La Cabane Du Berger

Je suis en promenade sur le chemin qui surplombe la vallée dans la garrigue, il longe la falaise. Je rentre chez moi, en me retournant je vois, pas très loin derrière moi, un randonneur solitaire. Comme je ne marche pas trop vite il me ratt, me salue et engage la conversation.
- Vous vous baladez souvent ici ?
- Oui quelques fois.
- Il y a des choses intéressantes à voir dans le coin ?
- Oui, le village ancien là-bas.
- On m’a dit qu’il y avait des maisons dans la roche, d’ailleurs, j’ai aperçu de la route une sorte d’habitation.
- Oui c’est une cabane de berger désaffectée.
-Vous connaissez le chemin?
-Oui, je peux vous le montrer.
Un peu plus loin, je bifurque et m’engage dans un sentier qu’il faut connaître et deviner, il me suit en parlant de choses et d’autres. Nous y arrivons. La cabane est assez vaste, posée sur un piton, avec deux entrées. Le mur côté extérieur est en pierres sèches. Il y fait frais. Contre la paroi cour une sorte de banquette en pierre.
- C’est sympa dit-il, je m’appelle George et toi?
- Jean. Vous aimez l’endroit? Il n’y vient presque jamais personne, il faut trouver le chemin.
Nous sommes dedans et regardons par la porte bringuebalante. George est derrière moi. Au bout d’un moment, il pose la main sur mon épaule:
- Pourquoi m’as-tu montré le chemin?
- Comme ça.
- C’est tout ? Tu n’as pas peur de moi ? Tu n’avais pas d’autres intentions ?
- Non dis-je en mentant un peu.
-Moi si, tu es un peu plus vieux que moi mais à te regarder, tu me plais bien.
Il me fait pivoter et m’entraîne à l’intérieur, se plaque contre moi, m’embrasse, m’enlace.
- J’ai envie de faire des folies avec toi dit-il en déboutonnant ma chemisette, il me caresse le dos, le torse, me repousse un peu et me regarde en me pinçant la pointe des seins.
C’est vraiment l’occasion que je cherchais. Ses mains descendent vers ma ceinture et dégrafent mon pantalon.


- Tu ne bande pas ?
- Non et je lui explique pourquoi. Il a l’air un peu déçu mais semble se raviser, il m’emmène vers la banquette, me fait asseoir, défait son pantalon et me tend son sexe.
- Suce-moi, j’en ai envie et toi aussi je suis sûr.
Oui bien sûr j’en ai envie. Son sexe est gros et long, dressé, dur et une goutte perle à son extrémité. Je le saisis, le décalotte doucement, caresse cette belle queue, la branle. Je le sens se cambrer.
- Encore, suce, met-la toute dans ta bouche.
J’entreprends une fellation qui dure, qui dure… De temps, il m’ordonne d’arrêter un temps puis de continuer.
Je n’aurais jamais pensé que tu sucerais aussi bien, tu as une bouche qui vaut de l’or! Suce ma canette, fais moi venir…oui c’est bon …vas-y avale.
Il me décharge soudain dans la bouche, me maintient la tête pour que j’avale puis ressort son sexe et se l’essuie sur mon visage.
Nous reprenons nos esprits, assis, il m’offre à boire dans sa gourde et nous parlons. Il me dit qui il est, que depuis longtemps il aime baiser avec des hommes. Je lui explique ma situation. Son bras m’entoure, son autre main me caresse la queue. Peu à peu, je vois sa vigueur revenir, je le branle.
- Tu vas souvent avec des types?
- Non rarement.
- Pourtant tu suces bien. Tu l’as souvent fait?
- Non je t’ai dit une ou deux fois mais j’en rêve souvent.
- Tu as déjà donné ton cul ?
- Non, jamais.
- Tu me plais tellement que j’ai envie de te le faire. Tu veux ?
- Oui mais j’ai un peu peur.
- T’inquiète pas ma petite chérie, je vais y aller doucement.
Il reste assis, et me fait l’enjamber le dos tourné, il m’écarte les fesses, après avoir craché dans sa main, il positionne son sexe contre mon anus. Je suis en équilibre, il me saisit aux hanches et m’oblige à descendre lentement. Je sens mon trou s’ouvrir, se dilater et son pieu me pénétrer peu à peu. Je n’ai pas mal mais je me sens ouvrir et envahir le ventre.
Son gland a passé l’ouverture, le reste entre tout seul jusqu’à ce que je me sente assis sur son giron. Alors, il ne bouge pas. Je sens ce pieu qui me dilate, c’est une chouette impression. Il reste toujours immobile, m’embrasse dans le cou, me tripote et me murmure des ordures, comme quoi je suis sa petite pute, qu‘il m‘enculera encore quand il voudra, qu‘il me prêtera à des copains pour me voir me faire violer... De temps à autre, il contracte sa queue, je la sens bien. Il me demande ensuite de me lever et de me rebaisser de plus en plus. Pour finir, il se relève, me fait appuyer sur le muret et me pilonne jusqu’à jouir une seconde fois. Alors, je me masturbe frénétiquement jusqu’à la jouissance.
Nous restons un bon moment essoufflés, d’un commun accord nous nous rhabillons. Il me demande de le revoir. Après discussion nous décidons d’un rendez-vous trois jours plus tard au même endroit.

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