Une Fantaisie Robinsonne
Cela faisait un mois depuis le naufrage. Les premiers temps avaient été très difficiles pour les quatre rescapés. Il avait fallu apprendre à survivre, à sabriter, à trouver une source deau douce, de la nourriture. Mais lîle sétait avérée plutôt généreuse tant au niveau de son climat que de ses ressources, et les quatre jeunes étaient robustes et en forme. Bien sur ils avaient tous perdu un peu de leurs rondeurs avec le temps, peu habitués à tant dexercices physiques, et à une nourriture bien moins riche que dans la civilisation. Mais ils avaient fini par trouver un équilibre, et même par admettre quils devaient sattendre à être là pour un bon moment, lîle étant assez éloignée des routes maritimes habituelles. On sétait organisé, pour le logement comme pour les tâches à effec, on avait retrouvé beaucoup de choses que lépave continuait à faire échouer sur la plage, des provisions, des vêtements, toutes sortes dobjets. Une forme de vie quotidienne avait pris son cours, et des besoins longtemps enfouis avaient fatalement fini par surgir. Stéphane ne se souvenait plus à quel moment il avait recommencé à se masturber, mais le fait est que cétait rapidement devenu un besoin quotidien. Grand, bien bâti, brun de peau et de cheveux, il avait toujours eu pas mal de succès avec les filles du haut de ses 24 ans. Mais de filles ici point. Ses compagnons étaient trois garçons plus ou moins du même âge et tout aussi hétéro que lui. Il lui restait donc sa main et son imagination.
Et puis il y eu ce jour-là. Il avait décidé de se diriger vers une superbe plage en fer à cheval, blottie entre de gros rochers, lisses, peut-être pour sy baigner, peut être pour y pécher. Il ne portait quun short en jeans et un bandana lui retenait les cheveux quil avait toujours portés assez longs. En approchant de la plage il sarrêta en bordure de jungle. Emmanuel était là, à genou sur le sable, dos à la mer, portant juste un slip de bain. Stéphane ne sait pas pourquoi il ne se fit pas remarqué, peut être lattitude ambiguë de lautre qui, à lévidence, se pensait seul.
Ils allaient tous devoir sérieusement songer à sorganiser aussi sur ses besoins aussi naturels que les autres. Stéphane réfléchissait déjà à une solution, tout en rougissant rien quen y pensant
Le soir venu ils se retrouvaient tous autour dune table de bois brut, à partager plutôt en silence un repas frugal. En dehors dEmmanuel les deux autres étaient plus âgés, Erwan était un grand quinquagénaire assez bien bâti et dégarni, Régis, la quarantaine, plus trapu et chauve. Stéphane les observait à la dérobée avec un regard différent ce soir là, voyant doucement ses compagnons dinfortune comme de potentiels partenaires de jeux sexuels, une pensée qui ne lui avait jamais traversé lesprit avant. Il laissa son esprit divaguer, se demandant si les deux plus anciens navaient jamais porté un regard concupiscant sur son jeune corps, si il avait déjà été lobjet de leur fantasme, et cette pensée le fit immédiatement bander dans son short.
Repus il se laissa aller en arrière dans une pose indécente de salope vaincue
Le bruit le fit sursauter, il cru entendre quelquun trébucher en séloignant
Le cur battant, il espéra quil navait pas imaginé cela avant de fermer les yeux et de sendormir, couvert de son sperme.
Le réveil fut ensoleillé. Il prit le temps dune toilette dans la cuvette deau de son gourbi. Au moment de shabiller, il saperçut que lui venait en tête lenvie presquinconsciente dêtre sexy. Il trouva une vieille chemise blanche qui tranchait avec sa peau maintenant cuivrée, et ses long cheveux, il fit un nud des pans au-dessus de son ventre, et enfila un short de coton noir doux et un peu échancré ce qui lui donnait presque des allures de mini jupe. Il y avait un morceau de miroir dans sa chambre et il sy regarda un peu, prenant des poses, se cambrant, par moment gêné de son apparence, souvent juste excité. Il respira un bon coup et sortit au soleil, se dirigeant vers la table du petit déjeuner. Seul sy trouvait Emmanuel et cest à son regard ébahi quil comprit que le changement en lui était spectaculaire. Il essaya de garder constance, de ne pas sur jouer son attitude et de rester naturel, mais il adorait les yeux de lautre sur lui. Tout en engageant la conversation avec Emmanuel, il lui lançait des regards discrets. Il ne savait dire si lui-même avait changé dattitude où si cétait sa perception du monde à lui qui lui donnait cette impression. En tout cas Stéphane trouvait le jeune blond très bandant ce matin, à la fraiche, négligemment vêtu dune chemise ouverte et dun short en jeans qui lui semblait bien plus ajusté et court que dorénavant. Joueur il fit tomber son couteau sur le sol et sempressa de se pencher. Les jambes à moitié croisées dEmmanuel essayait de dissimuler une érection imposante qui déformait son short. Stéphane en sourit en gardant ses yeux dessus suffisamment longtemps pour quEmmanuel finissent par senhardir et écartant ses jambes avec indécence, dévoilant sa bosse et esquissant presque dy passer la main. Cest le moment qui choisit Stéphane pour se relever et lui balancer une gentille boutade sur sa forme matinale.
Erwan, massif, arriva à ce moment, dévisageant les deux jeunes hommes avec curiosité, essayant de comprendre ce qui se tramait. Stéphane lui sourit le temps dun bonjour enjoué, puis se lève pour se diriger vers la rivière. Tandis quil séloigne il sent un regard sur lui. Il se penche, soit disant pour remettre en place lun de ses tongs et jette un il en arrière assez pour voir les yeux dErwan fixé sur son cul enrobé dans le short noir. Un peu choqué et surpris, pas mal satisfait de lui, il se redresse et se retient, joueur, de tortiller des fesses en poursuivant son chemin.
Il retrouve Erwan plus tard dans la journée, alors quil revient du potager, en sueur du travail effectué. En chemise et bermuda, il est adossé à un arbre et le regarde arriver, le détaillant ouvertement des yeux. Stéphane sarrête et croise son regard. « Dis tu nas pas limpression un peu de me mater là ? demande t il à moitié en souriant. Erwan sourit à son tour dun air gêné
« désolé mais le manque se fait chaque jour plus sentir et la vue dune jeune corps, même dun garçon, finit par avoir de leffet sur moi
Stéphane a le cur qui bat la chamade de se sentir soudain un objet de désir direct de la part dun autre homme plus âgé qui plus est. Il nen mêne pas large quand il se rapproche de lui, la gorge sèche mais pourtant essayant de prendre une pose un peu provocante
« Oh, tu ne vas pas me dire quand même que je te fais bander ?... balance t il, moitié effrayé de son courage.
Lautre sourit un peu avant de lancer « tu as un très joli cul et ce short te va à ravir
Stéphane est estoma qué
Jamais il ne sétait senti à ce point « chose »
« donc oui tu me fais bander je dois dire
Tu veux vérifier ? Le corps de Stéphane se couvre soudain dune fine couche de sueur, la chaleur lenvahissant, il est extrêmement intimidé, et pourtant il se rapproche dErwan et murmure un oui timide avant de poser sa main sur le paquet qui se moule dans le bermuda du grand quinquagénaire. Il peut sentir une boule dure sous le tissu « Cest moi qui dirige, lance t il, à quoi Erwan souffle un oui gonflé de désir
Son cur continue de battre à fond mais il contrôle plus ses émotions, regarde Erwan dans les yeux, lâche son paquet, et séloigne dun pas avant de se retourner à moitié « alors il te plait mon cul lance t il
Erwan répond à peine
Sors la de sa cage lui dit Stéphane
dabord hésitant Erwan commence à ouvrir sa braguette et son bouton tandis que ses yeux ne quittent pas le cul de Stéphane qui se cambre un peu et commence à doucement faire glisser son short vers le bas
Jusqu'à dénuder totalement ses fesses. Son cul est rond et ferme et Erwan le bouffe des yeux, il tient sa queue dressée dans sa main et se caresse. Stéphane se redresse et se rapproche à nouveau, il repousse la main dErwan et pose ses doigts sur la queue
celui-ci tressaille. Cest la première fois que Stéphane touche la queue dun autre, elle est de taille raisonnable, le gland rosi, décalotté, cest la première fois quil découvre en vrai une bite non circoncise
Il la prend bien en main, regardant Erwan dans les yeux et commence à le branler. Lidée lui vient de se mettre à genoux pour le sucer mais il ne se sent pas prêt
A être toucher par contre il lest, il adore leffet que son cul a sur lautre, tout en le branlant, il prend sa main et la pose sur ses fesses nues
lautre réagit aussitôt, le caressant vigoureusement, empoignant ses fesses les triturant, il le laisse faire, regardant sa propre main branler cette queue qui bande pour lui, il tend son autre main pour lui toucher les couilles, lautre gémit, un doigt se glisse dans sa fente et il le laisse faire, se penchant même un peu, posant sa tête sur la poitrine dErwan
celui-ci lui caresse les cheveux dune main tandis que lautre explore son cul, un doigt inquisiteur titillant son anus, puis sy enfonçant doucement
Stéphane lève la tête vers Erwan et le regarde dans les yeux, se mordant la lèvre inférieure tandis que lautre le doigte
leffet est dévastateur, Erwan pousse un cri, enfonce son doigt plus profondément et Stéphane sent un liquide chaud visqueux lui couvrir les doigts tandis quil continue un peu de branler lautre
alors quErwan, épuisé, làche son cul et se laisse glisser contre larbre, sa queue lui échappe aussi et il se recule pour voir sa victime tout à son orgasme encore, le souffle court, assis à même le sable où on distingue de longues giclées de sperme. Stéphane essuie ses doigts sur la chemise dErwan et se réajuste, heureux et excité, et il séloigne sans un mot
Il sest éloigné dans la jungle clairsemée, il vient de branler lun de ses compagnons, et la raideur de sa queue lui prouve à quel point il a aimé ça, il vient de se faire doigter, le doigt dErwan sest enfoncé dans son cul et il le sent encore. Il est gonflé de désir, il trouve une clairière entourée de rochers, sassoit et sadosse contre lun dentre eux et descend son short avec impatience. Sa queue jaillit, dressée et fière et il commence aussitôt à se masturber. Il ferme les yeux et les ouvre en entendant un bruit, Emmanuel se tient dans la clairière, à moitié nu
Stéphane ne sarrête pas, branlant sa queue en regardant le corps imberbe de son ami. Celui-ci tourne sur lui-même et lui offre son cul à regarder, faisant glisser son slip au sol. Ses fesses sont magnifiques et roses, il simagine les baiser tandis quil se branle plus rapidement
Emmanuel se penche franchement et écarte ses fesses, dévoilant un anus rose tout serré, il reste penché et garde ses fesses écartées dune main tandis que lautre empoigne sa queue toute raide. Stéphane voit ses couilles se balancer. Il a du attendre longtemps parce quil le voit jouir immédiatement secoué de spasmes tandis quil essaye de conserver ses fesses ouvertes. Il tombe a quatre pattes sous leffet de lorgasme et il est magnifique tout offert au regard de son ami qui continue de se branler en le fixant
Stéphane voit soudain Emmanuel, toujours à quatre pattes, se retourner et se rapprocher rapidement de lui
Il écarte la main de sa bite, le regarde dans les yeux et lembrasse soudain à pleine bouche en empoignant sa queue. A peine Stéphane a-t-il repris son souffle que le jeune blond sécarte de ses lèvres, et plonge en avant pour gober la queue de son ami dans sa bouche gourmande. Stéphane gémit de surprise, Emmanuel na guère le temps de la sucer quil sent venir la jouissance, et sans réfléchir il empoigne les cheveux dEmmanuel, refusant de voir sa bouche le lâcher, lautre pourtant ne semble pas en avoir envie et quand Stéphane jouit en hurlant comme un ours blessé, Emmanuel avale goulument chaque rasade qui éclaboussent le fond de sa gorge. Stéphane seffondre sous le relâchement de la tension, et quand il ouvre les yeux lautre est parti
Le repas est très étrange ce soir là, personne nengage vraiment la conversation, Stéphane lui-même se sent timide
Il est pourtant encore tout émoustillé de la journée et son jeune sang bout toujours
Il établit plusieurs stratégies pour rejoindre lun ou lautre dans la nuit mais il se dégonfle à chaque fois, effrayé de ses propres envies ou de celle de lautre
Cest lesprit troublé quil se retrouve dans sa chambre
Il garde en tête la sensation quand Erwan la doigté
Sinquiète de savoir sil peut prendre plus dans son cul, ce quil ressentira
Il ressent encore comment Emmanuel la sucé, sinterroge sur sa capacité à faire de même, exclu dentrée davaler la semence dun autre
Il est une nouvelle fois émoustillé quand il se dénude pour se coucher. Il tient sa brosse à cheveux dans sa main, bien décidé à senfoncer le manche dans lanus pour voir. Il lenduit consciencieusement de crème, éteint la chandelle, et commence dabord à se doigter, doucement, allongé sur le côté
Il retire ensuite son doigt et positionne le manche de la brosse et pousse doucement pour lenfoncer. La résistance est là mais pas la douleur, juste lexcitation qui monte et il pousse plus loin quand soudain le manche est avalé par lanus, entièrement et il se retrouve pris, enculé, lanus gentiment écartelè
Il sarrête pour profiter au mieux des sensations et ouvre un peu les yeux
Regis se tient là, debout, au dessus de sa douche, dans la lueur de la lune, nu. Sa queue se dresse au dessus du visage de Stéphane, gonflée de désir, et il la caresse doucement. Stéphane et sans voix et le regarde faire. Il se voit de lextérieur, nu, allongé sur le côté, une brosse à cheveux enfoncée dans le cul, une queue près du visage et un torrent dexcitation lenvahit. Il se cambre inconsciemment, tendant timidement la main pour empoigner la queue de lautre. Regis se rapproche, au point que son gland touche la joue de Stéphane. Il en gémit. Stéphane tient fermement cette jolie queue de sa main droite et commence à se caresser le visage avec
les gémissements de lautre augmente. Il tend la main et commence à caresser le dos de Stéphane, puis son cul. Stéphane a sorti sa langue et titille gentiment le gland, provoquant des spasmes de plaisir chez Regis qui sen emparé de la brosse à cheveux. Quand Stéphane commence à sentir le manche bouger en lui il gémit à son tour et prend la queue de son compagnon à pleine bouche, découvrant son gout salé sous sa langue, il adore sentir le contrôle quil exerce sur lautre avec cette bouche, cette queue dure quil commence à sucer avec délice tandis que Regis lui baisse doucement le cul avec la brosse. Il adore la sensation, son petit trou bien pris, sa bouche remplie du désir de lautre, il sent lexcitation monter chez lautre, a la manière dont le manche va et vient plus rapidement dans son cul, comment il senfonce plus, fouillant ses jeunes entrailles, comment il triture ses fesses, comment le mouvement de ses hanches accompagnent les mouvements de sa bouche. Aux spasmes qui parcourent la bite, il sent que lautre va éjaculer, et il nest vraiment pas prêt pour ça. Il sort la queue de sa bouche et la branle rapidement, tentant de regarder lautre dans les yeux malgré lobscurité, mais régis est déjà perdu, tout à sa jouissance et Stéphane lui-même sent un plaisir étrange lenvahir, venant de la bosse enfoncée profondément en lui, quand il sent le sperme de lautre gicler et atterrir sur son visage abondement, il se retrouve pris dans son propre orgasme, éjaculant sans même se toucher son anus se contracte contre le manche qui le remplit, lorgasme lui arrache un cri de bête que se mêle aux grognements de régis qui continue à se vider sur lui.
Il rouvre les yeux quand il sent quon lui essuie le visage avec un linge puis Régis sen va en murmurant un merci
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