Mes Salopes De Cousines

Joëlle, Margot sont mes cousines, Joëlle est brune aux yeux bleu, 23 ans, assez portée sur
la baise. Margot, elle a 24 ans, plus que portée sur la jouissance. Elles sont cousines
aussi. Moi, la gamin de la troupe je n'ai que 21 ans. Je n'ai pratiquement pas droit à la
parole: je trop jeune parait-il. Enfin je suis trop jeune sauf pour la seule chose qui les
intéressent: le sexe. Au début nous n'avions pas de rapport du tout. Un après-midi, en
passant vers ma chambre je jetais un regard curieux vers la porte ouverte de Joëlle: j'y
entendais des bruits bizarre. Je voyais Joëlle, nue les jambes bien ouvertes et la tête de
Margot qui venait lui faire des choses au clitoris: Joëlle poussait des soupirs de plaisir.
Je n'avais jamais vu de fille se faire l'amour, j'en rêvais souvent en me branlant. Mais cette
fois pour de bon je voyais deux jeunes femmes jouer ensemble. Je bandais en les regardant
faire, surtout quand elle se mettaient en 69. Je n'en pouvais plus: je sortais ma queue et
commençais à me branler. Joëlle au dessus me voyait bien puisqu'elle me faisait de l'oeuil.
Elles jouissaient encore plus. Je continuais ma masturbation, sans aucune pudeur.
Elle s'arrêtait pour me regarder. Je jouissais devant elles. Elles ne regardaient que la bite
qui a une bonne longueur( 22 cm) et diamètre (5,cm 1/2). Je savais que étant bien monté,
les filles n'étaient pas insensibles à ma queue. Je venais de jouir et commençais à
débander. Margot venait vers moi, m'entrainait sur le lit et m'y faisait coucher. Je me laisser
faire. Margot commençait à m'embrasser profondément. Joëlle venait également de l'autre
coté pour aussi venir me caresser. Je ne résistais pas longtemps: je bandais à nouveau.
Elles voulaient l'une et l'autre prendre ma pine en main. Elle se la disputaient tant que je
bandais de plus en plus. Je n'avais pas droit à la parole: elles allaient bien le voir.

Je
voulais les faire taire et j'étais presque prêt à les tirer au sort (en faisant ploum ploum par
exemple. Je n'osais pas. je choisissais celle qui me semblait le plus à même de me faire
jouir. Je me mettais sur Joëlle: elle écartait bien ses cuisses. Je voyais bien son con
encore humide de sa cyprine et de la salive de Margot. Je n'avais pas besoins d'être guidé:
je rentrais facilement dans cette vulve offerte. Je devait lui faire du bien: elle gémissait, à
tel point que Margot venait l'embrasser sur la bouche. J'en profitais pour poser une main sur
ses fesses. La grosseur de ma pine devait lui faire de l'effet: Joëlle jouissait rapidement.
Je ne jouissais pas: je me tournais vers Margot et je me posais sur elle: qui mettait ses
jambes sur les anches pour mieux me sentir. Cette fois elle me guidait vers son con. je
sentais qu'elle était plus étroite que Joëlle. Je la limais sans cesse en me promettant de
toujours finie par elle.
Elle jouissait encore et enfin à mon tour j'éjaculais dans son con. Je sortait d'elle quand
Joëlle venait me prendre la queue en bouche pour finir de lécher le sperme qui pouvait y
être et surtout sentir le goût du con de notre cousine.
Entendant du bruit au rez de chaussée, je me suis rhabillé rapidement et pour aller dans ma
chambre voisine. Pendant tout le repas, nos parents se demandaient ce qui se passait: les
deux filles ne cessaient de glousser. J'était le nez dans mon assiette sans rien dire.
pendant les vacances, nous avions l'autorisation de sortir un peu le soir.
Ce soir je n'avais pas envie de sortir. Seules les filles sont allées faire un petit tour. Elle
rentraient rapidement: j'avais décidé de les laisser poireauter un peu, manière de me
venger de leur tenue à table. Je restait cloitré quand ma porte s'ouvre: nues les cousines
venaient au sexe. pourtant elles savaient bien se passer de moi.
Je jouais l'indifférent pour
qu'elles se mignotent un peu toutes les deux. Evidemment elle savait que je le faisait
exprès: aussi pour bien m'exciter elles entamaient une bonne baise entre elles. Elles
allaient au delà du 69. Joëlle avait porté un double godemiché dont elles se servaient
habituellement entre elles. Le vice de ces salopes allait jusqu'à s'enculer toutes les deux.
Cette fois je n'en pouvais plus. Je venais enfin me mêler à leurs jeux. Je devais être ne
retard d'une ou deux jouissance: j'arriverais à rattr ce retard.
Elles aimaient la sodomie, j'allais leur en donner. J'attrapais Margot par la taille, la mettait
en levrette et en lui mouillant le cul avec ma salive je lui posais ma queue sur son petit trou.
Mais à petit trou, grosse queue. Très lentement je lui rentrait le gland: elle protestait bien en
peu. je n'en avais cure. Je continuais à la sodomiser et j'étais entièrement dans ses fesses.
Je limais lentement pour bien profiter de son anus. Enfin elle ne disait plus rien pour ensuite
commencer à me demander d'aller plus vite. Joëlle de son coté se branlais en nous
regardant. Enfin Margot hurlait qu'elle jouissait. Je sortait d'elle mon mandrin encore plein de
sperme. Elle s'écroulait sur le lit totalement crevée.
C'était au tour de Joëlle a me donner son cul. Elle aimait la sodomie, mais craignait à juste
titre pour la petitesse de son cul. Après tout notre cousine avait bien jouit, pourquoi pas elle.
Je n'étais plus seul, Margot remise de ses émotions venait l'aider à enculer sa cousine. Elle
écartait les fesses et crachait sur le cul. Elle me tenait la bite pour que je soit bien en face
et elle me donnait le signal. Cette fois je rentrais très vite, tellement vite que le temps que
Joëlle cri, j'étais déjà à fond en elle. Je lui faisait mes aller et retour quand elle aussi
commençait à prendre son plaisir.
J'éjaculais dans ces boyaux et elle jouissait encore.
Depuis nous baisons toujours ensemble, même si elles aiment bien jouer à lesbos: elle le
font toujours devant moi, et e ma branle toujours devant elles qui semblent bien apprécier
de voir ma main aller et venir sur ma queue.

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