Arroseuse Arrosée

Marie (suite)


Après cet épisode sur la péniche, j’ai fini par avouer à Marie que j’avais tout observé ; elle n’en fut pas gênée et m’avoua qu’elle m’avait vu et qu’elle s’était montrée aussi coquine pour m’exciter…

Elle avait envie maintenant de poursuivre la réalisation de ses fantasmes, pour elle et pour moi…

Quelques jours plus tard, je lui proposais de l’emmener dans un sexshop disposant de cabines que j’avais fréquentées quelques fois.
Elle sembla très intéressée par l’aventure et s’habilla sexy mais pas trop, juste une petite robe, laissant ses seins libres.

Nous arrivâmes rue St dénis et montâmes directement à l’étage.
De nombreux males, flânant, ne purent s’empêcher de la regarder avant que nous nous dirigeâmes vers une cabine.
Une fois installé, je glisser quelques pièces et m’installais dans un fauteuil, marie entre mes jambes commençant à me libérer.
La pièce exigüe contribuait à l’ambiance un peu dépravée et elle commença à me sucer doucement tout en regardant un film sur l’écran.
Au bout de quelques minutes nous avons entendu un bruit léger sur le mur avant de nous rendre compte que de petites vitres reliées les cabines. Chacun pouvait regarder ce qui se passait dans la cabine d’à coté, ou choisir de laisser sa vitre close…
Curieuse, marie s’approcha et vit un homme seul dans la cabine, en train de se caresser ; il s’approcha pour mater et Marie, exciter, entrepris de me sucer tout en le regardant. L’homme semblait s’agiter fortement devant le spectacle.
Au bout de quelques minutes, je proposais à Marie de rejoindre cet homme. Elle me regarda un peu surprise mais se rajusta, fit un signe à l’homme et sortit de notre cabine…
Je refermais la porte et me portais immédiatement derrière la vitre
Je vis l’homme ouvrir sa porte et Marie entrer, sans hésitation.
Aussitôt il la caressa, découvrant ses seins qu’il lécha et mordilla, puis descendit vers son petit string qu’il écarta.

Il la caressa longuement puis se rassis dans le fauteuil et je vis ma belle épouse le prendre dans sa bouche.
Quel spectacle ! Elle le léchait, suçait avec avidité tout en tournant de temps en temps son visage vers moi.
Elle descendit vers ses couilles qu’elle lécha longuement, désireuse de faire durer l’instant.
Tout à coup la porte s’ouvrit ! visiblement un client qui pensait trouver une cabine vide…devant le spectacle, il hésita quelques secondes puis entra.
Aussitôt il se positionna derrière Marie, relavant sa robe, caressant ses fesses, puis il libera un sexe assez gros et le plongea dans sa petite fente.
Marie continua à sucer l’homme dans son fauteuil qui visiblement essaya de se retenir avant de se libérer dans sa bouche.
Marie se releva et se positionnant devant la vitre, me montra sa langue souillée avant de tout avaler.
Le deuxième homme s’assit à son tour pour se faire sucer et lécher, laissant le premier quitter la cabine.
Visiblement ce dernier fit part de l’opportunité car quelques instants plus tard, 2 magrébins entrèrent précipitamment.
J’hésitais à intervenir mais l’excitation l’emporta.
Ils commencèrent à caresser Marie, profitant de ses seins, enfonçant des doigts dans se petite chatte et son cul.
L’homme se vida à son tour dans sa bouche et quitta la cabine, la laissant avec les 2 nouveaux.
Le plus vieux baissa son pantalon et se mis à genoux sur le fauteuil, lui présentant ses fesses.
Le deuxième poussa le visage de Marie vers son sillon où sa bouche disparu.
Elle lécha ce cul avec avidité, léchant et mouillant son anus pendant que l’autre enfonçait doucement sa bite dans son cul.
Il commença à la défoncer pendant que son copain se retournait et lui présentait sa bite douteuse.
Elle le lécha sans hésiter avant qu’ils ne décident d’intervertir.
Ils passèrent ainsi de sa bouche à son cul pendant plusieurs minutes avant chacun de jouir, l’un dans son cul, l’autre dans sa bouche et de se faire bien nettoyer…
Ils restèrent ainsi plusieurs secondes à se faire lécher puis je vis Marie sursauter ! le plus jeune pissait dans sa bouche alors qu’elle le suçait.
Il la força à recevoir son liquide jaune en la tenant fermement par les cheveux, avant que le deuxième ne viennent à son tour pisser dans sa bouche et sur son visage.
Ils partirent enfin et je pus prendre Marie dans mes bras, avant qu’elle ne me branle sur ses seins, visiblement plus excitée que traumatisée…