Le Manoir Du Péché (13)

- Alain s’il vous plaît ! Me fit la patronne, alors que je faisais le service, un plateau en main où était disposé quelques flutes de champagne.
- Oui madame répondis-je après m’ai-je approché d’elle à la toucher.
- Il serait possible que vous rendiez jusqu’à ma chambre récupérer ma paire de lunettes.
- Mais parfaitement madame.
Je posais le plateau sur une déserte et alors que je m’apprêtais à prendre le chemin me menant jusqu’à la chambre je fus de nouveau interpeler par mon employeuse.
- Oui madame.
- Regardez plus tôt du côté de la salle de bains, je pense les avoir laissé sur le lavabo.
- J’accours sur le champ madame.
- Enfin n’allez pas vous abîmer ! Vous savez comment je tiens à vous. Me fit-elle en me faisant un coup d’œil.
Arrivé devant la porte, par pur réflexe je toquais. Sachant très bien que personne allait me répondre. Toute la maison se trouvant regrouper dans le salon, là où se tenait la réception. Je m’engageais dans la chambre gracieusement éclairée de pas moins de cinq lampes. Une odeur de jasmin embaumés le lieu. Comme indiquer, je passais directement dans la salle de bains. Et comme elle m’avait précisé les lunettes se trouvaient bien sur le rebord du lavabo. Mais au-dessus d’une culotte en tulle de couleur coque de marron. Je pris cela pour une invite à la perversion.
Sans aucune hésitation je m’en saisis, et fourré la culotte sale sous mes narines, là même où son sexe avait séjourné pendant plusieurs heures. Sans surprise, elle dégageait un puissant fumet. À la fois marin et acide. Une bonne odeur de pisse dense et âcre comme je les aime. Un effluve intime qui me fit bander très dur.
J‘étais en transe quand j‘ai quitté la pièce. Des effluves plein le nez. Quand je lui transmis les lunettes je bandais comme un taureau. Et j’étais un peu près sûr qu’elle s’en était rendu compte, la coquine. - Merci Alain ! Elles étaient bien où je vous l’avais dit ? Avait-elle ironisé.


- Oui madame !
- Parfait Alain, vous pouvez disposer.
- Merci madame.
Bien plus tard, alors que je passais de groupe en groupe avec en main toujours mon plateau, j’avais dû coller mon ventre contre son fessier pour me faire un passage. Elle, qui était courbée en deux, faisant la discussion à l’oreille de son mari assis sur le divan avec d’autres convives. Ce faisant, ma verge à demi rigide sous mon pantalon en tergal se cala entre les fesses moulées dans la mousseline de soie de la patronne. Je n’avais aucune peine à imaginer son cul nue, sa raie poilue dont la verge se sentait comme chez elle dans l‘instant.
Je ne savais pas si cela était la réalité ou mon imagination qui me jouait un tour, mais j’avais eu l’impression elle avait remué du cul.
- Excusez-moi madame fis-je en prenant sur moi pour me dégager.
- Vous êtes excusé mon cher Alain. Répliqua-t-elle avec son plus beau sourire. Je ne savais pas que je vous faisiez barrage
Pour le retour et pour ne pas me faire repérer je m’étais convaincu de passer par l’extérieur. À plusieurs reprises au cours de la soirée, nos regards se rencontrèrent. Avec autant d’œillade.
Comme je l’avais présagé, elle s’arrangea pour prendre congé. Invoquant une migraine. Après avoir salué quelques convives, elle profita d’être proche de moi pour me sommer de la suivre.
Alors qu’elle gravissait les marches, moi derrière, je contemplais
à loisir son vaste cul qui oscillait devant mes yeux. Une élégance hautaine affichée, aux formes généreuses, mais contraintes, sanglées comme un carcan de soie.
Il m’est arrivé à plusieurs reprises de m’interroger sur la sexualité de la patronne quand elle n‘était pas dans son manoir, mais dans son appartement. Son mari n‘étant plus apte d‘advenir à ses besoins sexuels. Se contentait-elle de s’astiquer le bouton le soir dans son lit en pensant à moi. Ou alors ! Avait-elle recours à un autre amant. Non pas possible ! Trop risqué.
Alors le gode. Je ricanais intérieurement à cette seule idée. Je n’osais pas y croire. C’était trop…
Alors que nous franchissions le pas de la porte de sa chambre, je surpris une rougeur envahir ses joues, son cou. En même temps que son souffle s’accélérait. Elle semblait en proie à des émotions dont je devinais la nature.
-Verrouillez la porte voulez-vous bien, Alain !
Elle se mit à arpenter la grande pièce, en me jetant de furtifs regards, sourcils froncés. L’ourlet de sa robe battait ses jolis mollets. Comme il m’était facile de deviner les pointes de ses seins sous la toile légère. Une chaleur agréable commença à me chatouiller généreusement les couilles. Il m’était à cet instant incapable d’ouvrir la bouche pour dire un mot. Et pour quoi dire, d’ailleurs ? Ses seins se soulevèrent, alors qu’elle me fixa avec intensité.
- Avouez Alain, que vous me prenez pour une moins que rien.
- Eh bien, c’est-à-dire, madame…
- Je mérite vos reproches. Soyez sincère !
Elle se tordait les doigts debout en face de moi. Son regard vrillé dans les miens. Soudain, elle pointa son index vers moi, ses yeux étincelaient. Puis elle parut à nouveau se troubler. J’étais dérouté à ne pas savoir ce qu‘elle attendait de moi.
- J’ai honte de moi, soupira-t-elle.
- Mais, pourquoi madame ? Demandai-je.
Elle me regardait par en dessous. Un silence passa. Alors, je compris. La coquine me jouait la comédie. Et ce qui allait suivre me donnait raison.
- Vous savez pourquoi j‘ai voulu que vous m‘accompagniez ?
Je respirais plus vite, alors que ma verge plus bas, s’alourdissait de plus en plus.
- Seulement ce n’est pas bon pour nos futurs rapports, continua-t-elle, son regard aimantait le mien.
Lentement, elle soulevait l’ourlet de sa robe. Dessous, elle ne portait pas de bas. Ses genoux m’apparurent puis ses genoux, puis ses cuisses laiteuses, l’entrejambe blanc, et enfin la toison grisonnante de son sexe.

- Je ne mentais pas Alain. Est-ce que je vous excite encore, Alain ?
- Oui, dis-je, la voix rauque.
- Seriez-vous d’accord de faire ce que j’attends de vous ?
- Si cela est le souhait de madame. Pourquoi pas ! Répondis-je, le souffle court.
Elle murmura :
- Je compte sur vous pour de nouveau me faire atteindre les cieux…
Ce disant, elle s’installa à genoux sur le canapé tout proche. Elle retroussa pour la seconde fois en moins de cinq minutes sa robe jusqu’aux hanches. Elle s’accroupissait, fesses aussi hautes que sa souplesse le permettait.
- Qu’attendez-vous Alain. Venez donc. Nous n’avons pas toute la nuit.
Elle posa sa tête sur le haut du dossier Je ne me forçais pas pour m’exécuter, m’approchant de son cul tendu vers moi. Rond, ferme et tendre à la fois. Avec ses mains, elle écarta ses fesses. Elle présenta son trou obstrué par ce que je reconnus être un Plug anal bijou en acier avec une grosse perle rouge dans son centre. Tranquillement, elle me commanda :
- Vous gardez comme d’habitude cet instant pour vous, Alain. Vous m’entendez Alain ?
- Oui madame.
- Enculez-moi, Alain à présent.
Entendre des mots aussi crus dans la bouche d’une femme aussi sophistiquée qu’elle, me fis un choc. Je connaissais assez la vie pour savoir que c’était dans cette catégorie de créatures et d’âge qu’on se dévergondait le plus vite et qu’on débitait les pires obscénités quand elles cherchaient à se faire sauter.
Sous mon immobilisme elle se dût d’ajouter :
- Qu’attendez-vous mon cher ami ? Ça vous dégoûte ?
Elle loucha vers mon ventre. Donc mon érection tendait à craquer la toile de mon pantalon.
À l’aide de deux doigts je me saisis du Plug, et alors qu’elle poussait je le tirai à moi. Cela fit un bruit de bouchon. Je ne pus m’abdiquer de coller le Plug un instant sous mon nez. Ça sentait la savane, le musc, l’ambre. Le cul quoi !
- Alain… j’attends…
Son anus luisant de gel lubrifiant et de sueur, était élargi au point de faire concurrence à son vagin.
Je n’ eus qu’à loger mon gland dans le cratère pour m‘y trouver chez moi. Il se referma sur ma verge. L’épousant comme l’aurait fait une bonne bouche qui suce. Je glissais dedans. Me sentant agréablement serré.
Je me plaquai contre elle. La saisissant par ses seins. Un dans chaque main. À travers le fin tissu, que je pétrissais. Je la malmenais, enserrais, emprisonnais, jouais. La patronne renversa sa tête et la calla contre mon épaule. Les mains agréablement remplies, je continuais de malaxer sa poitrine, tout en faisant entrer et sortir ma queue dans le boisseau.
Je m’appliquai à me contrôler pour aller ni trop vite ni trop fort malgré le formidable désir que j’avais d’accélérer le mouvement pour jouir. Je me mis à la limer mécaniquement. Comme si j’étais un robot.
Mais ce n’était pas du goût de la patronne. Qui furieusement venait à la rencontre de mes coups de bite. Très vite les bruits de gorge résonnèrent dans la pièce. Couvrant le bruit de la musique qui remontait du salon.
À chaque fois que j’arrivais au bord de la jouissance, je sortais ma verge. Contemplant le trou béant et, avant que celui-ci n’ait le temps de se refermer, je m‘enfonçais de nouveau. Faisant claquer mon bas-ventre contre ses fesses. Elle comme moi prenions notre pied.
L’instant d’après, je lui ramonai le cul si violemment, qu’elle dut s’accrocher des deux mains sur le dossier pour ne pas tomber. Secouée en tous sens, elle se mit à crier à m‘en faire résonner mes oreilles. Complètement égarée qu’elle était la patronne, de plaisir.
Bientôt, le mouvement se précipita et je sentis que je ne pourrai plus me retenir. Elle dut le sentir aussi, car elle se plaqua contre moi.
- Allez-y… crachez-moi dans le cul. Râla-t-elle.
La semence lui arrosa le rectum. Je fis clapoté mon pénis longuement en elle, avant que je l’immobilise. Attendant qu’elle ramollis, pour la ressortir avec un long bruit d’air.
Elle poussait, évacuant le sperme avec un plaisir qu’elle ne cherchait même pas à dissimuler. Sachant mon degré de perversion.
Je la regardai faire. Fasciné. Appréciant à sa juste valeur l’orifice, large et qui se retroussait, laissait échapper de longs filets de sécrétions brunâtres si obscène que je ne puisse en détacher les yeux.

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