Toute Une Première

Ce jour-là, c'était la journée des premières. Je m'abonne dans un centre de mise en forme. Je rencontre un gars super sympa. On décide d'aller prendre un café ensemble. On va pour prendre une douche au vestiaire et ... toc les douches ne fonctionnent pas. Il me propose d'aller chez lui juste à côté et moi, tellement subjugué par son côté gentil, j'accepte.
C'est quand on s'est retrouvé à poil que j'ai compris : il était plus que sympa, il était aussi super agréable à regarder. Légèrement grassouillet sans être gros, il avait une paire de petits tétons comme une adolescente. J'ai tout de suite eu envie d'y toucher, surtout que les mamelons étaient d'un rose tendre qui ressortait sur sa peau blanche. Pas un poil sur cette peau d'albâtre, juste un petit triangle frisé autour d'un pénis. Parlant queue je n’en avais jamais vu d'aussi longue. C'est vrai que je n'en avais jamais vu avant. Quand il s'est retourné pour rentrer dans la douche, j'ai eu le droit à une paire de fesses bien rondes, pas vraiment grosses, pas vraiment musclées mais qui donnent envie d'y toucher.
Il m'invita à partager la douche : "Pour économiser l'eau" ajouta-t-il. Je viens d'une famille écolo mur à mur. J'acceptais sans arrière-pensée. Mais j'étais gêné quand même parce que en embarquant derrière le rideau, il vit que j'avais un début d'érection. Il me détailla des pieds à la tête et me dit : "Je vois que tu es pédé. C'est cool moi aussi." Trop pris par mes études je n'avais jamais pensé aux filles avant et le fait que je bande devant le premier garçon vu à poil pouvait être un bon argument.
La douche n'était pas super grande. On était pas mal serré et le contact de sa peau sur la mienne finit par provoquer une super érection. Ma queue n'était pas super grosse mais elle se comportait comme un vrai petit soldat : au garde-à vous comme à la parade.
Je ne savais pas trop quoi faire. Il devait avoir de l'expérience car il me proposa que je le savonne.

Je n'hésitais pas une seconde. Je crois que ma mère aurait été fière de moi, J'avais appris d'elle qu'il ne fallait pas économiser sur le savon. J'insistais sur certaines parties plutôt que d'autres, les fesses en particulier. C'était vraiment agréable de glisser ma main entre ses deux lobes, laissé mes doigts trainer aux alentours de sa rondelle. Plus j'insistais, plus je sentais s'ouvrir sa petite rosette. Il m'invita à y entrer un doigt puis deux. Lorsque nous fûmes certains de la propreté de l'endroit, il me supplia d’y passer un coup de langue. C'était inconsciemment mon plus cher désir. Pouvoir enfoncer mon visage au centre de ses belles petites fesses tendres et blanches fut pour moi une jouissance suprême. Ma queue était tellement bandée qu'elle se plaquait avec force contre mon ventre. J'en avais quasiment mal. Je ne me contentais pas de passer la langue autour de son petit trou. Je voulais m'enfoncer plus avant. Je léchais l'intérieur de sa paroi anale. Il en hurlait de plaisir à un point tel que j'eus peur pour les voisins. Il me supplia de le pénétrer. C'était ma première expérience sexuelle et j'allais sodomiser un garçon. Il m'enfila un condom, se plaqua à la paroi de la douche et cria "Va-s-y"
J'eus peur de lui faire mal mais il n'en fut rien. Son trou de cul était bien préparé par mon léchage de langue. En plus il n'en était pas à sa première enculade, contrairement à moi et enfin je n'ai pas un outil à faire peur.
J'y allais tout de même avec prudence mais la sensation de la paroi de son cul sur mon pénis me fit délirer. J'oubliais toute humanité et je partis à faire des mouvements de va-et-vient tellement féroces que plusieurs fois ma queue se dégagea de son trou. Puis j'éjaculais avec une force incroyable. Je ne m'étais pas masturbé depuis une éternité. Tout le sperme accumulé sortit avec passion au fond du trou de cul de mon nouvel ami. Nous restâmes de longues minutes collés l'un à l'autre, tellement cela prit de temps avant que je débande.
Puis il se retourna et s'empara de mes lèvres pour un premier french-kiss. Ses mains descendirent peu à peu vers le creux de mes reins. Un de ses doigts suivit la fente des mes fesses puis il me dit dans un soupir : "Maintenant c'est à ton tour."
(A SUIVRE)