Collection Cocu. Jalousie (2/3)

L’année qui a précédé ma rencontre avec Valentine, toute mon année, j’ai fait la fête et pendant l’été, je suis allée dans le camping tenu par mon cousin.
J’y ai planté ma tente sans aucuns frais.
Sur la plage, j’ai fait la connaissance d’un couple dont le mari s’apprête à partir à Saintes réparer une machine tombée en panne.
Ce faisant, il me laisse seul avec sa femme et ses s.

• Je vous laisse, je serais de retour si tout va bien demain matin, la réinitialisation du programme informatique prend déjà huit heures.
Avec la nouvelle machine, ce sera en dix minutes par un Béotien que ça ce fera.
Ajoutez à cela le temps de trouver ce qui plante ce programme et je reprends nos vacances.
J’en ai pour la nuit avec Pierre, mon adjoint qui est sur place.
Adrien, je te confie ma famille.
Béatrice retient le pour le déjeuner s’il est libre, mon absence te paraîtra moins longue, et toi, mon pote, je te fais confiance soit un gentleman avec ma femme.

Après avoir remis ses vêtements, nous le voyons monter dans sa voiture et partir après un petit geste de la main vers nous.

• Adrien, comme mon mari l’a dit, soit un gentleman reste avec moi, j’ai peur seule avec les s.

En me disant cela, elle met sa main sur ma cuisse à la lisière de mon short.
J’ai nettement l’impression que, lorsque Valentin me demandait d’être un gentleman, loin de lui l’idée que ce soit sa femme qui attaque la première.

Nuits chaudes, s’il savait que « les nuits chaudes » se passent dans son propre bungalow.

La phrase prononcée par Dane tout à l’heure me revient à l’esprit !
Voulait-il dire que les nuits chaudes, c’est grâce à madame ?

• Le soleil m’est insupportable, vient, on rentre, il fera plus frais à l’intérieur, je viens ici, car leurs bungalows ont la clim.

En gentleman si la dame à du mal avec le soleil, je me lève et je la suis à l’intérieur.



• Mets-toi dans le canapé, je vais voir si les s dorment.

Elle passe dans la pièce voisine, j’entends l’eau couler.
Elle revient un quart d’heure après en peignoir mal fermé me permettant de voir le haut de ses seins et vient s’asseoir à mes côtés.

• J’ai pris une bonne douche, va te rafraîchir, ta peau doit être couverte de sel après ton bain-de-mer tout à l’heure.

Il est vrai que revenant de la plage, je suis venue à leur invitation directement sans aller à la douche à l’autre bout du camping et risquer de rencontrer la pompeuse des douche.s

• Je vois que tu hésites, vas y, tu verras l’eau te rafraîchira.

J’assume, je me lève et je passe la porte d’où elle est sortie presque dénudée.
C’est la chambre et la porte de communication semble être celle des s.
Le lit est fait, mais les draps ouverts permettant de s’allonger sans enlever la couverture.
J’enlève mes affaires, j’entre dans la cabine monobloc qui contient la douche avec devant un simple rideau.
L’eau me coule sur le corps bien fraîche lorsque je sens le rideau bouger et que des bras m’enserrent à la hauteur du tors.
Un corps ayant des seins vient se coller au mien.

• Il fait si chaud que je profite de l’eau qui coule sur toi pour me rafraîchir une nouvelle fois.

Je me retourne obligé de l’empoigner dans l’exiguïté de la cabine où nos bouches se trouvent.

• Que fais-tu, je suis mariée ?
• Je suis sûr que si je te mets deux doigts, tu mouilles.
Assume-toi, regarde, tu me fais bander, caresse là.
• J’en ai envie, mais jusqu’à ce jour, j’ai respecté mon serment de mariage, pourtant elle est belle.

En me disant cela, elle me saisit la verge à pleines mains.
Je suis à deux doigts de lui remplir, je la soulève et tout mouillé, je la porte sur le lit.
Bizarre comme je le disais, il était prêt à nous recevoir.

• Tu me violes, tu es en moi et mes s sont à côté, je croyais avoir affaire à un gentleman.


Je viens lui fermer la bouche avec un baiser, son numéro de femme fidèle qui vient nue sous la douche d’un homme et qui crie aux violes me gonfle un tantinet.
Je la laboure à grands coups de verges jusqu’à ce qu’elle jouisse.
La sieste des s durant encore une heure, en levrette, à la cuillère toutes les positions que je sollicite semblent être les pratiques courantes de Béatrice.
J’ai une envie folle de l’enculer, mais j’ai peur d’une rebuffade, et que je sois expulsé du bungalow alors que j’ai dans l’idée que si je sais y faire, une nuit d’enfer se présente à moi.
Si elle accepte que je passe une partie de la nuit après l’avoir bien labouré, je suis certain qu’une petite sodomie sera sans risque, car j’aurais déjà tout exploré de la dame.

• Je savais que tu étais un bon étalon dès que je t’ai vu sur la plage, excuse-moi, c’est plus fort que moi il faut que je minaude.
Viens me remplir la bouche, j’aime sucer.

Au moment où les giclées sortent de ma verge pour lui inonder la glotte, dans la pièce voisine des cris d’s se font entendre.

• Part revient ce soir après 22 heures, nous avons encore quelques pages du Kama sutra à explorer.

Je quitte la femme qui se disait fidèle, mais qui par moments aime prendre des douches, jusqu’au moment où elle redevient une femme fidèle.
Je pars vers l’entrée très fière d’avoir séduit une femme aussi bandante que Béatrice, je sens qu’il faut que j’en parle avec quelqu’un.
Ce quelqu’un c’est Dane qui tient la caisse du magasin.

• Te voilà cousin, j’ai envoyé Mado nettoyer les douches et waters, j’évite d’y aller, et toi, j’ai vu le mari partir, tu as eu droit à la douche.

J’éclate de rire.

• Tu sais ici, les gérants ont un poste privilégié pour voir tout ce qui se passe, tu apprends vite les secrets des gens.
Les nuits chaudes, dès le lendemain de leur arrivée, je suis intervenue sur une douche qui soi-disant refusait de couler avec assez de pression.

La dame m’a reçu en peignoir pendant que le mari était à la plage gardant les s.
Je l’ai cloué sur la cloison, car après avoir augmenté le débit, elle s’est présentée nue pour tester si la pression était suffisante.
Je lui ai augmenté la pression, mais avec ma verge au fond de sa chatte, elle a trouvé que les jets de spermes que je lui envoyais étaient et puissant et assez chaud.
Depuis, une lampe puis la gazinière ont eu des problèmes.
• Mado sait-elle que tu la trompes ?
• T’es con cousin, garde-toi de lui dire si tu veux continuer à rester gratuitement parmi nous.
Bonjour madame, trois euros cinquante.

Tout en me parlant Dane vient de servir un couple et a seulement salué la femme.

• Tu vois ce couple, j’ai salué seulement la femme, car si je l’avais saluée, il aurait encore subi des sévices.
Ils sont là depuis deux semaines et chaque nuit lorsque je fais une de mes rondes, je passe devant leur bungalow où dès le deuxième soir, j’ai surpris un mouvement suspect sous le haut vent.
Je me suis approché, pensant à un rôdeur, j’ai trouvé l’homme ficelé et bâillonné comme un vulgaire paquet, il était couché devant la porte, c’est à ce moment que j’ai appris les jeux pervers de certains couples.
J’ai entendu la clenche de la porte, je me suis reculé.
La femme est sortie nue et a dit.

« Enfin, ils m’ont livré mon coli, je vais pouvoir jouer avec ma poupée gonflable. »

Je l’ai vu empoigné son mari et le tirer à l’intérieur, avant qu’elle referme la porte, j’ai entendu.

« J’espère qu’elle sera plus endurante que la dernière et qu’elle acceptera mieux le martinet. »

• Des colis, elle en a reçu tous les soirs, chaque fois, la poupée gonflable a eu droit au martinet, j’ai entendu le bruit des lanières sur son postérieur.
• Me faire attacher, très peu pour moi, je vais éviter ce bungalow.
• À toi de voir, il y avait aussi le bungalow « Désirs » chaque fois que je passais devant, il baisait, j’entendais, « baise-moi, non continu de me violer » et immanquablement cela se termine par « encule-moi ».

J’en parle au passé, ils sont partis hier.
Je pourrais t’en raconter d’autres, il y a Bernadette.
Bernadette, elle est très chouette, elle niche près des douches et suce tous les célibataires qui viennent se laver.
C’est pour cela que Mado est allée laver douches et toilettes, elle a dû voir son manège et préfère éviter qu’elle s’en prenne à moi, nous sommes juste Pacsé.
Je te laisse, j’ai des clients.

J’ai caché à Dane que si Bernadette suce tous les célibataires, c’est que j’ai déclenché en elle ce besoin irrésistible d’avoir un morceau bien placé dans sa bouche.
C’est dans les premiers jours où je suis arrivée que j’aie vu cette petite brune boulotte arriver avec ses trois s et son mari.
J’avais planté ma tente près des douches, car je sais que c’est un point stratégique pour repérer les gonzesses.
Bernadette avait le bungalow le plus près du petit bâtiment, je l’ai vu entrer avec une serviette de toilette, je l’ai suivi, elle était devant un lavabo et surtout une glace essayant désespérément d’enlever une poussière venue se nicher dans son œil…

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