Gros Popo Pour Une Rondelle

1 - Torride, et surnaturel, un truc de dingue… c’est en effet comme cela que je pourrais résumer cette histoire. Entre réalité et fantasme brûlant d’un soleil d’été, voici ce qui se produisit…
J’étais en vacances en pleine semaine, l’été avec des chaleurs de saison pour le moins, je décidais pour aller prendre un peu l’air d’aller faire du VTT en forêt. Je sortais mon short cycliste et me mis à poil, je pensais tout de suite que j’avais un peu trop de poils sur les couilles, pas bon ça pour mettre ce genre de short ça gratte… Allez hop une petite douche, savon en masse sur les couilles et bon lavage d’anus en prime, je sortais un rasoir pour me faire de belles burnes toutes chauves… Petite érection, je me dis que cette journée s’annonçait chaude dans tous les sens du terme. Je partais direct de chez moi avec tout l’équipement nécessaire la tenue de vélo en lycra moulant et le cul nu directement posé sur la peau type « chamois » au fond du short. Les burnes rasées de près quelle bonne sensation de sentir le short en contact qui me caressait l’endroit. Cette sensation était de plus en plus torride, au fur et à mesure des kilomètres mes couilles s’échauffait sur la selle en contact avec ce short de cyclisme, mes fesses commençaient elles aussi à transpirer le tout me donnant une impression de liberté (comme nu sur le vélo) d’autant que le temps était finalement agréable et pas si chaud que ça avec un petit vent qui me léchait les parties, que du bonheur.
Je commençais à attaquer les sous-bois, à la première clairière, je devais avoir parcouru dans les dix kilomètres, je décidais de m’arrêter pour boire un bon coup, je descendais du vélo que je posais le long d’un arbre, de façon à me dégourdir les jambes. L’eau de ma gourde était bien fraîche, j’avais bu rapidement, j’étais bien le soleil chauffait et ce short qui me « caressait » à chaque pas, je voulais reprendre la route mais peut-être à cause de l’eau fraîche, j’avais le ventre gonflé, j’eu soudain envie d’aller chier.


Pas franchement le coin adapté à ce genre de besoin et n’ayant pas prévu cela je n’avais que juste un petit bout de mouchoir en papier qui trainait dans ma sacoche de vélo. Bon tant pis j’avais trop envie je sentais que ça poussait à la sortie de mon cul et qu’il fallait vraiment que je lâche tout ça rapidement et hors de question de repartir en selle avec ce que je devais sortir de là… ça s’annonçait assez gros à mon avis car je sentais que ça me travaillait le cul, sensation excitante... Je cherchais un petit coin plus discret derrière un petit tas d’arbustes plutôt clairsemé mais bon fallait que ça sorte et vite…
J’avais pas trop l’habitude de pondre dans la nature donc il fallait faire ça vite fait et improviser sans se faire repérer, je me mis donc accroupi et baissait vite fait mon short de cyclisme en le retenant comme je pouvais, matière élastique, pas facile à tenir, je commençais à pousser sur la rondelle, mais mon trou du cul était bien étroit et ce qui voulait passer par là devait forcer pour sortir… Comme je m’en doutais le truc qui arrivait était énorme, je devais avoir un peu de constipation, par curiosité je regardais en me penchant un peu la dessous, et je vis que le début de cette grosse merde qui me défonçait le cul. Le pied, plus mon cul s’ouvrait plus je prenais du plaisir… J’avais maintenant très chaud, et le temps de sortir ça de mon derrière serait sûrement plus long que prévu, mais bon il fallait que je termine, je poussais et poussais encore sur ma rondelle, je soufflais et transpirais… Mon anus commençait vraiment à atteindre ses limites et à me faire un peu mal, j’avais sorti la moitié de cette crotte défonceuse d’anus. Et là toujours en train de mater ce qui sortait de mon cul je vois ma bite qui commence à prendre du volume, bah je bande et bande encore plus à chaque poussée sur mon cul, je me dis affolé que ça va pas simplifier les choses pour finir de poser mon truc avec la bite raide comme un bout de bois. Alors je pousse comme un malade et l’anus commence à se refermer, et paf la merde tombe sur les feuilles dans un bruit sourd, un putain de truc compact avec une odeur « forte » mais pas désagréable.
Je sais plus où j’en suis entre douleur au cul et plaisir à la bite, la chaleur je commence à suer comme un cochon…
Ouf, je souffle soulagé, je prend mon bout de mouchoir en papier et me torche la rondelle, en passant par là j’effleure mes burnes rasées, et là je sens en torchant ma rondelle, qu’elle s’est vraiment fait forcer pour sortir tout ça, je pose le mouchoir et d’un doigt je me tâte un peu la rondelle et enfonce légèrement dans mon cul, j’ai la bite dans un état, ça me rend dingue, j’ai super chaud un doigt à l’entrée du cul, mes burnes chauves, ma bite qui crie famine, en tressautant, que l’on s’occupe d’elle… Et la par terre je regarde la chose responsable de tout ça une merde d’une taille, j’ai rien pour la mesurer bien sur mais bon je me dis que ça doit largement atteindre la taille d’un bon gros godemichet vu le diamètre imposant et la longueur... L’endroit est toujours calme dans l’excitation la plus totale je m’att la bite par la main et de l’autre me caresse les couilles, je commence à me branler avec une force dingue, je regarde encore le truc qui m’a défoncé le trou du cul et ça m’excite dingue, je me branle pendant encore quelques minutes je sens le jus qui commence à venir de mes couilles, il fait chaud c’est super, quel pied se faire déchirer le cul en pleine nature, forte sensation anale où je comprends qu’il y a beaucoup de façon de s’éclater…

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