Les Aux Revoirs De Fanny.
Fanny, superbe blonde de vingt ans, rend visite à Sylvain, son cousin, du même âge qu'elle, très beau lui aussi. Ils ont été élevés ensemble depuis la naissance. C'est lui qui a présenté Laurent, époux de sa cousine. Il en est même jaloux. En effet, les deux cousins s'étaient fait la promesse de ne jamais se séparer. Mais bon, lui aussi rencontrera un jour quelqu'un pour faire sa vie. Fanny s'assied câlinement sur ses genoux, et lui passe un bras autour du cou.
-Alors, dit Sylvain, célibataire? Ben dit dont, tu en fais une tête.
-M'en parle pas, répond-elle tristement. De penser qu'il va falloir peut être partir.
Laurent et Fanny sont mariés depuis une semaine, quand Laurent a rendez-vous pour signer un contrat d'embauche, dans la région Parisienne. Il est obligé de s'absenter deux jours. Il est dix neuf heure quand il téléphone à son épouse, pour la tenir au courant. Sylvain ne s'intéresse pas à ce qu'il se dise, mais comprend que le jeune couple va quitter la région.
Prise par la discussion, Fanny ne s'aperçoit pas que la main de Sylvain est montée haut sous sa robe. Très haut. A tel point que sa main effleure la lisière du string. Fanny parle, parle, et parle, et Sylvain continue sa progression. Elle raccroche, et réalise enfin.
-Dis salaud, mais tu as mis tes doigts dans ma petite chatte.
-Oh, excuse moi Fanny, c'est involontaire. Je ne sais pas ce qu'il m'a pris. Je les retirent....
Pour toute réponse, elle serre ses cuisses comme un étau.
-Pourquoi, ils sont pas bien là, au chaud.
Son corps se prête au jeu. Elle sent qu'elle commence à mouillée. Ses seins se tendent sous la robe légère. Ils durcissent, les bouts grossissent. Ils sont lèvres contre lèvres. Lentement, Fanny se lève et entraine son cousin sur la moquette. Leurs corps sont enlacés. De temps en temps, elle lui murmure à l'oreille, l'a lui mord.
-Qu'allons-nous faire, soupire-t-elle.
-Une énorme bêtise, souffle-t-il.
Ils sont maintenant à genoux. Fanny s'emploie à défaire la ceinture du "jean". Lui, plus rapide, fait passer la robe de Fanny par dessus sa tête. Il découvre le corps nu de sa cousine.
-Que tu es belle, dit-il. Il en a de la chance Laurent.
-Saisit la tienne, répond-elle. Aime moi là, sur la moquette.
-Mais tu es folle,sursaute-t-il. Si on nous surprend.
Pour toute réponse, Fanny s'enroule autour de son cousin. Les mains partent sans retenue à la recherche des endroits intimes.
-Quelle est belle, salive Fanny. Quelles sont grosses, et bien pleines.
-Toi aussi tu es belle. Quels seins, et quelles jambes.
-J'ai une petite fente aussi. Elle aimerai bien qu'on la chatte. D'autant plus qu'elle est
toute mouillée la polissonne.
Doucement, Fanny se met sur le dos, et reçoit son cousin entre ses cuisses. Elle noue ses jambes dans son dos, pour mieux sentir la queue qui l'a pénètre.
-Ha...ha.., gémit-elle, tu ne sors pas de là tant que tu n'as pas fini ton travail, OK?
-Tu vas entendre comme je vais te faire gueuler salope. Tu vas jouir comme jamais.
Ils ne se maitrisent plus. Fanny cambre ses reins pour mieux se le faire mettre. Les muscles de son vagin retiennent la queue de Sylvain.
- Tu vas me faire jouir salaud, ha...oui..comme tu me niques, oui..vas-y, vide tes couilles.
-Déconne pas Fanny, relâche moi, je crache moi aussi. Laisse moi me retirer. han..han..
Tu es folle.
Fanny libère Sylvain, un sourire au lèvres. Elle le dévisage avec un regard de chatte. Elle fait courir sa langue sur ses lèvres.
-C'était merveilleux, soupire-t-elle. Quel amant. T'inquiète pas, je prend la pilule. Et puis
même. Un de toi, quel bonheur. Allez, je vais prendre une douche, tu viens?
-Non chér..Fanny, j'ai un coup de fil à passer.
-Dommage chéri. J'avais l'intention de te tailler une bonne pipe. Tant pis pour toi.
Sylvain l'a regarde regagner la salle de bains.
Elle ressort de la douche en peignoir, les cheveux trempés enveloppés dans une serviette.
Sylvain se précipite pour lui venir en aide. Il prend la serviette, et l'essuie vigoureusement.
-Tes cheveux sont tout mouillés, franchement, c'est bon pour attr froid , enfin.
-Ma chatte aussi est toute mouillée. Tu t'en inquiète pas , vilain.
Sylvain, gêné, est sauvé par le téléphone. Il est vingt heure trente. C'est Laurent qui appelle sur le portable de Fanny. Elle s'assied sur les genoux de son cousin.
-Allo oui.. c'est toi mon chéri...ah bon..pas avant demain midi...oh mon amour, je
commence à languir...chez Sylvain....tu serais plus rassurer...ben je vais l'appeler pour
lui demander...d'accord..gros bisous mon chéri.
Bien sur, Laurent ne sait pas que sa femme est déjà chez son cousin. Fanny lui explique que son mari serai plus tranquille si il voulait bien l'héberger. Sylvain voit arriver le coup.
-Pas de problème, dit-il, je prendrai la chambre d'amis. tu as tes affaires?
Fanny, féline, s'avance vers son cousin. Elle ôte son peignoir, et tourne devant lui. Il avale difficilement sa salive.
-Mais, ça va pas comme ça? Quelles affaires. Quelle chambre d'amis. A moins que tu
attendes quelqu'un?
Sylvain comprend qu'il ne pourra pas éviter le piège. Puis, après tout, pourquoi pas? avant qu'elle parte.
-Mais non j'attends personne Fanny. Bon, je décongèle des pizzas, propose-t-il. Et puis,
passe ton peignoir, s'il te plait.
Elle obéit, ne voulant pas froisser celui qui, elle espère, va lui donner de coups de queues toute la nuit. Il est vingt trois heure quand Fanny insiste pour regagner la chambre. Ils sont entièrement nus sur le lit. Elle l'a pris directement en bouche. Du bout des lèvres, elle lui totalement le gland. Lui, a sorti le clitoris de sa capuche, et l'excite avec un doigt.
-Gratte le, salaud, corrige le ce polisson, il a pas été sage.
tailler une pipe à une queue pareille. Te retiens pas chéri, régale toi, prend tout ton temps.
Sylvain ne tient plus. il profite de cette offrande qui s'offre à lui. Il éjacule à longs jets puissant au fond de la gorge de sa cousine. Ses couilles sont compressées contre ses lèvres. Elle attaque le gland pour sucer jusqu'à la dernière goutte.
-Oh mon dieu, que c'est bon ma chérie. A toi maintenant, viens que je te nique.
-Non, continue a me doigter, je veux jouir comme çà. Après, je veux que tu me sodomises.
Je l'ai jamais fais encore, je veux que ce soit toi le premier mon chéri.
-Oh mon amour, te prendre par le petit trou avant de l'offrir à ton mari. Quel cadeau.
Comme promis, Sylvain va l'enculer, en levrette. Puis, il s'allonge sur le dos, le membre toujours en érection. Elle l'enjambe, lui saisit la queue, la frotte contre son clitoris, puis s'y empale dessus.
-Ha..ha..comme c'est bon de se le faire mettre. Regarde mes seins comme ils te narguent.
Caresse les ces salauds. ha...oui...que c'est bon d'être une fille. Se faire niquer par un
super mâle.
-Tu es une petite pute ma chérie, tu sais que je me régale. Tu me vide les couilles là. ha...
Pendant une bonne partie de la nuit, Fanny hurle de plaisir, traitant même son mari d'incapable. Epuisée, les orifices plein de sperme, elle décide de prendre une douche. Puis, ne voulant pas perdre une minute de cet instant de bonheur, elle retourne rapidement se blottir dans les bras de Sylvain.
-Tu vas me manquer tu sais. J'aimerai tant passer d'autres nuits comme çà avec toi.
-Toi aussi tu vas me manquer, répond-il. Je t'appellerai tout les jours. J'oublierai jamais
cette nuit.
Il est douze heure trente quand la voiture de Laurent se gare dans la cour.
-Bonjour mon amour, dit-elle. Tu as eu bonne route.
-Bonjour ma chérie, répond Laurent, çà allait, pas trop de circulation. Mais tu as l'air
fatiguée.
-Mais je me suis pas arrêtée tu sais. J'ai commencé a faire des cartons.
-Tiens Sylvain, mon cousin préféré, mon frère. Tu t'es bien occupé de ma femme, j'espère.
Allez, je vous invite au restaurant.
Fanny et Sylvain ont un regard complice, à peine dissimulé.
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