C'Est Fait

Je jouis dans son con. Elle a jouit 3 ou 4 fois avant moi. C'est une sacrée nana. Pour moi
baiser est naturel, pour elle c'est en plus une nécessité. De plus elle a une sacrée
expérience. Depuis que je la connais elle a du avoir une bonne dizaine de mecs. J'ai 22 ans,
elle 25. C'est peu d'écart et pourtant quelle science elle a. Ce n'est pas elle qui m'a
déniaisé, mais sa mère. Drôle de famille.
J'avais à peine 18 ans quand un soir dans mon village du midi, prenant le frais dehors
comme toute la bonne saison, la mère vient s'assoir près de moi et me demande à l'oreille
si je ne veux pas lui faire l'amour. C'est une femme de 40 ans à peu près qui me propose
une pareille chose. J'en suis à la fois surpris et excité. Quand je me branlais je rêvais
souvent d'elle: je la voyais dans de positions particulières qui ne peuvent pas exister dans
la vie de tous les jours. Je prenais ma bite à pleine main et la descendais et remontais
jusqu'à ce que le sperme sorte avec force de mon mandrin.
Cette proposition que j'acceptais avait toutefois une condition. Je devais la baiser
longtemps. Sans avoir l'air de rien, nous quittons l'un après l'autre le banc, et nous nous
retrouvons chez elle. Elle me fait monter dans sa chambre et se met toute nue. Je regarde
son corps qui me parait bien sauf peut être les seins qui commencent à tomber un peu. Je
bande comme un cerf. Elle s'occupe de moi: elle me déshabille, prend ma queue dans sa
bouche et me suce. Je ne tiens pas longtemps: j'éjacule rapidement et en plus dans sa
bouche. Elle m'a donné un plaisir fou. Je suis jeune et j'ai des ressources insoupçonnées.
Elle le savait. elle me montre toute sa fente et je peux voir à la fois son cul, ses lèvres
intimes et son bouton. Je bande toujours et je suis prêt à lui mettre ma queue dans le con.
Pas question, il faut que je lui rende ce qu'elle m'a donné: elle prend ma tête et la pose entre
ses jambes.

je sort ma langue et trouvant son clitoris je le lèche sans arrêt: elle gémit sans
arrêt et soudain elle me serre la tête avec ses cuisses. Je suis bloqué et ne peut bouger:
elle me dit qu'elle jouit.
Je pensais naïvement qu'elle devait en avoir assez. Encore faux. Elle récupère très vite et
m'autorise enfin à la baiser. Je viens entre ses jambes, ma bite bien droite qui semble viser
son con. Elle le prend en main et la guide vers son entrée. Elle me dit enfin vas-y. Je peux
enfin rentrer dans ce con. Je ressens une bien être fou dans cette grotte. Je commence
mes allers et venues qu'elle accompagne. Elle gémit plus fort que tout à l'heure. Je suis sur
le point de jouir encore quand elle me devance. Je sens son con se fermer et s'ouvrir sans
arrêt. Elle me fait sortir d'elle. J'en suis déçu, j'aurais tant aimer jouir dans ce con. Elle me
demande de me calmer: nous n'avons pas fini. Elle reste comme elle est, sur le dos et me
reprend la bite en main: elle va la mettre dans son con, j'en suis sur. Encore faux. C'est
vers son cul qu'elle me mène. Elle me demande d'y aller doucement. Je passe mon gland
dans son cul, enfin je suis libre de lui mettre toute ma queue. Je ne m'en prive pas quand
elle gémit de plus en plus. Cette fois je jouis en elle. Elle me retient un moment pour qu'elle
jouisse aussi. Je sens son cul me serrer la bite. C'est délicieux.
Avant de nous séparer, elle pend encore ma bite dans sa bouche et la lèche pour enlever
touts traces de sperme.
°°°°°°°°
Après cette première j'ai connu pas mal d'autre filles, mais aucune ne valait mon initiatrice.
Jusqu'à ce..............; Jusqu'à ce que je rencontre sa fille. Gaulée comme une reine, des
fesses qui donnent envie de s'y perdre et une poitrine que je ne peux décrire tant elle a de
qualités.
Je ne sais plus comment se sont passés les approches: je croix bien que c'est elle qui me
draguait.
Elle est beaucoup plus salope que la mère. Elle avoue même que c'est celle qui lui
a apprit toutes les déviances.
Si je jouis dans son con c'est une rareté; nous faisons des baises plutôt singulières.
Toujours seuls. Elle n'aime pas les partouzes après avoir participé à certaines qui lui ont
déplut. Elle aime bien se "payer" une autre fille de temps en temps. Je ne suis pas autoriser
à être là dans ces moment. Ma pine lui appartient.
Nous baisons presque toujours le soir: je l'embrase et notre baiser s'éternise. Je lui
caresse les seins avant de descendre ma main vers son pubis. Je flatte les poils que son
con. Ma bouche vient embrasser les seins, l'un après l'autre sinon un des deux serait jaloux.
Enfin ma bouche va rentrer un instant dans le nombril et descendre encore et encore: je
viens lui pose ma langue sur le clitoris. Ma lèche lui donne des frissons elle écarte le plus
possible les jambes, avec sa main droite elle écarte les lèvres de son con pour que son
clitoris soit le plus possible exposé à ma caresse linguale. Pour l'instant elle est passive,
elle ne fait que prendre du plaisir. Quand elle sent qu'elle ne va pas tarder à jouir, elle se
tourne et me prend la pine dans la bouche. Nous entamons une position que nous aimons
particulièrement: elle symbolise le don total à l'autre. Nos sexes sont donnés entièrement au
partenaire. J'aime lui avaler, en partie, le clitoris qu'elle a assez grand et je lui caresse avec
le bout de ma langue dans la bouche. Elle est sur moi et a aussi ma queue dans sa bouche:
elle commence par décalotter la bite; elle la tient d'une main et prend d'abord mon gland
qu'elle entoure de sa langue en la frottant, en la léchant calmement.Sa main branle le reste
de ma queue qui est encore dehors. Enfin elle me mordille avant de mettre le plus possible
de bite dans la bouche. pour moi, c'est le nirvana.
Nous nous arrangeons toujours pour jouir
ensemble. Je reçois dans ma bouche un peu de sa cyprine et elle reçoit un jet de sperme.
Elle ne l'avale pas encore. Elle revient vers ma bouche et nous nous partageons le sperme
( ce que je n'aimais pas au début) Elle garde dans sa main la queue pour que je ne débande
pas. Il lui faut avoir dans son con quelque chose qui la remplisse: ma bite. Elle me laisse
sur le dos et après m'avoir enjambé elle se plante elle même ma queue dans son con.
L'avantage pour elle et même pour moi est de pouvoir baiser en regardant monter dans les
yeux de l'autre la jouissance. Elle se branle toujours dans cette position. Je vois ses seins
balloter pendant qu'elle se fait mettre. L'ensemble est très sexy. Quand elle jouit dans cette
position, elle penche son corps en arrière
Enfin, elle jouit toujours vite dans cette position, elle se met sur le dos et je dois aller
l'enculer. Nos jambes sont mises de telle manière que je peux très facilement la sodomiser.
Elle écarte encore les lèves intimes et se masturbe sans arrêt jusqu'au moment de
l'explosion simultané. Mon sperme va se perdre dans ses entrailles: nous avons fini notre
baise journalière.
Le lendemain, nous baisons, comme tous les soirs. Avant, dans la journée, elle s'est
masturbée deux ou trois fois: nue bien sur, une main sur son clitoris et deux doigts dans son
con pour se doigter. Souvent elle se doigte et se caresse le bouton avec le pouce. Je la
surprends souvent dans cette position. Je la laisse tranquillement jouir seule pour mieux lui
faire l'amour le soir.
Ce soir nous décidons que la plus grande partie de la nuit doit se passer en baises. Dans
ce cas là, nous baisons en gros de 22 heures à 3 heures du matin. Pour commencer je
l'embrasse comme d'habitude et je la suce. Elle s'abstient de me sucer: elle le fera plus tard.
Elle s'installe ensuite au bord du lit, les jambes pendantes: je les passe sur mes épaules.

Elle commence à se branler, juste sous mon nez. Je vois ses doigts aller et venir sur son
bouton. Je bande en la voyant faire. Je m'approche d'elle pour lui mettre ma langue au cul.
Elle adore cette caresse et moi je m'en délecte; Je commence par en faire le tour en
passant sans appuyer ma langue et ensuite très lentement je la darde vers son petit trou.
Je n'y pénètre pas encore. Je regarde encore ses doigts sur son con et lentement je pose
ma langue sur l'anus, je ne force pas du tout. J'attends qu'elle me supplie de lui mettre dans
le cul. Enfin elle n'en peut plus et toujours lentement je rentre ma langue qui passe son seuil.
J'y pénètre le plus possible. Elle accélère ses mouvements et soudain je sens son petit trou
qui se ferme avant de s'ouvrir et se fermer encore: elle jouit.
Maintenant je vais sur elle et je lui met ma queue dans le con. Elle est mal installée, se
remet comme il faut sur le dos et enfin se régale de m'avoir sans son con. Elle jouit encore,
la salope, ma pute, ma garce......
Elle m'a mis dehors: on jurerait qu'elle ne me veut plus du tout. Je n'ai pas encore joui. Tant
pis je doit attendre. Entre nous c'est une affaire entendu: je ne peux jouir que plus tard,
surtout ce soir, si je veux tenir jusqu'au milieu de la nuit. Comme je dois la faire jouir: je
commence ensuite à la branler comme je sais qu'elle aime: je lui pose deux doigts sur son
clitoris, les agitent lentement. Mon autre main est consacré à son con. J'y met un, puis
deux, et enfin trois doigts: une vrai bite. Au lieu d'aller et venir en elle, je m'attache à lui
caresser la partie haute du vagin: c'est là qu'elle jouit le plus. Je m'attarde à cet endroit:
elle jouit pratiquement sans arrêt pendant plus de dix minutes. Elle en sort essoufflée.
Elle reste sur le dos et j'en profite pour lui poser ma bite entre les seins. Elle entreprend une
branlette espagnole. Mon méat n'est qu'à quelque centimètres de sa bouche et elle attend
avec impatience que je jouisse pour pendre mon sperme ans la bouche. La suite est comme
toujours, elle m'embrasse sur la bouche pour que je déguste avec elle mon sperme.
Après ce que je viens de lui faire et malgré l'orgasme que j'ai eu je bande encore.
elle demande presque en suppliant de faire un 69: elle aime trop avoir ma queue dans sa
bouche. Elle suce tellement bien que je ne peux refuser. Et j'aime tellement son goût.
Nous voila pieds à la tête, moi dessous avec son con sur la bouche et elle qui déguste ma
queue. Je sens sur mon abdomen ses seins gonflés par l'amour qui nous faisons. Cette fois
je rajoute un peu de sel: je lui plante deux doigts dans le cul. En réponse elle m'en fait
autant. Je me retiens le plus possible pour ne pas jouir. Elle au contraire se laisse aller à
plusieurs orgasmes qui me semble de plus en plus violents.
il est plus de minuit: nous nous arrêtons un moment, le temps de prendre un café, nous
sommes dans la cuisine, pendant qu'elle fait chauffer de l'eau. Sa nudité m'excite toujours.
Je ne peux m'empêcher de lui mettre une main au panier. Comme vengeance, elle me
passe rapidement ses seins sous mon nez. Nos buvons et allons vite reprendre nos
activités.
Cette deuxième mi-temps est plus disputée que la première. Elle a pris avec elle une
serviette, non pas pour s'essuyer, mais pour se branler. C'est la première fois que je la vois
faire: Elle écarte ses jambes encore plus que la moyenne, pend un coin de serviette et je
rentre dans son con. Je regarde arrentivement: elle rentre presque la moitié de la serviette
dans son sexe. Elle y entraine son clitoris et une partie de son trou du cul. Tout ce qui est
sensible en elle est concentré sous la serviette. Elle ne se branle pas à proprement parler,
Elle appuis fortement sur ce qui dépasse plusieurs fois. Elle pousse un cri: pelote moi et
embrasse moi. Je le fais. je n'attends pas longtemps pour la voir jouir. Cet orgasme la
laisse amorphe un instant, presque évanouie. Elle ouvre enfin les yeux simplement pour me
dire qu'elle a jouit comme jamais. Elle me fait sentir l'instrument de son plaisir: j'y sens sa
cyprine abondante.
Je pensais que son désir était émoussé. heureusement pour moi, elle a encore des
réserves. C'est vrai que je ne l'ai pas enculé et sans sodomie, il n'y a pas d'amour possible.
Je m'apprête à l'enculer comme souvent. Cette fois elle se met en levrette, les seins
pendant qui vont suivre ma cadence. Elle s'est bien mouillé le cul avec sa cyprine, je peux
poser ma queue sur son "petit" trou: son sphincter s'ouvre facilement et ma pine rentre en
elle et je l'enfonce en totalité. J'ai posé ma main sur son con et vais lui mettre deux doigts
sur son pont faible du con. L'inévitable se produit, elle jouit à la fois du con et de l'anus.
J'aime la sentir jouir autour de ma bite: c'est un excitant et un dopage pour durer plus
longtemps. Lui faire du bien me fati également du bien.
Nous n'en pouvons plus, crevés nous arrêtons pour cette nuit. Le réveil le matin sera dur,
d'autant plus que nous attendons sa mère: c'est pour moi une épreuve. Je sais que mon
amie sait que j'ai couché avec sa mère qui est bien capable de me demander de lui faire
encore l'amour. Depuis le temps j'espère quelle s'est assagit et de toutes façon je préfère
largement baiser sa fille.
Cette fois ci elle ne parle que d'amour: elle a trouvé un amant extraordinaire qui la fait
grimper aux rideaux. Nous en rions, d'autant plus que sa fille lui dit que cette nuit nous
avons baiser longtemps et qu'elle en a eu, sans malice, plein le cul.

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