Marie-Rose 65 Ans

Au travail, je suis délégué syndical, dans le cadre de cette responsabilité je me suis occupé du grief de Marie-Rose.
Marie-Rose 65 ans , grassette, une paire de tétons volumineuse et pendantes.
Moi,46 ans, séparé depuis 7ans de la femme qui m'a dépucelé a 32 ans. Depuis ma séparation je me branle régulièrement.
Haaa l'internet !

Pour me remercier d'avoir sauvé son emploi, elle m'a invité plusieurs fois pour souper. Étant a cours d'excuse j'acceptais finalement son invitation. Avant d'aller plus loin , je vous précise que je parais plus jeune, facilement 30 ans, je suis chatain, pratiquement pas de barbe, et de plus je suis petit et plutot maigrichon.
Je me présente chez elle à l'heure convenue avec une bouteille de vin et des fleurs. Elle me reçoit en m'embrassant sur les joues et je sens sur ma frêle poitrine ses tétons, surtout lorsqu'elle se frotte carrément en changeant de joue. Je sens un début d'érection. On se calme. Elle porte un chemisier blanc ample me laissant son soutien-gorge ouvert. Je constate qu'elle n'a pas le haut de la poitrine ridée. Elle porte une jupe jusqu'au genou.

Elle ne se gène pas lors de l'apéro pour se pencher en m'exposant ses seins et croiser les jambes hautes me laissant voir le haut de ses cuisses toutes blanches.
On mange,on boit du vin, beaucoup de vin, la discussion change. Elle me parle de son mari décédé il y a environ 10 ans de ses copains depuis et des fantasmes de ceux-ci.
Son histoire me fait bander et lorsqu'on passe au salon pour le café, en me levant elle constate mon état. Elle me dit :
- Tu bandes à m'écouter et toi tu dis rien.

Je reste silencieux, elle me caresse les cheveux et je pose ma tête sur sa poitrine. Tout de go je lui dit que ca fait des années que je masturbe et que l'entendre me raconter ses histoires me donne envie de me branler. Elle me met debout et me déshabille, je suis nu, bandé, elle enlève son chemisier et son soutif .

J'ai jamais vu d'aussi gros tétons. Elle me prend la main et m'assoit sur ses genoux et tranquillement me masturbe, puis remplace sa main par la mienne en me disant de me branler. Je me branle sans retenue, je mécartille, lève les jambes, je prends mes deux mains et pendant ce temps Marie-Rose m'insulte en me traitant de petit branleur et ajoute que les branleurs on les guérit par une bonne fessée. Elle enlève sa jupe, me couche sur ses grosses cuisses, une cuisse c'est ma taille. Elle me corrige, ça fait mal mais j'aime . J'éjacule sur sa cuisse, elle est fachée et je suis à genou au coin. Elle s'approche de moi, elle a son portable, je regarde, elle a tout filmé, je suis à sa merci.