Et Tout Chageaa...
Après cette fameuse nuit, rien ne redevint comme avant
Alors que jétais encore la maîtresse de maison, jai vu Marjana y prendre de plus en plus de confiance et de libertés, de plus en plus dimportance pour moi, et même dans ma vie
Dès le lendemain, elle mavait réveillée avec un baiser très fougueux, que javais dabord subi passivement avant dy répondre de manière très passionnée. Elle contribua à létreinte en caressant mes seins en leur faisant découvrir la caresse la plus douce quils aient jamais sentie.
Puis elle maide à masseoir sur le lit en me caressant la nuque, et le lobe de loreille en tenant un verre de jus dorange bien glacé.
« Tu dois reprendre des forces, tu nas rien pris depuis hier, à part
» elle me le fait boire avec fermeté et jy découvre le même goût que ce que javais bu la veille
ça va taider à avoir de lappétit ma chérie
elle déposa un plateau sur mes jambes, avec toutes ces petites chose que jaffectionne et quelle connais bien
des fritures, des fruits quelle avait coupés délicatement
et un autre jus dorange dont je devine larrière goût. Elle me prend doucement les bras et me met les mains de chaque côté du plateau en disant : « si tu salis les draps, tu les nettoieras ma chérie ». La fermeté de son propos métonna un peu, mais je me laissai faire et fis de léquilibre du plateau un vrai souci
Avec un cure-dents elle prit une tranche de tomate quelle porta à ma bouche, puis deux autres suivirent, une quatrième vient se loger sur ma poitrine.
Marjana se fache et mordonne de manger ça vite en appuyant sur ma nuque
ce quelle acheva en léchant elle-même mes seins
comme je commençais à trembler, elle me pinça une oreille et me rappela que ce sera à moi de nettoyer
je lui souris, et fus très attentive pour la suite du repas. Pour le reste, je fus servie par sa bouche, ses dents servant de fourchette, et ses lèvres de serviette. Le jus dorange transita aussi par sa bouche qui ne men laissa que la moitié.
« Cette pudeur ne te convient pas, petite coquine, ne joues plus la bourgeoise avec moi
demain, tu auras ton chéri, et vive la comédie.»
Je lui aurais demandé ce quelle en savait, mais elle souda très vite ses lèvres contre les miennes en tenant bien mes oreilles. Sa langue investit ma bouche en frétillant si énergiquement que je ne sus ni la suivre, ni laspirer. Et pour être moins passive, je fis quand même leffort de relever mes mains vers sa tête que je serrai contre ma bouche en caressant ses cheveux de manière désordonnée.
Sa langue fouille ma bouche et rencontre la mienne. Le contact est vraiment génial. Jai limpression que je redécouvre lamour. Jai envie de happer sa langue, de jouer encore et encore avec elle. De la faire passer sur mes lèvres puis de la sentir au fond de ma bouche, demandeuse, exigeante. Jai envie de ne jamais arrêter, jai envie de lembrasser encore et encore.
Sa bouche descend le long de mon cou et me fait quelques petits bisous taquins par-ci par-là puis me mordille loreille. Je frissonne de désir. Jai toujours mes mains sur elle, mais elles commencent à descendre à présent. Je sens ses épaules et descends jusquà ses seins. Ils sont libres de tout soutien-gorge. Je navais pas fait attention, mais elle portait une robe que je lui avais laissé lan dernier et que je ne lavais encore jamais vue porter
javais pensé quelle la porterait avec une chemise ou un tee-shirt, mais pour ce moment, elle est superbe.
En caressant sa poitrine, je me délecte de la douceur de sa peau, mais son corsage reste trop serré pour me permettre datteindre ses monts de Vénus que je supposai érigés. Pour arriver vite à leurs sommets, je my attaque à travers létoffe, pour me rendre que au toucher que leurs pointes étaient bien turgescentes. Ne pouvant résister plus longtemps, je fis glisser la fermeture éclair qui atteint le niveau de sa taille.
En remontant ma main pour faire glisser ses bretelles, je caresse doucement son dos. Cest alors quelle me surprend par un petit cri et une contorsion qui en disent beaucoup sur la sensibilité de son dos.
Je ne pense plus à ses bretelles que je nenvisage plus de baisser moi-même
Ne serait-il pas mieux de la pousser à le faire elle-même en lexcitant encore plus. Je continue dexplorer son dos et ses hanches pour découvrir une sensibilité que je naurais jamais soupçonnée aussi généralisée sur son dos. Tant sur sa nuque que sur sa ceinture, la moindre caresse la fait se contorsionner et crier. Mais cest quand japproche un doigt de sa fente quelle ne tient plus
Laissant mes oreilles et mon visage, elle se lève rapidement, fait passer les bretelles de la robe qui se retrouve à ses pieds.
Du coup, elle me présente fièrement des seins fermes, plus volumineux que les miens, et moins bronzés. Et comme pour mexciter au maximum, elle se caresse gracieusement les hanches en se cambrant légèrement, poussant son pubis vers moi. Instinctivement, je me lève en retirant mon peignoir et menvole vers ce corps voluptueux. Elle me sourit dune manière coquine en se léchant les lèvres. Pour éviter son emprise que je sentais venir, je me place derrière elle, lui prends les seins et mordille sa nuque. Elle soupira et se laissa faire, je murmurai à son oreille :
« si je tavais sue si belle et si sensible, il y a longtemps que je taurais violée, mais cest peut-être mieux ainsi ma chérie.
- je suis toute à toi, fais de moi ce qui te plairas, tu es la maîtresse
fesses moi si tu veux, je le mérite, dit-elle en posant sa tête sur le lit
- tu le mérites ? dis que tu le désires coquine dis-je en caressant sa taille et le haut de sa fente
- mais je le mérite aussi, excuses moi madame
Sentant quelle en avait vraiment envie, jentrai dans son jeu en lui infligeant un coup sec sur les deux fesses
- Quest ce que tu as fait ?
Pour toute réponse, je nentends quun soupir témoignant de son plaisir
ses fesses étaient plus belles en rougissant, et quand jai constaté quelle ruisselait, je mouillai deux doigts que jintroduis dans son rectum, tout en continuant à lui pincer le fesses et la taille
Quand je la sentis au sommet de la jouissance, je la fis asseoir sur le lit et me mis à caresser ses seins et à les mordiller.
-je crois quon a déjà visité cette fente, petite salope ? et tu as aimé je parie
-non, répondit-elle en rougissant, il ma e, je te le jure
Je léchai longuement son entre seins en y laissant beaucoup de salive avant de les joindre et de passer mes doigts entre eux. Comme par réflexe, elle baissa la tête et en suça lextrémité
-alors, tu vois que tu aimes, et tu le fais souvent
-je te jure quil me force, et me menace de me chasser
Ayant compris quelle parlait de mon mari, je lembrasse très fougueusement en la tenant par les oreilles avant de lattirer vers mon sexe quelle embrassa de manière très experte me portant sensuellement vers la jouissance
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!