Comment J'En Suis Arrivée À Me Donner À Plusieurs Hommes Devant Mon Mari

Je m’appelle Aline et j’approche de mes 60 ans. Ceci pour expliquer que lorsque j’étais jeune, le SIDA n’existait pas et que certaines protections aujourd’hui indispensables n’étaient pas nécessaires.
Lorsque je me suis mariée, à à peine plus de 21 ans, j’étais encore vierge par envie car l’époque (aux alentours de 1968) était plutôt le début d’une certaine libération sexuelle. Nous avions des cours d’éducation sexuelle aussi nous n’ignorions rien de l’anatomie masculine. Mais j’avais décidé de rester vierge jusqu’à mon mariage ; mon futur mari, Christian, l’avait bien compris et ne m’avais jamais e à lui céder. L’expérience la plus osée que j’avais eue avait été avec un de mes flirts, Thierry. Il m’avait demandé de le prendre dans ma bouche : j’avais refusé mais accepté de le masturber. J’avais été très surprise par le giclement de son sperme. C’était la première fois que je voyais la semence d’un homme, ce jus épais et gluant.
Mon futur mari aimait déjà que je sois habillée assez sexy avec des mini-jupes plutôt courtes. Il les aimait aussi plissées. Il adorait aussi que je porte des chemisiers un peu serrés qui mettaient en valeur ma poitrine déjà bien développée pour mon âge (du 95D).
Lorsque nous fûmes mariés, il m’imposa de porter des tenues de plus en plus déshabillées à la maison. Je n’avais pas le droit de porter de slip (sauf à des moments particuliers que les femmes connaissent) ou seulement des culottes fendues ou des strings ouverts qui laissaient mon sexe à nu et accessible à tout moment. Il m’offrît énormément de tenues : ensembles porte-jarretelles-soutien-gorge seins nus, guêpières, mini-jupes de dentelles transparente ouvertes devant jusqu’à la taille, minirobes très décolletées et fendues, nuisettes ultra courtes et transparentes. Il m’apportât également des tenues de soubrette qu’il affectionnait particulièrement, d’écolière ou d’infirmière. Tout cela très déshabillé, le plus souvent transparent, très court.

Il m’apprit beaucoup des pratiques et positions de l’amour. Il s’était procuré des films X pour que j’apprenne. Il m’apprît la fellation, les positions, la sodomie. Pour ce faire, il m’avait même indiqué comment être propre pour ne pas que son sexe soit maculé lorsqu’il me prenait par derrière. Avec des godemichets, il me fit pratiquer également le double pénétration, lui dans moi et un godemichet dans l’orifice qu’il avait laissé vacant. Il me faisait très souvent l’amour et j’aimais ça. Je n’hésitais donc pas à me vêtir comme il le souhaitait car il me disait que cela l’excitait beaucoup de me voir habillée très sexy. Je pensais qu’ainsi, je devais avoir l’air d’une salope mais si cela lui plaisait, après tout, à la maison personne ne me voyait.
Par contre, commencèrent à lui venir des envies particulières que je décourvris avec stupeur. Petit à petit, il commença à évoquer devant moi l’envie qu’il avait de me regarder faire l’amour avec un autre homme que lui. Cette idée me révulsait. Mais il insistait presque chaque jour.
Et ce qui devait arriver arriva. Ce sera la suite de mon histoire.