Toute Une Première (La Suite 2
Comme je vous lai dit, cette journée-là fut la journée des premières. Je venais de sodomiser pour la première fois de ma vie mon premier garçon mais jallais moi-même expérimenter la chose. Il venait de me dire « Maintenant cest à ton tour ». Jétais pas mal inquiet. Son engin que je sentais le long de ma cuisse était pas mal plus gros que le mien au repos. Quest-ce que cela serait lorsquil se déciderait à bander. Mon trou de cul, lui, était pas mal moins ouvert que le sien. Jétais vierge. Jallais avoir mal. Javais peur. Mais dun autre côté, mon nouvel ami était tellement beau avec un sourire éternel sur les lèvres, une peau blanche dune douceur semblable à de la soie. Comment un garçon pareil pouvait-il faire mal au petit puceau que jétais ? Je lui rendis son sourire.
Je décidai de savonner consciencieusement sa queue. Je voulais être sûr que lobjet de pénétration serait aussi vierge de toute impureté que létait lobjet pénétré, mon petit trou de cul. Il avait un gros sac de couilles. Chacune delles était grosse comme un uf de pigeon. Pas un poil sur la poche. Rien non plus sur la queue. Juste ce petit triangle de poils frisés et luisants. Ils étaient de la même teinte rousse flamboyante que la chevelure de mon ami. Au fur et à mesure que je savonnais lengin il durcissait. Son gland apparaissait peu à peu de son prépuce. Cétait étrange. Je navais jamais remarqué combien le gland pouvait ressembler à un cur. Jaimais cela. Jaimais aussi sentir sous ma main la dureté du pénis et la douceur de la peau qui le recouvrait. Après lavoir recouvert de savon, je laissais leau de la douche enlever toutes ces impuretés. La queue de mon ami apparut dans toutes sa vigueur masculine. Javais devant mes yeux le plus beau spécimen de loutil premier de la création universelle. Il allait me lenfoncer dans le plus tréfonds de moi-même et comme lui auparavant jallais pousser un cri de jouissance qui serait mon baptême dhomo.
Me voyant toujours à genoux à ses pieds, les yeux contemplant son braquemart il me proposa gentiment : « Veux-tu y goûter ? » Je le regardais avec surprise. Il venait de deviner la pensée qui moccupait lesprit depuis quelques secondes. Cétait vrai. Javais envie de déguster ce gros suçon rose. Je commençais par le gland. Je le serrai doucement entre mes lèvres puis avec ma langue, je jouais sur le col du prépuce en remontant doucement vers le haut. Je devais avoir sans le savoir découvert le point sensible de lobjet car mon ami se mit à pousser des gémissements de plaisirs. Je sentis même un goût plus ou moins amer sortir de son méat. Jappris plus tard que cétait un liquide pré séminale servant de lubrification naturelle. Je lavais tellement réveillé que mon ami me supplia darrêter, il sentait quil allait venir. Je me relevais donc. Il me prit dans ses bras et me félicita pour mon expertise en fellation. « Pour un coup dessai, cétait un coup de maître. Maintenant je vais moccuper de ton petit trou. » Me dit-il tout en glissant la main dans la fente de mes fesses. Lidée de la pénétration réveilla en moi le désir. Ma queue qui venait pourtant de se soulager se mit à rebander. Laréole de mes seins durcirent. Jallais connaître le plaisir suprême. Mais jétais tout de même inquiet : allais-je connaître ce plaisir dans la douleur ? (à suivre)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!