Collection Nuit De Noël. Le Père Noël Est Une Ordure (1/1)

Aujourd’hui, j’écris un texte que je demanderais de publier le 25 décembre.
J’ai donc décidé de créer une nouvelle collection : « Nuit de Noël ».
Mais aussi une autre : « Nuit de la Saint Sylvestre ».
Ces deux collections grossiront d’un texte par an.
Pour cette année, j’ai choisi « Le père Noël est une ordure » pour vous divertir.

• Louis met ta lettre au père Noël dans cette boîte, un elfe va venir la ramasser et le matin de Noël, si tu es sage, tu auras tes cadeaux.
• Maman, le père Noël, il va m’apporter tout ce que j’ai demandé dedans !
• Tout c’est beaucoup dire, mais au moins le camion de pompiers.
• Il aura une sirène et une lumière qui tourne !
• Il aura tout ça si tu es sage, tu sais le père Noël à peu de temps pour distribuer tous les joujoux aux s du monde entier.

Au moment où il glisse sa lettre dans la boîte placée là par la poste, je vois le dessin qu’il a fait sur l’enveloppe.
Un traineau, le père Noël et ses rennes.
Autour il a dessiné quatre petits êtres qui volent comme des lucioles.
Nous rentrons, le camion est déjà acheté et se trouve caché dans le garage de notre pavillon avec la panoplie de super-héros dont il rêve.
Avec Jean, nous avons volontairement oublié la console qu’il désirait, nous sommes pour des jeux d’s et contre ces jouets électronique pour un garçon de cinq ans.
Le vingt-quatre décembre, nous avons du mal à envoyer Yann au lit.
Il s’est mis dans l’idée d’attendre la venue du père Noël qui va descendre par notre cheminer dans notre salon.
Les bûches sont prêtes à être allumées dès que nous aurons réussi à le coucher afin de faire le feu de joie.
Après avoir mangé le repas de Noël que j’ai préparé toute la journée, je m’étendrais sur la fausse peau d’ours.
Jean me dégrafera ma robe du soir, nous nous allongerons et il me prendra à en perdre la tête
En temps normal, je couche Yann dès le retour de son père vers 20 heures.

C’est un gros dormeur et il va se coucher sans rechigner.
Ce soir, il est 21 heures quand ses yeux sont fermés, allongé sur ce qui j’espère sera notre terrain de jeu plutôt érotique avec Jean après nous-mêmes avoir attendu le père Noël à minuit.

• Sylvie allume les bougies, je vais le coucher.

Il le prend délicatement et évitant qu’il se réveille, il part dans le couloir de notre pavillon.

Le repas est très fin, du moins c’est ce qu’il me dit après avoir retourné la bouteille de champagne qu’il a finie seul.
Sans être pour la ligue antialcoolique, les excès de Louis, mon père que nous retrouverons demain midi habitant à quelques maisons de chez nous, m’ont dissuadé de boire.
Tout juste, à l’apéritif, je nous concède un mojito avec du rhum, ce qui a tendance à me rendre pompette tant que je suis à jeun.
Mojito plus champagne, Jean arrive à me coucher sur la peau de bête devant les flammes de la grosse buche de Noël qui brûle pour cette nuit magique.
Mon cadeau de Noël, c’est maintenant qu’il doit me le donner.
Une fille qui naitra dans neuf mois.
Quand relevant la tête au moment de lui faire une fellation, je m’aperçois qu’il s’est endormi.
Frustré, on le saurait à moins, je le quitte trainant ma robe longue derrière moi et entièrement nue, je vais me coucher.
Je me souviendrais de ce Noël jusqu’à la nuit des temps.

• Père Noël, nous vous avons amené Sylvie, la maman de Yann qui vous a écrit.
• Ou suis-je, je vais me réveiller et pourquoi suis-je nue sur ce lit ?
• Mes elfes vous ont trouvé seule dans votre lit dans cette tenue, ils ont simplement décidé de vous amener dans ma cabane du côté du Groenland.
Je sais que vous vous battez dans divers pays pour si mon lieu de vie.
Moi je sais bien qu’avec la mère Noël, mes elfes et mes reines, nous résidons toute l’année au Nord du Groenland.
• C’est loin de me dire ce que je fais là entièrement nue !
• Tous les ans parmi les tonnes de courrier que je reçois, la mère Noël avec son grand âge me choisit une partenaire pour la nuit avant d’aller comme Yann ce coucher.
Elle est si vieille qu’elle a perdu le goût de baiser et accepte que je la trompe cette seule nuit de l’année.
• Mais en ce moment vous devez être en train de faire votre tournée père Noël.

J’ai du boire trop de mojito et je vais me réveiller, que me veux ce vieux monsieur à la barbe blanche et en costume de père Noël rouge.
Je prends conscience de ma nudité, je croise mes bras l’un sur ma poitrine, l’autre sur ma chatte épilée ou Gladys, mon esthéticienne, me laisse une petite touffe noire du meilleur effet.

• Parce que tu crois encore au père Noël Sylvie !
Il y a bien longtemps que j’ai arrêté de me geler mes vieilles couilles sur mon traîneau avec mes rennes et mes elfes.
Nous sommes modernes, nous confions ça à « Amazon » « Cdiscount » ou « rue du Commerce » du moins pour la France.
Amazon dans le monde entier.
• Vous avez dit que vous aviez choisi la lettre de Yann, pourquoi la sienne.
• C’est simple, regardez, vous la reconnaissez !

Sortie de nulle part un petit être aussi nu que moi se retrouve sur le lit me tendant une enveloppe et une lettre.
Même traineau, même monsieur à la barbe blanche, même rennes, mais les petites lucioles ont disparu.
Intrigué je lis la lette écrite de plusieurs couleurs avec ses feutres.
La liste parlant de la console, du camion de pompiers, du costume de superman est là, mais en fin de lettre une phrase m’interpelle.

« Pour ma maman, je veux une nuit de folie pour elle, papa a trop bu et s’est endormi.
Si tes elfes et toi pouviez la satisfaire, je serais le plus gentil des petits garçons toute l’année.
Yann. »

C’est impensable, comment mon fils la prunelle de mes yeux peut-il m’offrir au père Noël et ses elfes.
Sans ce que je sache comment, trois autres petits êtres aussi nus que celui qui m’a donné la lettre semble sortir de dessous le lit.

• Il en avait dessiné quatre, ce soir, ils seront quatre avec moi à s’occuper de te rendre heureuse.
S’il en avait dessiné douze, j’en aurais fait venir douze, dommage pour toi.
Au bout de ta nuit d’amour avec mes elfes, je t’honorerais une seule fois.
C’est ce que me tolère la mère Noël après, j’attendrais un an.
Sois décontract, j’ai envoyé deux de mes elfes chez toi, dès que ton mari ou ton fils bougent, je serais prévenu.

Autour de moi, on s’active, je cherche à repousser un petit être décidé à me sucer la poitrine.
Depuis mon mariage, je suis fidèle à Jean, même quand il a un comportement comme hier, j’ai eu tendance à regarder d’autres hommes dans la rue.
Et dire que lorsqu’il m’a demandé ce que j’aimerais comme cadeau, j’ai dit ma fille.
En échange, j’avais accepté qu’il me sodomise.
Ça fait des années qu’il souhaite me prendre mon anus et que je repousse l’échéance.
Je pensais lui offrir cette nuit.
Comme je viens de le dire, je suis fidèle, sauf il y a trois jours où nous buvions un verre avec Maryse, mon amie, mariée elle aussi.
Un homme nous a interpellés.
Il me regardait avec insistance et sentant que tout rapprochement était voué à l’échec, c’est Maryse qui m’a quitté pour aller se faire sauter.
Je savais qu’elle était infidèle et quand je les ai vus entrer dans l’hôtel en face, je savais que c’était la réalité.
La nuit suivante, Jean s’est rapidement endormi et retrouvant de vieilles habitudes d’une discrète masturbation me laissant insatisfaite.
Mon fils aurait-il ressenti ces frustrations pour m’offrir au père Noël.
Luttez contre un homme seul, je pense que je serais capable de le faire bien que cela risque peu de m’arriver quand je vois l’abandon de mon mari.
Quatre elfes, je rends rapidement les armes avec délice.
Je devrais éviter de le dire, reconnaissant mon adultère surtout quand ce sont quatre bites qui veulent s’occuper de moi.
On l’a vu, mes seins, je repousse à droite, c’est le gauche qui est aspiré.
Ma bouche, je repousse cette verge qui se présente, mais quoi faire quand une bouche se colle à ma chatte.
C’est là que je cède, mon clitoris étant ma faiblesse les rares fois où Jean me pratique un cunnilingus.
La bite de celui près de ma bouche profite de mon étonnement pour entrer jusqu’au fond de ma gorge.
Mes seins, ma chatte, ma bouche tous ces points sensibles de mon corps sont sollicités en même temps et je sens qu’il s’échauffe.
Au plus profond de mon être, je sens qu’une boule commence à m’envahir.
D’un coup, la bouche de l’elfe me suçant la chatte me quitte, vite remplacée par sa verge sensiblement aussi grosse que celle de Jean.
Dans ma bouche, je peux voir que la bite de l’un d’eux est disproportionnée en rapport de leur corps.
La boule monte et commence à éclater, quand un orgasme me traverse.
Un endroit de mon corps se trouve libéré quand une autre est de nouveau investie.
Quatre elfes, me broutant, me suçant, me baisant, pendant combien de temps.
Moi qui m’étais couchée frustrée, quand je vois le père Noël sortir sa verge noueuse sortir de son pantalon rouge et me la mettre dans ma bouche, je prends un peu peur.
La vache, noueuse et grosse , un vrai gourdin, la mère Noël a dû s’amuser dans sa jeunesse avec une telle verge.
Comment je me retrouve en levrette, mystère de plus et quand papa Noël entre en moi, j’ai le plus gros orgasme de mon existence ?
Comme par magie, comme pour ma venue dans ce lit, je suis en équilibre sur le gros ventre du père Noël empalé par la chatte.
C’est à ce moment que l’impensable ce produit, un des elfes me prends par ma rosette.
Jean voulait m’enculer en échange d’un deuxième alors que ce sont un elfe et le père Noël qui me prenne en double pénétration.
Je sens toutes les verges des elfes et du père Noël déchargeant leur sperme.
Je suis aux anges et je sombre en même temps qu’un dernier orgasme.

• Maman, maman, tu viens, je suis réveillé, viens, on va voir mes cadeaux.

Mon premier réflexe, c’est de passer ma main sous le drap pour me toucher.
Loin de vouloir me procurer un nouveau plaisir, ce que je cherche c’est le sperme que j’ai senti gicler sur tout mon corps là-bas au Groenland.
Ouf, c’était un cauchemar, je suis aussi propre que lorsque je me suis couchée.
Jean est près de moi, il a dû me rejoindre dans la nuit.
Mon fils parti vers le sapin en courant suivi par Jean en slip.
Je suis nue et heureusement propre.
Je peux me lever pour mettre mon peignoir et les rejoindre.
Je me passe un doigt sur l’anus, il est sensible.
Ma nuit féérique a-t-elle été réelle ?
Ai-je baisé avec le père Noël et ses elfes ?

• Maman, le père Noël a été gentil regarde mon camion de pompier et ma tenue de superman.
Regarde un autre paquet avec Yann marqué déçu.
Super ma console, il est gentil le père Noël.
Il y a un jeu, papa installe là, je vais jouer.

Je prends le jeu dans ma main et je regarde.
Comme écrit dans le titre, le père Noël est une ordure :
« Joue avec maman, le père Noël et ses elfes. »
Je me liquéfie.

• On avait dit pas de jeu électronique.
• J’ai eu peur qu’il soit déçu.
• Tient voici mon cadeau, excuse pour cette nuit.

Un collier, une bague, la boîte est plus grosse.
Je l’ouvre, deux paires de menottes avec du velours rose.

• Va dans notre chambre, j’arrive.
Je lui installe sa console et j’arrive, tu vas m’offrir mon cadeau.

Il me rejoint, ferme la porte à clef.
J’ai envie de me ruer dans la salle, pour arrêter ce jeu où la maman doit jouer avec les elfes et le père Noël à des jeux loin d’être regardable pour un fils de son âge.
Ce serait me dévoiler et avouer que cette nuit comme par magie, je me suis trouvé pris en double pénétration par le père Noël et les petites lucioles dessinés par Yann.
Comment puis-je aller arrêter ce jeu les mains attachées aux barreaux de notre lit par les menottes que viens de m’offrir mon mari ?
Impossible surtout quand Jean me soulève les jambes dégageant ma chatte et mon anus.
Un doigt dans ma chatte, le pouce dans mon anus, il me masturbe à m’en faire mouiller nos draps que je vais devoir changer.
Et que dire quand sa verge entre dans mon anus ?
Je crie mordant le coin de mon oreiller tellement cette pénétration anale me donne du plaisir.
L’elfe qui cette nuit m’a fait sauter la rondelle m’a préparé à cette pénétration maritale.
Quand revenant dans ma chatte et qu’il se déverse, je suis sûr que je viens de recevoir mon cadeau de Noël.
Revenue une deuxième fois sur terre après le Groenland et maintenant Jean, il me détache.

Pas si ordure que ça le père Noël simplement un peu taquin.

• Maman, c’est toi qui as gagné, tu as attrapé un maximum des elfes du père Noël.
Tu fais une partie avec moi !
• Joue avec ton papa, je suis sûr qu’il rêve d’attr des lucioles, je vais me préparer, nous allons manger la dinde chez tes grands-parents.

Voilà, c’était mon conte de Noël, mon cadeau, il s’est confirmé à l’écographie quelques semaines suivantes.
Une fille conçut dans la nuit ou au matin de Noël.
Un seul doute que je vais bien vite enfouir dans ma mémoire.
Le père, Jean, les elfes ou le père Noël ?