber.
Salim, continua ses vas et viens en moi, ce qui me procura un début de jouissance. La position, le sexe de Salim et l’avalement de l’urine, firent monter, en moi, un taux d’adrénaline, suffisant pour qu’une première jouissance se déclenche sans que je ne puisse la contrôlée.
L’urine s’arrêta en même temps de couler sur moi et je m’étranglai en avalant une grosse gorgée.
- Regard ça ! La salope ! Elle joui même dans ces conditions, s’écria Salim au bord de la jouissance lui-même car, à peine ces mots prononcés, il gicla dans mon vagin.
Les jets s’écrasèrent sur le fond de mon vagin et augmentèrent ma jouissance. Mon corps fut tellement secouer par Salim et moi-même que, je crus entendre l’urinoir se détacher du mur. Il n’en fut rien et lorsque, je repris mes esprits, je compris aussitôt, qu’un autre sexe était en moi, plus petit et plus nerveux dans ses coups de rein. Je supposai que, l’inconnu avait remplacé Salim, s’en que, je m’en aperçoive, pendant ma jouissance.
Le type me lima comme une vulgaire poupée gonflable, sans aucune caresse, sans aucune marque de partage. Il se vida d’ailleurs assez rapidement en moi.
- Waouh ! Elle est bonne cette salope. Complimenta l’inconnu.
- Si tu as des copains, n’hésite pas. Monsieur Jean est d’accord du moment qu’ils consomment, dans le bar.
- Ah ! Fit l’inconnu, elle remplace les cacahouètes qu’on donne avec la bière.
- C’est… C’est ça dit Salim, en rigolant, tu l’as trouvé, sacré Paul, va !
Ils sortirent tous les deux me laissant dans cette position. L’urine sembla diminuer lentement. Un frisson me parcouru entièrement, au moment, où sans doute, un courant d’air se fit.
Je ne restai pas longtemps seule attachée à mon urinoir, car des voix se firent entendre et se reprochèrent.
Quelques exclamations se firent entendre avant qu’un nouveau sexe s’introduisit en moi, mais pas pour longtemps car, après quelques allers et venues en moi, le sexe se retira de mon vagin pour se coller sur mon anus. Je me préparer à souffrir et je fermai les yeux.
C’est au moment où le sexe poussa sur ma rondelle anale, qu’un jet d’urine, frappa mon nez et ma bouche sur le côté. J’ouvris la bouche par reflexe et le jet frappa l’intérieur de ma joue, celle justement qui, était collée à la crépine de l’urinoir.
La pénétration de mon anus, me fit ouvrir encore plus grand, la bouche pour, rechercher de l’air qui, je croyais, allait compenser cette pénétration. C’était, bien sur sans compter, l’urine qui s’engouffrait dans ma gorge et que je fus obligée d’avaler sous peine de noyade.
Cette fois, je sentis des mains me palper et me pincer les seins et les tétons. Une nouvelle jouissance montait, inexorablement, en moi. Le jet d’urine s’arrêta quelques secondes pour reprendre de plus belle. Je pouvais distinguée plusieurs voix différentes. Le sexe dans mon derrière accéléra son mouvement puis, s’arrêta tout au fond de moi. Je pus alors, sentir les soubresauts du sexe en moi, lâchant ses jets de sperme.
Je n’arrêtais pas d’avaler de l’urine, pour éviter qu’elle n’atteigne l’entièreté de mon nez. Mon œil droit, baignait dans la pisse et je n’osais plus ouvrir les yeux de peur de recevoir de l’urine dessus.
Le changement de sexe, dans mon derrière, se fit sans mon avis et les coups de rein reprirent de plus bel. Ma pauvre tête, baignant à moitié dans la pisse et le dessus de mon crâne frappant, au rythme des coups de rein, la paroi verticale de l’urinoir, éclaboussant, par ce fait, mes cheveux, qui ne trempaient pas, dans l’urine.
Je ne peux dire combien de temps s’écoula entre Le moment où, je fus attachée, aux urinoirs et le moment où, Salim, me détacha. Je me rappelle seulement qu’entre, plus ou moins, quatre ou cinq clients, quelqu’un, m’essuyait l’entre-jambe puis, les pénétrations recommençaient.
Je tombai assise par terre, les chevilles toujours attachées aux autres tuyaux de vidange, des urinoirs de par et d’autre du mien. Mon derrière baignant dans une marre d’un liquide mélangé, de sperme, de crasse et d’autre matière que les nombreux clients, venu se vider en moi, avaient sous leur chaussures.
- Pas mal pour une première fois, me complimenta Salim et Monsieur Jean, venu assister à ma délivrance.
- Mais certains clients se sont plaints de ton silence.
- Mais…
- Y a pas de « mais » tu devras, à l’avenir ne pas oublier de dire « merci » et de les excités plus que, par ta position. Par exemple en leur demandant de te remplir, de te bourrer le cul, enfin toutes ces phrases qu’Abou et Salim t’on apprises hier ! Continua Monsieur Jean.
- Tu crois qu’elle à méritée un café, dit Salim en riant.
- Bien sur ! Si,… elle le paye ! Fis Monsieur Jean
Je ne crois pas pouvoir avaler du liquide, après ce que je venais d’avaler comme urine. J’avais d’ailleurs mon ventre tellement gonflé que, je me croyais enceinte.
C’est à ce moment et sans que, je puisse me retenir, un jet d’urine fusa de ma vulve comme une fontaine.
- Mais qu’elle salope, s’écria Monsieur Jean, elle va tout me dégueulasser, avec sa pisse.
- Attend ! Patron, j’ai une idée dit Salim.
Il détacha les cordes de mes chevilles et avec une des cordes, me fit un collier, qu’il s’empressa de mettre autour du cou. Il relia les deux morceaux de corde et relia la partie libre au tuyau de vidange de l’urinoir centrale. (Mon urinoir)
- Voilà patron ! Comme cela elle pourra aller dans tous les coins du local et nettoyer vos toilettes.
- Salim ! Si je ne t’avais pas, je devrais te créer. Excellente idée. Va lui chercher le matos pour nettoyer.
Salim, sorti quelques seconde pour revenir avec un seau et une raclette.
- Pas besoin de torchon, Patron, sa robe fera office de loque.
- Tu as compris ! Traînée ! Je veux que ce local soi impeccable avant de te laisser partir.
Je n’en croyais pas mes oreilles. Je venais de satisfaire, je ne sais combien de client à Monsieur Jean et pour me remercier, il m’obligeait à nettoyer ce local et avec ma robe en plus.
- Mais… Mais Monsieur Jean… S’il vous plait
- Quoi ! T’es pas contente de me faire plaisir ?
- C’est… Ce n’est pas ça. Mais… Mais… je suis….
- T’es quoi ? Fatiguée ? Une jeunette comme toi ?
- Ben… Ou…Oui… S’il vous plait… laissez-moi rentrer… Je … Je reviendrai demain si vous voulez…
- De toute façon tu reviens demain, donc tu nettoies, puis,… on verra !
- Je…
Une gifle fusa et je me tus. J’essayai de me relever mais, je glissai sur cette marre de liquide, sous moi. Après plusieurs essais sous les regards amusés de Salim et de Monsieur Jean, je me mis debout, les jambes tremblantes et je fus stupéfaite de la grosseur de mon ventre.
A peine debout que, j’urinai de plus belle, comme si, je n’avais plus urinée depuis des années. La pisse gicla avec violence sur le sol éclaboussant les chaussures de Monsieur Jean, qui fit un bon en arrière.
- La pute ! Elle pisse sur moi maintenant.
Salim, me prit par les cheveux, trempés d’urine et me força à m’agenouiller. Ma vessie continuait de se vider pendant ce temps. Il poussa ma tête, jusqu’aux chaussures de Monsieur Jean.
- Lèche te nettoie tes saloperie m’ordonna Salim.
Je fis ce qu’il m’ordonna tout en continuant d’uriner car, la position que j’avais, devait surement faire pousser, mes intestins, sur ma vessie.
Monsieur Jean, me laissa lécher ses chaussures sans les soulever du sol. Ce qui eu pour conséquence, que ma langue léchait, pour moitié, le côté de ses semelles et la partie du sol autour de ses chaussures.
- Dans le fond, elle pourrait tout lécher, le local entier dit soudainement Salim.
- Là, mon petit Salim t’exagère un peu. Laissons-là déjà nettoyer avec sa robe et on verra pour plus tard.
- T’as bien compris, me demanda Salim.
- Heu… Ou… Oui, Monsieur Salim.
Monsieur Jean, sorti son sexe de sa braguette et fis signe à Salim de sortir. Il se mit à se masturber dès que Salim sorti.
- Reste à genoux et ouvre bien ta bouche, petite traînée.
Je me rapprochai de Monsieur Jean pour, que ma bouche soi bien, en dessous de son sexe. Il se masturba pendant de longues minutes et lorsqu’enfin, il joui, il abaissa son sexe jusqu’à l’entrée de ma bouche et lâcha ses giclées dedans.
- N’avale pas… tout … de suite, dit-il entre deux spasmes.
Ce fus presque un plaisir pour moi d’avoir du sperme dans la bouche, au lieu de la pisse que, je reçu pendant toute la soirée.
Ma main droite descendit vers ma vulve pour me caresser, mais lorsque mes doigts touchèrent les petites lèvres un flot de sperme s’échappa et me trempa les doigts.
- Maintenant tu peux avaler, me dit Monsieur Jean.
- Mer… Merci… Mon… Merci, Monsieur Jean, fis-je, en déglutissant le sperme.
- C’est bien ! C’est bien ! Petite ! Aller maintenant au boulot et que tout soi bien propre pour demain.
Monsieur Jean sorti du local et ferma la porte. J’entendis parfaitement la clé tourner dans la serrure. J’étais prisonnière de ce local et toujours à genoux je me mis à pleurer.
Les nerfs, me lâchais, très probablement. Je me couchai sur le carrelage froid et sale et je m’endormis secouer par des sanglots. Une douleur me réveilla et ma fesse gauche, me fit un mal de chien.
- On t’a dit de nettoyer et pas de dormir s’écria Abdou, qui venait de me donner un coup de pied au cul.
- Mais…
Abdou, était là, je ne l’avais pas vu ou entendu de la soirée et maintenant il était présent et me donnait des ordres. Je vis parfaitement une de ses mains caresser le devant de son pantalon et une grosseur anormale commençait à se voir nettement.
Je me redressai péniblement et chercha ma robe et le seau. Toute tremblante de fatigue et de nervosité, je remplis le seau et trempai ma robe dedans. L’eau était froide et aucun détergent ne semblait existé, dans ce local.
Abdou, jeta un savon carré dans le seau ce qui m’éclaboussa. L’eau me paru glacée et je failli laisser tomber le seau.
Abdou, s’approcha de moi et me prenant par les cheveux trempée d’urine, m’obligea à me mettre à genoux. Je déposai le seau et mes mains se mirent à ouvrir sa braguette et sortir son énorme engin. Sans qu’il ne me dise rien, je lui fis une fellation de première qualité et ce malgré la fatigue et le froid qui me faisait trembler. Je dois avouer que j’aimais sentir cet énorme sexe dans ma bouche et de recevoir les fabuleuses quantités de sperme d’Abdou.
Je le suçai un certain temps avant qu’il ne jouisse, enfin et me remplisse la gorge et l’estomac de son sperme onctueux et abondant.
- Mer… Merci, Monsieur Abdou, de votre bon sperme, lui dis-je après avoir nettoyer consciencieusement son sexe sur toute la longueur.
Il me repoussa comme un objet inutilisable et quitta le local sans un mot et en prenant soin de refermer derrière lui.
Je passai une grande partie de la nuit à frotter, gratter, sécher, les murs, les wc, les urinoirs et l’évier de ce local.
Je n’en croyais pas mes yeux lorsque je vis le résultat, car le local paraissait vraiment propre. Ma robe, par contre, était dans un état de vieux torchon usé. Je m’étais aussi nettoyée et j’avais encore uriné, plusieurs fois, pendant la nuit. Mon ventre plat, me redonnais espoir, de ne pas avoir de séquelles visibles, sur mon corps, par contre, mon cerveau était complètement « destroye » et celui-ci, n’allait probablement jamais récupérer, la petite fille, un peu maso et soumise que, j’étais, il n’y avait que quelques jours encore. J’étais devenue une salope entière et complètement soumise à toute personne me le demandant.
J’avais vraiment aimée d’être traitée ainsi et je pensais déjà, faire un résumé détaillé à Maîtresse Marie. J’étais certaine qu’elle serait fière de moi.
C’est vers huit du matin que, de petits coups de pieds, dans mon ventre, me réveillèrent.
- Aller debout petite pute, il est temps de rentrer chez toi, me dit Monsieur Jean
- Je… Ok !... Ok !... je me lève.
Je me mis debout fameusement courbaturée et grelottante de froid, J’avais dormi nue rouler en boule dans un coin du local. Monsieur Jean, me tendait ma petite robe, crasseuse et abimée par le nettoyage du local.
- Tiens ! fit-il, je crois que c’est à toi. Tâche de venir proprement ce soir et pas avec des frusques qui pue les chiottes
- Mais… Mais, je ne vais pas sortir comme ça…osais-je dire
- C’est ta robe ou pas ?
- Oui… Mais…
- Met, tes vêtements et tire-toi vite, avant que je ne change d’avis et te foute dehors, à poil !
- Heu… Bi…Bien monsieur Jean
Je passai ma robe, en tout cas ce qu’il en restait, sale et déchirée par endroit. Je devais ressembler à Cosette dans les « Misérables ». Je sorti par la porte privée et filai droit chez moi, en priant de ne rencontrer personne que, je connaissais.
Cette fois, la chance fut avec moi car, le court trajet jusqu'à mon appartement et le hall de l’immeuble ne me fit rencontrer, aucune personne de connaissance. Je tremblai de joie et de fatigue en mettant la clé dans la serrure.
Retrouver enfin mon chez moi, me doucher, me laver et enfin dormir dans un vrai lit. Je ne pensais qu’à cela en pénétrant mon appartement.
Ma joie fut de courte durée, la première vision que j’eus, en pénétrant mon salon, c’est de voir Salim, allongé et ronflant sur mon divan. Il était simplement vêtu d’un caleçon et sa main tenait son sexe à moitié sorti. La deuxième vision que j’eus, c’est de voir le désordre et les déchets, bouteilles, emballages qui traînaient partout.
- Ah enfin ! T’es là dit Abdou en sortant de la cuisine, un sandwich à la main.
Il était aussi en slip et on pouvait nettement voir la forme de son sexe, malgré qu’il fût au repos.
- Mais… Mais qu’es ce… Mais qu’es-ce que vous faites ici demandais-je.
- Comment ça ! T’es pas au courant ?
- No… Non…
- Ben Salim et moi on s’installe chez toi, enfin… je veux dire chez nous et on est content que tu sois là pour tout nettoyer.
- Mais….
- Putain ! T’as pas l’air au courant il me semble !
- Mais… Mais non… Je ne … je ne comprends pas.
- C’est très simple, petite pute, Ici c’est chez nous et on est là pour te maintenir en forme pour Monsieur Jean. Il nous a demandé de s’occuper de toi pour, te transformer en une bonne et obéissante petite pute.
Je m’écroulai assise, complètement abasourdie et me rendant compte que, ma vie, avait vraiment fait un bond dans un univers de soumission totale. Je savais déjà que j’obéirais à toutes leurs exigences.
- Dès que tu auras tout remis en ordre, tu pourras t’apprêtée car, on va faire un tour du côté de la cité. On a deux trois amis qui, aimeraient faire ta connaissance, surtout, depuis qu’on leur a dit, de quoi tu es capable.
- Bi… Bien, Monsieur Abdou. Dis-je en me relevant.
- Fait pas trop de bruit, car Salim dors. Il est fatigué à cause de toi.
- Com… Comment ça ?
- Il est resté éveiller cette nuit pour te surveiller, pendant que, tu nettoyais les toilettes de Monsieur Jean.
- …
- Bon ça suffit ! Au boulot, petite pute, mais vient d’abord me vider les bourses, elles sont un peu lourde à porter. Fit-il en rigolant et mordant à pleine dent dans son sandwich.
Abdou, abaissa son slip et son sexe commençait à grossir. Je m’approchai et m’agenouillai devant lui. Je pris son sexe en main pour le masturber.
- Chans les mains ! Uni…chement avec t…cha bouche ! fit-il en mâchant son sandwich.
Je mis mes mains sur la tête, ouvrit la bouche et pris le sexe d’Abdou dans celle-ci. Dès qu’Abdou eu joui de longues et abondantes giclées, il se retira de ma bouche et m’ordonna de faire le nettoyage de SA piaule.
J’étais encore souillée de ma nuit et la bouche au goût de sperme d’Abdou, que je commençai à faire un nettoyage de l’appartement.
Bien entendu, Salim se réveilla et me sodomisa pendant que, je nettoyais le tapis. Je demandai aussi à Abdou si je pouvais écrire un mail à Maîtresse Marie car, elle m’avait donné un ordre que je ne pouvais satisfaire. Lorsque Abdou eu connaissance de l’ordre et se marra de plus belle et me dit :
- Ben, je crois petite pute que ta journée va être très, très longue.
- Ouais ! Fit Salim, après la cité, on ira te chercher un bon grand chantier pour que tu puisses t’amuser un peu.
Fin de la troisième partie.

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