Mercredi 9 Octobre Mari Absent
Les vacances passèrent et début septembre Madeleine mappela pour me demander si je serais de passage dans la semaine du 9 et le 11 octobre de façon à se quelle sorganise pour que nous puissions nous voir, car son mari serait en déplacement pour une réunion dexpert comptable à Paris et quainsi ses nuits seraient disponibles et quelle aimerait que je puisse venir passer une nuit entière avec elle, comme elle me dit : « une nuit, je ne suis pas trop exigeante » Cela avait été difficile à organiser car il me fallait environ 3 heures pour rejoindre Poitiers, donc en partant vers 17 heures, je serais à Poitiers vers 20,00 heures, ce qui parut satisfaire Madeleine, me disant quelle prévoyait également le diner. Jarrivais presque à lheure et après mêtre garé au parking de son immeuble, je montais au 5ème, comme convenu. La porte souvrit rapidement et là : « OUF,
» à ne pas en croire mes yeux. Madeleine était vêtue dune jupe courte,
très courte, faite sur elle et dun corsage dau moins deux tailles trop petite ce qui lobligeait à avoir un décolleté impressionnant, lensemble à faire rêver et à vous donner des idées qui se traduisirent rapidement sur mon anatomie. A peine entré, une bonne partie de lèche museau accompagnée dun corps à corps excitant et même bandant, à ses soupirs cela sembla lui faire plaisir. Collés lun à lautre nous sommes arrivés dans la salle de séjour, avec une partie salon et lautre salle à manger, mais ce qui attirait lil était le grand canapé, qui permettait dimaginer,
enfin quelques parties fort agréables. En face sur une petite table il y avait un choix de bouteilles
Madeleine : « Installes toi,
que veux tu comme apéritif,
»
Moi : « Un whisky tonic ira très bien,
»
et Madeleine se pencha pour servir lapéritif de telle façon que jeu une vue plongeante sur son splendide décolleté et par la même sur sa belle poitrine. Alors quelle me tendait mon verre, je pris son poignet et lattirant vers moi :
Moi : « Viens à coté de moi,
jai une autre envie comme apéritif,
viens ici,
» arrivant à ma hauteur, dune main je prenais le verre et le posais sur la table, quant à lautre je la glissais entre ses cuisses et essayais datteindre sa grotte damour.
Madeleine : « Arrêtes,
je vais faire des bêtises,
» et elle simmobilisa, alors que jarrivais à peine au-dessus de bas, la où la peau est si douce et quelle annonce la proximité de la touffe.
Moi : « Jaime faire les bêtises avec toi,
remontes ta jupe,
je suis coincé,
» En fait elle écarta un peu les jambes ce qui me permit darriver plus haut et en fait au fur et à mesure que je mélevais entre ses cuisses, au elle remontait sa jupe, ce qui me permit datteindre sa toison et poser ma main sur sa chatte, alors quelle avançait le bassin pour me faciliter laccès.
Moi : « Ecartes les cuisses que je te broute la touffe,
»
Madeleine : « Non,
attends,
je viens sur le canapé, ce sera plus confortable,
je pourrais mouvrir à toi encore plus,
» et joignant lacte à la parole elle se laissa tomber sur le canapé et remonta sa petite jupe jusquà la ceinture découvrant son minou libre de tout.
Madeleine : « Viens,
tu vois, comme dhabitude,
je tattendais,
embrasses moi le sexe,
je veux sentir tes lèvres prendre mes lèvres,
oui comme ça,
je veux être toute à toi,
»
Alors que je ma langue sactivait dans sa chatte, index et majeur entreprirent de pénétrer avec douceur son fourreau chaud et mouillé, après quelques allées et retours de façon à la chauffer un peu plus, pendant ces pénétration, mon pouce fit une incursion vers et dans son petit trou : « Oui,
tu lauras,
mais pas maintenant,
je te dirais,
continues,
jaime te sentir me prendre,
si tu continues,
je vais jouir,
OOOHHH,
non narrêtes pas,
OUIIIIIIII,
. » et elle se cabra dans un spasme brutal. Enfin se laissant retomber. « Amour,
donnes moi tes doigts,
je veux gouter mon plaisir,
tu as exagéré mais jai aimé ,
maintenant à moi, de moccuper de toi,
enlèves moi ça, (tirant sur pantalon et caleçon)
OH,
je vois que tu es en forme,
viens,
laisses moi faire,
je veux te gouter,
pour te sentir dans ma bouche,
après, tu me prends,
tu me prends fort,
» et sans hésiter, sinsinuant entre mes jambes, elle me prit en bouche, après de longs léchages de ma hampe déjà bien dressée elle sattaqua avec le bout de sa langue à mon gland pour enfin lenrober de ses douces lèvres et enfin le prendre entièrement en bouche et commencer à me pomper avec énergie.
Moi « Si,
mais cest toi que je veux,
je veux te prendre,
je veux te baiser,
viens,
»
Madeleine : « Oui », elle se laissa aller sur le tapis ouvrant le compas de ses jambes : « Oui,
prends moi,
regardes cest à toi,
je te veux,
je veux te sentir me prendre,
je te veux entre mes cuisses,
oui,
baises moi,
» elle était là, une belle femme, ou belle femelle, ouverte, offerte, gourmande, il ne me restait plus quà la satisfaire. Me positionnant entre ses jambes, elle prit mon sexe et le dirigea vers le sien, souvrant un peu plus pour maccueillir dans sa grotte damour chaude, mouillée. Je me mis à la ramoner avec douceur, la pénétrant complètement puis me retirant et la reprenant, toujours doucement, mais il y eut réaction : « Arrêtes de tamuser,
prends moi,
baises moi,
baises moi fort,
très fort,
fais moi jouir,
fais moi gémir de plaisir,
oui,
et tu mauras complètement,
continues,
OOOHHH,
OOOHHHH,
OUIIII,
restes,
je veux te sentir me remplir,
OOOOHHHH,
OUIIIII,
» entre les deux oui, javais vidé mon plaisir alors quavec un spasme important elle avait refermé ses jambes sur mes reins et cramponné de ses mains mes épaules, puis une réplique pour enfin lâchant tout elle sétait décontracté. Jen avais profité pour rouler à coté delle. Il lui fallut quelques instants pour se récupérer et se retourner contre et même sur moi et me dire : « Tu as fait fort,
jai aimé,
mais la prochaine fois,
on fera ça dans un lit,
cest plus confortable,
surtout que cest moi qui ait servi de matelas,
embrasses moi,
» puis se relevant elle récupéra sa jupette et lenfila, puis prenant son chemisier, là je larrêtais : « Que tu mettes ta jupette,
bien,
mais pas le corsage,
je veux pouvoir contempler ces belles choses,
me régaler les yeux,
»
Madeleine : « Tu ne penses pas que tu exagères,
je nai pas lhabitude de me promener les seins à lair,
bon,
bon,
si ça te fais plaisir,
pourquoi pas,
finis ton apéritif,
je misole cinq minutes,
puis nous irons diner,
pour reprendre des forces,
la soirée nest pas terminée,
du moins je lespère,
Pour ma part, je remis mon caleçon, estimant que nu, un homme na rien de bien excitant,
surtout quand il nest pas en forme,
Naturellement le repas fut chinois, cest plus facile et surtout plus simple.
Moi : « Tu sais ce que tu es,
»
Madeleine : « Oui,
une salope,
non, une belle salope,
mais cest ce que tu aimes,
viens me lécher, ... jen ai très envie,
regardes ta salope tattends,
bien ouverte,
offerte à toi,
comme tu aimes,
viens,
»
Impossible de résister à une pareille invitation et je me laissais aller entre ses cuisses à moccuper de sa chatte, toute chaude et déjà bien humide, ma bouche soccupant de ses grosses lèvres, deux doigts la fouillant avec ardeur et passant alternativement de sa chatte à sa rosette,
« Oui,
continues,
jaime ce que tu fais,
ne tarrêtes pas,
ouiiii,
je vais jouir,
continues,
OOOOHHHH,
OUIIIIIIII,
» et de faite elle ne mit pas longtemps à avoir un joli spasme, la faisant se tendre brutalement avec un joli soupir de plaisir. Et rapidement se laissant glisser au pied du lit, elle entreprit de soccuper de ma tige qui avait pris de la dureté et nattendait que ça. Doucement du bout de ses doigts, toujours parfaitement manucurés, elle commença par me caresser le sexe, puis se fut sa langue qui en lécha, très doucement la longueur, pour sarrêter sur le gland et là, à petits coups de langue lexaspéra, pour enfin le prendre entre ses lèvres, quelle avait rendues douces et humides et le sucer, avant de le prendre, à pleine bouche et commencer une pipe infernale et dont lefficacité fut insupportable que rapidement je me vidais dans sa bouche, avec un soupir de soulagement, tellement javais essayé de tenir la distance. Madeleine, se releva, naturellement complétement nue et avec un large sourire, contente delle même me dit : « Avant de partir, viens prendre un café,
ça te donnera du courage pour la journée,
». Café bu, je me dépêchais de filer, la journée devant être longue.
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