Le Train Du Plaisir
Je suis étudiant à Paris et je rentre une fois par mois, chez moi, en province. Devant le manque de moyens, je prends d'habitude le train de nuit, beaucoup moins cher que les autres.
Ce jour là, j'essaie de dormir sur un fauteuil, quand une main se pose sur mon bras. Un homme se dresse devant moi et me dit :
- Je loue un wagon couchette pour moi tout seul, dit-il, voulez-vous venir le partager ? Ici, ça a l'air plutôt inconfortable.
Il avait l'air aimable et engageant, aussi, j'ai accepté.
Il s'est emparé d'une partie de mes bagages et, le précédant, il me dirigea vers le wagon en question. Nous ne rencontrâmes personne dans les coursives. Au bout d'un moment Sa main se posa sur mes fesses. Je sursautai. La caresse était si tendre que je tendis ma croupe vers la main. Encouragé, il enveloppa mes globes des deux mains. Arrivé devant son compartiment, il dit sobrement :
- C'est là !
J'ai posé mon fardeau et il a ouvert la porte.
A peine à l'intérieur, il commença par déboutonner ma chemise et à palper mon torse. Comme je me laissai faire, il referma la porte et s'attaqua à mon short. Quand je fus presque nu, il m'attira et me serra contre lui. Ses mains pétrissaient mes fesses et il m'embrassait dans le cou.
- C'est rare de voir un blond aux yeux verts, dit-il. Quelle peau lisse !
Tu as des jambes de rêve, on dirait une fille !
Il mit ses mains sur mes hanches et se mit a genoux. Il baissa mon slip, faisant bondir mon sexe hors de son logement.
- Pfffuit ! Siffla-t-il. Ca aussi, c'est joli.
Je venais d'avoir 22 ans et je reconnais que je plaisais beaucoup aux filles.
Il prit ma bite dans sa bouche et sa langue s'enroula autour. C'était doux et excitant. je durci en un instant. Ses lèvres glissaient lentement le long de mon membre et j'étais prêt de défaillir. J'avais déjà pratiqué avec des filles, mais là !!!
Il n'a pas fallu longtemps pour que j'explose dans son doux receptacle.
- Merci ! Dit-il, haletant.
Il m'enleva les derniers vêtements et me poussa vers une couchette. Il m'allongea sur le ventre. Il se déshabilla. J'avais peur d'être tombé sur un ours, mais il était pratiquement imberbe. Sa trique dressée, il s'approcha et se coucha à mes côtés.
Il caressa mon dos et mes fesses, attendant que je languisse. Mes yeux commençaient à se fermer quand il se souleva au-dessus de moi. Il promena sa grosse queue sur la raie de mes fesses et attendit ma réaction. Bientôt, je soulevais mes hanches entrouvrant le sillon sombre. Il laissa couler un filet de salive, posa son gland sur mon trou et s'enfonça. Je poussai un cri et il s'arrêta.
- C'est la première fois ? demanda-t-il.
- Oui, souflais-je.
- Quelle merveille, un puceau ! Pourquoi tu n'as rien dit ?
- Je ne sais pas....
Il recommença à pouser son pieu en moi, mais millimètre par millimètre, avec une douceur infinie. Mon sexe était dans sa main et il me branlait doucement. A mesure que le plaisir montait, il s'enfonçait un peu plus. Maintenant , il glissait entre mes fesses, accélèrant progressivement. Quand je fus sur le point d'éjaculer, il se répandit en moi. Quand il se retira et que je fus apaisé, j'ai demandé :
- On recommence quand ?
- Tu sais, on n'est pas encore arrivé.
Il m'a baisé trois fois de plus pendant ce voyage. Une fois à la maison, mes parents m'ont dit que mon séjour parisien m'avait mûri. S'ils savaient....
J'ai repris ce train plusieurs fois, mais hélas, je n'ai jamais revu le voyageur du train du plaisir.
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