Tendre Cécilia 2

Le lundi, Cécilia accompagne Didier sur le pas de le porte. Elle est simplement vêtue d'un peignoir. Quand elle aperçoit Noémie, elle lui adresse des grands bonjours. Elle aussi est en peignoir, disant au revoir à son fils Régis. D'un geste de la main, ele invite Catie à prendre le café.
-Je ne suis pas en tenue pour aller chez les gens, s'excuse Cécilia.
-C'est pas grave, la rassure Noémie, on est entre femmes.
Noémie est assise sur le canapé, ne faisant rien pour cacher ses superbes cuisses. Catie est en face, sur le fauteuil. Son peignoir un peu court, laisse entrevoir la naissance des fesses.
-Alors ma chère, dit Noémie. J'ai surpris une communication téléphonique entre mon
fils, et vôtre neveu, et il me semble qu'ils ont des projets érotiques avec vous.
-Heu...Je vois pas ce que vous voulez dire Madame, répond Cécilia rouge de honte. C'est
certainement une erreur. Enfin, ce sont des gamins, et Didier est mon neveu. Vous me
mettez mal à l'aise là.
-Vous savez, poursuit Noémie, j'ai vu vôtre petite fente quand vous êtes venu récupérer
Didier. J'ai eu l'impression qu'elle venait de servir. Je me trompe? Venez près de moi
on va discuter de tout çà.
Cécilia hésite, puis se rend compte que sa voisine sait beaucoup de choses. Elle l'a rejoint sur le canapé.
-Comme vous voulez Madame, dit-elle, mais ne croyez pas que....
Noémie la prend par la taille, et lui murmure à l'oreille.
-Détendez vous, je n'ai jamais mangé personne encore.
Noémie s'allonge sur le canapé, derrière Cécilia. Elle l'a prend par la taille, et dénoue le peignoir. Elle l'a force à se coucher contre elle. En essayant de se dégager, Cécilia reste un instant en équilibre sur ses fesses, ce qui lui fait écarter les jambes. C'est ce moment là que choisi Noémie, pour glisser une main entre ses cuisses.
-Mais, que faites vous Madame, je ne suis pas une lesbienne.
-Mais vous n'allez pas tarder à le devenir ma chérie.

J'ai tout mon temps vous savais.
Noémie prend Cécilia par le cou, et la tire à elle. Tendrement, elle lui mord l'oreille. L'autre main parcourt la fente légèrement humide. Cécilia ferme les yeux. Instinctivement, elle écarte les cuisses. Deux doigts pénètrent la chatte, roule le clitoris décalotté. Cécilia glousse de plaisir. Elle s'abandonne aux caresses de sa voisine. Elle passe une main en arrière, et saisit la nuque de Noémie.
-Mon dieu Madame, soupire-t-elle, hou..hou..
-Qu'est-ce-qu'il vous arrive, sourit Noémie, c'est bon, hein?
-Oh oui Madame, ma petite chatte, comme vous l'avez ouverte la vilaine. Elle doit être toute
mouillée, non?
-Oh que oui, répond Noémie, comme elle mouille la salope. Et comme tes lèvres sont
enfles. Tu vas voir, je vais bien décalotté ton petit clitoris, et le gratter avec mon ongle. Il
va devenir tout dur. Tu vas entendre comme je vais te faire couiner. Je vais faire de toi
ma petite gouine attitrée.
-Vous me branlerez mon petit trou aussi, j'aime çà vous savez Madame.
-Mais patience ma chérie, on a quinze jours devant nous. En attendant, je t'invite au
restaurant ce soir. Et puis arrête les Madames. Va te préparer. Je te veux sexy en
diable, sans rien dessous, et le minou bien épilé, d'accord?
-Hum..comme une petite fille, sourit Cécilia.
Elle revient demi heure après, vêtue d'une minijupe rouge, d'un bustier à fermeture éclair, et des escarpins. De la balle. Noémie, elle, est vêtue toute en blanc. Une jupette, un petit haut, et des chaussures à talons haut. L'ensemble est magnifique sur sa peau noire. Une bombe.
-Approche, demande-t-elle à Cécilia, fais moi voir çà.
Cécilia s'approche, soulève sa minijupe. Noémie glisse deux doigts sur la chatte épilée.
-Très bien ma chérie, tu as été obéissante, tu seras récompensée.
Arrivé au restaurant, la serveuse les guides à une table très en retrait, réservé aux amoureux.
Protégée des regards par de grandes plantes vertes. C'est la table de Noémie.
Petit apéritif, bon repas, les deux femmes choisissent le désert. Elles boivent un autre verre de vin. Noémie fixe Cécilia dans les yeux.
-Qu'est-ce-que tu as à me regarder comme çà? Demande Cécilia.
-Je m'imagine en train de te faire l'amour.
-A bon, çà va pas. Et tu me fais quoi.
-Ben, je t'écarte les cuisses. Avec mes deux pouces, je décalotté ton clitoris, je l'excite avec
ma langue, je te le mord aussi. Après, je te prend la chatte tout en doigtant ton petit bouton.
Cécilia est suspendue aux lèvres de Noémie. Elle boit ses paroles sans dire un mot. Son menton tremble, comme si elle allait pleurer. D'ailleurs, on aperçoit une larme sur sa joue.
-Salope, gémit-elle.
Noémie a quitté une chaussure, et tend son pied sous la table, entre les jambes de Cécilia. Celle-ci écarte les cuisses, et saisit le pied. Elle le guide jusqu'au bord de sa fente. Noémie, vicieuse, fait des aller retour, de bas en haut sur les lèvres déjà humides de Cécilia. Les doigts de pieds attaquent le clitoris. Le corps de Cécilia commence à onduler sur la chaise, a glisser. C'est elle même qui saisit le gros orteil, et qui le fait pénétrer dans sa chatte.
-Ah, comment peut-on être salope comme çà, tu me maques là. Putain, comme tu me
chatte, oui, vas-y.
Cécilia n'a pas remarqué la présence de la serveuse derrière elle. Elle entend le zip de la fermeture éclair, et deux mains qui lui prennent les seins. Une tête se penche sur son visage, et lui prend tendrement les lèvres. Puis une main descend entre se jambe, et joue avec son clitoris.
-Elle est prête Madame, dit-elle.
Noémie branle la chatte de Cécilia avec son gros doigt de pied.
-Détend toi ma chérie, sourit Noémie, j'ai fais monter le son de la sono. Tu peux crier à
ton aise. Oh oh, que tu es belle dans cet état.
-Putain, hurle Cécilia, prenez moi, rendez moi pute jusque au bout, ha.
..oui...je joui, encore
oui...encore je vous dis,ha...oui....
La serveuse replace sa main entre les cuisses de Cécilia.
-Oh, mais le bouton est tout décalotté, la chatte pleine de mouille, dit -elle. C'est vrai qu'elle
en veut encore la vilaine.
-Taisez vous, gémit Cécilia. Doigter le, pincer le, tirer le ce salaud, ha..oui..je crache encore,
Noémie ma chérie, je t'aime tu sais, hou oui....
La tempête est passé. La serveuse mise dans le coup, reçoit un pourboire conséquent.

Les deux femmes arrivent chez elles, et se séparent après s'être donné un langoureux baiser. Vers deux heure du matin, le téléphone de Noémie sonne. Elle décroche.
-Allo oui, c'est pourquoi.
-Oh ma chérie, j'arrive pas à dormir. J'ai trop envie que tu t'amuses avec moi. S'il te plait.
-Mais enfin, çà va pas, tu as vu l'heure. Tu n'as qu'a te branler. Tu sort bien ton clitoris
et tu le doigte.
-Mais il est tout décalotté déjà, et ma chatte est toute mouillée. Mais c'est toi que je veux
mon amour.
-OK, accepte Noémie. Mais je veux que tu traverse la rue toute nue. Je te surveille par la
fenêtre.
-Mais si je rencontre quelqu'un, il va me voir toute nue.
-Bon allez, bonne nuit.
-Non, non, d'accord ma chérie, je ferai comme tu voudras.
Arrivé chez Noémie, elle saute littéralement dans le lit, et s'offre entièrement.
-Nique moi, encule moi, suce moi, bat moi, fait moi souffrir. Je veux mourir cette nuit.

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