L'Asservissement De Miss Camping, Chapitre 5
(Ce récit est la suite de celui d'Alexis, "miss camping", que je trouvais dommage de laisser inachevé... ;) J'espère que l'élève sera du niveau du Maître...!)
Arrivées au mobil home, sous le regard des voisins curieux, qui ne manquèrent pas de remarquer les rougeurs sur mes seins et sur ma croupe, Laetitia me fit entrer, lair gourmand.
- Attends-moi là, je vais prévenir mon mari. Il sera content davoir ce petit cadeau à la maison, mais pas question que sa queue ne sorte de son slip, sinon il aura affaire à moi
Elle sortit, et je meffondrai en sanglots, massant doucement les zones où javais été fouettée. Mes seins étaient gonflés, mon cul chauffait terriblement, je ne métais jamais sentie aussi mal et aussi humiliée de ma vie.
- Tu es Coralie, la miss camping ?
Je me retournai. Un jeune dà peine 18 ans se tenait là, lair incertain. Jessuyais mes larmes. Et cachais mes seins et mon sexe.
- Oui, cest moi. Comment es-tu entré, je ne tai pas entendu ?
- Jhabite ici. Je suis Axel, le fils de Laetitia, elle ma dit quelle te connaissait, lautre jour, quand tu étais sur le podium.
- Ah
- Cest vrai que tu te laisses regarder nue par tout le monde ?
Je soupirai.
- Oui.
- Je peux te regarder ?
Il était si timide, si gentil, que je décidai de respecter le règlement que je métais infligé. Jabaissais une main, découvrant lentement mes tétons. Ses yeux devinrent gourmands, et descendirent pour voir mon sexe. Jenlevais aussi la main qui le cachait. Il sapprocha presque à reculons, et déglutit.
- Je peux te toucher ?
Je fis signe que oui, cétait aussi la règle que je métais imposée
même pour un gamin à peine sorti de ladolescence
Il me caressa délicatement les épaules, descendit vers mes seins, quil malaxa un moment, avec une infinie douceur, me mit la main sur le ventre, et, pouce par pouce, trouva le chemin de ma chatte. Il effleura les poils épars, sans aller vers les lèvres ni le clito, maladroitement, sans savoir probablement ce qui se cachait entre mes jambes.
Une de ses mains disparut dans son caleçon, doù il sortit sa fine queue, toute dure et dressée, quil branlait en me touchant les poils.
-Je
je peux te sauter ?
Je sursautais, et sourit. Quelle naïveté, cétait trop mignon !
- On ne dit pas ça à une femme, Axel.
- Oh, pardon, jai tellement envie !
Ce nétait pas dans les règles que javais émises, mais une pensée soudaine et méchante me vint à lesprit
Laëtitia mavait humiliée, battue, et ne voulait pas que je touche à son mari
que dirait-elle si je moccupais de son fils
lidée de cette petite vengeance mémoustilla plus que je ne saurais le dire
!
- On ne dit pas « je peux te sauter », mais « jai envie de faire lamour avec toi ». Mais si tu me dis que tu as envie de me baiser, alors
je tapprendrai !
- Je
jai envie de te baiser ! Jai vu Véro, ma sur, qui se faisait lécher les seins par son petit ami, et je dois dire que depuis, jen rêve aussi.
Je sautais le pas. Je lui pris le visage et lembrassais longuement. Une de mes mains attrapa sa petite queue déjà vigoureuse et je le branlais, pas trop fort pour quil ne me vienne pas dans les mains. Je voulais ma revanche, et son dépucelage serait ma victoire, sur Laëtitia, et sur Jean.
Je lui lâchais la bite et mallongeais sur le lit du mobil home, écartant les jambes bien à fond.
- Lèche-moi, et je te lècherai après.
Il sagenouilla entre mes jambes, et commença par membrasser timidement les lèvres, puis me donna des grands coups de langues sur le clito, de manière très maladroite. Lexcitation arrivait très puissante, javais envie de cette jeune queue, de ma revanche, et de loubli du corps. Je pris sa tête et lenfonçait dans mes lèvres, dans mon cul, sauvagement.
Je le vis sactiver sur sa queue, mais je ne voulais pas quil séjacule dessus. Je me relevais, lembrassais encore, puis, à genoux, pris sa bite dans ma bouche. Je le suçais précautionneusement, découvrant chaque pli de son gland, titillant son méat et la zone sensible juste dessous, tout en me fouillant la chatte avec les doigts.
Je lâchais sa queue et me mis dos au mur.
- Tu vas me baiser debout, tu vas voir, cest très agréable.
Je le guidais en moi, surprise par sa fougue, et lembrassais encore. Tant pis pour lexclusivité dont jouissait Jean jusquà ce que je le voie sur la plage avec ses deux trainées. Ses mains sagrippèrent mon cul, mes seins douloureux, et il me donna des grands coups de reins, qui déclenchèrent des vagues de plaisir auxquelles je ne mattendais pas dans mon bas ventre. Ma chatte était trempée, il jouit dans un râle, en pressant mes seins plus fort que je ne pouvais le supporter. Je criai et jouis en même temps, accueillant son sperme en longues saccades. Je prolongeais le baiser, appréciant sa bite en moi, qui dégonflait doucement. Des gouttes de sperme tombaient sur le lino du mobil home, je souris en pensant à la tête que ferait Laëtitia en les voyant.
Axel me serra dans ses bras adolescent en me chuchotant un « merci » tendre à loreille.
Je me dégageais de son étreinte, plus apaisée que quand jétais entrée, le plaquait contre le mur.
Je magenouillais, pris sa bite dans ma bouche et entrepris de lécher tout le sperme qui y était encore collé. Il me regardait, satisfait et curieux.
Quelquun frappa à la porte.
- Axel ! Quest-ce que tu fais ? Véro nous attend !
Un des ados que javais sucé quelques heures plus tôt passa la tête, alors que javais encore la bite dAxel sur la langue.
- Oh
je comprends, dit-il dans un sourire.
Je restais à genoux devant lado, un peu gênée. Axel rougit en disant :
- Coralie, je te présente Mickaël, le copain de ma sur.
La nouvelle me fit sourire
si je dépucelais en plus le petit ami de la fille de Laëtitia, ce serait la cerise sur le gâteau
- Nous avons fait connaissance, dis-je dun air coquin.
- Tu veux encore que je te fasse un petit plaisir ?
Michaël nen revenait pas, sa trique enfla dun coup.
- Vous voulez bien ?
- Non seulement je veux, mais si tu dis les mots magiques, tu auras le droit de me
comment as-tu dit Axel ?
Axel rougit. Son sexe fin se réveillait aussi.
- De vous sauter.
- Cest ça.
- Oh oui, gémit Mickaël, laissez-moi vous sauter !
Je pris sa bite entre mes dents en chuchotant :
- Accordé !
Je finis de lui faire glisser son caleçon, tout en lavalant lentement, tout au fond de ma gorge. Axel revint me caresser les seins et le dos, tandis que, croupe en lair, jallais et venais sur la trique de son copain. Je le gardais au fond de ma gorge, puis le libérait, laissant de grands filets de salive sur sa queue, puis je lavalais à nouveau, lentement, profondément, délicatement.
- Oh, suce, ma jolie, suce encore !
Je lui souris en léchant son gland, le branlais encore plus lentement, en serrant bien fort sa bite entre mes doigts, récupérant ça et là une goutte qui nétait pas de la salive. Ces deux jours auront vu ma technique de fellation saméliorer grandement
pauvre Jean, sil pouvait en profiter
Je léchais encore sa bite un moment, puis lattirais à moi pour lembrasser sur la bouche. Ma langue se fit épaisse sur ses lèvres, tandis que ma main pressait son sexe brûlant. Le petit Axel ne savait plus où se frotter, je pris le temps de lui caresser les couilles, sans relâcher le baiser qui mémoustillait agréablement.
- Alors, tu veux toujours me baiser ? Demandais-je dun air mutin. La bite durcit encore dans ma main.
- Oh oui !
Je me retournais, à quatre pattes, lui présentant mes fesses rondes et ma vulve mouillée.
- Alors prends-moi
avec douceur !
Il sagenouilla derrière moi, écarta légèrement mes jambes pour pouvoir bien appuyer ses genoux, et, agrippant son bâton de joie comme une épée, le glissa en gémissant dans ma grotte chaude.
Michaël allait et venait en moi, mouillée comme une adolescente en fleur, ses cuisses butaient contre mon cul qui me chauffait là où javais été fouettée. Il posait parfois ses mains sur les marques rouges et les pressait douloureusement, je mempalais plus profondément sur lui pour lui faire lâcher prise, en gémissant de la brûlure quil minfligeait ainsi. Il magrippa plus fort encore, devant penser que les gémissements étaient de la jouissance, et je nosais le détromper, je voulais que cette première fois le marque à jamais, et que la petite Véro dont il avait léché les seins lui paraisse insipide à côté de la déesse du sexe qui lavait défloré.
Ses râles devinrent plus lourds, ses coups de hanches plus violents. Je ne voulais pas quil vienne trop vite, Laëtitia nétait pas là !
Je lâchais le sexe fin dAxel, le gardant entre mes doigts, et, buvant toute honte, décidait de monter en puissance dans loffre de sexe que je lui prodiguais.
- Attends, ne viens pas trop vite, tu ne voudrais pas que ton copain soit le seul à mavoir sodomisée
?
Il ouvrit les yeux dun coup, nen croyant pas ses oreilles.
- Tu
tu veux que je tencule ?
Je grimaçais à peine, masquant tout juste la répulsion que cette idée pouvait encore avoir sur moi. Je lavais déjà fait, malgré moi, je pouvais bien le refaire, volontairement, cette fois.
- Bien sûr, jadore ça ! Viens, je vais te guider
- Je
pourrai aussi ? demanda Axel timidement.
Me faire troncher par deux mecs ne me tentait pas particulièrement, mais je ne voyais pas comment lui refuser
- Chacun son tour, dis-je en attrapant la bite de Michaël dans ma main, et en le menant vers mon petit trou.
Je le fis tourner un moment, écartant peu à peu mon petit anus tendre. Il ny tint plus et senfonça comme dans du beurre, je criais encore, plus de surprise que de douleur. Londe de plaisir qui me traversa était quelque chose que je navais encore jamais expérimenté, et je lattirais en moi avec un enthousiasme non déguisé.
- OH OUIIIII !
Je repris la trique fine dAxel et lengloutit littéralement, le suçant, laspirant, linondant de salive et de coups de langue, de dents et de lèvres, lui pressant la tige avec la main férocement. Michaël riait en me limant violemment, senfonçant en moi jusquà la garde, murmurant des « merci merci merci » et des « prends ça salope » parfaitement incohérents. Avec ma main libre, je branlais mon clitoris jusquà me larracher, avalant de grandes lampées dair entre deux coups de langue.
- Coralie !
Nous nous arrêtâmes tout dun coup, Axel gémissant, prêt à venir dans ma bouche, son sexe battant au rythme de son cur.
- Coralie, cest Jean, je sais que tu es là !
Je fis signe aux deux garçons de ne pas bouger, je me clouais sur la bite de Michaël, bien profondément, et gardait celle dAxel dans ma main.
- Entre, Jean, entre !
Mon mari poussa la porte, et resta là, hébété du spectacle que je lui offrais.
- Viens, ferme la porte. Le règlement de miss camping stipule que tu peux me toucher tant que tu veux, mais rien ne moblige à ce que tu me sautes. Tu garderas donc ta bite infidèle bien sagement dans ton slip.
Je repris celle dAxel dans ma bouche, et le suçais, comme si de rien nétait. Jincitais Michaël à continuer à me fourrager, ce quil fit sans trop faire attention à Jean, qui restait là, blanc comme un linge. Je lâchais de temps en temps la tige dAxel pour susurrer de la voix la plus suave possible :
- Oh oui, encule-moi plus profond, encule-moi, oh oui, oh oui, oh ouiiii
Et je reprenais ma fellation. Axel explosa dans ma bouche, je le branlais sur ma langue, de manière à ce que Jean voit bien le sperme dégouliner sur mes lèvres, et Michaël mattrapa par le cul, à grands coups de reins. Il cria de plaisir quand il éjacula dans mes intestins, je criais aussi, jouissant à la fois de plaisir et de douleur, gardant autant que possible la bite dAxel entre mes lèvres collantes.
Je regardais Jean en souriant. Apathique, il ne savait pas quoi dire, pas quoi faire, il restait là, les bras ballants, le choc drainant toute énergie hors de lui.
- Mais quest-ce que vous faites ici !?
Une blondinette taille mannequin, en maillot vert presque transparent venait dentrer.
- Vé
Véro... bredouilla Michaël.
- Ce nest rien, Véronique, dis-je, jai juste proposé à ton petit ami et à ton frère de perdre leurs pucelages avec moi, devant mon mari.
Véronique neut pas la réaction escomptée. Elle donna une grande claque à son frère.
- Toi, tu sors, et tu vas voir maman ! Si tu ne lui racontes pas ce qui vient de se passer toi-même, cest moi qui le ferai, et ce ne sera pas beau à voir !
Axel sortit en courant, remettant maladroitement son caleçon taché de sperme.
Véronique ferma la porte, poussa le verrou... (à suivre)
Un commentaire, une suggestion: coloredbirdonaroof@gmail.com
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