Ma Fausse Première Fois
Je vais vous raconter ma première fois. En fait, ce nétait pas vraiment une première fois, mais cest tout de même une belle histoire.
Javais 18 ans, jétais en terminale au lycée. A cette époque, je fantasmais sur une fille dans ma classe. Je nétais pas amoureux delle, non, mais je ne pouvais pas mempêcher de la regarder, de la mater sans arrêt en cours ou pendant la récré. Elle sappelait Angélique et avait un an de plus que moi. Il faut dire quelle était vraiment belle, vraiment sexy : elle était blonde aux cheveux longs, souvent tirés en queue de cheval. Son visage était très beau, bien proportionné, avec des yeux très doux. Il lui donnait un air plus mature, plus « femme » que les autres filles de la classe. Pourtant elle savait se lâcher, rigoler ! Elle nétait pas très grande, à peu près la même taille que moi, autour des 1m70. Elle était plutôt fine, avec de très beaux seins pas très gros mais qui avaient lair bien fermes, et son cul était juste magnifique : bien bombé comme il faut et de la largeur idéale. Quand je commençais à le mater, je narrivais pas à détourner les yeux
Ce pourquoi je ladorais aussi, cétait la façon dont elle shabillait : elle mettait toujours des petits hauts chics qui mettaient admirablement bien en valeur sa poitrine, et mettait souvent par-dessus des vestes très classes noires, genre haut de tailleur, qui lui donnait un air encore plus mature que les autres filles. Cest probablement ça qui me plaisait tant chez elle, en plus de sa beauté naturelle : elle faisait vraiment « femme » qui avait de lexpérience, et en particulier au lit
Je voulais laborder, mais je ne savais pas comment. Et cest alors que pendant une soirée, loccasion se présenta.
Cétait pendant une soirée bien arrosée chez une copine, nous étions, Angélique et moi, assis dans un canapé dans le salon. Les autres buvaient, dansaient, rigolaient dans toute la maison. Jétais plutôt bourré, et décidai alors de me jeter à leau.
« Jte trouve vraiment trop sexy Angie. »
Elle tourna la tête vers moi et sourit :
« Merci
Allez viens là
»
Elle pencha alors la tête vers moi et me roula une pelle magnifique. Elle était aussi bourrée que moi, je pense
Je prolongeais le baiser, et commençais à remonter ma main le long de sa cuisse. Angélique marrêta :
« On monte ? demanda-t-elle dun ton espiègle. »
Elle me prit par la main et mentraîna à létage. Je la suivi sans rien dire, narrivant pas à croire ce qui était en train de marriver. Nous arrivâmes dans une grande chambre, avec un lit à deux places. Probablement la chambre des parents
Angélique me poussa sur le lit, sur lequel je métalai sur le dos, et elle ferma la chambre à clé. Elle savança ensuite vers moi dune démarche languissante, ôtant son petit haut avec délicatesse. Je la dévorai des yeux, bandant déjà comme un taureau. Je naurais pas crut pouvoir bander plus, mais lorsque je vis ses seins parfaits enfermés dans un petit soutien-gorge rouge et la peau claire de son ventre lisse comme du verre, ma bite durcit encore un peu plus dans mon caleçon, jusquà me faire mal. Jenlevai rapidement mon t-shirt, dévoilant mon torse plutôt musclé à Angélique. Elle se pencha sur moi et membrassa goulûment, nos langues tournoyant dans nos bouches. Nous roulâmes sur nous-même, et je me retrouvai sur elle. Dune main tremblante par le désir, je lui retirai son soutien-gorge. Ses seins magnifiques se dévoilèrent : ils nétaient pas très gros, avaient chacun une petite auréole rose et un téton qui pointait. Je plongeai ma tête dedans, ne pouvant me retenir. Je léchai ses seins comme un dément, les malaxant, leur mordillant les tétons. Angélique laissa tomber sa tête en arrière et gémit de plaisir. Ceci eut pour effet de mexciter terriblement, et avec son aide, je lui retirai son jean. Son petit string rouge était trempé.
« A toi maintenant. »
Je compris tout de suite et me mit à genoux sur le lit. Angélique était déjà à quatre pattes devant moi, et déboutonna mon jean. Je le fis glisser au bas des genoux. Ma bite formait une grosse bosse dans mon caleçon. Angélique savança et commença à caresser doucement ma bite à travers. Je me croyais dans un rêve. Ses beaux yeux marron regardaient affectueusement la bosse dans mon caleçon, tout en la malaxant dune main. Ensuite, délicatement, elle abaissa le seul vêtement qui me restait, dévoilant ma bite tendue, rouge de désir. Elle nétait pas très longue, tout juste 15cm, mais elle était large et avait un gros gland pourpre bien gonflé.
Angélique laissa échapper un « Hmmmm
» et, tenant ma bite dune main, la lécha dans la longueur en partant de la base pour finir sur le gland, sur lequel elle sattarda, sa langue tournoyant autour avec tendresse. Je laissai échapper un soupir ; cétait la première fois que je me faisais sucer, et bon dieu que cétait bon ! Jusquà ce moment là, elle ne regardait que ma bite, puis soudain, elle leva ses yeux de braise vers moi, et doucement enfourna ma queue dans sa belle bouche, ses lèvres pulpeuses se refermant autour. Elle commença alors un lent va-et-vient, sa langue continuant à exciter mon gland quand elle arrivait dessus. De temps en temps, elle retirait ma bite de sa bouche dun coup sec, puis la remettait délicatement dedans, tout en continuant de me regarder de ses yeux brûlants, comme une vraie salope.
« Tu aimes ça ? me murmura-t-elle.
- Oh oui chérie, vas-y encore. »
Elle rejoua alors avec mon gland quelques instants, le léchant de sa longue langue, puis recommença à me sucer comme une pute. Le plaisir que je ressentais était immense. Je sentis alors que jallais éjaculer. La repoussant doucement, je me mis à me branler rapidement. Angélique comprit immédiatement, et se positionna en dessous de ma bite en tirant la langue, les yeux pleins de désir. Cette vision mexcita au plus haut point ; elle semblait avoir soif, avoir soif de sperme. Et bien elle allait en avoir la salope
Je me branlai encore quelques coups, puis je laissai exploser ma bite, en soupirant. De longues traînées de sperme allèrent gicler sur le beau visage dAngélique et dans sa bouche ouverte. Cétait le meilleur orgasme que je navais jamais eu, et cela se ressentit dans la quantité de sperme que jenvoyai sur cette petite pute dAngélique accroupie devant moi. Six grosses giclées de sperme souillèrent son visage sans défaut, son visage de « femme » comme jaimais le penser.
« Quest-ce que vous foutez là dedans bordel ?! demanda-t-on.
-On arrive ! répondis-je précipitamment. »
Angélique et moi, nous nous rhabillâmes en vitesse, encore tout excités par ce qui venait de se passer.
« Cétait génial, lui murmurai-je.
-Il faudra que lon remette ça
» me dit-elle en souriant et en caressant mon entrejambe à travers mon jean.
Elle se retourna pour aller vers la porte. Je la regardai, ladmirai une dernière fois : ses beaux cheveux blonds qui tournoyaient dans son dos, sa taille fine et délicate, son cul incroyablement attirant
Jeus alors une pointe de regret : je navais pas eu loccasion de la pénétrer, de mettre ma bite dans son cul magnifique. Jétais dans un sens toujours puceau, et jaurai pu ne plus lêtre si nous navions pas été interrompus
Mais bon, Angélique avait dit que lon remettra ça, jen aurai alors loccasion. Je men réjouissais déjà
Le lendemain de la fête, elle navait plus aucun souvenir de ce qui sétait passé
Jaurai tout de même, peu de temps après, loccasion de baiser une fille, mais ce ne sera pas celle-ci
To be continued.
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