Au Zig Zag

Régulièrement, je vais à Toulouse pour mon travail et je m'y rends la veille pour être au top le lendemain. Pas loin de la place Victor Hugo, il y a un ciné x : le zig zag et j'y vais régulièrement, j'adore son ambiance.
Les spectateurs vont de la salle au balcon, et cherche la scène ou le mec qui pourrait leur correspondre. Cette frénésie s'observe surtout à partir de 23h.
Ce jour là il n'était que 8h30, et quasiment personne... Je m'assois, ouvre et déboutonne mon pantalon discrètement, baisse mon slip et regarde le film où les filles splendides délirent sur des chibres énormes. Je me tâte doucement en regardant l'écran et fatigué m'endors. Quelques minutes peut être, mais quand j'ouvre brusquement les yeux, un jeune mec est assis à côté de moi et caresse ma main qui était restée posée sur ma verge molle. Il ne me regarde pas, mais l'écran, où il est susceptible d'être entré pour regardé des films x. Sa main douce continue à caresser ma main, qui s'écarte pour le laisser atteindre ma tige sensible. Le mec est doué et du bout de ses doigts effleurent mon sexe qui se redresse petit à petit... Une fois bien redressée, il finit de le décalotter et avec son pouce caresse le méat. Le plaisir est intense et régulier. Je tends mon bassin pour lui offrir le maximum de tige... Sa main est délicieuse, ni trop lente, ni trop rapide. Elle descend vers les boules et remonte en desserrant, titille le gland puis reprend sa descente. Il sait bien ce qu'il fait le coquin... Je lance ma main par dessus l'accoudoir et m'aperçois qu'il n'a rien préparé... Entre deux doigts je fais sauter son bouton de pantalon et en prenant tout mon temps je baisse le zip de sa braguette. Il se laisse faire et glisse ses fesses sur le bord de son siège pour me faciliter le geste. J'écarte l'élastique de son slip et sors son sexe fin et tendu à l'air libre. Circoncis, son gland pointu chaud et lisse est dans ma main. Mes doigts le tripotent pour bien deviner toute sa forme.

Lui continue sa caresse sur le mien comme si de rien était. Nous nous tripotons mutuellement, nous branlons dans le même rythme et le plaisir est intense...
Un rapide regard dans la salle et je m'aperçois que nous ne sommes que tous les deux. Moins gêné par les regards, je me penche à son oreille et lui propose de le sucer. D'un hochement de tête, il acquiesce et lâche sa prise pour me laisser œuvrer.
Je me glisse dans la rangée de fauteuils et m'approche de son entrejambe. Je jette mon regard à son visage et constate qu'il est très jeune. J'ouvre la bouche et gobe cette tige fine et tendue avec délice. J'avale tout ce sexe et me délecte en pinçant les lèvres. Son gland est pointu et délicieux et je le suce comme un bonbon et le sursaut de son bassin me laisse deviner qu'il aime ça. Je prends tout mon temps alors qu'il pose sa main dans mes cheveux. Je le lèche, le suce, le titille de la pointe de ma langue, l'aspire et enfin je reçois plusieurs saccades de jus délicieux dans mon palais. Le jus est assez liquide, un peu salé mais d'un goût exquis. J'arrête ma suce et attend religieusement à ses pieds que sa queue se ramollisse pour bien la rincer jusqu’à la dernière goutte.
Je reprends mon fauteuil, le pantalon toujours à mi-cuisse et tend mes jambes pour me reposer de ce petit effort. Le film continue à se dérouler et mon voisin fixe l'écran. Sa main est revenue sur mon sexe qu'i caresse lentement. Puis, au bout de cinq minutes, se glisse, à son tour entre les fauteuils et vint prendre position entre mes jambes. Je sens son souffle sur ma queue tendue et avec beaucoup d'habileté commence à me sucer. Sa bouche est chaude et enveloppe bien ma tige, il suce à merveille. Sa langue virevolte sur mon gland chaud et ses lèvres glissent bien tout le long de mon sexe. Il est finalement très doué ce garçon. Il prend son temps s'aidant de ses mains et de sa bouche pour ausculter tout mon chibre. Tout en pinçant les lèvres je sens la pointe de sa langue titiller de ça de là en aspirant légèrement. Puis il prend un rythme de suce régulier en me caressant les boules. J'essaie de me retenir mais rien n'y fait, ma sève monte et mon coquin aspire tout mon jus au fur et à mesure qu'il gicle, avalant tout mon sperme en laissant entendre quelques petits gémissements de plaisir à chaque saccade. Une fois la fièvre passée, nous remontâmes nos pantalons et nous nous réajustâmes. Il se pencha à mon oreille et me dit : Merci, j'ai bien aimé le film, mais il faut que je parte car mes parents m'attendent pour diner.
Et il est sorti...je ne l'ai jamais revu malgré plusieurs passages au zig zag.