Gisèle5
P Avec l'autre couple nous nous regardions un peu bizarrement. Qui étaient-ils des complices ?... de victimes comme nous ? Je pense qu'ils se demandaient la même chose. Fabrice déclara :
"Bon ! Que je vois si mes ordres ont été suivis ! Par qui je commence ! Allez Nadine c'est toi qui t'y colle !"
Je le vis se tourner vers elle et passer la main sous la table. Il ponctua ses gestes tout d'abord d'un "bien
bien
" puis d'un "écartes !". A priori il lui avait ouvert le bas de son imperméable. A l'instar de Gisèle était-elle nue aussi ? La réponse fut à peu près claire. Retirant sa main de dessous la table, il nous désigna son doigt luisant et nous le fit sentir à Gisèle et à moi et disant :
"Sentez donc comme elle mouille cette truie !"
Puis il fit lécher son doigt par Nadine avant de reprendre son exploration cette fois au dessus de la table puisqu'il déboutonna le vêtement sans trop l'ouvrir, soit, mais en le laissant suffisamment ouverte pour que l'on puisse bien remarquer qu'elle ne portait rien en dessous. La femme ferma les yeux et soupira comme sous le coup d'une forte émotion. Se tournant vers ma femme, il lança simplement :
"Et toi ?" et il se lança dans le même cérémonial commandant à un certain moment "les cuisses !". Je compris, et autre aussi sans doute, qu'il demandait l'ouverture du compas de ses jambes. Un doit aussi brillant que tout à l'heure fit son apparition pour passer sous le nez du couple avec ce commentaire :
"Et elle ? Elle n'est aussi salope ?".
Gisèle fut aussi contrainte de laper le médius souillé. Il acheva ensuite le déboutonnage du haut s'arrangeant pour faire voir ses seins à ceux d'en face. Apparemment satisfait il dit :
"Bon ! C'est bien tout çà ! On va pas tarder à y aller ! A moins que
ouais ! J'ai une idée ! Les gonzesses allez m'attendre devant les toilettes. Vous les mecs vous restez là !"
Il se leva les femmes aussi serrant peu ou prou leur vêtement contre elles pour tenter de masquer leurs appâts.
G Après l'humiliante vérification de Fabrice je me retrouvais dans ce couloir négligé avec l'autre femme. Je lui demandais :
"Que va-t-il se passer ?"
"Je ne sais pas trop ! Je suis e d'obéir
il me fait chanter !"
"Moi aussi
."
Du coup elle me fut plus sympathique bien que ses ébats photographiés ne me semblaient pas emprunts de trop de contrainte. Pouvais-je lui jeter la pierre ? J'étais bien mal placée
.
Je vis revenir Fabrice. Il était accompagné de deux hommes. J'eus peur de comprendre
.
D'un geste autoritaire il nous fit entrer dans les toilettes. Les hommes nous suivirent. Il s'adressa à eux :
"Vous voulez peut-être voir la marchandise ?"
En disant ceci il avait saisit le revers de mon ciré et avait tiré dessus pour l'ouvrir faisant apparaître ma nudité. Il ordonna à Nadine de s'exhiber. Elle rejeta son vêtement en arrière pour se dégager les épaules et plaça ses mains sur ses hanches de manière à ce que les pans ne viennent pas la recacher. A son geste assurer pour se montrer je compris qu'elle n'en était pas à son coup d'essai. Les deux types nous reluquaient avec des yeux injectés. Fabrice leur confirma :
"Ok pour une pipe ! Choisissez !"
Oh mon dieu ! C'était bien à quelque chose de semblable à laquelle je m'étais attendue. Il allait nous faire sucer des inconnus
.
"Je prends la brune !" décida l'un d'eux.
La brune c'était moi
. Il me fit venir dans l'un des WC, me fit asseoir sur la lunette et ouvrit son pantalon. L'autre avait emmené Nadine dans l'autre WC.
Sa demande fut laconique :
"Suces moi !"
Je m'emparais de cette bite un peu molle. Au contact de mes lèvres elle grandit. Je me mis à le pomper sinon avec fièvre, du moins avec application. Il voulu me voir nue.
"Pas mal les filles ! Allez on y va !".
P Je vis revenir le trio. Les deux types étaient déjà partis. Gisèle avait un peu l'air dans un état un second et sa consoeur un peu moins. Fabrice s'adressa à nous :
"On va chez moi ! J'emmène les gonzesses, vous n'avez qu'à me suivre ! Je vous laisse l'addition !"
Vraiment ! il était vraiment odieux
difficile de faire pire
. En pensant cela je faisais une lourde erreur.
G Fabrice nous fit monter dans sa voiture Nadine devant, moi à l'arrière et toute deux imperméable grand ouvert
. De temps à autre il surveillait dans le rétroviseur que nous maris nous suivaient. En plaisantant il nous dit :
"J'espère que je ne vais pas les semer
ils auraient bien du mal à vous retrouver
."
Je songeais que cela pouvait passer pour une menace. Heureusement il n'en fit rien. Nous arrivâmes à son immeuble suivis par les voitures de nos conjoints. En fait son immeuble n'était nullement difficile à trouver.
P Arrivé dans son entrée, il fit retirer leur vêtement aux femmes. Nadine était bien faite également, je pus le constater. De l'autre coté d'une porte fermée on entendait des voix et des rires. Il tendit à Roger un caméscope et à moi l'appareil photo habituel. Il parut un instant songeur et s'adressant à nous nous "pria" de retire nos pantalons
puis nos caleçon
. Petite bite
petite bite
les quolibets de mon enfance et mon surtout mon adolescence revenaient m'humilier. Nadine eut l'air navrée en me voyant. Roger, lui était plutôt pas mal agencé.
"Allez hop !" fit Fabrice et il passa un bras autour de la taille de chacune des femmes pour faire son entrée dans la pièce voisine.
G Un temps de silence se fit à notre entrée, puis immédiatement des interjections de satisfaction et des exclamations grivoises. Cette fois en plus des du groupe habituel, puisque les cinq autres étaient là, il y avait également deux noirs, genre banlieue. Ils seraient donc huit !
Fabrice nous lâcha et se recula.
"Hé les poufs ! Autant prendre de bonnes habitudes tout de suite ! Embrassez vous !"
Naïve, je crois que j'avais été encore naïve
je n'avais pas du tout pensé à cela ! Nadine
oui et elle me le confirma plus tard. Moins nunuche, elle se doutait
elle savait
.
Elle passa un bras autour de ma taille et se penchant vers moi effleura ma bouche de lèvres.
"Mieux que ça ! Allez roulez vous une pelle !"
Cette fois elle m'attira à elle, ventre contre ventre, seins contre seins, sa bouche se colla à la mienne, nos rouges à lèvres se mélangèrent et la langue chercha la mienne. C'était la première fois que j'embrassais une autre femme. Cela me fit bizarre mais j'aimais
.
Je n'avais jamais autant sucé de ma vie. Les queues ne cessaient de succéder dans ma bouche, non plus que dans ma chatte ni mon postérieur ou elles se nichaient profondément. Après une deuxième salve générale les esprits se calmèrent un peu. Sauf évidement celui de Fabrice qui nous imposa de nous mettre, Nadine et moi, en position de soixante neuf et de nous "bouffer". Avant de nous mettre en position, elle m'embrassa encore longuement me soufflant "qu'elle avait envie de moi". Je crois que moi aussi j'avais envie d'elle
. Elle me fit allonger sur la moquette au milieu du cercle égrillard de nos partenaires. Elle m'ouvrit les cuisses et m'enjamba son entrejambe se rapprocha de ma bouche
. Tout son entrecuisse, comme le mien je suppose, était souillé de mouille et de sperme. Son sexe était ouvert et écarlate
et que dire de son anus
béant
. Sa bouche aspira mon clitoris. Je l'imitais. C'était parti
mon premier rapport lesbien
je goûtais sa cyprine
avec délice. Les hommes, comme on peut le penser nous encouragèrent à bien enfoncer nos langues dans nos foufounes et nos trous de balle. Aucune de nous deux ne songea à décliner cette offre. Elle me fit jouir. Ce fut bon et doux. Elle eut un bref plaisir elle aussi. Je me promis de la mieux traiter une autre fois si possible.
P A l'issue de cette conclusion saphique à ces débordements lubriques les jeunes avaient l'air encore excité. Je dois dire que Roger et moi avions aussi une érection. Enfin la mienne était modeste. L'un d'eux fit remarquer :
"Hè les mateurs
regardez les mecs
ils bandent !".
Ils s'esclaffèrent. Fabrice eut une lueur dans les yeux avant de commander :
"Roger ! Suce l'autre !" et il ajouta devant son hésitation "Sinon
les photos sur le net
"
Avec un air mortifié je vis mon compagnon d'infortune se mettre à genoux devant moi
.
G Je me demandais immédiatement si cela ne plaisait pas beaucoup à Philippe. De toute façon il éjacula très vite. Je me doutais bien de ce qui allait se passer ensuite. Évidemment mon mari fut convié à rendre la pareille à Roger. Là encore, je fus surprise de la façon dont Philippe pratiquait on aurait dit qu'il en avait l'habitude
étrange non ?
Un des noirs se leva et s'approcha d'eux. Se baissant, il mouilla son majeur et
l'introduisit dans l'anus de Philippe. Non pas ça
mon pauvre mari
. Ouf ! il n'alla pas jusque là. Après s'être essuyé le doigt sur la chemise de mon homme, il commenta :
"Il est souple celui-là. Ils font partie du deal tous les deux ?
Deal
deal
quel deal ? Une fois que Roger eut jouit dans la bouche de mon époux, nous fûmes vite mis au courant.
"Figurez-vous mes bibiches que nous allons vous prêter à nos amis dont vous venez de faire connaissance. Enfin quand je dis prêter
c'est plutôt louer
. Ils vont vous emmener dans la banlieue de X (chef lieu voisin) pour quelques tournantes. Salopes comme vous l'êtes toutes les deux, je suppose que cela ne nous embêteras pas trop de vous faire tringler par vingt ou trente mecs. Oh et puis de toute façon vous n'avez pas le choix
. Eux feront payer leur potes et on partagera l'oseille
vous c'est gratos
pour le pied !"
"Les maris aussi, alors ? Il y a des frères qui aiment bien les hommes aussi !" demanda un des blacks.
"Ouais, ouais pas de problème
avec un petit supplément
."
Sans trop se préoccuper de nous quatre ils s'interrogèrent sur le fait de savoir s'ils allaient intervertir les couples. L'avis qu'il fallait mieux que le mari voie sa femme se faire saillir et qu'elle puisse mater son mari se faire enculer prévalut. Les couples resteraient conformes
.
Fabrice nous prévint :
"On commence la semaine prochaine
une vendredi, une samedi
Nadine, face
Gisèle, pile pour savoir qui sera la première avec son mari bien sûr !
Pile
. Se serait moi
. et Nadine le lendemain
.
Ce fut Fabrice qui mit fin à la discussion :
"Allez barrez-vous maintenant ! Faut qu'on cause pognon, on a des petits détails financier à mettre au point
. On te contacte Pupute, puisque t'es la première vendredi ! Ne vous avisez pas de faire de sottises
ou les clients vont défiler à vos domiciles
. Allez tirez vous !"
P Nous nous retrouvâmes dans l'entrée à vite renfiler nos pantalons. Avant que les femme ne se revêtent, je vis Fabrice les faire tourner en leur disant :
"Vous oubliez ça !"
G Humiliation suprême, il nous remis nos plugs
enfin pas NOS plugs car sans faire attention, il les avait intervertis. Celui de Nadine était plus gros
.
Nous nous retrouvâmes tous quatre penauds sur le palier. J'étais terrorisée à l'idée de ce qui allait se passer la semaine suivante. Cette fois il ne s'agissait plus de libertinage, c'était autre chose, j'avais peur, je me sentais au bord de la crise de nerf. Les deux hommes non plus, n'en menaient pas large. Nadine avait l'ai atterrée. Vingt ou trente type
et peut être plusieurs fois
voilà ou nous avait conduit notre imprudence. Arrivés à nos voitures Roger sembla avoir réfléchis à quelque chose. Il nous questionna :
"Je suppose que vous n'êtes pas intéressés par les propositions de ce crétin ? Moi non plus ! Il n'y a peut-être que Nadine qui
. Enfin, laissez moi un ou deux jours, je vous appelle, ne vous inquiétez pas.
P Inquiets nous le fûmes pendant deux jours. Gisèle pleura beaucoup et me questionna aussi beaucoup. Selon elle, je n'avais pas trop rechigné à pratiquer une fellation à Roger. J'éludais
.
G Deux jours plus tard, le téléphone sonna. En tremblant je le pris le combiné avec une seule angoisse. Pourvu que ce ne soit pas Fabrice qui appelait pour fixer un rendez-vous. Ouf, ce fut Roger qui me dit que tout était réglé et me demanda de consulter le fameux site dès le lendemain. Le lendemain nous nous connectâmes avec Philippe. Toutes les galeries ou figuraient Nadine et ou je figuraient avaient été retirées. Peu de temps après le téléphone sonna encore. Philippe prit l'appareil, c'était Roger qui nous annonça la fin de notre chantage commun et nous invita pour le samedi suivant pour fêter l'événement. Ouf ! Sauvée ! Roger demanda toutefois à Philippe de me prévenir qu'il n'acceptait chez lui que les femmes en minijupe. Pour autant que cette demande paraisse bizarre, je ne m'en formalisais pas. Je lui devais bien cela, une petite soirée un peu polissonne en lieu et place d'une nuit d'abattage
si je puis dire, il n'y avait pas photo
.
P Dès le lendemain Gisèle s'acheta une minijupe dans un magasin un peu spécialisé, je crois. Quand le samedi vint, elle se prépara pour aller dîner chez Nadine et Roger. Elle arborait ce soir sa fameuse minijupe que je n'avais pas encore découvert. Mini
pour ça, oui ! Droite et serrée elle arrivait à peine à cacher la limite de ses bas. Elle avait mis un joli chemisier en soie couleur champagne que je lui avais offert. Ayant laissé suffisamment de boutons détachés pour que l'on puisse bien se rendre compte qu'elle s'était dispensée de soutien gorge, elle était bien coiffée et bien maquillée, mais sans excès. En voiture sa jupe remonta. Comme je lui en faisait la remarque elle me répondit que "ainsi Nadine pourra se rincer l'il, surtout que
". Surtout, elle me le dit ensuite, qu'elle s'était passée de culotte. Visiblement elle souhaitait approfondir ses relations avec Nadine m'ayant, à plusieurs reprises, avoué qu'elle y avait prit goût et intérêt. Cela ne me dérangeait pas, j'aurais été mal placé
.
G Ce fut Nadine qui nous ouvrit, Nadine
la belle Nadine
. Bien coiffée et aussi maquillée que je l'avais vu l'autre jour, elle était ou plus exactement n'était vêtue que d'une guêpière rouge seins nus et de bas filets blancs sur des mules également rouges aux talons vertigineux. Son style salope était étincelant, j'avais du retard. J'eus immédiatement envie d'elle. Je lus dans ces yeux que c'était réciproque. Nous nous fîmes (en attendant mieux) la bise. Une bise très près de la bouche
. Je voulus lui rendre son plug, celui qui avait été attribué à tort à mon fondement à l'issue de cette soirée dégradante. En riant elle me dit qu'elle m'en faisait cadeau. Elle-même possédait une belle collection de boules, gods et plugs qu'elle ne manquerait pas de me faire admirer
et essayer. Elle nous fit entrer au salon ou Roger nous accueillit chaleureusement. Tout de suite il déboucha le champagne et nous trinquâmes à la fin de nos soucis. Cela me parut un peut bizarre, mais il me sembla que Nadine était moins enthousiaste que Roger. Il nous raconta ce qui c'était passé. Dès le lendemain il avait contacté des "amis", un peu malfrat, un peu russes et surtout très costaud. Ceux-ci cueillirent Fabrice et un de ses comparses à sortie d'une boite de strip-tease et les emmenèrent dans une usine désaffectée et loin de tout. Là ces braves garçons, sous le menaces, furent d'abord conviés à se sucer mutuellement puis à ce sodomiser à tour de rôle. Bien entendu films et photos furent réalisés. Le contrat fut simple si les galeries ou Nadine et moi ne disparaissaient pas de leur site, les leurs seraient publiées à grande échelle. Ceci fait ils tabassèrent un peu, comme dit Roger. En fait outre des yeux au beurre noir des lèvres éclatées, il parait que Fabrice s'en tira avec trois cotes cassées. Ces "soins" leur furent prodigués en guise d'avertissement. S'ils nous causaient le moindre, le plus petit ennuis, les amis de Roger leur promirent que d'une part il était très difficile de manger avec une mâchoire cassée et que d'autre part il était tout aussi difficile de marcher avec des genoux broyés par un train. Ils leurs firent voir la menace effrayante d'un wagon sur une voie déclassée. Fabrice et son ami promirent tout ce qu'ils voulurent. Tout le monde avait un visage radieux. Roger me demanda si je ne déplorais pas qu'il s'en soit mêlé. Je répondis que j'en étais parfaitement heureuse. Il nous assura que ce n'était pas tout à fait le cas de Nadine, qui si elle avait été seule concernée, donc sans mon éventuelle participation, ni celle de nos époux, elle aurait été tentée par l'expérience. Je la regardais avec stupéfaction. Son regard confirma les propos de son mari. Devant notre ébahissement, ils nous racontèrent un peu de leur vie.
P Gisèle et moi pûmes entendre leur histoire qui dépassait les standards du conformisme, et de loin
Roger après un premier mariage, dont il eut un fils, divorça. D'après lui sa femme ne supportait plus ni ses frasques et ni ses appétits. Il rencontra ensuite Nadine avec qui il entama sa vie actuelle. Elle se montra très, très réceptive à ces penchants particuliers. En effet, Roger découvrit au fil du temps qu'il avait deux perversions. Il se découvrit un goût prononcé pour la domination et le voyeurisme. Nadine se révéla la complice parfaite. Très portée sur la chose, elle aimait que l'on lui impose des aventures libidineuses. Elle fut servie
. Il l'exhiba, lui fit faire des strip-tease dans des endroits un peu glauques, sex-shop ou boites sordides puis tout s'enchaîna pour leur plus grandes satisfaction. Il l'emmena dans les mêmes genres d'endroit pour se faire prendre devant lui par des inconnus dont le nombre alla en augmentant. Il la livra à des spectateurs dans un cinéma porno, puis se furent les partouzes y comprit avec d'autres femmes et les gang-bangs dans les caves d'un château. Il alla même avec l'aide de ses "fameuses relations" jusqu'à la mettre quelquefois sur le trottoir. Nadine confirma qu'elle savourait positivement être l'esclave sexuelles des fantasmes pervers de son compagnon.
G J'entendis Nadine nous raconter la soirée la plus extraordinaire pour elle ou Roger l'envoya chez un ami, organiseur de fêtes libertines dans sa cave ou elle dut à elle seule, satisfaire quinze hommes. Cela dura, parait-il, toute la nuit où ces amants la prirent et la reprirent sous toutes les coutures que ce soit de façon individuelle (rarement) ou à plusieurs (dans la majorité des cas). Sans aller jusqu'à ces extrémités un peu extravagantes je me pris à regretter de ne pas avoir, moi aussi, un mari si vicieux. Je crois que j'aurais bien aimé que Philippe m'imposa des turpides inavouables voire un peu dégradants comme l'avait fait Fabrice et ses camarades. Sous nos oreilles abasourdies il nous fit part de leur dernière trouvaille. Ils s'envolaient la semaine prochaine pour le Golfe et grâce à des "amis", du même genre que ce qui étaient intervenus dans nos déboires, Nadine allait être pendant trois semaines pensionnaire d'un bordel
. Je la regardais, abasourdie
ses yeux brillaient
. Elle me certifia être partante et que cette idée l'excitait au plus haut point. Ses seins se gonflèrent quand Roger fit remarquer :
"Française et blonde
Nadine va avoir, parait-il; beaucoup de succès
même énormément ! Ce n'est pas pour lui déplaire d'ailleurs ! Il est convenu que, même si je suis là bas en principe avec elle, je ne serais spectateur que quelquefois selon le bon vouloir de ses "employeurs" qui auront toute faculté pour la faire "travailler" comme et autant qu'ils le souhaiteront. J'ai été prévenu, il faudra qu'elle ait le cul solide
."
P Je vis Roger comme perdu dans une soudaine réflexion. Finalement, il lâcha :
"Mais j'y songe, pourquoi est-ce que vous ne nous accompagneriez pas ? Gisèle semble avoir toutes les capacité et en tout cas toutes les qualités
. Vous feriez un magnifique duo de pute toutes les deux !"
J'éludais
prétextant des obligations professionnelles aussi bien pour Gisèle que pour moi. ils parurent déçus. Nadine très nettement
et Roger nous déclara que ce n'était peut être que partie remise et qu'en tout cas, ils escomptaient bien nous garder parmi leurs relations dès leur retour.
G Sans laisser cette fois le temps à Philippe de rétorquer, je répondis que rien ne me ferait plus plaisir. Ils furent ravis. Comme nous étions en fin de repas, Roger nous conseilla d'aller nous refaire une beauté pour accueillir un invité. Dès que nous fûmes dans sa salle de bain, elle se jeta sur moi et nous nous embrassâmes passionnément.
"Depuis le temps que j'en ais envie !" me souffla-t-elle.
Je confirmais que moi aussi. Prestement elle finit de déboutonner mon chemisier et elle m'en priva pour s'emparer de mes seins gonflés de désir. Tout aussi prestement elle m'ôta ma jupe.
"Tu n'en as plus besoin !" m'indiqua-t-elle.
Elle me fit écarter les jambes comme pour constater dans état je me trouvais. Elle fut vite renseignée, le coulais littéralement, leurs propos m'avaient échauffé les sangs. Elle m'avisa:
"J'ai hâte de te bouffer la chatte !
Je me trouvais dans les mêmes dispositions d'esprit
.
Je la questionnais sur le mystérieux invité.
"Chuuuuut ! Ne t'inquiète pas
tu es comme moi, tu aimes les grosses queues
tu vas être servie ! Dépêchons-nous faisons nous belles
enfin salope quoi !
P Je vis revenir les deux femmes se tenant mutuellement par la taille. En fait de se faire un beauté, ce que vis c'est que maintenant, Gisèle était nue si l'on excepte son porte-jarretelles et ses bas et qu'elles étaient parfaitement mais hyper maquillées tout juste comme des traînées. Elles s'installèrent toutes deux sur un canapé en face de nous et pour tromper l'attente se mirent à effec des jeux de langues voluptueux tout en se caressant réciproquement les seins et en se titillant l'entre cuisse. Un coup de sonnette mis fin à leurs jeux. Nadine se précipita pour ouvrir. Je la vis revenir et reconnu l'homme dans l'embrasure de la porte. C'était le patron du sex-shop ou j'avais été obligé d'emmener Gisèle. Je vous en ai parlé, celui qui avait eu le privilège d'installer pour la première fois un plug dans le rectum de ma femme. Comme elle lui tournait le dos Gisèle n'avait pas pu le voir encore.
G Nadine revint vers le canapé. Quand je vis celui qui l'accompagnait j'eu un coup de chaud. Ce n'était un parfait inconnu. Je venais de reconnaître le vendeur du sex-shop qui m'avait troussée et m'avait obligeamment garni le troufignon de son sex-toy qu'en plus il nous avait fait payer.
Roger refit un genre de présentation :
"Vous connaissez déjà un peu Hassan je crois ? Je me suis permis de l'inviter. Il avait beaucoup apprécié votre courte visite et désirait faire plus ample connaissance avec Gisèle. Tu n'y vois pas d'inconvénient Philippe, n'est ce pas ? Non !... parfait ! Quand à toi Gisèle, je ne te demande même pas ton avis
quand on t'a vu à l'uvre
et puis toutes les deux, vous êtes là pour le combler
. D'ailleurs, occupez vous donc de notre ami
sucez le !"
P Ce fut Nadine la plus prompte à s'agenouiller et elle entreprit d'enlever le pantalon du dénommé Hassan. Gisèle s'agenouilla à ses cotés. L'imposante virilité dont il était doté apparut à tous. Non seulement long, mais aussi d'un diamètre remarquable l'homme pouvait être fier de ne pas avoir oublié par dame nature. J'en conçu une véritable jalousie et une
. Avide, Nadine se jeta dessus pour l'emboucher. Après quelques va et viens de sa jolie bouche, elle tendis le sexe à ma femme qui ouvrit à son tour la bouche en grand pour pouvoir l'absorber. Le changement de bouche eu l'air de lui plaire. Je vis Gisèle bien s'appliquer sur le priape. L'agencement ce fit régulier. A tour de rôle les deux femmes le suçait sensuellement, ou se mettaient à deux pour en lécher la longueur ou en titiller le gland du bout de leur langue. A un moment il eut une couille dans chaque bouche. de temps à autre, quand leurs lèvres se rencontraient, elle se roulaient des patins passionnés. Le bougre était résistant mais quand même
. Nadine, gourmande, en recueillit les premiers salves, les plus abondantes. Gisèle s'en empara à son tour pour récolter les ultimes gouttes avec une voracité qui me surprit encore. Nadine prit Gisèle par le menton et tourna son visage vers elle. Elle s'était placée de manière à surplomber un peu. Inclinant sa bouche vers celle de Gisèle, elle y laissa s'écouler le contenu de sa bouche, langue tendue. Gisèle avait compris dès le départ et avait ouvert sa bouche en grand pour la laisser se remplir de ce dont elle avait été privée auparavant. Cette scène obscène se termina par une pelle obscène ou les deux femmes se partagèrent le foutre d'Hassan.
G Brusquement, Nadine se leva et quitta la pièce en disant "Je reviens !". Hassan m'aida à me relever et me fit asseoir sur ses genoux. Il passa un bras autour de ma taille et sa main se referma sur un de mes seins. De son autre main, après m'avoir fait écarter les cuisses, il commença à me branler. Pendant ces manigances, Roger et lui discutaient de mon avenir en prenant Philippe à témoin. Roger pensait que Philippe devait me mener chez Hassan ou m'obliger à aller y passer quelques après-midi ou je pourrais "tenir compagnie" à des clients dans les cabines de projection. Il indiqua à Philippe que le magasin recelait aussi un sous-sol très convivial (surtout pour les clients) ou Hassan organisait quelques soirées les conviant à profiter de femmes amatrices de sexe. Dans cet endroit, parait-il tout pouvait se faire
de la simple exhibition ou simple pipe à des choses beaucoup plus corsées. Philippe finit par dire qu'il allait réfléchir quand Hassan me demanda :
"Et toi ! Ça te dirais, hein petite cochonne de venir faire la salope chez Hassan ?"
Je ne pus émettre qu'un petit "Oui" un peut étranglé visiblement au grand dam de mon mari. Et Roger de conclure :
"Tu vois, je te l'avais dit !"
C'est le moment que choisit Nadine pour réapparaître. Elle plaisanta :
"Qu'est ce que j'entends
Gisèle a envie d'aller prendre de la bite chez Hassan
Je te recommande l'endroit ma belle
. Tu seras servie au-delà de ce que tu peux espérer !"
Elle m'arrivait de dos. Je ne l'avais pas vue. Quand elle entra dans mon champ de vision je m'aperçus qu'elle s'était harnachée d'un gros god-ceinture. Avec un sourire vicieux elle me dit :
"En attendant ma chérie, viens que je te fourre devant ces messieurs
après tu me brouteras !".
Elle me fit remettre à genoux d'abord, pour sucer l'objet, afin de le lubrifier s'il en était besoin. Puis elle me demanda de me mettre en levrette et s'étant position de façon idoine me pénétra de tout le long de l'engin de plastique. Je dus me rendre à l'évidence, elle n'en était pas à son coup d'essai et ses coups, à elles, n'avait rien à envier à ceux des hommes en même circonstance. J'étais tellement excitée depuis le début de cette soirée que la posture ne dura pas très longtemps. Je jouis bruyamment. Il ne me manqua qu'une épaisse éjaculation pour que ce soit complet
.
Nadine se releva, dégrafa sa ceinture godemiché, la laissa sur la table. Elle se dirigea vers le fauteuil libre s'y assis et passa ses jambes par-dessus les accoudoirs pour la suite du programme. C'était à moi de jouer. Je vis à elle et m'agenouillais. Avec douceur, je me mis à lui prodiguer le plus doux des cunnilingus en essayant de reproduire ce que j'aimais que l'on me fasse. Apparemment elle aimait les mêmes choses que moi car elle se mit à gémir de plaisir. Sans doute bien chauffée elle aussi par le début de soirée, elle prit vite son pied en me noyant le bouche sous un flot de cyprine que j'absorbais avec délice. Inutile de dire qu'après cet intermède saphique, Hassan et Roger bandaient ferme. Philippe ne s'était même pas débraguetté. Roger demanda à sa femme de me "préparer pour Hassan". Elle me regarda en souriant et me dit "Veinarde va !". Me préparer
me préparer
cela voulait-il dire que
que mon petit cul allait engloutir cette grosse trique
.
P Je vis Nadine faire remettre Gisèle à quatre pattes. Pour, je suppose dissiper toute ambiguïté, si tant est qu'il y en eut une, elle lui caressa les fesses en instant bien sur le sillon et sur l'illet fripé qui s'y cachait. Je fus surpris de penser que depuis quelque temps cet orifice devenait de moins en moins intime et de moins en moins secret. Finalement elle se glissa sous Gisèle, en soixante neuf, et se mit en devoir de la langue et des doigts (un, deux, trois
), d'apprivoiser la rondelle bistre qui visiblement ne demandait qu'à s'ouvrir. La perfide Nadine déclara au bout d'un moment que "Gisèle était prête !". Hassan, conquérant vint se placer derrière mon épouse et abuta l'énorme gland contre son anus. J'entendis Gisèle gémir quand il acheva de dilater l'anneau. L'intromission ne fit pas apparemment sans mal. Le reste suivit et je pus voir la grosse bite s'enfoncer sans rémission dans le fion auparavant si délicat. Aidé par Nadine qui jouait de la langue sur son clitoris, Hassan encula profondément Gisèle. Sans lui laisser trop de répit, d'ailleurs, il lui bourra le cul. Les gémissements se muèrent en râles. Ma femme était entrain d'apprécier de faire sodomiser sans égards, conquise sûrement par l'ambiance triviale de la soirée.
G Il me démonta le cul longuement, longuement
. Je jouis deux fois, grâce aussi à la langue de Nadine. Roger vint aussi m'éjaculer sur le visage toutefois sans me permettre de prendre son sexe dans ma bouche. Je criais de jouissance
sans honte
sans remords
j'en avait pris plein le cul et j'était heureuse
.
P La soirée se termina ainsi, non sans avoir promis à Hassan de lui rendre une petite visite. Nous souhaitâmes bonne vacance à Roger et bon séjour à Nadine. Il promirent eux aussi de nous re-contacter dès leur retour. Le lendemain de cette curieuse soirée, je questionnais Gisèle. Avait-elle été contente de sa soirée ? Aimait-elle ce genre de situation ? Elle fut affirmative. Elle le fut aussi quand je lui demandais si elle aussi aurait aimé vivre des expériences comme celle de Nadine. J'avais espéré qu'elle aurait été effrayée. Sans doute, elle l'était. Mais le vice qui se révélait chez elle devait être très fort. D'ailleurs, elle se mit trois jours plus tard à me reparler du magasin d'Hassan, au début presque distraitement, sue le ton de la conversation anodine puis de plus en plus avec acuité.. Pauvre de moi
il me faudrait aller jusqu'au bout ! Je contactais Hassan. Il me proposa simplement (si l'on peut dire) que Gisèle fasse une fellation à un de ses clients devant moi. Je proposais la chose à mon épouse. Comme prévu, elle fut d'accord
. La planche savonneuse du vice était en place !
G Que voulez-vous ! Mon envie avait été la plus forte. J'aurais pu me "ranger" une fois l'épisode Fabrice terminée et une fois cet étrange couple éloigné. Mais non
je me retrouvais gangrenée par le sexe. Je dois bien l'avouer. C'était devenu un de mes sujets de pensée favoris. Je baignais dans des fantasmes que je n'ose même par raconter. Les exemples racontés par Roger et Nadine les avaient bien alimentés. C'est vrai j'avais reparlé d'Hassan. Je crois que Philippe c'était imposé de prendre contact avec lui sachant me faire plaisir. J'avais du mal à le comprendre. Il ne participait pas, prenait je crois un plaisir moyen à être le témoins de mes aventures. Alors ?... j'avais l'impression qu'il faisait contre fortune bon coeur, comme s'il voulait me faire lui pardonner quelque chose
. De toutes façon, lorsqu'il me fit part de la proposition d'Hassan, je l'acceptais même si je fus un peu déçue. J'attendais mieux
et plus
.
P Le mardi convenu j'accompagnais Gisèle au sex-shop d'Hassan. Nous étions à la fois plus détendu et plus nerveux, surtout Gisèle bien sûr. Il nous accueillis plutôt courtoisement. Deux clients étaient présents à faire leur choix parmi les rayons. Immédiatement ils se mirent à lorgner ma femme sans retenue. Il s'adressa à Gisèle en lui disant :
"C'est en bas que ça se passe. Tu ne peux pas te tromper, il n'y a qu'un client ! Tu vas vers lui et tu lui tailles une pipe. Il t'attends !"
Gisèle était blême
.
G Je n'étais pas rassurée du tout. J'écartais le rideau descendit un petit escalier. Nous nous trouvâmes dans une pièce en sous-sol aux murs étaient recouverts de tissu imprimé rouge, orange et noir. Le sol imitait un planché noir. Outre trois ou quatre cabines de cinéma, le mobilier était composé de deux canapés en imitation panthère ainsi que deux fauteuils à l'identique. Un genre de table était au milieu de la pièce recouverte d'un genre de petit matelas rouge, lui aussi. A sa base était disposé un genre de guirlande lumineuse rouge. Quelques spots dispensaient une lumière très crue ou rouge et des haut- parleurs diffusaient un son fait d'une musique sans intérêt aux quels s'ajoutaient des soupirs et des gémissements Aucune équivoque, la subtilité n'était pas le but recherché. Un homme semblait attendre sur un fauteuil. Rien à dire ni beau ni laid. Quand j'eus achevé de descendre les derniers degrés. Il se leva. En me détaillant il affirma :
"Eh bien ! Hassan ne m'avais pas menti
tu n'es pas mal du tout !".
Pas de doute, c'était bien moi qu'il attendait. Il se rassit et écarta les jambes. Je retirais ma veste et la donnais à Philippe ainsi que mon sac. J'allais jusqu'à l'homme qui ouvrit lui-même son pantalon. Il avait un sexe dans la normale en semi érection. Je m'agenouillais et le prit en mains. Timidement j'approchais ma bouche et ayant vaincu ma réticence je le prit en bouche. Il était propre. C'était déjà ça ! Je fis ce que je pus pour bien faire. Il soupirait fort et il se cabra d'un coup. Je le laissais jouir dans ma bouche et j'avalais.
"Super ! Tu fais ça très bien
et en plus tu avales ! Je désirerai recommencer. Tu es libre dans deux jours ?".
"Euh
oui
enfin
."
"Parfait, je demande à Hassan de nous arranger cela. Au fait tu t'appelle comment ?"
Je lui donnais mon prénom. Il remonta à l'étage sur un dernier "A jeudi !". Sans trop nous regarder avec Philippe nous remontâmes également.
P Hassan, félicita tout de suite Gisèle. Son client était content. Immédiatement il confirma l'organisation de la prochaine séance en ajoutant :
"Cette fois il y aura un ou deux voyeurs
. Ne t'inquiète pas il ne seront là que pour regarder."
Il me fit payer ce que nous avions convenu et me dit :
"Le client m'a demandé qui tu étais. J'ai dit que tu étais le mari et que tu adorais voir ta femme sucer et se faire baiser par d'autre. Tu sais ce qu'il à dit ?... Quel con
.."
G J'avais franchement honte d'avoir fait cela et je lisais de la réprobation dans les yeux de mon mari. C'est pourtant lui qui insista pour deux jours plus tard
. Pour deux jours plus tard nous nous retrouvions en au de l'escalier maudit. Dans le même fauteuil le même type attendait. Sur un des canapés trois hommes étaient présents. Sans trop oser les regarder, je me dirigeais vers mon "habitué". Même cérémonial, il ouvrit son pantalon et je m'agenouillais. Au bout d'un instant il m'arrêta et me demanda si je pouvais ouvrir mon chemisier. Après un instant de panique je m'exécutais. Le compliment fut bref :
"Tu as de beau seins !"
Je me remis à le sucer. Du coin de l'il, je vis que les trois autres étaient entrain de s'astiquer. Comme le première fois il éjacula mais cette fois il maintint ma tête. Pourquoi ?... je n'avais pas envie de me retirer pourtant
.
Son affaire terminée, il voulut recommencer deux jours plus tard. Philippe m'observa et donna son accord. Il m'avait deviné ! Quand nous sortîmes du magasin, nous nous entendîmes héler.
"Messieurs Dames s'il vous plait !"
C'était l'amateur de fellation. Il voulut nous offrir un verre. Philippe accepta. Il est vrai que moi aussi j'avais un peu soif
. Dans le bar, il nous demanda si Hassan nous reversait un petit quelque chose sur ce qu'il payait. Philippe étonné, lui indiqua qu'au contraire nous payions aussi.
"Ce salaud d'Hassan ! Il joue sur tous les tableaux ! Sûr que ce soir il aussi fait payer les voyeurs !"
Il est vrai que le procédé n'était pas élégant, mais après tout, je ne faisais pas cela pour de l'argent. Il proposa que pour la prochaine fois nous nous rendions chez lui pour une nouvelle fellation. Philippe accepta tout de suite. Par la suite il me confia qu'il avait du mal à accepter le coté sordide du sex-shop
pas moi
.
P Donc deux jours plus tard, nous nous trouvâmes devant la porte de Gérald. Il nous fit entrer et ouvrit une porte donnant sur son entrée. Montrant la cuisine à Philippe, il lui fit signe d'approcher. Je trouvais étrange qu'il veuille faire cela dans cet endroit. Philippe s'avança. D'un geste inattendu, Gérald le poussa en avant et referma la porte derrière lui. Il la verrouilla.
"Ta gonzesse vas venir me sucer dans l'autre pièce. Si tu veux tu peux regarder par le trou de la serrure de l'autre porte. Si tu fais le con, je te casse la gueule !"
G Il s'adressa à moi de façon plus gentille.
"Viens avec moi ma jolie, nous on va s'installer à coté !
Il me fit passer dans son salon. Avant toutes choses, il me demanda une faveur : que je me déshabille complètement. Je ne sais pas trop pourquoi je quittais mon chemisier et ma jupe. Quand il me vit avec des dim-up et un string, un immédiat gonflement m'apparut à travers son pantalon. Il me demanda de ne garder que les bas. Me prenant par la main, il m'emmena jusqu'à son canapé. Il retira son jean et son caleçon ne gardant que son polo. Me désignant la porte de communication, il m'apprit que c'était derrière elle que devait se trouver Philippe invité à mater par le trou de la serrure. Il me demanda ensuite de "faire ce dont pourquoi j'étais venue". Je m'agenouillais encore une fois devant lui et lui fit son pompier préféré. Plus détendue que chez Hassan je mis à la fois plus d'ardeur et plus de sensualité. Il n'arrêtais pas de dire :
"C'est bon ! C'est bon !... continue ! C'est bon
. Ooooooh ouiii comme çaaaa! "
Ce fut si bon qu'il se raidit soudain et dans un grognement rauque m'expédia ses rasades de sperme au fond du gosier. Il me proposa ensuite un verre comme pour me remercier. Il revint s'asseoir près de moi avec deux whiskies. Il m'en tendit un "pour faire passer le goût". Je pris garde de ne pas lui révéler combien, justement j'aimais garder le goût du foutre sur ma langue. Il s'assit à mes cotés et mine de rien commença à poser sa main sur ma cuisse, à me caresser le bras, l'épaule
puis il s'intéressa à un des mes seins
puis à l'autre. En fin de compte, il m'attira à lui et m'embrassa tout en continuant à me lutiner. J'allais dire "naturellement" sa main descendit sur mon ventre puis mon bas-ventre et voulut glisser vers ma fourche. Je ne fis rien pour arrêter son manège. J'avais trop, trop envie
. Ses doigts lissèrent ma fente et doucement, il m'entrouvrit la moule. Il posa cette question que je trouvais superflue vu mon état :
"Tu as envie ?"
Devant ma réponse positive il me doigta carrément. Puis il m repoussa sur son canapé. Il se leva ôta son polo et se dirigea vers la porte de cuisine. Allait-il faire entrer Philippe. C'est ce que croyais du moins car simplement, il accrocha son polo à la poignée de la porte, masquant en cela le trou de la serrure. S'adressa à mon époux devenu aveugle, il indiqua :
"Je vais baiser ta femme
Tu n'as pas besoin de voir ! Écoute !"
Je me demandais quand même pourquoi mon mari se faisait traiter ainsi par tout ceux à qui je cédais. Était-ce fait qu'il se contente de regarder. Roger était-il pareillement traité ?
Mon amant du jour, se mi à genoux devant la canapé et m'attira vers lui jusqu'à ce que mes fesses soit au bord. Il me releva les jambes et guidant son pénis d'une main, il me pénétra en disant :
"Ouuaaah tu es bonne ! Mais qu'est ce que tu mouilles ma salope !"
C'était repartit ! Il faisait ça bien, avec d'amples mouvements de queue. Juste comme j'aimais lorsqu'il ne s'agissait pas de déferlement de bestialité. Je me laissais aller
.
"Oohhhhhhhh... Ohhhhhhh... Oh, mon Dieuuuuuu que c'est bon ! Ohhhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiii..."
En fait j'eus un premier orgasme très rapidement, trop rapidement ! Habituée à me masturber depuis notre visite chez Nadine, le contact d'un vrai pénis me fit délirer. Non contente de cette première jouissance, je repris de plus belle.
"Baises-moi... bourre-moi ta bite dans la chatoune !"
Il déclina tout d'abord et se releva. Tout bonnement, il alla dégager la vue en faisant tomber son polo au sol.
"Rinces-toi l'il !" indiqua-t-il à Philippe.
Au lieu de se remettre comme précédemment, il me fit mettre en levrette sur le canapé et enfin il accéda à ma demande et ma bourra le con avec férocité. Complètement tétanisée par la montée du plaisir je l'encourageais :
"Oh mon Dieuuuuuu... Ouiiiiiiiiiii Encore
Encoooooore
Aaaaahhhh je jouiiiiiiiis !
Cette fois je ne fus pas seule
des coulées de semences virent me tapisser les parois vaginales.
Le souffle reprit, il me remercia vivement et me félicita. De son avis, il y avait longtemps qu'il n'avait pas prit un tel pied. Quand je fus rhabillée, il libéra un Philippe maussade. L'ignorant, il me demanda :
"Tu peux revenir dans trois jours ? Je dirais à un copain de venir. Tu verras on te baisera et on t'enculeras à tour de rôle ! Toi ce n'est pas la peine de venir on feras ça sans personne pour tenir la chandelle !"
Un coup d'il à Philippe
pas de réactions
j'acquiesçais donc.
En descendant Philippe faisait la gueule. Je fis profil bas. Je le vis regarder quelque chose sur la boite au lettre et n'y prit pas garde.
P La veille de ce nouveau rendez-vous de baise de ma femme, elle reçut un coup de téléphone de son dernier amant. Il annulait. Une lettre anonyme avait prévenu sa femme infirmière de ses ébats en son absence. Il mettait un point final à leurs relations. Fine mouche, Gisèle devina qui se cachait derrière cet anonymat. Histoire d'avoir le dernier mot elle laissa tomber un peu méprisamment en mentant effrontément :
"Pfuit ! De toute façon, il avait une trop petite bite !" et moi de toutes façons j'étais vengé.
G Bon d'accord il l'avait un peu maltraité. Étais-ce pourtant une manière de faire, lui qui ne m'honorait même plus tellement
.
Pourtant, durant les mois qui suivirent, il y eut une embellie sexuelle mon mari redevenais mon mari. Oh, pas un amant fougueux, mais quand même. Je me pris à mettre entre parenthèse cette atmosphère érotique qui avait faillis nous entraîner on ne sait où. Je dis bien " mettre entre parenthèse", pas oublier
car à mes moments perdus, en me caressant je ne pensais qu'à ces instants de débauche en les regrettant, hé oui !
Philippe lui aussi faisait semblant d'avoir oublié (même s'il conservait précieusement mes photos) et nous ne parlions plus de rien, ni de Roger et Nadine, ni des cinq petit salaud, ni d'Hassan
rien, rien
et rien. Toute la fièvre était tombée. Elle me manquait
.
Elle me manqua jusqu'aux vacances ou nous partîmes pour la dernière fois en caravane au bord de la mer. La première quinzaine se passa bien en farniente et bain de mer, sans rien à signaler.
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