Jour De Courses
Javais décidé de faire des emplettes et de flâner un peu ce jour là. En passant devant la vitrine de chaussures, je vis une paire qui allait sûrement me plaire. A lintérieur de la boutique il y avait un homme et une femme comme vendeurs et cest la femme qui vint maccueillir.
-- Bonjour mademoiselle, nous avons de très beaux articles. Pouvons-nous vous aider à faire un choix ?
« Bonjour madame, je vais regarder moi-même et voir ce qui mintéresse. Répondis-je.
Après un moment, un autre client entra et la femme se dirigea vers lui.
Je madressai alors au second vendeur en lui disant que je voulais essayer la paire verte en vitrine.
- Il sagit dun nouvel arrivage mademoiselle et vous avez très bon goût. Me répondit-il en dirigeant ses yeux vers ma mini-jupe.
Se dirigeant vers moi avec les chaussures en question, il minvita à venir les essayer et mindiqua un tabouret sur lequel je devais masseoir. Evidemment, il ny avait rien sous ma jupe et cela commença à me plaire. Une fois assise, je vis lhomme saccroupir en face de moi et il menleva la chaussure gauche que je portais.
Il me passa la nouvelle et me demanda si elle me convenait en levant la tête. Ses yeux restèrent figés entre mes jambes et sa bouche souvrit sans émettre de son (il devait apercevoir mon minou bien rasé).
« Je crois que je vais essayer la droite aussi pour voir comment elles vont en semble » Dis-je en lui tendant le pied droit. Il enleva lancienne chaussure pour me passer la nouvelle mais cette fois sans détacher son regard de mes cuisses écartées.
Quand il eu fini, il me demanda ce que jen pensais.
« Je dois me lever pour voir... » Commençai-je, mais il me coupa aussi tôt !
- Non, restez assise ! Elles sont magnifiques...heu...les chaussures, je veux dire.
« Oui, je trouve aussi. Je les garde, combien font-elles ? » Demandai-je avec lair de ne pas savoir quil jouait les voyeurs.
- Heu...je voudrais vous proposer des bas qui vont avec et...un prix de gros pour les deux articles.
« Si vous voulez...des bas, vous avez dis ? » fis-je comme si je ne comprenais pas très bien.
Il revint très vite avec une paire de bas en soie très fine et menleva mes chaussures.
Il me passa le premier bas et commença à le dérouler le long de ma jambe. Il était long et continuait dêtre déroulé alors quil avait déjà passé mon genou.
Lhomme sarrêta et demanda sil devait continuer. Feignant de ny voir que du feu, je dis :
« Il a lair long ce bas, continuez pour voir jusquoù il sarrête... ».
Bientôt ses mains passaient sous ma jupe courte et le bas nétait pas totalement déroulé. (Ça devait sûrement être un spécimen quil gardait pour ses idées lubriques). Du coin de lil, je sentais quil surveillait mes réactions tandis je jouais la décontractée accaparée que par le déroulement du bas, jusquà ce que ses doigts effleurent ma vulve. Là il sarrêta, et me fixa étonné de voir que je navais aucune réaction relative à cela.
Tellement son regard était soutenu, je dû lui demander ce qui nallait pas, toujours faisant semblant de ne pas me rende compte que cétait un tableau plus que torride.
Il retira ses mains et me demanda mon avis sur le bas.
« Je ne crois pas que jaimerai, je garde seulement les chaussures » annonçai-je.
En ce moment la vendeuse ramassa des clés sur le comptoir et lui dit en sortant du magasin:
-- Je vais régler la facture délectricité, jen ai pour une demi-heure !
- Vous ne voulez pas des bas ? Me demanda lhomme.
Comme je répondis par la négative il entreprit de me le retirer et toucha encore une fois ma vulve.
Cette fois je feignis la surprise et je sursautai en me mettant les mains sur la bouche. Il retira ses mains et se releva en sexcusant.
- Je suis désolé mademoiselle...votre peau est si douce... dit il doucement en sapprochant de moi.
Sa braguette se trouvait juste à hauteur de mon visage et tandis que je me tenais toujours la bouche, ma tête allait de ses yeux à son pantalon gonflé par une bosse sans équivoque...
Il entreprit de sortir son pénis en se rapprochant un peu plus. Je fis semblant de reculer légèrement la tête en jouant la carte de la fille trop surprise pour faire le moindre geste. Son pénis dur était maintenant entre ses mains et il lapprochait de ma bouche.
« Je...vous en prie... » Murmurai-je en espérant quil nallait pas se rétracter.
Je faisais trembler exprès mes lèvres pour paraître encore plus effrayée et son gland toucha ma bouche.
Il me tint la tête et commença à me lenfoncer dans la bouche lentement.
Le magasin nétait pas fermé et la vitrine était grande. Tout cela mexcitait mortellement et jouvris un plus en plus la bouche.
Quand son pénis pénétra de moitié, lhomme commença un va et vient entre mes lèvres en surveillant la porte dentrée.
Au bout dune minute, il me demanda de tenir ses hanches et je le fis avec une hésitation de « novice excitée ».
Après quelques minutes, je senti quil allait éjaculer mais cest lui qui prit le devant des choses.
Il se retira et continuant à se branler me demanda sil pouvait éjaculer dans ma bouche.
« Je...je...je ne sais pas... » Répondis-je toujours « novice »
- Alors on essaye ? Dit-il
Comme je ne répondais rien et me contentais décarquiller les yeux, il enfonça de nouveau sa verge dans ma bouche et reprit ses va et vient.
Il ne mit pas une minute à éjaculer et dès les premières giclées dans ma bouche, je fis semblant de tirer ma tête en arrière. Il me maintint par les cheveux et fini de se déverser avant de se retirer et de mindiquer les toilettes.
Jy filai comme si cétait la première fois que je recevais du sperme dans la bouche et nen sortis que dix plus tard.
Il avait emballé mes nouvelles chaussures et ne voulu pas de mon argent mais jinsistai tellement quil fini par accepter (non, mais
je ne le fais pas pour le matériel, juste par pur plaisir).
Je sortis de la boutique en me disant que mes courses commençaient bien !
Je manquais dinspiration pourtant ce jour là et une demi-heure plus tard, aucune idée de baise ne me vint en tête.
Je décidai donc de rentrer en empruntant le bus. Le premier nétait pas assez bourré à mon goût mais quand le second se pointa, je su que jallais passer quelques minutes de bonheur. Une fois dans le bus, il me fallut faire passer la monnaie pour avoir mon ticket tant il avait du monde.
Comme je lespérais, javais un mec collé juste derrière moi et il ne fallut pas plus de deux arrêts pour que je sente son pénis collé à mes fesses entrain de battre. Bien entendu javais lair ailleurs, comme dhabitude et bientôt lhomme derrière moi se plaqua complètement contre moi. Je profitai dun mouvement pour glisser ma main gauche entre mes fesses et lhomme. Quand il revint se coller encore, cest sur ma paume que sa bosse tomba, mais il resta plaquer et je commençai à refermer doucement ma main.
Je caressai sa bosse qui durci encore plus et baissa la fermeture éclair. Ma main pénétra dans le pantalon par la fermeture éclaire et longea la bite jusquà son gland. Lhomme ne portait pas de slip et le bout de son pénis était maintenant à la merci de mes doigts excités. Il y avait tellement de monde dans le bus quil aurait été étonnant que quelquun dautre puisse sen apercevoir. Quelques arrêts seulement plus loin, je sentis lhomme se répandre entre mes doigts dans son pantalon pendant que je le branlais. Je sortis ma main de son pantalon et lessuyai dans ma robe avant de me frayer un chemin afin de descendre à larrêt suivant. Je crois que lhomme essayait de me chuchoter son nom et son numéro mais sans plus faire attention à lui, je descendis. Il devait être dans les 12 heures 30.
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