Le Vieux Du Sauna

Le vieux du sauna :
Lorsque j’ai poussé la porte de ce sauna j’avais le cœur qui battait la chamade.
J’avais 45 ans et ne connaissais pas encore ce lieu qui semblait être sympa. Je me suis
rendu au vestiaire pour me mettre dans la tenue adéquate. J’ôtais donc veste, chemise
chaussettes pantalon et slip, que la serviette vint remplacer pour cacher mon intimité.
J’allais donc pouvoir découvrir ce lieu si secret.
Il était en étages ; au sous-sol le sauna, le hammam, une piscine, les toilettes et une salle
de muscu. Au rez de chaussée, l’accueil et le vestiaire ; au premier étage des cabines
petites et grandes et enfin à l’entresol une série de cages grillagées.
Je découvris une backroom sous un escalier mais n’y entrais pas. Je montais l’escalier et
arrivais sur des cabines munies de téléviseurs qui diffusaient en boucle des vidéos
pornos.
Je sentis alors une vibration dans le bas ventre. En me retournant, je croisais un mec
d’environ 40ans qui me sourit. Je fis la même chose mais baissais aussitôt la tête et me
dirigeais vers le hammam.
J’entrais dans ce lieu inconnu, regardais rapidement et comme les autres je m’installais
pour une séance de sudation la serviette posée sur mes cuisses et les bras croisés. Je
fermais les yeux pour tenter de me détendre.
Entra alors un mec qui vint s’asseoir à ma droite. Je l’observais discrètement, la
soixantaine, les cheveux argentés. Un jet de brouillard plus tard, je sentis sa main glisser
sur ma cuisse. J’avais très chaud d’un seul coup et n’osais pas bouger. Cette main
remonta très doucement vers mon entre jambe et j’avais mon petit bout qui frétillait et se
gorgeait de sang. Ses doigts entrèrent en contact avec ma queue maintenant tendue et ils
se resserrèrent autour.
De son pouce il frottait mon gland humide.
« - Tu aimes ? » Me demanda t il à l’oreille.

J’étais trop bloqué pour répondre mais je me laissais décalotter et il commença un
massage de ma queue.
J’étais sans voix la respiration courte bouche ouverte.
La tête dans du coton j’ai alors glissé moi aussi la main vers cet homme qui me paralysait.
J’ai senti sous mes doigts son pubis puis sa hampe raide de désir et humide. La chaleur
me faisait suer un maximum et j’avais le cœur qui battait très fort.
Quand j’ai eu saisi sa bite, il me prit la tête pour me pencher dessus et se faire sucer.
J’ai d’abord résisté :
« Allez suce moi tu vas apprécier ma bite » me souffla t il dans l’oreille.
« Non pas ici !! »
« Bon alors suis moi, je vais te transformer en vraie salope » me dit-il avec le sourire. Me
prenant par la main, il me conduisit dans une cabine dont il ferma la porte avant de faire
tomber ma serviette et d’attr ma pine qui avait repris du volume.
Il m’attira alors vers lui et me roula une pelle d’enfer. C’était bon de sentir ses mains me
courir sur le corps de haut en bas. Soûlé de caresses, je me laissais prendre au jeu et
répondis à son attente. Je lui prodiguais un léchage en règle en partant du cou. Ses seins
pointaient bien droit, son ventre était plat et j’arrivais au sexe qui ne demandait que cela. Je
le caressais doucement, chatouillais ses couilles et revenais embrasser ses lèvres
chaudes. Nous nous sommes prodigués ces attouchements pendant une dizaine de
minutes puis il appuya sur mes épaules :
« Mets-toi à genoux » me dit-il sur un ton autoritaire.
Je le regardais et comme je ne réagissais pas vite il pressa ma tige
« Allez tu vas me sucer comme la salope que tu es ; A GENOUX. »
Sous la pression de ses mains je pliais et me trouvais devant lui, attendant la suite que je
devinais. Il posa ses deux mains sur ma nuque et tira vers son bas ventre. J’avais sa
queue devant ma bouche qui s’ouvrit toute seule. Je fermais les yeux et commençais ma
pipe.
« Tu vois ce n’est pas difficile de faire une bonne turlutte il suffit d’ouvrir ta gueule de salope
» me dit-il en s’enfonçant dans ma bouche.
« Allez caresse moi les couilles avec ta langue, lèche bien comme une bonne chienne en
chaleur et met tes mains dans le dos pour me sucer. Tu vas être bien obéissant. » Me
disant cela, il se branlait dans ma bouche avec un plaisir énorme compte tenu des
grognements qu’il poussait.
Alors que j’étais toujours autour de sa tige, il se baissa en me maintenant autour de lui, il
s’assit puis s’allongea en m’interdisant de le lâcher.
« Met toi à cheval sur moi en me présentant ton cul et continue de pomper » m’intima-t-il.
J’étais complètement envoûté par ce mec qui faisait de moi son jouet.
A quatre pattes fesses écartées, je suçais son membre sans plus aucune pensée. Je
n’avais plus de réaction.
Il me claqua les fesses deux ou trois fois en disant :
« Allez salope ouvre ton fion, je vais te baiser, t’es à moi maintenant. »
Après m’avoir fessé sévèrement, il se retira de ma bouche, se leva en m’interdisant de
changer de position. Il ouvrit la porte de la cabine et sortit en me disant :
« Bouge pas salope, je reviens. »
La porte resta ouverte et j’étais dans une position offerte aux regards de tous ceux qui
passaient. Certains s’arrêtèrent mais aucun n’entra. Mon maître de séance de retour me dit
:
« Met-toi sur les coudes, la tronche dans tes mains. Je veux ton cul offert pour le travailler. »
Je m’exécutais et senti un produit froid me couler dans la raie. Il avait été cherché du gel
pour mieux me pénétrer.
Il enfonça un doigt et commença une série d’aller-retour. Ma réaction lui plut et il ajouta
rapidement un deuxième fouilleur. Il continua à me dilater et un troisième doigt vint
rejoindre les premiers. Je ressenti vraiment l’écartement de mon cul quand il tourna la
main en forçant pour les mettre au plus profond. Comme il m’y avait invité, je poussais un
peu pour l’aider.
« Ouais c’est ça pousse, tu vas avoir un beau trou pour ma bite. »
Je ne sais pas combien de temps il m’a fouillé avec ses trois doigts. J’ai entendu un bruit
de caoutchouc, il enfila sa capote, se plaça derrière moi, glissa sa pine le long de ma raie
et stoppa son gland à l’entrée de mon trou.
« Ah! Enfin le grand moment que tu attends salope, apprécie le travail » dit-il en s’enfonçant
très doucement dans mon intimité. Il prit son temps pour finir de m’ouvrir.
«Je vais te prendre à fond ! » Ce disant, il donna un grand coup de reins en me tirant par
les hanches et je sentis ses grosses couilles venir buter contre mes fesses. Il ne bougea
pas tout de suite, savourant sa victoire et permettant à la douleur de s’estomper.
Quand il commença à me ramoner, il grogna d’un plaisir intense. Il me lima un bon
moment en modulant le rythme avant de se coller à moi et de vider ses couilles dans un
gémissement d’extase.
Il se retira, j’étais épuisé mais intérieurement content de la façon dont cela s’est passé. Il
ouvrit la porte et me dit :
« Vient avec moi on va parfaire ta formation. Inutile de remettre ta serviette montre ta queue
salope que tu es. »
Il m’entraîna vers une pièce au centre de laquelle se trouvait un sling.
« Assied toi dessus. » Il me prit alors la main droite et l’attacha puis passa à la gauche et fit
de même. Ensuite il m’obligea à m’allonger en écartant les jambes qu’il attacha aussi.
J’étais offert. Je remarquais alors que la pièce se rempli de mecs de tout genre certains
bite raide d’autre pas encore. Il me mit du gel dans le cul et se tournant vers le public, il dit
assez fort :
« Il est à vous, il aime ça mais allez-y doucement. Je reviens le chercher dans une heure.
Capotes obligatoires. Salut »
Il est parti me laissant ainsi. Pendant une heure j’en ai pris plein le cul et plein la bouche.
Du sperme partout sur le corps. Je me suis rendu compte ce qu’était faire de l’abattage.
Quand il est revenu me délivrer, je ne sentais plus mon cul et j’avais la queue pendante
d’avoir joui au moins deux fois.
« Voilà tu es libre et ton cul est un vrai garage à bites maintenant. T’es devenu une pute
prête à travailler. J’espère que tu as apprécié ta prestation. Des salopes comme toi ce
n’est pas courant. On se reverra peut être une autre fois. »
Il m’a embrassé puis est parti en me laissant une carte avec un numéro de téléphone…