Nono (Suite)
Il était 23 heures. Je venais de rentrer chez moi. Je pensais à mon ange que je ne citerai plus et que je venais de délaisser. Mais il pouvait être sûr de me retrouver le lendemain dans sa chambre.
Je pris ma douche, enfila une nuisette et me coucha avec la tête pleine de rêves : je pensais à lui, à sa queue qui meus fait tant de biens, et surtout à cette « orgie » que jimaginais et qui mattirait comme un papillon pris par la lumière. Je me suis endormie en me caressant pour me réveiller tôt le lendemain vers 8 heures du matin.
Le rendez-vous était à 15 heures. Et il était déjà 15 heures moins le quart. Jétais prête. Jai sorti pour loccasion une paire descarpin à strass que je venais dacheter et qui me plaisait bien. Je portais naturellement une robe courte. Je voulais que mes "amants" puissent apprécier la beauté de mes jambes, et pourquoi pas, sen saisir très vite.
15 heures. Et il était 15 heures moins le quart. Javais le trac. Mes jambes tremblaient. Je sentais le stress monter en moi comme si cétait la première fois. Je cherchais en vain la force et le courage de me rendre chez lui. Oui, jallais me faire baiser par trois « lascars », Oui cétait la première fois (avec eux), oui je les connaissais et les avais déjà sucés tous les trois, mais bon, là, cétait plus fort que moi. Je ne pouvais pas me rendre chez lui comme je le lui avais promis la veille. Allait-il me prendre pour une dégonflée ?
Je masseyais dans le canapé, comme abasourdie par ce que je mapprêtais à faire. Je cherchais du regard quelque chose sur lequel je pouvais maccrocher quand soudain, je vis le combiné de mon téléphone sur la table du salon.
Je venais davoir une idée et composa alors son numéro :
« -Allo, chéri ? Cest Stéphanie
Oui
Tu peux rentrer chez moi ? Oui
Tu viens avec eux ? »
Je venais dinviter Nono et ses deux amis à venir chez moi. Jattendais patiemment leur arrivée.
Je ladore. Les fleurs sont très belles. Jaime ces petits gestes quun homme me prête parfois.
Je reconnaissais Michel et Alex, très gênée de me retrouver devant eux. Arno le vit tout de suite :
-Hé, pourquoi tu rougis ? Cest lidée de te faire sauter par trois mecs qui te met dans cet état ?
Nono a toujours eu un franc-parler, très directif.
-Non. Je ny pensais même pas.
-Cest quoi alors ?
Nono ne pouvais savoir que jéprouvais de la timidité, voire un peu de honte à avoir sucé deux de ses amis sans pratiquement les connaître. Je rougissais à lidée de me retrouver devant eux.
Nono, Alex et Michel entrés, je les invitais à se rendre dans le salon, imaginant que tout allait se passer dans la chambre et dans le lit que javais préparé.
-Cest Sympa chez toi. Dit Arno.
-Oui. Tu vois, jai refais toute la déco.
-Ça fait combien de temps que tu habites ici ?
-Trois mois.
-Trois mois !
-Oui, le propriétaire ma dit que je pouvais changer le papier peint si je le voulais.
-Ok. Cest beau.
Nono fit le tour de mon nouvel appartement. Il regarda la chambre, la salle de bain, la cuisine.
-Tu es bien ici, ajouta-t-il.
-Oui. Je ne me plains pas.
Alex et Michel suivaient. Nous étions tous les trois dans la cuisine. Un silence se fit. Je nosais leur proposer à boire. Jattendais un geste, un seul, quil fasse ou quils fassent le premier pas. Mon cur a eu raison de ma pensée : Je suis passée entre Nono et Alex pour sortir de la cuisine. Ils mont arrêté et coincé entre eux deux. Je sentais le désir monté en moi et nen demandais pas moins. Arnaud a commencé à membrasser dans le cou. Ses mains caressaient mes jambes vite dénudées et remontaient rapidement vers mes hanches.
« -hum, la salope ». Vocalisa Alex.
Je métais faite à ces paroles que je trouvais jadis dégradantes. Alex pouvait professer toute sorte de mots crus que je ne prêtais plus attention. Mieux, ils mexcitaient. Je ne sais comment cela mest venu et ne me posa pas plus de question.
Alex caressait mes seins par-dessus ma robe. Il caressait aussi mes cuisses, cherchant mon orifice génital. Je sentis ses doigts glisser sous lélastique de ma culotte et se poser sur ma chatte.
Michel se déshabillait.
Nous étions près de la table, mais nous manquions de place. Je vis Arno faire un clin dil à Alex qui aussitôt me souleva dans ses bras. Je fus surprise de son geste et poussa un petit cri.
- Humm, elle est chaude la demoiselle. Fit Alex.
Je maccrochais à son cou pour ne pas tomber. Où memmène-t-il ? Pensais-je.
Alex memmena dans le canapé du salon. Il était fort comme un dieu. Il navait pas la carrure de Nono, mais ses bras étaient musclés si bien que je lui fis un gros sourire en haussant les sourcils pour lui faire comprendre que je trouvais ses bras particulièrement bien musclés. Je pense quil comprit mon regard.
Alex ma presque brutalement jeté dans le canapé. Un autre cri séchappa malgré moi de ma bouche et les réactions ne se firent pas attendre :
-Tes causante ma petite. Fais attention, on ne sait jamais ce qui peut arriver à une femme lorsquelle ouvre un peu trop la bouche.
Jétais estomaquée. Alex vint saccroupir devant moi et souleva ma jupe. Il embrassait mes jambes et mes cuisses si bien que je ne suis pas restée indifférente à ses caresses. Jen voulais plus. Quil vienne entre mes cuisses me lécher, me caresser. Javais envie de sa langue sur mes lèvres, quil les écarte et introduise un doigt.
A suivre
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