J'Adore Sentir Une Bite Jouir En Moi.

J'ai 37 ans, marié, mais je me rends parfois dans un sauna homo pour me changer les idées. Ce sauna est beaucoup fréquenté par des quinquas, des sexas, voire plus, à qui en général plait ma silhouette restée fine et musclée.

Dès mon arrivée, je me rends dans le bain vapeur. Je m'assois sur le carrelage chaud, le dos au mur et me laisse suer. À côté de moi, je remarque presque tout de suite un homme debout, de profil : plus précisément, je remarque à hauteur de mes yeux sa bite magnifique qui pend sur des couilles bien pleines. Dans le faible éclairage, et à travers la vapeur dense, je ne vois pas son visage, mais à en juger à ses abdos un peu tombants, il doit avoir au moins la cinquantaine. Peu importe : je ne détache plus mes yeux de son gland magnifique.

Pour supporter la chaleur suffocante, le type bouge un peu d'un pied sur l'autre. Bien sûr, à chaque fois, mine de rien, il s'approche imperceptiblement de moi. J'adore ces lentes approches : elles me font bander plus que tout !

Après un temps assez long, les poils de son bras finissent par effleurer mon épaule. À mon tour, je bouge très légèrement mon bras qui pendait négligemment pour qu'il caresse doucement sa jambe de tout son long.

Le type se tourne alors face à moi et aussitôt, j'approche mon visage pour sentir et lécher ses cuisses, ses aines, son pubis et son sexe. Il me caresse les cheveux. Il finit par dire :

– Tu viens dans une cabine ?
– OK (j'articule la gorge serrée par l'émotion)

Je noue ma serviette autour de la taille pour contenir mon érection, et on se rend dans une de ces cabines que ce type de saunas propose.

Là, on recommence nos caresses. Très rapidement, il me fait lécher son majeur et me le met dans le cul. On continue de se caresser, de se rouler des pelles, mais il garde toujours son doigt en moi. Parfois, il le bouge un peu, ce qui envoie en moi des décharges de plaisir et qui me fait gémir et sucer avidement tout ce que j'ai sous la bouche : son sein, sa langue, con cou, ses aisselles poilues… On se tortille, se retourne dans tous les sens : avec son majeur dans le cul, je me sens comme un esquimau sur son bâtonnet.

Je lui suce maintenant les jambes, les pieds, la bite bien sûr…

Quand il retire son doigt, c'est une privation insoutenable. Mais il le fait pour enfiler un préservatif. Je prends du gel à un petit distributeur placé au mur, et me badigeonne copieusement la raie sans pouvoir m'empêcher de faire pénétrer à mon tour un ou plusieurs doigts pendant cette opération. Ils glissent tous seuls dans mon ouverture béante.

– Couche-toi sur le dos, voilà, au bord de la banquette.

Je m'y mets et approche mes mains de sa queue pour la guider vers mon trou.

– Non, laisse-toi faire.

Il me prend les poignets et les plaque sur la banquette. Comme il appuie ses bras tendus dessus, je suis immobilisé. Je sens alors sa bite glisser vigoureusement en moi.

C'est tellement délicieux que je soupire de plaisir. Elle glisse toute seule et je sens son gland, à la fois dur et doux, venir écarter, frotter, fourrager dans mes organes comme si il y était chez lui. Je passe mes jambes autour de sa taille et l'enserre fortement pour l'encourager à aller plus profond. Dans un spasme brutal et un râle sonore, il jouit en moi.

Il se retire et vient se coller à moi sur la banquette.

– Désolé, j'ai pas été très long…
– Non, c'est super. Sentir jouir en moi est ce que j'aime le plus ! (je lui roule une pelle car je suis tout excité)
– Tu es adorable.
– Parce que je suis bien avec toi : tu me caresses, me sodomises… Regarde : je bande depuis le début.

On reste collés l'un à l'autre un bout de temps. Puis, je lui retire son préservatif, et je me couche la tête sur son ventre.

– J'adore sentir l'odeur de ton sperme sécher sur ton gland.

Ensemble on retourne au sauna. Il s'assoit sur la banquette au deuxième niveau, je m'assois au premier niveau, entre ses jambes écartées. Ainsi, en tournant la tête, je continue de sentir l'odeur forte de la sueur dans ses poils et de son gland collant.