Biguine

Collée contre son jeune cavalier, Jo se laisse entrainer par la musique. La biguine dansée avec ce jeune antillais est très collé serré.
Ce jeune, André, Josette le connait depuis quelques semaines. C’est un adjoint de son mari, affecté près de lui le temps de son service militaire. Lors de leurs croisements dans la caserne, elle a remarqué que ce jeune homme recherchait à lui parler et alors la dévorait des yeux et cela l’avait troublée. Elle n’avait rien dit de ce comportement à son mari Alain.
Ce soir ils sont avec tous leurs amis à un bal organisé à Pointe à pitre et le jeune homme vient de l’inviter à danser. Elle l’a suivi après un regard vers son mari qui des yeux lui a dit oui.
Dans ses bals ils ont pour habitude de danser avec d’autres, ils se rejoignent généralement pour danser les slows. Alain danse souvent ce soir avec Annie, cette jeune femme est sa cavalière préférée et Jo en est parfois un peu jalouse. Elle devine qu’Alain est attiré par cette jeune femme. Plusieurs fois elle les a vus danser un peu trop serré.
Très vite dès que André l’a entrainée vers la piste en la tenant par la main, Jo a été troublée à ce contact familier. Après quelques pas, il l’a collé contre lui. Surprise Jo s’est laissé faire. A la table là bas, son mari occupé à rire avec leurs amis ne regarde pas vers la piste.
Au rythme de la biguine le ventre du jeune homme frotte souvent le sien, la danse est sensuelle. Dans son dos sur ses reins la main du jeune homme la tient fermement contre lui. Parfois quand leurs cuisses se frôlent, Jo sent la protubérance de la verge au repos contre la jambe du jeune antillais. Une verge vers qui malgré elle ses pensées s’égarent. Jo ne peu s’empêcher de la deviner épaisse et longue. Jo est de plus en plus troublée, le jeune s’excite au contact de son beau corps de femme de 35 ans, sa jeune verge a pris du volume, elle le sent quand il la frôle. Jo amusée, flattée aussi de l’émoi qu’elle suscite au jeune homme, ne peut s’empêcher de se dire qu’à ce rythme il va bientôt ne plus pouvoir cacher son état.


Pour lancer les danseurs reprendre leur souffle l’orchestre, sans arrêter de jouer a enchaîné sur un slow langoureux. Josette se retrouve collée à son jeune cavalier, les lumières baissent dans la salle de bal.
Jo est un instant déconcertée, elle n’a pas l’habitude de danser ces danses faites pour les amoureux, les amants, avec un autre de son mari. La bas aux tables, elle le devine Alain doit la chercher des yeux. Elle a vu Annie danser serrée contre son mari.
Troublée par le jeune corps serré contre le sien, elle s’abandonne à la musique. Contre son ventre il y a aussi la troublante présence du membre de son cavalier. Déjà pas mal excité par la béguine dansée à la fin collé-serré, il peut peu maitriser plus l’émotion qu’elle lui inspire. Jo ne peut ignorer l’état dans lequel elle l’a mis bien avec son corps de femme dans la plénitude de ses trente cinq ans.
- Excusez-moi!
Jo est amusée, le jeune n’est pas trop certain de sa réaction.
Comme pour faire comprendre à André que cela ne l’effarouche pas, elle se colle étroitement à lui. Pose la joue contre son épaule.
-T’en fais pas, c’est naturel ! lui murmure t’elle à l’oreille
-Cela ne vous dérange pas ? Je ne peux pas contrôler, vous me plaisez trop, vous êtes une belle femme.
-Tais toi tu dis des bêtises.
-Non, c’est vrai vous, je peux te tutoyer ?
-Oui bien sûr ! Moi c’est Josette, Jo tu le sais
-Oui Jo, tu me plais, j’ai envie de toi. Je te croise tous les jours et je pense à toi tout le temps.
-Il ne faut pas André, je suis mariée !
-Je sais, mais tu l’as déjà trompé ?
-Non, pas encore !
-Pas encore, tu y penses. T’as envie comme moi hein, je le sens t’as envie de faire l’amour avec moi !
Jo émue ne répond rien. Ils dansent un peu, André s’enhardi, sa main est maintenant posée sur la haut de sa croupe. Le membre dur frotte contre ses cuisses, son pubis, son ventre. Malgré elle Jo sent le désir envahir ses reins, son sexe devient de plus en plus humide.
Depuis son mariage il y a plus de dix ans, elle n’a jamais trompé Alain. Mais ce soir, oh ce soir sous le ciel des tropiques.. l’envie la gagne. L’envie du gros sexe noir de son cavalier, contre qui elle s’abandonne de plus en plus. Et puis il y a maintenant cette main qui masse ses fesses et le colle si intimement sur la jeune virilité dressée d’André. Il y a aussi maintenant cette bouche qui dévore son cou. Quand par un jeu de lumière, la salle devient presqu’obscure, il y aussi cette bouche qui cherche la sienne qui ne se refuse pas. Cette langue qui se lie à la sienne pendant, que la verge bandée s’incruste si fort contre son intimité.
Dans le noir, tout en l’embrassant André la devinant consentante la caresse. Sa main est maintenant par-dessus sa robe à hauteur de son sexe et la masse langoureusement. Puis voyant qu’elle ne se dérobe pas, elle descend sur ses cuisses profitant de l’obscurité de la salle. Quand la main chaude remonte sous sa robe instinctivement elle a ouvert ses cuisses. Sur sa culotte, puis dessous à présent la main est sur elle, sur ce qu’elle a de plus intime. Elle mouille et cela facilite l’entrée du doigt dans sa fente ouverte.
-Oh !
-Tu aimes hein ! J’ai envie de toi, tu veux ? Viens !
Sans attendre sa réponse, la prenant par la main, il l’entraîne dehors, dans la nuit chaude et complice des Antilles.
Jo à la tête qui tourne, elle ne sait plus trop ou elle est, elle a oublié son mari Alain qui doit la chercher dans le bal. Ils sont dans le parking, impatient d’elle André la plaque contre une voiture et la trousse tout en l’embrassant amoureusement. Jo se laisse faire, elle a envie d’avoir en elle le membre du dur jeune homme. Sa petite culotte baissée par une main impatiente tombe à ses chevilles. Déjà elle sent entre leurs corps la main d’André, qui s’active, le bruit du zip et elle devine entre eux la verge dure, dressée, qui va la prendre. Dans un râle d’envie elle s’ouvre, se tend.
D’une seule poussée de ses reins impatients il l’a pénétrée.
Il est gros, long et la rempli complètement. Ce qu’elle ressent n’a rien à voir avec ce que lui fait son mari. A demi couchée sur le capot d’une voiture Jo se fait prendre comme une fille, mais elle en a si envie. Dans son vagin serré autour du membre de son jeune amant, la grosse verge noire lui procure des sensations que son mari ne lui a jamais apportées. Des sensations qu’elle a cependant déjà connues avec les deux hommes qui l’ont possédée avant son mari. Deux hommes de quarante ans, qui lui ont fait découvrir le sexe. Abel a qui elle s’est donnée pour la première fois, et Jean son ex-patron qui la voulait tant et qui à force d’insister avait fini par la posséder sur la table de l’arrière cuisine.
Cuisses nouées autour de la taille de son jeune amant Jo se laisse emporter par le plaisir. Elle gémit, geint sa jouissance sous les coups de boutoirs puissant du jeune mâle qui la chevauche. Il a ouvert son corsage et tout en la pistonnant lui suce goulûment les seins.
Avec un râle d’extase André vient de lui envoyer plusieurs giclées chaudes de son sperme au fond de sa grotte d’amour. Il l’a prise de longues minutes avant de s’abandonner enfin au plaisir. Pendant leur copulation Jo a éprouvé des orgasmes continus. Des orgasmes comme avec Abel et Jean, des orgasmes qu’avec Alain elle n’a jamais connus.
Ils se sont relevés, alors Jo reconnaissante du plaisir reçu prend dans sa main le membre encore presque raide de son amant, elle veut le toucher, le voir, le sentir, le goûter. A genou, tenant André par les fesses elle lèche le sexe qui l’a fait si bien jouir, elle l’avale, le suce, le branle. André lui tient la tête à deux mains et la guide. Très vite Jo sent les sursauts des tressaillements du jeune membre qui se gonfle encore. Elle reçoit et avale la jeune et chaude semence de son amant dans un râle de bonheur.
Ils s’embrassent encore, se disent des mots d’amour. Puis profitant d’une biguine endiablée regagne la salle de bal sans êtres vus.
A leur table, il n’y a plus personne.
Jo panique un peu.
-Il faut que je parte, ils sont tous partis, Alain a dû me chercher !
-Déjà ! On se voit demain ?
-Oui !
-Chez toi, dès que mon mari sera au travail ?
-Oui.
Ils sont dans la foule, Jo laisse cependant André l’embrasser sur les joues. Il en profite pour la serrer encore un peu. Puis Jo le cœur battant rejoint l’endroit où avec leurs amis, ils ont garé leurs voitures. Il ne reste plus que la leur, Alain est auprès.
-Tu étais où ? Nous t’avons tous cherchée ?
-On dansait, Puis André mon cavalier m’a invitée à prendre un verre avec ses copains. Ils sont sympas ces jeunes !
-On t’a cherchée partout. Les copains étaient gênés pour moi. Il t’a draguée ?
-Non, il est gentil on a dansé c’est tout ! Tu n’as pas cherché au bon endroit.
-Petite menteuse chérie, j’ai regardé partout tu n’étais pas là et lui non plus. Il t’a baisée ??
-Non t’es fou !
-Embrassée.. ?
-Non.
-Vous avez fait quoi ?
-Rien je t’assure !
-vous n’étiez pas dans le bal, on a tous cherché.
-On a marché un peu, on avait chaud après la biguine j’avais besoin d’air, il m’a accompagnée. Il ne s’est rien passé je t’assure.
-Même pas un petit baiser ?...
- ...
- Tu ne dis rien ? Je suis jaloux tu sais, mais racontes moi je ne vais pas me fâcher. Il t’a embrassée, caressée ?
- …-Il t’a baisée, tu ne dis rien, c’est çà hein ?
- ...
-Il t’a faite jouir au moins. Avec moi tu n’éprouves rien, il t’a fait jouir ?
-Oui, là t’es content ? Il baise mieux que toi si tu veux savoir. Maintenant on rentre !
-Tu vois..Je m’en doutais. Bon comme promis je ne me fâche pas. Mais évite de le revoir.
-Oui. Promis !
Pendant le trajet Alain ne lui a pas adressé la parole. Sans doute ces danses avec Annie ne sont pas toujours aussi innocentes qu’il en paraît. Il a qu’à se la faire, il en a tellement envie.

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