Piégée Par La Télé Surveillance

Marc et Pascale sont en couple depuis vingt ans. Ils ont respectivement quarante et trente huit ans. Ils ont un fils Thierry, âgé de dix huit ans. Marc est à le tête d'une importante société de surveillance. Pascale, elle, s'occupe de l'immense villa. Elle est très belle, elle le sait, mais d'une fidélité à toute épreuve. Il lui arrive d'aguicher les hommes lors de soirées, mais par jeux. Un soir, ou elle avait un peu plus bu que d'habitude, elle s'était faite draguer par Kader, un jeune très beau maghrébin âgée de vingt ans, copain de son fils. Elle avait, à regret ,repoussé ses avances. Puis elle avait sèchement rejeter une sculpturale rousse, qui l'avait saisit par la taille. Il n'est pas question pour elle d'avoir une aventure sexuelle avec une femme.Autant de souvenirs qui reviennent aujourd'hui, et qui font naitre une agréable chaleur au creux de son ventre. Mais les temps ont changés. Pris par son travail, Marc l'a délaisse sexuellement., et à son âge, son corps a encore de l'appétit. Il demande qu'on s'occupe de lui. Demain, elle doit mener son mari au centre commercial, puis a rendez-vous avec Kader dans le parking du super marché. C'est la première fois depuis la fameuse soirée qu'ils vont se rencontrer. Mais Kader à affiché ses intentions. Après mure réflexion, elle a accepté, mais en mettant des balises. C'est pas une pute de luxe. Elle est tirée de ses pensées quand on sonne à la porte. Il es dix neuf heure. Pascale ouvre.
-Tiens, bonsoir mon chéri, çà va
-Très bien maman, répond Thierry. Je te présente Catie, ma copine. Elle fait un stage
informatique dans la société de papa.
Catie, brune de dix huit ans, est d'une beauté à couper le souffle. Des yeux impénétrables. Avec un regard malicieux qui vous pénètre. Elle est bisexuelle. Pascale se sent mise à nue par ce regard, mal à l'aise.
-Bonsoir, répond Pascale, c'est bien. Vous êtes très belle vous savez..
-Merci madame, vous aussi, vous êtes superbe.


Pascale rougit en baissant la tête.
-On s'arrête pas man, on a rendez-vous. Je venais juste voir si tu pouvais me dépanner
d'une bouteille.
Pascale va au bar, et revient avec une bouteille de Bourbon.
-Doucement avec l'alcool les s, promis?
Les deux jeunes gens prennent congés. Catie fixe Pascale, et lui serre mollement la main.
-A bientôt Madame.

La direction du super marché vient de faire installer un nouveau de télé surveillance. Marc, le directeur, a convoqué un comité restreint, pour que rien ne filtre de ces nouvelles technologie. Les essaies se portent sur le parking souterrain. L'image est d'une qualité surprenante. Les visages, les immatriculations des voitures sont d'une netteté extraordinaire. Sur invitation du directeur, le personnel se rend dans la salle de conférence pour sabler le champagne.
-On visionnera la suite après, dit-il.
Ils reviennent un quart d'heure plus tard, plus rien sur l'écran. Ils appuie sur éject, plus de CD. C'est l'affolement général.
-Mais enfin, gronde Marc, qui a accés à ce local?
-A part nous, je ne vois pas, répond un employé.
En dérobant le CD dans le local de surveillance, ou elle a accés , Catie ne sais pas encore qu'elle détient la de quoi faire chanter la personne qui l'intéresse. Elle appuie sur play, et là, surprise. Pascale, la femme du directeur, et ère de son copain apparait sur les images. Elle est en traine de se faire prendre par derrière par un jeune maghrébin, sur le capot d'une voiture. On voit nettement sa jupe enroulée autour de ta taille, et son chemisier largement ouvert. Ses yeux sont mi-clos, sa bouche entre ouverte. Ses seins frottent sur la carrosserie. Sous un autre angle, on voit également l'énorme queue du jeune beur ouvrir la chatte de Pascale pour l'a pénétrer. Ses couilles frappent contre ses fesses. D'un coup, l'arabe se retire, force Pascale à se retourner, et à le prendre en bouche pour finir en se faisant tailler une pipe.
On voit leurs corps se raidir. Aucune goutte de sperme ne s'échappe. Elle avale tout. Elle s'emploie à nettoyer le gland. Le maghrébin la relève et l'embrasse violemment. Elle passe ses bras autour de sa nuque, Puis ils se séparent.
Pascale monte dans sa voiture et s'en va. La scène a durée à peine un quart d'heure. Catie est scotchée sur son canapé. Une fois remise de ses émotions. Elle réfléchit comment tirer profit de cette situation. Dans un premier temps, elle décide d'extraire des photos de la scène à partir du CD.
Marc rentre de son travail vers vingt heure.
-Alors mon chéri, ta journée s'est bien passé. Je te sens nerveux.
-M'en parle pas. On a, dans le plus grand secret installé un nouveau système de surveillance, le temps de boire un coup, on nous à fauché le CD.
-A bon,poursuit Pascale, et comment allez-vous faire pour le récupérer.
-J'espère que la sauvegarde aura fonctionner, dit-il.
Le lendemain, Pascale trie son courrier. Une lettre attire particulièrement son attention. Elle l'ouvre, et là, stupeur. Une photo d'elle en train de se faire niquer sur le capot d'une voiture. Derrière un numéro "un". Un petit mot accompagne le cliché.
"Surveillez vôtre courrier, demain vous aurez a photo numéro deux"
Pascale s'effondre sur le canapé, une main devant la bouche. Elle a tout compris.
"Mon dieu, se dit-elle, qu'est-ce-qu'il m'arrive. Qui a pu prendre ces photos.Et Kader quand il va savoir çà"
Elle a peur, mais impatiente d'être à demain pur découvrir la suite. Elle espère aussi que la sauvegarde n'aura pas fonctionner. Le lendemain, Pascale reçoit une autre photo, aussi évocatrice que la première. L'angle a changé. On voit bien la queue de Kader enfoncée dans sa chatte jusqu'au couilles.
La troisième l'a montre la bouche ouverte, certainement en train de hurler de plaisir.
La quatrième, en train de tailler une pipe.
La cinquième photo montre Pascale se laisser embrasser fougueusement.
Derrière, un petit mot.
"Si vous ne voulez pas que ces photos finissent sur le bureau de vôtre mari, je vous conseille de m'obéir au doigt et à l'oeil. Demain, quatorze heure, je veux que vous m'attendiez chez vous, en tenue d'Eve. Si vous êtes d'accord, collez une feuille sur vôtre vitre. Sinon....Une fille qui vous aime bien"
"Quoi, se dit Pascale, il n'en est pas question. J'ai toujours été contre le lesbianisme"
Le lendemain, elle ne colle pas la feuille.
Marc rentre vers dix neuf heures. Ce n'est pas la tête des grands jours. Mais bon, on a connu pire.
-C'est pas la grande forme on dirai, dit Pascale.
-Non, répond-il, cette histoire me travaille. Qui a pu s'introduire dans le local de contrôle.
Tiens, j'ai trouvais çà sur mon bureau. Encore une connerie, comme si j'en avais pas
assez.
Pascale saisit le document. C'est une photo couper en deux montrant les avants bras d'une femme appuyer sur le capot d'une voiture. Au dos, un petit mot.
"Demain, vous recevrez l'autre moitié"
Pascale reconnait la photo. Elle est prise au piège. Elle risque gros. Elle a avertit Kader, qui lui a fait comprendre gentiment de se démerder. Elle décide d'accepter l'ultimatum de l'inconnue. Mais comment l'avertir.

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