Une Tante Étonnante

Cette histoire s'est passée il y a 3ans. J'avais toujours eu le fantasme de coucher avec ma tante, une femme de 50 ans encore bien conservée.
Un jour, ma tante m'a demandé de regarder à sa voiture. Je lui avais fixé rendez vous un soir chez moi pour y regarder. Le soir venu, elle arriva vers 19h à la maison, c'était un soir d'été, elle était vêtue d'un chemisier blanc légèrement transparent et d'un pantalon en lin blanc qui laissait transparaitre sa petite culotte. Je l’invitais à attendre dans le living pendant que je m'occupais de sa voiture. Après une demi-heure, je l’appelais pour me donner un coup de main, ce qu'elle fit sans hésiter. Je lui demandais où était la pièce que je devais remplacer et elle me dit qu'elle était dans la boite à gants. Je l'ouvris et à ma grande surprise je découvrais une de ses culottes maculée de substances masculine et de quelques préservatifs. Elle devint toute rouge. La voyant toute gênée, je me suis lancé et je lui dis qu'il n'y avait pas de gêne à se faire du bien et que si elle voulait, je pouvais l'aider. Je fus très surpris de sa réponse, elle me demanda de ne rien dire et qu’en contre partie, elle pourrait être gentille avec moi. Ni une ni deux, je me lançais, lui disant qu'elle monte dans la chambre et de se mettre en sous vêtements, ce qu'elle fit. Moi, tout excité, je montais cinq minutes après. En arrivant dans la chambre, elle était devant moi en soutien gorge et petite culotte en dentelle blanche. Cette tenue laissait voir ses tétons et sa chatte poilue. Je me déshabillais en laissant mon caleçon qui avait du mal à cacher mon érection. Je la pris dans mes bras et me colla à elle tentant dans l'élan de l'embrasser. Je collais ma bouche contre la sienne et força sa bouche avec ma langue. Mes mains se posèrent dans son dos : une glissa sur ses fesses et l'autre dans son cou. On s'embrassait à pleine bouche lorsqu'elle posa ses mains sur mes fesses en les faisant passer sous mon slip. Je quittais sa bouche pour commencer à descendre.

Arrivé à son soutien gorge, je fis sortir ses seins et lui suça ses tétons qui durcirent aussitôt entre mes lèvres. La voyant très docile, je descendis plus bas en laissant trainer ma langue. Celle ci s'arrêta sur sa culotte, je la léchais et sentit à l'odeur qu'elle était très excité. Je me relevais en mettant une main sur son entre cuisse, elle écarta un peu les cuisses et je pus sentir le fond de sa culotte trempée. Tout en s'embrassant, je la poussais sur le lit, couché je redescendis et lui ôta sa culotte, je lui écartais les cuisses, j'avais sa vulve en face de moi, je plongeais dessus et lui léchais, des petits cris sortaient de sa bouche. Par moments je lui rentrais un ou deux doigts sans difficulté tellement elle était mouillée. Elle se redressa et m'invita à enlever mon slip. Je ne le croyais pas, ma tante s'approcha de moi, pris mon sexe dans sa main et le guida dans sa bouche. Vu l'excitation, je ne pus me retenir longtemps et lui éjaculais dans la bouche, elle continua sa pipe et avala tout. C'était fou, je venais de jouir dans la bouche de ma tante Martine. Après m'avoir bien nettoyé mon pénis, elle me dit que j'avais une belle queue et qu'elle aimait bien le goût de mon sperme. Couché l'un à coté de l'autre, on s'embrassait de nouveau, elle me branlait d'une main pour me redonner de la vigueur, moi, je lui masturbais le clitoris, à un moment je reçus un flot de mouille sur la main, elle venait de jouir. Maintenant que mon érection était revenue, je me couchais sur elle en guidant mon sexe vers l'entrée de sa vulve, une fois devant, je poussais un coup et mon sexe rentra sans difficulté. Je la limais pendant quelques minutes et elle me dit qu'elle voulait venir sur moi. Une fois au dessus, elle commença à bouger de plus en plus, je sentais sa mouille couler sur mes couilles, je lui pressais les seins et lui pinça ses gros tétons qui étaient de couleur foncés et assez gros. Elle se dégagea et se mit à 4 pattes et m'invita derrière elle, ce que je fis sans hésitation, je la prenais de plus en plus fort, mon excitation était à son maximum. Tout en la prenant par derrière, je posais mon pouce sur sa petite rondelle et joua avec tout en poussant dessus pour y rentrer, il y rentra sans trop de soucis et je le fis coulisser, elle ne disait rien mais se dégagea et se retourna et repris mon sexe en bouche et me suça, elle jouait avec sa langue autour de mon gland et me regardait. Je ne sais pas ce qui m'a pris mais je lui ai lancé "tu aimes ma bite, grosse salope". Elle me fixa toujours avec ma queue en bouche et hochât la tête. Là, je compris qu'elle était à moi, je lui demandais de se remettre en levrette et que je voulais la sodomiser. Elle refusa car elle ne l'avait jamais fait et que ca lui ferait mal. Malgré moi, je lui fis du chantage et lui promis de ne rien dire si elle acceptait de m'ouvrir ses fesses. Devant ça, elle accepta, j'allais chercher un pot de vaseline. J'en mis sur mes doigts que je fis glisser dans son anus, un puis deux et au moment où j'allais introduire un troisième, je vis sa main venir sur son sexe pour se masturber. Me voilà en train de branler le cul de ma tante avec trois doigts, il était prêt à me recevoir. Je posais mon gland sur sa rondelle et poussais doucement, au début, elle cria de douleur mais je continuais à m'enfoncer, une fois au fond, je commençais à limer son cul, je sortais mon sexe et le rentrais plusieurs fois, je n'en revenais pas, son trou était grand ouvert et elle ne criait plus, elle gémissait de plus en plus et même poussait son cul en arrière pour que j'aille plus profond. J'étais debout derrière elle, ma bite dans son conduit rectal en limant de plus en plus vite. Me sentant sur le point de jouir, je ressortais et vint me mettre devant elle, la bite devant son visage, je posais mon gland sur ses lèvres pour les ouvrir, ce qu'elle refusa de faire, alors de grands jets de sperme vinrent s'écraser sur son visage et je l'étalais avec mon gland sur toute sa figure. Quelques minutes passèrent et elle se leva pour aller se laver, je la suivis sous la douche. Je la baisais sous la douche et je la sodomisais de nouveau, cette fois je me vidais dans ses fesses.
Le soir, en partant, je lui fis promettre de revenir car elle me donnait trop de plaisir.