Aux Ordres De Ma Maitresse Suite 3
Je fis un résumé assez détaillé de ma nuit, à ma Maîtresse Marie, dans lespoir, quelle soit satisfaite de moi, puis minstallée dans le divan, pour regardez la télé, en attendant de me retrouver au bistrot, à la disposition de Monsieur Jean.
Une heure et demie plus tard une icône de messagerie clignotait sur lécran de mon ordi. Je me levai et allai voir le message. Cétait Maîtresse Marie qui ne me félicitait pas car, je navais toujours pas obéi à son ordre. Elle insista pour que, je me trouve un chantier et me mette à la disposition des ouvriers.
Je fus, bien sur un peu déçue, quelle nappréciait pas, ce qui venait de se passer dans ma vie, alors quavant, le bistro de Monsieur Jean et la folle nuit avec Abdou et Salim, je ne faisais quun peu dhexib et que, je draguais de vieux messieurs, selon ses ordres. Jétais, quand même, passée à la vitesse supérieure depuis la veille.
Je lui répondis que, jallais dabord chez Monsieur Jean et lui promis que, si mon corps et ma tête en étaient encore capable, je chercherais un chantier plein douvrier.
Cest alors que, je vis un dvd inconnu, sur mon bureau. Je le pris et le plaçai dans le lecteur dvd de mon pc et regardai avec stupéfaction, le dernier quart dheure de ma nuit extrême avec les deux blacks. Ce dernier quart dheure me montrait nue, au pied de mon lit, me tortillant à cause des godes en moi et les retirant, les léchant et les remettant en moi pour, les recouvrir de sperme, se trouvant dans mon vagin et les lécher comme une friandise.
Je pouvais voir mon visage qui reflétait la joie et le plaisir de faire cela. Je nen revenais pas davoir fait cela. Mon cerveau, devait surement être complètement déconnecté de la réalité.
Un détail me frappa alors ! Sur le sol, à côté de mon lit, se trouvait un objet ressemblant, à une seringue. Je couru jusque dans ma chambre pour vérifié le sol. Rien
Sous le lit, rien
Je soulevai les descendes de lit,
rien.
Je retournai à mon pc pour revoir le film et essayai de faire un arrêt sur limage. Je du my reprendre à plusieurs fois avant darriver, à avoir une image nette. Je pu alors bien voir la seringue en question.
Je me tâtai les bras, rien
Je me déshabillée en vitesse a la salle de bain, aucune trace de piqure. Je compris ou du moins, je cru comprendre que cétait Abdou et/ou Salim qui avait utilisés une drogue quelconque pour être aussi performant quils avaient été cette nuit.
Je ne comprenais pas pourquoi, ils avaient laissé ce dvd sur mon bureau. Peut-être pensaient-ils devoir me faire chanter pour que je continue à me soumettre ?
Je me préparai une petite salade pour le repas du soir, ne voulant avoir lestomac, trop chargé, pour aller chez Monsieur Jean.
A, huit heures moins le quart, jétais devant la porte du bistrot. Je regardai par le carreau et vis une vingtaine dhommes étant présents dans létablissement.
Je sentis mon entre-jambe shumidifié, tant par la tension que, par lexcitation de la situation.
Deux mains se posèrent, sans douceur sur mes fesses et me poussèrent contre la porte qui souvrit brusquement sous cette poussée. Je fis un bond en avant et tombai sur les genoux au milieu des tables.
Le silence se fit instantanément et je sentis tous les regards sur moi. Une énorme vague de honte et dexcitation me nouèrent les intestins.
Je me retournai au moment ou la voix de Salim fit :
- Notre petite pute, hésitait à entrer, les gars ! Alors je lai aidé un peu. Puis, il éclata de rire suivit par une bonne partie des clients.
- Reste à quatre pates et vient ici, petite pute sécria Monsieur Jean depuis son comptoir.
Je me mis donc en route à quatre pates en direction du bar, ma courte robe remonter sur mes fesses laissant voir à tous les clients que, je ne portais aucune culotte.
Lorsque, jarrivai à côté du comptoir, je ne su combien de main et de doigt avaient touché, caressé ou sétaient enfoncé dans mon entre-jambe, suivie dexclamation sur lhumidité de celui-ci.
Monsieur Jean me redressa en me prenant par les cheveux et me sermonna sur mon retard et ma façon de traverser son bistrot. Il me traita de « trainée » de « petite salope » de « garage à bite » et dautres gentillesses, toutes en rapport avec sa façon me voir.
- Si tu veux boire un café, petite, va falloir le gagner, dit, pour conclure, Monsieur Jean.
Salim se pencha et pris mes cheveux des mains de Monsieur Jean en lui disant :
- Je la prépare et dici dix minute elle sera opérationnelle, patron !
- Ok ! Salim, je te laisse carte blanche dit-il en rigolant.
- Vient petite chienne, car tu va avoir du boulot ce soir, dit Salim en tirant sur mes cheveux pour nous diriger vers le couloir des toilettes.
Toujours à genoux, je le suivis, jusquau local, puant et sale, des toilettes. Dès que nous fument au milieu, il me releva et ôta ma robe, seul vêtement que javais mit. Jétais complètement nue en sandale dété, à genoux au milieu dun local, contenant sur un côté, deux portes de wc et sur le mur den face trois urinoirs, séparés par un petit portillon qui devait, sans doute protéger des regards indiscret mais, leur grandeur ne donnait aucun doute, sur linutilité de ces portillons. Une odeur, durine et de saleté, vint titillée mes narines.
Salim me redressa complètement en me tirant par les cheveux et mapprocha de lurinoir du milieu. Il me pencha au-dessus en me mettant la tête dedans.
Jeus le réflexe de tourner mon visage sur le côté pour que mon nez ne touche pas le fond, mais Salim poussa suffisamment pour que, ma joue touche, la crépine, dégoutante et crasseuse au fond de lurinoir.
- Reste ainsi et mais tes mains de part et dautres mordonna-t-il.
Je fis ce quil me demanda et je senti quil me donna de léger coup de pied sur mes chevilles pour que jécarte les jambes.
Je me retrouvai, pliée à plus ou moins de 90°, la tête dans un urinoir, le derrière, bien en vue et mes mains tenant la conduite de vidange de cet urinoir.
- Surtout, tu ne bouge pas dis Salim, je reviens !
Il sorti du local me laissant dans cette position de totale soumission et revint quelques secondes après. Il dévissa, les deux petits portillons de part et dautre de lurinoir dans lequel reposait ma tête et après les avoir enlevés, se mit à mattacher à lurinoir.
Dabord mes mains, au tuyau de vidange puis passant à plusieurs reprises la corde, par-dessus et par-dessous lurinoir, mempêchant ainsi tout espoir de me redresser. Comme il tira suffisamment pour que je sois bien attachée, mes petits seins se placèrent de chaque côté de la pointe de lurinoir.
Salim essaya de me tirer en arrière, surtout pour voir que jétais bien attaché et effectivement mon corps ne bougea presque pas. Je sentis quil attacha chacune de mes chevilles de façon que je ne puisse restée les jambes bien écartées.
- Voilà petite pute tu es prête pour la soirée, jespère que les clients seront nombreux et contents.
- Je
Vous
Vous naller
Vous naller pas me laisser ainsi, suppliais-je du fond de lurinoir.
- Mais si, petite pute, mais si et même toute la nuit si on a beaucoup de client. Cest ce quespère Monsieur Jean en tout les cas, répondit-il.
- Mais
Mais
- Ta gueule ! Ta juste le droit de te faire mettre et surtout de dire merci à chaque client qui viendra te remplir ! Tas compris ! Petite pute !
- Heu
Ou
Oui
Oui
- Oui qui ?
- Ou
Oui monsieur Salim
- Ah voilà comment une petite pute blanche doit me parler.
-
- Dailleurs tout ce préparatif ma donné envie.
Jentendis un zip dune braguette et je sentis un sexe se placer contre ma vulve trempée. Le sexe senfonça en moi sans aucune résistance de ma part et lorsquil toucha le fond de mon vagin, ma tête cogna la paroi verticale de lurinoir et ma joue râpa sur la crépine.
- Putain ! Sécria Salim, tes tellement mouillé quelle rentre toute seule.
- He bien ! Tas déjà commencé dit une voix inconnue.
- Cette petite me donne envie comme pas possible à chaque fois que je la vois.
- Surtout dans cette position dit encore la voix.
- Eh ! Attend ! Pas là ! sécria Salim tout en continuant ses coup de rien en moi, me faisant, me cogner la tête à chaque fois.
- Comment ça ? dit la voix inconnue
- Ils sont hors services ceux-là dit Salim, tu dois faire ici.
- Ha Bon !
Je vis une ombre assombrir le peut de clarté que je percevais depuis le fond de lurinoir et avant de comprendre ce que cela signifiait, un jet durine frappa ma joue hors de lurinoir et se dirigea vers ma bouche et mon nez.
Je sentis avec angoisse, lurine éclabousser mon visage et mes cheveux mais, surtout faire monter le niveau de cette urine dans lurinoir. Jusquau moment ou cette urine arriva à hauteur de ma bouche que je refermai avec précipitation. Malheureusement le niveau continua de monter, et atteignis, rapidement, mes narines. Jessayai de soulever ma joue qui, était sur la crépine, mais lurine sengouffrant dedans aspira ma joue et forma un bouchon. Je ne vis quune solution si, je ne voulais pas mourir noyée, cétait douvrir la bouche et davaler lurine, au moins pour que je puisse respirer.
Jouvris donc la bouche. Lurine et autres saletés dans lurinoir, sengouffrèrent dans ma gorge. Javalai cette mixture en pleurant, me disant que plus bas, je ne pourrais jamais tomber.
Salim, continua ses vas et viens en moi, ce qui me procura un début de jouissance. La position, le sexe de Salim et lavalement de lurine, firent monter, en moi, un taux dadrénaline, suffisant pour quune première jouissance se déclenche sans que je ne puisse la contrôlée.
Lurine sarrêta en même temps de couler sur moi et je métranglai en avalant une grosse gorgée.
- Regard ça ! La salope ! Elle joui même dans ces conditions, sécria Salim au bord de la jouissance lui-même car, à peine ces mots prononcés, il gicla dans mon vagin.
Les jets sécrasèrent sur le fond de mon vagin et augmentèrent ma jouissance. Mon corps fut tellement secouer par Salim et moi-même que, je crus entendre lurinoir se détacher du mur. Il nen fut rien et lorsque, je repris mes esprits, je compris aussitôt, quun autre sexe était en moi, plus petit et plus nerveux dans ses coups de rein. Je supposai que, linconnu avait remplacé Salim, sen que, je men aperçoive, pendant ma jouissance.
Le type me lima comme une vulgaire poupée gonflable, sans aucune caresse, sans aucune marque de partage. Il se vida dailleurs assez rapidement en moi.
- Waouh ! Elle est bonne cette salope. Complimenta linconnu.
- Si tu as des copains, nhésite pas. Monsieur Jean est daccord du moment quils consomment, dans le bar.
- Ah ! Fit linconnu, elle remplace les cacahouètes quon donne avec la bière.
- Cest
Cest ça dit Salim, en rigolant, tu las trouvé, sacré Paul, va !
Ils sortirent tous les deux me laissant dans cette position. Lurine sembla diminuer lentement. Un frisson me parcouru entièrement, au moment, où sans doute, un courant dair se fit.
Je ne restai pas longtemps seule attachée à mon urinoir, car des voix se firent entendre et se reprochèrent.
Quelques exclamations se firent entendre avant quun nouveau sexe sintroduisit en moi, mais pas pour longtemps car, après quelques allers et venues en moi, le sexe se retira de mon vagin pour se coller sur mon anus. Je me préparer à souffrir et je fermai les yeux.
Cest au moment où le sexe poussa sur ma rondelle anale, quun jet durine, frappa mon nez et ma bouche sur le côté. Jouvris la bouche par reflexe et le jet frappa lintérieur de ma joue, celle justement qui, était collée à la crépine de lurinoir.
La pénétration de mon anus, me fit ouvrir encore plus grand, la bouche pour, rechercher de lair qui, je croyais, allait compenser cette pénétration. Cétait, bien sur sans compter, lurine qui sengouffrait dans ma gorge et que je fus obligée davaler sous peine de noyade.
Cette fois, je sentis des mains me palper et me pincer les seins et les tétons. Une nouvelle jouissance montait, inexorablement, en moi. Le jet durine sarrêta quelques secondes pour reprendre de plus belle. Je pouvais distinguée plusieurs voix différentes. Le sexe dans mon derrière accéléra son mouvement puis, sarrêta tout au fond de moi. Je pus alors, sentir les soubresauts du sexe en moi, lâchant ses jets de sperme.
Je narrêtais pas davaler de lurine, pour éviter quelle natteigne lentièreté de mon nez. Mon il droit, baignait dans la pisse et je nosais plus ouvrir les yeux de peur de recevoir de lurine dessus.
Le changement de sexe, dans mon derrière, se fit sans mon avis et les coups de rein reprirent de plus bel. Ma pauvre tête, baignant à moitié dans la pisse et le dessus de mon crâne frappant, au rythme des coups de rein, la paroi verticale de lurinoir, éclaboussant, par ce fait, mes cheveux, qui ne trempaient pas, dans lurine.
Je ne peux dire combien de temps sécoula entre Le moment où, je fus attachée, aux urinoirs et le moment où, Salim, me détacha. Je me rappelle seulement quentre, plus ou moins, quatre ou cinq clients, quelquun, messuyait lentre-jambe puis, les pénétrations recommençaient.
Je tombai assise par terre, les chevilles toujours attachées aux autres tuyaux de vidange, des urinoirs de par et dautre du mien. Mon derrière baignant dans une marre dun liquide mélangé, de sperme, de crasse et dautre matière que les nombreux clients, venu se vider en moi, avaient sous leur chaussures.
- Pas mal pour une première fois, me complimenta Salim et Monsieur Jean, venu assister à ma délivrance.
- Mais certains clients se sont plaints de ton silence.
- Mais
- Y a pas de « mais » tu devras, à lavenir ne pas oublier de dire « merci » et de les excités plus que, par ta position. Par exemple en leur demandant de te remplir, de te bourrer le cul, enfin toutes ces phrases quAbou et Salim ton apprises hier ! Continua Monsieur Jean.
- Tu crois quelle à méritée un café, dit Salim en riant.
- Bien sur ! Si,
elle le paye ! Fis Monsieur Jean
Je ne crois pas pouvoir avaler du liquide, après ce que je venais davaler comme urine. Javais dailleurs mon ventre tellement gonflé que, je me croyais enceinte.
Cest à ce moment et sans que, je puisse me retenir, un jet durine fusa de ma vulve comme une fontaine.
- Mais quelle salope, sécria Monsieur Jean, elle va tout me dégueulasser, avec sa pisse.
- Attend ! Patron, jai une idée dit Salim.
Il détacha les cordes de mes chevilles et avec une des cordes, me fit un collier, quil sempressa de mettre autour du cou. Il relia les deux morceaux de corde et relia la partie libre au tuyau de vidange de lurinoir centrale. (Mon urinoir)
- Voilà patron ! Comme cela elle pourra aller dans tous les coins du local et nettoyer vos toilettes.
- Salim ! Si je ne tavais pas, je devrais te créer. Excellente idée. Va lui chercher le matos pour nettoyer.
Salim, sorti quelques seconde pour revenir avec un seau et une raclette.
- Pas besoin de torchon, Patron, sa robe fera office de loque.
- Tu as compris ! Traînée ! Je veux que ce local soi impeccable avant de te laisser partir.
Je nen croyais pas mes oreilles. Je venais de satisfaire, je ne sais combien de client à Monsieur Jean et pour me remercier, il mobligeait à nettoyer ce local et avec ma robe en plus.
- Mais
Mais Monsieur Jean
Sil vous plait
- Quoi ! Tes pas contente de me faire plaisir ?
- Cest
Ce nest pas ça. Mais
Mais
je suis
.
- Tes quoi ? Fatiguée ? Une jeunette comme toi ?
- Ben
Ou
Oui
Sil vous plait
laissez-moi rentrer
Je
Je reviendrai demain si vous voulez
- De toute façon tu reviens demain, donc tu nettoies, puis,
on verra !
- Je
Une gifle fusa et je me tus. Jessayai de me relever mais, je glissai sur cette marre de liquide, sous moi. Après plusieurs essais sous les regards amusés de Salim et de Monsieur Jean, je me mis debout, les jambes tremblantes et je fus stupéfaite de la grosseur de mon ventre.
A peine debout que, jurinai de plus belle, comme si, je navais plus urinée depuis des années. La pisse gicla avec violence sur le sol éclaboussant les chaussures de Monsieur Jean, qui fit un bon en arrière.
- La pute ! Elle pisse sur moi maintenant.
Salim, me prit par les cheveux, trempés durine et me força à magenouiller. Ma vessie continuait de se vider pendant ce temps. Il poussa ma tête, jusquaux chaussures de Monsieur Jean.
- Lèche te nettoie tes saloperie mordonna Salim.
Je fis ce quil mordonna tout en continuant duriner car, la position que javais, devait surement faire pousser, mes intestins, sur ma vessie.
Monsieur Jean, me laissa lécher ses chaussures sans les soulever du sol. Ce qui eu pour conséquence, que ma langue léchait, pour moitié, le côté de ses semelles et la partie du sol autour de ses chaussures.
- Dans le fond, elle pourrait tout lécher, le local entier dit soudainement Salim.
- Là, mon petit Salim texagère un peu. Laissons-là déjà nettoyer avec sa robe et on verra pour plus tard.
- Tas bien compris, me demanda Salim.
- Heu
Ou
Oui, Monsieur Salim.
Monsieur Jean, sorti son sexe de sa braguette et fis signe à Salim de sortir. Il se mit à se masturber dès que Salim sorti.
- Reste à genoux et ouvre bien ta bouche, petite traînée.
Je me rapprochai de Monsieur Jean pour, que ma bouche soi bien, en dessous de son sexe. Il se masturba pendant de longues minutes et lorsquenfin, il joui, il abaissa son sexe jusquà lentrée de ma bouche et lâcha ses giclées dedans.
- Navale pas
tout
de suite, dit-il entre deux spasmes.
Ce fus presque un plaisir pour moi davoir du sperme dans la bouche, au lieu de la pisse que, je reçu pendant toute la soirée.
Ma main droite descendit vers ma vulve pour me caresser, mais lorsque mes doigts touchèrent les petites lèvres un flot de sperme séchappa et me trempa les doigts.
- Maintenant tu peux avaler, me dit Monsieur Jean.
- Mer
Merci
Mon
Merci, Monsieur Jean, fis-je, en déglutissant le sperme.
- Cest bien ! Cest bien ! Petite ! Aller maintenant au boulot et que tout soi bien propre pour demain.
Monsieur Jean sorti du local et ferma la porte. Jentendis parfaitement la clé tourner dans la serrure. Jétais prisonnière de ce local et toujours à genoux je me mis à pleurer.
Les nerfs, me lâchais, très probablement. Je me couchai sur le carrelage froid et sale et je mendormis secouer par des sanglots. Une douleur me réveilla et ma fesse gauche, me fit un mal de chien.
- On ta dit de nettoyer et pas de dormir sécria Abdou, qui venait de me donner un coup de pied au cul.
- Mais
Abdou, était là, je ne lavais pas vu ou entendu de la soirée et maintenant il était présent et me donnait des ordres. Je vis parfaitement une de ses mains caresser le devant de son pantalon et une grosseur anormale commençait à se voir nettement.
Je me redressai péniblement et chercha ma robe et le seau. Toute tremblante de fatigue et de nervosité, je remplis le seau et trempai ma robe dedans. Leau était froide et aucun détergent ne semblait existé, dans ce local.
Abdou, jeta un savon carré dans le seau ce qui méclaboussa. Leau me paru glacée et je failli laisser tomber le seau.
Abdou, sapprocha de moi et me prenant par les cheveux trempée durine, mobligea à me mettre à genoux. Je déposai le seau et mes mains se mirent à ouvrir sa braguette et sortir son énorme engin. Sans quil ne me dise rien, je lui fis une fellation de première qualité et ce malgré la fatigue et le froid qui me faisait trembler. Je dois avouer que jaimais sentir cet énorme sexe dans ma bouche et de recevoir les fabuleuses quantités de sperme dAbdou.
Je le suçai un certain temps avant quil ne jouisse, enfin et me remplisse la gorge et lestomac de son sperme onctueux et abondant.
- Mer
Merci, Monsieur Abdou, de votre bon sperme, lui dis-je après avoir nettoyer consciencieusement son sexe sur toute la longueur.
Il me repoussa comme un objet inutilisable et quitta le local sans un mot et en prenant soin de refermer derrière lui.
Je passai une grande partie de la nuit à frotter, gratter, sécher, les murs, les wc, les urinoirs et lévier de ce local.
Je nen croyais pas mes yeux lorsque je vis le résultat, car le local paraissait vraiment propre. Ma robe, par contre, était dans un état de vieux torchon usé. Je métais aussi nettoyée et javais encore uriné, plusieurs fois, pendant la nuit. Mon ventre plat, me redonnais espoir, de ne pas avoir de séquelles visibles, sur mon corps, par contre, mon cerveau était complètement « destroye » et celui-ci, nallait probablement jamais récupérer, la petite fille, un peu maso et soumise que, jétais, il ny avait que quelques jours encore. Jétais devenue une salope entière et complètement soumise à toute personne me le demandant.
Javais vraiment aimée dêtre traitée ainsi et je pensais déjà, faire un résumé détaillé à Maîtresse Marie. Jétais certaine quelle serait fière de moi.
Cest vers huit du matin que, de petits coups de pieds, dans mon ventre, me réveillèrent.
- Aller debout petite pute, il est temps de rentrer chez toi, me dit Monsieur Jean
- Je
Ok !... Ok !... je me lève.
Je me mis debout fameusement courbaturée et grelottante de froid, Javais dormi nue rouler en boule dans un coin du local. Monsieur Jean, me tendait ma petite robe, crasseuse et abimée par le nettoyage du local.
- Tiens ! fit-il, je crois que cest à toi. Tâche de venir proprement ce soir et pas avec des frusques qui pue les chiottes
- Mais
Mais, je ne vais pas sortir comme ça
osais-je dire
- Cest ta robe ou pas ?
- Oui
Mais
- Met, tes vêtements et tire-toi vite, avant que je ne change davis et te foute dehors, à poil !
- Heu
Bi
Bien monsieur Jean
Je passai ma robe, en tout cas ce quil en restait, sale et déchirée par endroit. Je devais ressembler à Cosette dans les « Misérables ». Je sorti par la porte privée et filai droit chez moi, en priant de ne rencontrer personne que, je connaissais.
Cette fois, la chance fut avec moi car, le court trajet jusqu'à mon appartement et le hall de limmeuble ne me fit rencontrer, aucune personne de connaissance. Je tremblai de joie et de fatigue en mettant la clé dans la serrure.
Retrouver enfin mon chez moi, me doucher, me laver et enfin dormir dans un vrai lit. Je ne pensais quà cela en pénétrant mon appartement.
Ma joie fut de courte durée, la première vision que jeus, en pénétrant mon salon, cest de voir Salim, allongé et ronflant sur mon divan. Il était simplement vêtu dun caleçon et sa main tenait son sexe à moitié sorti. La deuxième vision que jeus, cest de voir le désordre et les déchets, bouteilles, emballages qui traînaient partout.
- Ah enfin ! Tes là dit Abdou en sortant de la cuisine, un sandwich à la main.
Il était aussi en slip et on pouvait nettement voir la forme de son sexe, malgré quil fût au repos.
- Mais
Mais ques ce
Mais ques-ce que vous faites ici demandais-je.
- Comment ça ! Tes pas au courant ?
- No
Non
- Ben Salim et moi on sinstalle chez toi, enfin
je veux dire chez nous et on est content que tu sois là pour tout nettoyer.
- Mais
.
- Putain ! Tas pas lair au courant il me semble !
- Mais
Mais non
Je ne
je ne comprends pas.
- Cest très simple, petite pute, Ici cest chez nous et on est là pour te maintenir en forme pour Monsieur Jean. Il nous a demandé de soccuper de toi pour, te transformer en une bonne et obéissante petite pute.
Je mécroulai assise, complètement abasourdie et me rendant compte que, ma vie, avait vraiment fait un bond dans un univers de soumission totale. Je savais déjà que jobéirais à toutes leurs exigences.
- Dès que tu auras tout remis en ordre, tu pourras tapprêtée car, on va faire un tour du côté de la cité. On a deux trois amis qui, aimeraient faire ta connaissance, surtout, depuis quon leur a dit, de quoi tu es capable.
- Bi
Bien, Monsieur Abdou. Dis-je en me relevant.
- Fait pas trop de bruit, car Salim dors. Il est fatigué à cause de toi.
- Com
Comment ça ?
- Il est resté éveiller cette nuit pour te surveiller, pendant que, tu nettoyais les toilettes de Monsieur Jean.
-
- Bon ça suffit ! Au boulot, petite pute, mais vient dabord me vider les bourses, elles sont un peu lourde à porter. Fit-il en rigolant et mordant à pleine dent dans son sandwich.
Abdou, abaissa son slip et son sexe commençait à grossir. Je mapprochai et magenouillai devant lui. Je pris son sexe en main pour le masturber.
- Chans les mains ! Uni
chement avec t
cha bouche ! fit-il en mâchant son sandwich.
Je mis mes mains sur la tête, ouvrit la bouche et pris le sexe dAbdou dans celle-ci. Dès quAbdou eu joui de longues et abondantes giclées, il se retira de ma bouche et mordonna de faire le nettoyage de SA piaule.
Jétais encore souillée de ma nuit et la bouche au goût de sperme dAbdou, que je commençai à faire un nettoyage de lappartement.
Bien entendu, Salim se réveilla et me sodomisa pendant que, je nettoyais le tapis. Je demandai aussi à Abdou si je pouvais écrire un mail à Maîtresse Marie car, elle mavait donné un ordre que je ne pouvais satisfaire. Lorsque Abdou eu connaissance de lordre et se marra de plus belle et me dit :
- Ben, je crois petite pute que ta journée va être très, très longue.
- Ouais ! Fit Salim, après la cité, on ira te chercher un bon grand chantier pour que tu puisses tamuser un peu.
Fin de la troisième partie.
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