La Cabine D'Essayage
Je prenais plaisir à être en compagnie de Nono, dAlex et de Michel. Ce samedi après-midi, passé chez moi (voir mes deux autres récits) avait été mémorables. Nous avions faits lamour tous les quatre. Baiser pourrait-on dire si je ne trouvais pas le terme trop vulgaire mais il faut appeler un chat un chat. Les mauvaises langues ajouteront ce quelles pensent.
Bref, nous étions maintenant en juillet et cétait lheure des soldes. Je suis très fringues, dessous sexy, robes, mini jupes et autres tenues. Cest de là quest né un fantasme (hé oui, un autre !) : faire des choses avec un homme, pourvu quil soit beau, dans une cabine dessayage.
Jai demandé à Arno sil était daccord :
- Tu sais que cest les soldes ?
- Oui.
- Tu ne voudrais pas maccompagner ?
- Taccompagner ?
- Oui. Je ne me vois pas essayer toute seule les cabines dessayage. Lui répondis-je.
- Ah, je vois. Mademoiselle a encore des envies coquines.
Arno réfléchit un instant :
- Jai mieux à te proposer, si tu nas pas peur bien sûr de te faire bander les yeux.
Je lécoutais attentivement, cherchant bien ce quil pouvait manigancer.
-Je taccompagne à une seule condition. Que je soit moi le maître du jeu. Me disait-il.
Jai dit Ok car lidée me plaisait bien.
Nous nous sommes de nouveau donnés rendez-vous un samedi, le matin ce coup-ci. La veille au soir, en pensant au lendemain, je nétais pas spécialement excitée. Tout se décupla le lendemain matin dès le réveil, puis dans le métro jusquau lieu choisi. Cétait dans le centre de Lyon, dans le quartier piéton. Jai retrouvé Nono à lheure voulue devant la boutique choisie. Ses propos de lavant-veille me laissaient supposer quil ne serait pas seul mais non il était bien seul. Dommage car je commençais à mamuser. Je nen avais pas moins envie daller essayer au plus vite une cabine dessayage comme jamais je ne lavais fait auparavant.
Jentre avec lui. Résultats : cest lui qui essaye les vêtements. Je crois rêver ! Monsieur se prête au jeu, prend un pantalon, entre dans la cabine et essaie.
Soudain, il minterpelle :
- Steph, viens voir.
Je regardais discrètement si dans la boutique quelquun pouvait me voir. Jentre dans la cabine où il se trouve. Nono avait déjà le sexe tout dur en dehors du pantalon quil essayait.
- Tu ne peux pas faire quelque chose, dit il, jai du mal à la rentrer.
- Oh si !
Je me suis accroupie devant lui et ai tout de suite pris son sexe en bouche. Jadore quand il est comme ça, quil me commande un peu et me donne des ordres.
Son sexe était aussi beau que la première fois que je lai vu. Il était dur et épais, pas trop long mais humm, combien succulent. Je mappliquais à le lécher de haut en bas, caressant ses couilles au passage puis à donner quelques coups de langue sur le gland. Nono aimait ça et je le voyais bien. Soudain, je lai branlé pour quil jouisse. Jai dégrafé mon chemisier pour me caresser les seins. Sa queue était si raide que je voulais encore lavaler, la prendre dans ma bouche pour quil jouisse ce quil fit sans plus attendre.
Jai reçu ses giclées de sperme chaud dans la bouche. Jai avalé pour ne pas en mettre partout. Jai regardé Nono dans les yeux avant de me relever :
-Attends, dit-il, ce nest pas fini.
Il sortit un bandeau noir de sa poche.
- Tu mas promis de suivre mes ordres, tu te souviens ?
- Oui.
Je cherchais où il voulait en venir.
-Hé bien, un homme va entrer dans la cabine. Il va prendre ma place. Seulement, tu ne le verras pas car tu vas garder ce bandeau sur les yeux.
Jétais stupéfaite, mais me prêtais au jeu. Arno me déposa le bandeau sur les yeux quil attacha derrière ma tête.
-Surtout tu ne bouges pas. Tu te laisses guider. Et, cest peut-être moi qui serai là. ajouta-t-il.
Je sentis Nono quitter la cabine dessayage. Moi qui étais venue essayer des fringues essayais des hommes. Je nai eu que peu de temps à attendre que sitôt une queue se présenta devant moi. Nono me dit tout bas que cest Alex.
Je commençais alors à sucer Alex qui ne disait rien. Sa queue était chaude. Elle sest raidie sous mes coups de langue. Je nai pas mis longtemps à la faire bander. Soudain, je sentis des mains caresser mes cheveux. Ce ne pouvait être que les mains dAlex. Je ne les imaginais pas si grosse. Jai senti, en les frôlant quelle était velue sur le dessus. Etrange, je ne me souvenais pas quAlex ait des grosses mains comme cela. Sans me poser davantage de questions, je me suis concentrée sur ma fellation car, il est vrai, jadore sucer. Le type que javais devant moi nétait pas Alex, jen avais la certitude. Quimporte, jétais prise dans la tourmente dun sexe en érection. Le gars se branla devant moi pour se finir. Je ne pouvais pas ôter mon bandeau (cétait la règle du jeu) mais devinais quil sactivait devant moi. Ses mouvements se sont accélérés. Il a gémit. Jai senti ses giclées de sperme couler sur mes seins. Heureusement que javais dégrafé mon chemisier.
Le type sen est allé. Nono est venu me chercher.
Quand nous sommes sortis de la boutique, il ma confié quil avait demandé à un type au hasard dans la boutique sil voulait se faire sucer gratis.
Cétait la première fois que je suçais un homme dont je ne voyais pas le visage. Le connaissais-je ? Etait-ce un homme que javais déjà rencontré ? Etait-ce un voisin ? Lyon est une grande ville, mais tout de même.
Avec cette histoire, j'étais devenue une fille déraisonnable.
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