Nouvelles Sensations
Lorsque ma femme et moi faisons lamour, il lui arrive parfois de me doigter lanus pendant une fellation. Jadore sentir son doigt, préalablement mouillé par le jus de sa chatte ou lubrifié par du gel, rentrer en moi, senfoncer de 5 ou 6 cm et faire des allers-retours au rythme de sa bouche sur ma queue. Mais lorsquelle essayait de mintroduire un de ses godes, je devenais réticent et larrêtais une fois les deux premiers centimètres passés. Javais limpression dêtre déchiré en deux. Il faut dire que ses godes sont de belle taille. Elle sarrêtait là à chaque fois mais, sans jamais avoir osé lui avoué, jespérais quand même quelle insiste et aille plus loin. Pour voir. Après tout, je lui mettais bien ma pine dans le cul et, bien quau début de notre relation elle ait eu un peu de mal, elle aimait maintenant ça et en redemandait même, changeant souvent de trou elle même. Je la sentais néanmoins un peu déçue à chaque fois quelle ne pouvait aller au bout de son fantasme. Je savais, parce quelle me lavait dit, quelle aimerait me faire partager cette sensation unique.
Ce soir là, je la trouvais particulièrement câline et reconnu même cet air de salope patentée quelle affichait à chaque fois quelle avait envie de cul. Elle mavait excité toute la soirée, dabord par sa tenue vestimentaire puis par son attitude.
Elle portait un jean taille basse hyper moulant qui laissait dépasser le haut dun string que je ne connaissais pas. Elle avait encore dû faire des achats surprise. Tant mieux.
Perchée sur des escarpins de 10 cm, elle était très cambrée au niveau des reins ce qui avait pour effet de lui remonter les fesses bien haut et lui faisait un cul bien moulé comme jaime. Son corsage à moitié transparent laissait apparaître la pointe de ses seins qui se dressaient fièrement sous le fin tissu. Elle sait que jaime la mater quand elle shabille de façon provocante. Et là, cétait réussi.
À chaque fois que nous nous croisions, elle portait sa main à mon sexe, juste pour leffleurer, le titiller, afin de le maintenir au garde à vous en permanence.
Le repas vite prit, nous nous sommes assis devant la télé pour regarder des banalités puis, après avoir prit deux ou trois verres en continuant notre manège amoureux, nous nous sommes rapprochés afin de mieux sentir le corps de lautre prés de soi. Le canapé est large et nous avons toute la place voulue pour nos parties de jambes en lair (nous lavons choisi pour cela), mais nous ne sommes jamais aussi bien que lun contre lautre.
Ce ne fut pas long à venir.
Nous nous sommes retrouvés bientôt nus tous les deux, lui ayant quasiment arraché au final son nouveau string avec les dents. Elle était assise sur la banquette, le cul bien au bord, de façon à ce que je puisse la lécher sans problème. Jadore lui faire plaisir de cette façon, boire son jus intime quelle a dailleurs très abondant. Je profitais de cet instant dextase, ma langue fouillant sa chatte au plus profond puis remontant sur le clitoris tendu pour finir par un baiser sur celui-ci. Puis je redescendais de chaque coté des grandes lèvres, dans le pli de laine, pour terminer avec la pointe de la langue que je contractais au maximum pour lui pénétrer lanus de ma langue tout en lui branlant le bouton damour. Je lai fais jouir comme ça, recueillant sa cyprine, la buvant pour me saouler de ce jus qui me donnait tant de bonheur.
- à mon tour maintenant, dit-elle après un instant de récupération. Je vais te faire des trucs inédits. Assieds-toi bien confortablement mon chéri. Tu vas découvrir des choses ce soir !
Le ton quelle prenait pour me dire cela mintriguait et fit augmenter les pulsations qui agitaient ma bite. Je la savais inventive coté sexe. Elle savait toujours trouver le geste ou la situation qui me donnerait le maximum de plaisir.
Je mexécutais donc de bonne grâce sans imaginer un instant ce quelle me réservait.
Elle commença par membrasser fougueusement avec la langue tout en me caressant partout sur le corps. Javais des frissons de bonheur et mattendais à une soirée grandiose.
Elle descendit petit à petit vers mon torse puis mon ventre où elle sattarda sur le nombril tout en caressant ma queue et mes couilles. Jétais tendu comme un arc et attendais avec impatience le moment de décocher mes flèches.
Elle me fit mallonger sur le ventre pour me lécher les fesses et sattarder sur les plis de lanus avec des coups de langue de plus en plus précis et fréquents. Sa main allait de ma bite à mes couilles et dans ses mouvements de va-et-vient, elle atteignait de plus en plus lentrée de mon cul avec son pouce. Je savais quelle allait me pénétrer et jattendais cela avec impatience.
Elle prit un tube de gel qui était dans lun des tiroirs de la table basse, louvrit et après sen être largement enduit le doigt, me lenfonça avec beaucoup de délicatesse.
Je me délectais de ce moment et me mit en position de levrette afin de faciliter sa pénétration et pour quelle puisse me branler en même temps. Elle me glissait des mots cochons à loreille. Jaime ces instants où le sexe lemporte sur la tendresse et où tout peut arriver.
Je la laissais faire. Nous aimons tous les deux échanger nos rôles dominant/dominé. Cela met du piquant dans nos ébats.
Et en guise de piquant, jallais être servi.
Elle guida ma main vers ma queue en me glissant à loreille lordre de me branler en gardant les yeux fermés, pris mon autre main et introduisit mon index dans mon cul avec autorité. Jétais à sa merci et je savais quelle me préparait une surprise, mais jétais loin dimaginer laquelle. Je mastiquais donc la tige en me branlant le cul sans tricher.
Je lentendais fouiller dans un des placards du salon mais nouvrais pas les yeux pour ne pas gâcher son scénario. Une de mes mains continuait de maintenir une belle érection à ma bite et lautre sagitait sur mon anus où lindex sengouffrait profondément.
Jétais terriblement excité par cette situation de soumission car je savais, malgré mes yeux toujours fermés, quelle ne loupait rien du spectacle. Jétais son objet et jattendais tout delle.
De petits bruits du genre une ceinture quon passe se faisaient entendre. Je pouvais capter son souffle court qui en disait long sur son état dexcitation. Elle sapprocha du canapé et, première surprise, glissa sur mes yeux toujours fermés un de ces masques quon nous donne dans les avions pour pouvoir dormir tranquillement afin que je ne puisse rien voir et me fit asseoir face à elle qui était restée debout, prit mes mains, les posa sur ses seins et me demanda de la caresser en descendant doucement vers sa chatte. Sa peau était douce et chaude et mes mains couraient dessus. Jaurais voulu en avoir mille pour décupler son plaisir.
Arrivé au niveau de la taille, je senti comme une lanière de caoutchouc, tâtais un peu plus vers le bas du dos et maperçu que la lanière se perdait dans le pli de ses fesses. Ses mains me maintenaient fermement les poignets. Je savais quelle voulait diriger les opérations et me laissais faire de bonne grâce.
Je tentais bien de temps en temps un coup de langue vers sa chatte mais elle reculait à chaque fois.
Voyant que je ne tiendrai pas longtemps comme ça, elle eut pitié de moi et me prit la tête dans les mains pour la diriger vers le bas de son ventre. Jeus un mouvement de recul au moment où je senti un truc dur sur mes lèvres. Cest le moment quelle choisit pour me retirer le masque et je me retrouvais, après quelques clignements dyeux, devant un sexe dressé dune quinzaine de centimètres, de diamètre moyen, doté dun gland effilé et de deux grosses couilles à la base. Ce gode ceinture était de toute beauté.
- cest pour toi. Jai vraiment envie que tu essaye la sodomie. Touches-le, palpes-le. Tu verras, ce sont des sensations inoubliables.
Jétais grisé par ce que je voyais, javais une très forte érection et une terrible envie déjaculer devant cette situation inédite.
Rendu fou de désir par son inventivité, je me mis à branler cette queue et javançais sen trop réfléchir la bouche vers ce sexe tendu et, après un bref regard vers le sien où je pu lire toute son approbation, enfournais sa bite entre mes lèvres.
Il métait bien arrivé quelques fois de mettre un gode dans ma bouche pour lhumidifier avant de lintroduire dans ma femme, mais là, la sensation était tout autre.
Je suçais maintenant sans retenue cette queue et je dois dire que jy prenais un certain plaisir. Bien sur, je savais que derrière ce sexe se trouvait celui de ma femme et cela me rassurait. Mais jétais quand même troublé par ce que je faisais.
Elle guida ma main entre ses cuisses, écarta le latex qui servait de support au gode et me fit sentir un autre gode à lintérieur du slip qui entrait en elle et devait lui procurer autant de sensations quà moi. Décidément, elle avait pensé à tout.
Pris par ce que jétais en train de faire, je me mis à malaxer les couilles, dabord doucement puis de plus en plus jusquà vraiment les presser. Et là, deuxième surprise, un liquide épais et chaud me coula dans la bouche. Les couilles étaient munies dun réservoir et pouvaient contenir du sperme que je reconnu vite comme étant du lait en tube. Lillusion était parfaite.
Elle avait vraiment trouvé lobjet idéal et javais limpression de faire une pipe à un mec. Malgré la douceur de la peau de ma femme qui me rappelait que ce nétait pas le cas, je dois avouer que ce nétait pas désagréable du tout. Je relâchais la pression sur les couilles, ne voulant pas finir le jus tout de suite.
Elle me prit alors la tête à deux mains, me roula une pelle monumentale, mallongea dos sur la banquette, les fesses au bord du coussin et me releva les jambes de façon à ce que je les tienne au creux des genoux, comme une femme prête à se faire mettre. Après mavoir léché et enduit de gel, elle prit le gode en main et le présenta à lorée de mon cul. Nos regards se croisèrent, une lueur damour total passa et je lui fis comprendre que le moment était venu, que jétais prêt à la recevoir au plus profond de moi.
Avec une infinie douceur, elle poussa plus en avant les hanches. Je sentais le gland appuyer sur mon cul et fis mon possible pour me détendre au maximum. Elle poussa un peu plus. Le gland effilé rentra sans trop de difficulté et, une fois celui-ci complètement disparu dans mon anus, elle marqua un petit temps.
- ça va ?
- oui, ça va. Continue doucement, jai vraiment envie que tu le fasses.
Elle reprit alors son lent mouvement vers lavant et je sentais mes sphincters se relâcher au fur et à mesure de sa progression. Elle en était maintenant à la moitié et pour me récompenser du trajet déjà parcouru, se mit à me caresser les couilles et la bite de ses mains maintenant libres.
Cétait une sensation bizarre, mêlée à la fois dexcitation et dun peu de honte, honte de passer pour un enculé auprès de ma femme. Mais que ne ferais-je pas pour elle.
Après un regard vers elle, je pu lire dans ses yeux quelle prenait énormément de plaisir à ce quelle était en train de faire. Elle avait même lair fière de pouvoir ainsi me dominer en me sodomisant. Et le fait que jaccepte de bonne grâce lui prouvait tout lamour et la confiance que jai pour elle.
Elle reprit sa pénétration et arriva enfin au bout sans trop de mal. Le lubrifiant chauffant quelle mavait appliqué jouait son rôle à la perfection.
Elle était maintenant totalement dans mon cul et je pouvais sentir les deux grosses couilles sur mes fesses. Étrange sensation tout de même que de ressentir la même chose que ce que peuvent ressentir les femmes dans cette situation.
Elle commença à bouger davant en arrière et je sentais cette queue frotter lintérieur de mon anus. Cétait maintenant une sensation très agréable et je regrettais aussitôt de ne pas lavoir fait plus tôt.
Les mouvements de son bassin saccéléraient et ça chauffait maintenant dans mon trou. Mais ce nétait pas une chaleur douloureuse dirritation. Non, cétait une chaleur envahissante qui partait de lintérieur de mon cul pour remonter jusque dans mon ventre en passant par ma bite qui était tendue comme jamais elle ne lavait été. Je pouvais même sentir le veinage réaliste de cette fausse queue plus vraie que nature.
Voyant que cela me procurait du plaisir, ma femme accéléra son mouvement et me pilonnait maintenant comme un mec. Elle ne me quittait pas des yeux et, dune main me caressait le ventre pendant que lautre avait entamé une lente masturbation.
- taimes ça te faire enculer, hein mon salaud ! Tu la sens bien ma grosse bite dans ton cul de vicieux! Prends la toute, je vais te faire jouir comme jamais tas joui!
Ses mots mexcitaient au plus haut point et je ne ressentais aucune douleur, juste le plaisir de me faire sodomiser par ma femme. Elle prenait son pied à me pénétrer de la sorte, cela se voyait dans son regard lubrique. Elle me dominait et ressentait sûrement un peu de ce sentiment de puissance que tous les mecs connaissent lorsquils sodomisent une femme. Jamais plus je ne lenculerai comme avant à partir de maintenant.
Je sentais le foutre monter et un bref regard lui fit comprendre que je nallais pas tarder à venir. Elle mit alors sa main entre ses cuisses et pressa sur ses fausses couilles. Je senti le reste de liquide tiède me couler dans le cul, me remplir et remonter au plus profond de moi, (elle avait mit la dose pour une première) et je joui instantanément, ne pouvant contenir plus longtemps tout ce plaisir quelle me donnait.
Elle continuait ses allers-et-venues doucement, comme pour faire retomber la pression. Ses mains étalaient mon sperme sur mon ventre. Elle sen léchait les doigts et sen caressait les seins.
Elle se retira et je regrettais presque cette sensation de bien être que mavait procuré cette queue.
Elle me releva les jambes le plus haut possible, sabaissa et entreprit de lécher le liquide blanc qui coulait de mon cul. Elle alternait son geste avec une fellation, mélangeant le goût sucré du lait en tube avec celui plus âcre du sperme qui coulait le long de ma queue.
Nous étions arrivés à une totale intimité.
Elle remonta vers moi et membrassa fougueusement.
Puis, ayant quitté le gode ceinture, elle vînt sempaler sur ma queue encore raide. Sa chatte dégoulinait de mouille et je savais quelle aussi avait joui.
- jai tout aimé, lui glissais-je à loreille. On recommence quand tu veux
- moi aussi jai adoré. Et quand tu te seras habitué à ma fausse queue, ça mexciterait terriblement de te voir en prendre une vraie.
Sa proposition ne métonna même pas. Au contraire, cela ouvrait des horizons remplis de stupre et de luxure et je savais que notre complicité pouvait nous entrainer vers des chemins nouveaux.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!