Les Aventures De Barbara (Iii)
LES AVENTURES DE BABARA (III)
Après leur soirée de débauche, les trois amies se sont endormies ensemble dans le
grand lit dune des chambres de létage. Ce matin de très bonne heure, Catherine
sest levée discrètement, a procédé à une toilette coquette, rempli une élégante valise
de quelques tenues de ville et sen est allée prendre un TGV pour Paris : quelques
contacts daffaires lattendent. Elle a laissé un petit mot à Barbara :
« Ma chérie, comme tu le sais je pars trois jours à Paris. Profite tant que tu voudras et
avec qui tu voudras de mon appartement. À bientôt pour de nouvelles aventures !
Baisers, Cathy. »
Vers 9:00 à son tour Barbara a ouvert les yeux. Un regard pour Laurence toujours
endormie elle en a tant besoin, après le traitement qui lui fut prodigué
Dans la
salle de bain flottait encore le parfum de Catherine, et les sens de la brune
chasseresse sen sont trouvés ravivés. Déjà. Sur le même feuillet que la voyageuse,
elle a écrit à Laurence :
« Petite chatte, je dois aller à la boutique. Ne mas-tu pas dit que tu es en congés pour
quelques jours ? Reste donc ici jusquà mon retour en fin de journée. Dans larmoire
tu trouveras quelques affaires fraîches pour te changer : de la lingerie évidemment. Ne
tavise pas de porter autre chose, et veille à être bien disponible et accueillante à mon
retour. Une claque sur tes fesses, Barbara. »
La matinée sécoule sans surprise au magasin. Enfin, il est près de midi quand
lhistoire semble prête à se répéter, par lentrée dune cliente apparemment « en
demande ». Mais le hasard, ou la loi des séries, font bien les choses en variant pour
Barbara le style de ses rencontres : voici maintenant une femme de quarante-cinq ou
cinquante ans, grande, élancée, vraiment classe avec ses cheveux blonds taillés très
courts sur un visage légèrement hautain, au nez bien régulier quoiquun peu long, aux
lèvres minces.
jambe nerveux, présage de cuisses fines et musclées ; un profond décolleté en « V »,
porté sans soutien-gorge, laisse fugacement apparaître, à la faveur de certaines
postures obliques, les roses de tous petits seins très hauts ; la peau claire, peut-être
un rien sèche, ajoute encore au côté aristocratique de la personne. Donc la cliente
hésite, Barbara sapproche delle et la conseille sur un joli diffuseur de parfums. On
névite pas les frôlements. Cela se terminera-t-il encore dans larrière boutique ?
Non, car la cliente élude, sur un ton presque sec, une si prompte concrétisation :
- Malheureusement je naurai pas le temps de faire mon choix : jai maintenant une
petite obligation et suis déjà presque en retard
Je repasserai sûrement dans une
demi-heure environ.
- Hélas je dois fermer pour le déjeuner, cest dommage, répond habilement Barbara.
- Comment, vous ne mattendriez pas, Mademoiselle ? (Cela dit dans un sourire).
- Cest que je dois passer chez ma petite coiffeuse
Cest une amie qui accepte de
me prendre entre midi et deux, et cest bien pratique de pouvoir en profiter.
- Ah, évidemment
Mais tenez, justement, je cherche un bon salon de coiffure pour
prendre rendez-vous. Jaimerais essayer une nouvelle couleur
Cest une bonne
adresse ?
- Oh oui, cest très bien. « Hélios coiffure », 126 rue Paradis ; cest à cinq minutes à
pieds.
- Alors je vais y passer. Peut-être vous y retrouverai-je ?
- Je lespère ! Mais faites attention, à cette heure-ci elle ne reçoit que ses meilleures
clientes, et le rideau de fer est parfois tiré : elle ne veut pas être dérangée. Passez par
lentrée de limmeuble, il y a un bouton « ouvre porte ». Ensuite, dans le couloir, la
première petite porte à gauche, et vous serez directement dans le salon.
- Quel suspense ! Cest très excitant
- Entrez sans frapper, je laurai prévenue.
- Je serai donc bien attendue ?
- Avec impatience !
Barbara agrémente cette réponse un peu osée dun clin dil délicat qui provoque
chez la visiteuse le rire discret dont elle ponctue sa sortie.
12:35. Jeanne, la blonde élégante, marche dans la rue Paradis dun pas vif. Toujours
ouverte aux imprévus sensuels, cest souvent à la délicatesse de partenaires
féminines quelle accorde sa préférence, et la possibilité dune nouvelle aventure à
trois, qui sait ? la trouble et lenchante. Enfin elle arrive devant le numéro 126, rideau
de fer tiré. Impatience du désir. Lentrée de limmeuble ; un couloir banal. Quelques
mètres, puis la petite porte à gauche. Elle frappe : rien. Si, elle entend comme lécho
dune sorte de grincement régulier, à lintérieur. Elle entre, pleine de curiosité.
Alors, tout sexplique en une vision originale : sur un confortable fauteuil à roulettes est
installée Barbara, torse nu, sa jupe courte retroussée laissant apparaître ses porte-
jarretelles, alors quassise en équilibre au sommet du dossier, cuisses écartées de
part et dautre de son visage, se tient une cavalière poids plume entièrement dévêtue,
toute brune de peau et de cheveux courts, agrippée de la main gauche à larête dun
mur, et de la droite au casque de coiffure le plus proche ! Barbara elle-même maintient
fermement de ses deux mains les fesses entrouvertes, et profite de cette acrobatique
position pour lécher, embrasser et gober le clitoris, la vulve, enfin toute lintimité de la
petite équilibriste. Le fauteuil tangue et couine sous laction difficilement contrôlée des
amantes. Les découvrant, Jeanne ne peut retenir un petit cri de surprise qui ne semble
pas perturber les cascadeuses, il est vrai bien absorbées par leur expérimentation.
coup, elle se joint bien vite à léquipée. Il lui suffit de sapprocher de quelques pas et
de se pencher en calant bien ses mains sur les accoudoirs, elle peut alors darder sa
langue à lorée de lanus de la brunette, qui à son tour manifeste un léger étonnement.
Mais elle était avertie dune visite agréable et profite de la situation, sa main droite
quittant son appui précédent pour venir caresser les cheveux et la nuque de lamie
imprévue, lencourageant dans son action. Jeanne, se sentant volontiers acceptée,
intensifie sa lèche et lâche dune main le fauteuil pour titiller un téton de Barbara, et
découvrir le modelé, la rondeur, le grain de peau du sein. Jeu dangereux : le siège,
mobile sur ses roulettes, sen trouve moins sérieusement maintenu et laction des
trois amazones en devient plus périlleuse. Heureusement, lorgasme vient pour la
cavalière, avec un cri de joie. Mais elle en perd léquilibre, elle glisse ! Jambes en lair
la voici qui bascule en arrière
heureusement Jeanne est là qui lenserre entre ses
bras, pendant que Barbara se lève vivement pour lui prêter main forte. Un instant et le
fauteuil bascule à terre, la petite brune est maintenue, quasiment à lhorizontale et
sans toucher le sol par ses deux partenaires, Jeanne derrière elle, et Barbara devant,
ayant adroitement ressaisi ses fesses. On éclate de rire ; la bouche de Barbara
rencontre allègrement deux petits seins tout bronzés
et lon se remet daplomb.
Il est temps de faire les présentations :
- Bonjour ! Moi cest Hayet, déclare la petite délurée.
- Enchantée, je suis Jeanne.
- Et moi, Barbara !
On rit, on échange des bisous, des baisers, à deux, à trois, sur la bouche, les épaules,
dans le cou ; lestement Jeanne se défait de sa petite robe noire, Barbara de sa jupe,
sans que cessent les embrassades, parfois à la volée pour gober, mordiller un tétin
dressé, ou laper le lobe dune oreille.
adroitement la chair rosée ou brune des seins, avant de sinsinuer entre les cuisses
de lune ou de lautre. Sourires, petits mots doux ou coquins, demandes de caresses
plus précises, ainsi continue lorgie lesbienne. Bientôt Barbara se retrouve au centre
de toutes les attentions, ses deux seins cajolés par des lèvres gourmandes,
cependant que Jeanne commence à pénétrer manuellement son accueillant vagin.
Puis, comme à regret, Hayet se détache de sa poitrine, laissant un instant les deux
belles en duo. Aussitôt Jeanne sent un souffle au creux de son oreille :
- Tu naimerais pas la goder ?
- Bien sur que si
Tu as ce quil faut ?
- Tiens, regarde !
Hayet lui présente un magnifique gode-ceinture rouge, de forme harmonieuse et dun
beau volume, long et bien dressé. Bien vite la jolie bourgeoise sen équipe. Pendant
ce temps, Barbara sest assise au bord du plan de travail de la coiffeuse et a bien
écarté ses cuisses ambrées, polies, et comme serties de leurs noires jarretières. Elle
est prête pour la saillie. Jeanne sapproche avec une aisance toute masculine, mais
sans se départir de sa naturelle élégance, et lenfile dun coup de reins superbement
maîtrisé. Aussitôt, Barbara enserre de ses jambes la taille de sa compagne, dans un
geste damante comblée, en ayant soin de bien tendre ses pieds gainés de soie pour
parfaire la plastique de leur étreinte. Hayet, littéralement conquise, se penche à
larrière du couple pour pratiquer une feuille de rose à Jeanne, afin de stimuler encore,
par ce surcroît de vice, lardeur de la pénétrante. Et le rythme en effet sintensifie
quelque peu, la blonde et la brune échangeant un profond baiser. Mais Barbara
éloigne son beau visage :
- Attends, Jeanne, ralentis un peu, sinon je vais venir tout de suite
- Là
Cest mieux, comme ça ?
- Oui, merci, tu es géniale
Garde bien ce rythme.
Leur danse est maintenant parfaitement synchronisée. Hayet se lève pour les
contempler. Ces deux là sont faites pour sentendre, pense-t-elle. Barbara la vue et lui
sourit :
- Hayet, tiens, regarde dans mon sac
prend mon portable
filme-nous, tu veux ?
Hayet sexécute bien vite et filme sous différents angles les amoureuses, contrainte
parfois à se masturber devant un spectacle qui la ravit. Barbara donne en effet libre
court à sa sensualité, renversant sa tête en arrière dans une cascade de cheveux
noirs, offrant les globes de ses seins à tous les hommages de Jeanne, qui bientôt
senflamme :
- Tourne-toi ! Mais tourne-toi bon sang ! Je te prends par derrière !
Barbara éclate de rire tout en la repoussant de ses deux mains, la forçant à se retirer.
Mais ce nest que pour exhausser le vux de sa compagne : debout elle se retourne et
lui offre sa croupe dans le même élan. Hayet intervient adroitement et, du majeur, étale
une belle noisette de gel à lentrée de lorifice culier qui immédiatement se dilate.
Jeanne est toute proche. Le gode entre sans peine.
- Filme encore ! De près
de plus loin
voilà
Ah
cest trop bon
Jeanne
Jeanne
.
Barbara ne peut bientôt plus diriger la mise en scène. Lorgasme la comble,
cependant que Jeanne, toujours altière dans son ardeur charnelle, la pilonne
vaillamment ; encore lucide, elle décalotte de sa main droite, par devant, le clitoris bien
érigé. Mais elle est à son tour emportée, à la fois actrice et spectatrice, et finit par se
dérégler totalement, sagrippant aux épaules de sa proie, sunissant à ses cris. Les
deux chancellent et finissent à genoux. Jeanne sabandonne, couchée sur le dos,
cependant que Barbara la libère du joli harnais. Hayet les rejoint au sol, et se penche
tendrement sur sa nouvelle copine, déposant de nombreux baisers sur son visage, sa
bouche, sa gorge, suçotant encore et encore les petits tétons roses ; simultanément
les doigts de Barbara entrent sans peine dans le vagin trempé de Jeanne : deux,
quatre, six, les deux mains presque entières tant elle est en chaleur, offerte, béante.
- Tu vas la prendre, Hayet. Avec le plus gros.
- Oui, mais
mais laisse-moi lembrasser encore
sil te plait
- Non ! Tu exagères, ma chérie ! Maintenant cest à moi de la cajoler. Elle ma trop bien
baisée. Va vite téquiper, au lieu de lexciter encore, tu vois bien quelle demande
Barbara écarte donc Hayet du corps de Jeanne. Cest elle qui commande, non ? Ses
mains parcourent les cuisses, les fesses par-dessous, puis le torse de la blonde qui
se cambre. Généreuse et imaginative, Barbara dispense ses hommages, de la
langue, des lèvres, ou plus savamment des deux à la fois. Puis elle retourne sa
conquête, à quatre pattes, comme une poupée quelle manipulerait avec curiosité et
aisance. Jeanne ne peut plus que gémir, ou articuler vaguement :
- Prenez-moi
prenez-moi
Hayet
vite
Hayet justement na pas perdu son temps. Elle revient harnaché dun gode-monstre,
dun diamètre anormal et dune longueur telle quil lui pend quelque peut vers lavant,
presque à hauteur de ses genoux. Laccessoire est totalement disproportionné par
rapport au petit gabarit de celle qui le porte fièrement, toute brune, seins pointus,
rieuse de ses vices si joyeusement assumés. Par derrière, accroupie, elle se met en
batterie. Jeanne se retourne pour découvrir ce qui lattend. La main de Barbara
dispose le gland improbable contre les lèvres ruisselantes, qui déjà font ventouse et
semblent disposées à aspirer delles-mêmes le phallus tout entier.
- Attend Hayet ; tiens-toi prête, mais nentre pas tout de suite.
Barbara ayant donné ses instructions, elle se glisse adroitement sous le corps de
Jeanne, tête-bêche, pour amorcer un 69. Elle darde sa langue contre le clito,
provoquant de nouvelles sécrétions sil en était besoin. Jeanne répond à linitiative et
embrasse dabord respectueusement, puis avec plus de fantaisie, la fleur présentée à
ses yeux.
- Maintenant tu peux y aller, Hayet, commande simplement Barbara.
Jeanne, quoi que prévenue, doit se redresser sous lassaut enfin accompli : le gland
est entré, suivi dune bonne douzaine de centimètres du gigantesque membre
artificiel. Elle hurle. Lengin est dune telle dimension quil ne peut tout dabord aller et
venir. Jeanne reste ainsi un moment fourrée, habitée par ce corps étranger qui épouse
ses entrailles jusquà en devenir comme partie intégrante. Puis, très lentement,
commence le mouvement. La sensation est indescriptible, et plonge lélégante dans
un état dorgasme quasi permanent.
Dès lors, les dérèglements des trois lesbiennes nont plus aucune limite ; seule
Barbara reste dune admirable lucidité. Dabord elle abandonne sa position couchée,
et aide les deux amies, littéralement imbriquées, à se relever. Évidemment, le gode
est si gros quil ne peut se décoquiller, et elles semblent irrémédiablement reliées
lune à lautre. Non sans peine, elles se stabilisent dans la position la plus viable
compte tenu de la différence de leurs statures. Jeanne, la grande, est penchée en
avant, jambes fléchies, et sagrippe à la bordure dun plan de travail, tandis que Hayet,
la petite, est plaquée derrière elle, presque sur la pointe des pieds, pour assurer le va
et vient pénétrant. Alors Barbara prend un peu de recul et les admire, calme,
déterminée. On peut aller encore plus loin, pense-t-elle, de telles occasions ne se
gâchent pas. Aussi récupère-t-elle le premier gode utilisé. Équipée, elle prépare un
peu de gel lubrifiant au bout de ses doigts et sapproche de Hayet par derrière.
- Tu es prête mon amour ? Je vais essayer de tenculer.
- Tu crois ? Tu es à la bonne hauteur ?
- Ça devrait aller
Voilà
un peu de gel. Non, ne bouge pas, reste comme tu es, cest
moi qui madapte.
La voix est bien posée, et la manuvre sûre. Barbara sintroduit facilement et pilonne
immédiatement le cul de la petite coiffeuse, créant une terrible dynamique qui se
répercute dans le corps de Jeanne maintenant radieuse, comme en délire. Mais ce
nest pas tout : après quelques minutes de cette chevauchée fantastique, Barbara
entreprend de balader tout le groupe, et initie un déplacement collectif ! Jeanne se voit
soudain contrainte dabandonner son point dappuis, tandis que soudée à elle Hayet
perd contact avec le sol, et ne peut quenserrer de ses cuisses, par devant, le haut des
jambes de son amante. Dans cet attelage, Jeanne ne peut mettre un pied devant
lautre, mais pourtant Barbara est là, derrière elles, qui maintient sa pression et veut
les forcer à pivoter
Comment faire ? Les trois commencent alors à sautiller, dabord
sur place dans un mouvement tournant, essayant daccorder leurs respirations, pour
tenter ensuite de rejoindre larête du mur le plus proche, à deux ou trois mètres de là.
Le voyage, tout en secousses successives, semble interminable et décuple sil en
était besoin leffet dévastateur des pénétrations. Leffort des trois audacieuses libère
des ruissellements de cyprine entre les cuisses bandées, tétanisées par leffort.
Arrivées à bon port elles se fixent enfin, Jeanne ayant à nouveau trouvé où saccrocher,
Hayet, empalée, se réjouissant dun orgasme anal attendu et retardé par la grâce de
lhabileté de Barbara, laquelle déclanche le délire final, fière de ses partenaires :
- Super les filles ! Allez, on lâche tout.
Elle a passé une main entre ses cuisses et, écartant les lanières de cuir, sest
pénétrée de plusieurs doigts, sans trop savoir combien tant sa chair était tendre et
humide. La jouissance est donc triple, enfin, ponctuée de cris joyeux et de baisers en
désordre.
Enfin lon touche terre, létreinte se défait. Repos câlin à même le sol...
13:55. Dans la rue Barbara retourne dun pas vif vers sa boutique. De son sac elle a
tiré son portable. Elle pianote tout en marchant, procédant à lenvoi de la vidéo de ses
derniers ébats. Destinataire : Laurence.
(À SUIVRE)
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