Elle En Veut
Lorsque j'ai connu ma femme, elle était réservée sexuellement parlant. Petit à petit elle
commençait à apprécier la baise et prenait les initiatives. Elle osait enfin se branler devant
moi. Un jour je l'ai sodomisé: elle ne voulait pas pour ensuite en jouir. Elle voulait baiser
souvent, plusieurs fois pas jour. Je lui achetais un godemiché. Elle n'hésitait pas à s'en
servir souvent. Ses besoins devenaient de plus en plus pressant et je n'arrivait pas à la
satisfaire.
Je suis pourtant résistant pour faire jouir une femme.
Un soir en baisant elle insistait pour que je l'encule pendant qu'elle se mettait le gode dans
le con. Je trouvais la chose plaisante et j'en profitais largement. Pour elle s'était une
découverte: une bonne double pénétration devenait une nécessité, une véritable obsession
Il lui fallait un homme en supplément. J'aimais et j'aime beaucoup mon épouse, je ne pouvais
lui refuser quoi que ce soit. J'acceptais de lui cherchait un amant: chose délicate s'il en est.
Connaissant ses goûts je me mettais en chasse. Plusieurs semaines plus tard j'arrivai enfin
à trouver l'oiseau rare: un type bien bâti, grand, et capable de tenir le coup. lorsque je
demandais à cet homme de venir chez moi pour que nous baisions ensemble ma femme, au
début il m'a pris pour un cinglé. J'arrivais péniblement à le convaincre, quoi qu'il en soit, il
venait. Ma femme le voyant estimait qu'il devait faire l'affaire. Elle l'embrassait comme pour
le tester. Ce nouvel homme devant quand même passer un autre test: savait-il bien baiser ?
Elle se mettais nue et lui sortait sa queue: il commençait à bien bander. De mon coté la
voyant faire je commençais également à bander. Je regardais la bite de l'autre: elle devrait
convenir. Ma femme le déshabillais et l'inviter à venir dans la chambre. d'un regard, elle me
demandait de les suivre.
branlait lentement, avant de se faire mettre sans préparation aucune. Son con presque sec
acceptait pourtant la queue. Je la regardais faire l'amour à un autre. J'avoue que je
ressentais un peu de jalousie. Je ne savait pas jusqu'où elle voulait aller avec ce mec. Elle
jouissait juste avant lui.
C'était à mon tour à la faire jouir. Elle demandait simplement que je la baise. Je n'aimais pas
passer après un autre dans son con. Qu'à celà ne tienne: elle me prenait dans la bouche et
me faisait un pompier dont je me souviens encore. L'autre bandait en nous voyant faire. Ma
femme entretenait son érection en lui caressant les couilles. Il devait penser qu'il allait être
sucer à son tour.
Devenant très débauchée elle arrêtait de me sucer. Elle invitait ce nouvel amant à venir
sous elle pour la baiser. Elle écartait les jambes, ouvrait son con et lui guidait vers sa
foufoune. il la pénétrait totalement. elle ne baisait avec lui qu'un court instant pour m'inviter
à l'enculer. Je rentrais dans son cul et sentait déjà la bite de l'autre à l'intérieur de son
vagin. C'était à le fois excitant et dégoutant. Je me demandais si je devais jouir du cul ou
d'une autre bite.
Elle ne se posait pas de question. Elle jouissait avec deux queues en elle. Les hommes
nous jouissions aussi. Elle en aurait voulu encore. Pour nous exciter elle inventait un
nouveau jeu: que nous caressions la bite de l'autre. Ce n'était ni mon genre, ni celui de
l'autre. Alors elle se mettait le gode dans le con et nous montrait bien comment elle se
branlait, jambes bien ouvertes, le gode allant et venant en elle, jusqu'à ce qu'elle jouisse. Ce
n'est qu'en la voyant faire que nous bandions à nouveau. Le problème était maintenant se
savoir qui et où. Elle résolvait facilement: nous devions commencer comme la fois d'avant.
Cette fois à l'envers: moi dessous, elle en sandwich. J'avais encore la même impression et
son amant aussi pensait comme moi, c'est nous qui nous donnions du plaisir. Encore elle
jouissait sans arrêt, jusqu'à nous mettre hors jeu tous les deux.
Cet homme est parti nous ne l'avons plus revu. Pourtant les besoins augmentaient sans
arrêt.
Je prenais une décision qui après réflexion lui donnait satisfaction; faire le trottoir.
A la tombée de la nuit, elle s'habillait plus que sexy: disons moitié nue, pour bien faire
ressortir ses avantages qui n'étaient pas minces.
Le premier jours je la surveillais un peu: elle devenait réellement une autre femme qui
charmait les hommes qui lui plaisait. Elle faisait durer toujours ses baises payantes plus
longtemps que des putes "normales". Elle jouissait beaucoup et en devenait plus vivable pur
moi au moins. Je pouvais la baiser, l'après-midi avant qu'elle aille se faire sauter par
d'autres. Elle trouvait sa vie dans cette vente de son corps. Elle continue toujours
actuellement et je la laisse prendre ses orgasmes seule avec d'autre personne dont je ne
connais rien, sinon ce qu'elle m'en raconte quand elle a eu un amant exceptionnel ou si elle
a accepté que deux ou trois hommes ensemble soient en elle.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!