Ma Vraie Première Fois (Suite De Ma Fausse Première Fois)
Je vous avais auparavant raconté mon aventure dun soir avec Angélique, la belle blonde de ma classe. Je vais maintenant vous raconter ma véritable première fois.
La semaine qui suivit le fameux soir avec Angélique, jessayai de lui parler, de prolonger lexpérience que nous avions eu tous les deux. Jétais frustré du fait quelle ne se souvienne plus de ce qui sétait passé. Je la désirais encore tellement
Jessayai de lui faire comprendre implicitement quelle mavait sucé, tout de même ! Mais non, rien ny fit, et je dû me résoudre à abandonner lidée de coucher avec elle. Je me mis alors à la recherche dune autre fille qui pourrait « faire laffaire ».
Je sus que je lavais trouvé après une petite discussion dans les couloirs du lycée avec Louisa, une fille du même âge que moi, et qui avait été dans ma classe les années précédentes. Elle ma toujours beaucoup plu. Ce qui me plaisait surtout chez cette fille, cest le fait quen public, elle soit toujours timide, un peu gênée, mais quen privé, elle se lâche, raconte sa vie, rigole, dit des conneries. Elle est très drôle au final. Elle venait alors de me dire quelle navait plus de petit ami. Jai toujours su quelle maimait depuis que lon se connaissait : elle semblait gênée quand jétais près delle, et rougissait quand je lui faisais un sourire. Elle me demanda donc si je ne voulais pas sortir avec elle. Je lui répondis oui, bien sûr, et elle minvita chez elle le prochain vendredi soir. Je savais à quoi mattendre avec elle : elle nétait plus vierge, et avait la réputation dêtre une vraie coquine au lit. Et je peux vous dire quon ne dirait pas en la voyant. Physiquement, elle était plutôt banale, mais tout de même très jolie. Elle avait un visage tout en longueur, avec de bonnes joues et des lèvres pulpeuses, et des cheveux châtains qui prenaient une teinte dorée au soleil et qui lui faisaient une frange. Ses beaux yeux bleus formaient légèrement un V à lenvers, ce qui lui donnait en permanence un air timide, gênée très mignon.
Vendredi soir, je me rendis donc chez elle. Je sonnai et Louisa mouvrit la porte, avec son petit sourire timide que jaimais tant. Je la regardai : elle portait un jean et un petit débardeur rouge qui permettait dadmirer les courbes de sa poitrine. Jentrai dans la maison.
« Tes parents ne sont pas là ?
-Non, ils nous ont laissé la maison pour la nuit, répondit-elle, son sourire me faisant fondre sur place »
Je lattrapai alors par la taille, et lembrassai passionnément. Elle fut un peu surprise au début, puis elle sabandonna à moi, sa langue venant trouver la mienne, ses mains me caressant le visage et le dos. « Elle embrasse vraiment bien, pensais-je, ça commence bien. »
Elle mit fin à notre baiser, et mentraîna au salon. Nous nous posâmes sur le canapé, et discutâmes pendant une bonne demi-heure. Elle me racontait ses mésaventures au lycée, sa vie en générale. Elle me fit beaucoup rire et je ne pouvais pas mempêcher de temps en temps de lembrasser délicatement. Puis nous restâmes enlacés sur le canapé pendant quelques minutes, sa tête reposant sur mon torse et moi lui caressant doucement les cheveux. Nous étions ensemble, nous étions heureux.
Ce fut elle qui minvita à aller dans sa chambre, les yeux pétillants. Sa chambre nétait pas très grande, avec des posters et des photos pleins les murs et un grand lit deux places.
Louisa, ses beaux yeux bleus me fixant intensément, me repoussa sur le dos, et me déshabilla. Je me laissais faire, trop heureux de ce qui était en train darriver. Elle enleva mon caleçon dun coup sec, et se retrouva nez à nez avec ma bite tendue par le désir.
« Oh oui vas-y ma belle, vas-y
» murmurai-je.
Elle enfourna timidement ma bite dans sa bouche, ses yeux fixés sur moi, ce qui me fit frémir, puis la retira et sapprocha un peu plus de moi. Je me demandais ce quelle allait faire, quand je compris. Elle prit ses seins à deux mains, les écarta et plaça ma queue au milieu. Elle commença alors de lents va-et-vient avec ses seins, ma bite au milieu gonflant encore plus. Je laissai échapper un soupir : cela valait au moins la pipe quAngélique mavait taillé il y avait une semaine. Louisa me faisait une branlette espagnole ! Je nen croyais pas mes yeux : la petite Louisa, toujours timide, propre sur elle, qui se lâchait et faisait sa belle salope ! Les rumeurs étaient en effet justifiées ! Et elle avait lair dadorer ça en plus : elle regardait avec passion ma bite, maintenant trempée de liquide séminale, quelle branlait entre sa poitrine.
« Tu as apprécié ? me demanda-t-elle, son sourire de cochonne toujours sur le visage.
-Oui, cétait incroyable
»murmurai-je
Elle retira alors son jean, révélant son string noir, quelle retira précipitamment. Son sexe était trempé de mouille. Elle sallongea sur le dos, écarta les jambes et me murmura dune voix sulfureuse, ses yeux brûlant me regardant :
« Alors baise moi maintenant. »
Ce nétait vraiment plus la même Louisa que je connaissais auparavant. Je narrivais pas à y croire. Même Angélique, qui était pourtant une vraie bombe sexuelle et qui avait plus dexpérience, navait pas été aussi chaude que ça durant nos ébats précédents. Louisa me regardait avec ses yeux de braise, écartant les jambes lair de dire : « Vas-y baise moi, je tattends. » Ce quelle venait de dire dailleurs. Et ce nétait pas la peine de me le dire deux fois. Je me redressai et positionnai ma bite à lentrée de son sexe, mon gland touchant sa vulve. Je poussai alors doucement avec ma queue, la faisant entrer lentement dans son vagin. Louisa gémit de plaisir, fermant les yeux. Lorsque ma bite fut rentrée à fond dans sa chatte, je commençai à faire des va-et-vient, dabord lentement puis de plus en plus rapidement.
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