Notre Inoubliable Première Fois
Lhistoire que je vais à présent vous raconter se passait à la fin de mon année de terminale. Avant daller plus loin, laissez-moi me décrire un peu. A cette époque, javais tout juste 18 ans, je faisais environ 1m80 et 70 kilos, javais les cheveux bruns et étais assez carré, sans toutefois être un grand sportif. Suite à un drame familial, jétais entré dans une phase de dépression, que je mefforçais de masquer à mes amis. Au début de cette année scolaire, javais réussi à sortir de cette phase grâce à des soirées étudiantes, chez des amis ou en boite de nuit. Jai y découvert pour la première fois la sensation dêtre intime avec une fille et javais entamé plusieurs relations, qui, malheureusement, duraient rarement plus de 3 semaines. Je dois avouer que ces relations mempêchaient dentretenir mes relations avec mes copains et je pense que cest notamment ce manque de liberté qui a réduit la durée de mes relations ainsi que le fait que jétais quelque peu maladroit.
Vers le milieu de cette année, jai noué des liens avec une fille gentille que je connaissais un peu de vue. Elle sappelait Amélie, elle était brune, mesurait environ 1m72 et pesait à peu près une cinquantaine de kilos. Elle ma plu dès le premier regard. Il y a plusieurs choses qui me font craquer pour une fille, certains garçons regardent toujours les courbes des filles avant de regarder le reste, moi, je regarde dabord le visage et la silhouette. Amélie avait un visage fin, une coiffure en queue de cheval, des beaux yeux bruns et surtout un sourire assez éclatant. Elle était jolie et, chose qui me plut après quelques temps, cest quelle ne se servait pas de son physique pour imprimer une quelconque supériorité sur des garçons ou des filles un peu moins beaux quelle, contrairement à certains filles auxquelles on pourrait facilement attribuer ladjectif « garces ». Malgré une apparence un peu frêle, je sentis dans son regard que ce nétait quune apparence et quelle avait une grande force morale.
Je faisais un bac section sciences économiques et sociales, tandis quelle faisait un bac littéraire, ce qui explique le fait que nous ne connaissions pas tellement. Elle voulait ce jour-là me demander quelque chose (impossible de me rappeler quoi, et puis, cela na pas tellement dimportance) et, lorsque je la revoyais, je la voyais vraiment différemment. Notre relation (amicale pour linstant) sest développée assez rapidement ce qui fit quun mois plus tard, je lui demandais avec beaucoup de sérieux si elle voulait bien sortir avec moi. Je dois avouer que jai vraiment craint quelle refuse, soucieuse de ne pas gâcher une belle amitié, comme ce fut le cas avec une de mes précédentes tentatives. Un intense soulagement ainsi quune immense joie sempara de moi lorsquelle me répondit avec un sourire un peu timide quelle était daccord. Je ne vais pas raconter dans les détails ce dont nous avons parlé mais juste le fait que je lui parlais du manque de liberté dans ce genre de relations (vous savez, les couples toujours ensembles ou à sappeler toutes les cinq minutes et qui délaissent leurs autres relations). Visiblement, elle avait déjà du connaître ce genre de situations car elle approuva. Cette discussion marqua une part importante de notre relation. Nous avions décidé de nous voir régulièrement mais sans excès pour que ni lun ni lautre nayons à souffrir si, par la suite, nous devions rompre. Vous penserez sûrement que cette décision est étrange pour débuter une aventure mais, croyez-moi, cela fut agréablement perçu par nos amis respectifs et cest quelque chose que je recommande à tous les nouveaux couples (à proposer à un autre moment peut-être, mais à faire vite quand même).
Bref, les bases étaient installées. Je me rappelle de mon prof déconomie qui se moquait gentiment de moi sur ma relation avec Amélie lorsque jarrivais en classe dans les derniers.
Mais revenons un peu à la fameuse soirée où nos deux corps firent pleinement connaissance. Nous venions de passer notre bac, et dans notre lycée, il était de coutume de faire une fête officielle après la fin des épreuves. La fête se passa un soir dans le self, aménagé pour loccasion. Beaucoup de professeurs étaient présents, ainsi que la quasi-totalité des élèves de terminales, plus une part non négligeable de premières et de secondes. Après les salutations habituelles, les discussions avec les professeurs sur nos réponses aux sujets du bac et sur nos projets davenir, le repas commença enfin, avec, comme il se doit, de la musique. Comme beaucoup, Amélie et moi avons été dansé, un peu chacun de notre côté. Je me rappelle quà un moment entre deux morceaux, Amélie est venue me rejoindre et ma soufflé discrètement dans loreille de sortir de la salle. Jacquiesçais et suivis ma chérie dehors. Je portais un jean et une chemisette blanche, tandis quelle portait un jean et un haut assez léger. La soirée étant déjà bien avancée, le vent distribuait son souffle frais à ceux qui étaient sortis. Amélie et moi, discutions et nous embrassions dans un coin sans faire attention au vent ni aux gens. Puis, rapidement, il fut un moment où nous sentîmes le besoin de nous réchauffer. Amélie me proposa de venir dans une chambre à linternat.
Voyant ma surprise, linternat étant fermé depuis un moment, elle mexpliqua que le proviseur lavait rouvert pour une soirée, pour éviter aux élèves et professeurs qui le voulaient de conduire de nuit ou davoir à appeler tardivement leurs parents.
A partir de cet instant, plus une parole ou presque ne fut échangée entre nous. Les yeux pétillants, jenlaçais Amélie et lembrassait tendrement. Elle sarracha à cette étreinte au bout de quelques secondes pour déboutonner méthodiquement ma chemisette. Je jetais négligemment ma chemise dans un coin de la pièce, puis retirais le haut dAmélie doucement, tout en ponctuant mes gestes de quelques baisers dans le creux du cou et sur ses épaules, dévoilant ainsi un soutien-gorge dune agréable couleur noire, qui saccordait très bien avec la couleur de ses yeux et de ses cheveux. Tout en passant sa main droite sur mon torse, me gratifiant dune caresse de sa douce main, elle défit les boutons de mon jean et baissa mon pantalon.
Combien de temps ce préliminaire dura-t-il, je nen sais rien, Amélie sarrachant de mes caresses pour pouvoir me rendre la pareille. « Tout ce que tu embrasses sur moi, je veux lembrasser sur toi. » Je mentendis répondre « Daccord » tandis quelle posait ses lèvres sur divers endroits de ma poitrine. Notre position devenant un peu inconfortable, je marquais la fin des préliminaires en amenant Amélie à sallonger sur le lit. Je me mis à genoux devant le lit, face à son entrejambe, puis amena mes doigts sur son string, de façon à le retirer, ce en quoi elle maida en tortillant ses jambes sensuellement. Le string vint rejoindre le reste de nos affaires, tandis que jécartais les jambes de ma compagne afin de contempler son sexe. Ce dernier était épilé de telle sorte quil ne restait quun fin rectangle de poils sur son pubis. Je distinguais clairement son clitoris et les lèvres de son vagin, et je rapprochais ma bouche de ses cuisses. Jembrassais tendrement lintérieur de ses cuisses, successivement. Puis, ma langue se posa sur son clitoris et se mit à le lécher avidement comme si jessayais de faire fondre un bonbon. Ma langue dévia naturellement vers les lèvres de son vagin et les lécha également. Je remarquais quAmélie se détendait et que sa respiration se modifiait. Je reposais mes lèvres sur son clitoris et aspirais doucement. Le gémissement de plaisir qui sensuivit mencouragea à poursuivre mon action. Lindex et le majeur de ma main droite vinrent pénétrer lentrée de son vagin, alors que dans le même moment, ma main gauche lâchait la cuisse dAmélie pour lui caresser la poitrine. Dun bref coup dil, je vis que ses doigts agrippaient le drap et quelle avait fermé les yeux. Je continuais ainsi, la regardant de temps en temps, jusquà ce que je sente progressivement son ventre devenir chaud et son visage sempourprer. Sous une pression plus forte de ma langue et de mes doigts, son corps se raidit tandis quelle lâchait un cri de jouissance. Un flot de cyprine mouilla son sexe, et je me précipita pour lécher ce nectar. Le goût était agréable, chaud, et un petit peu plus amer que lors de mes précédentes expériences.
Amélie, excitée, se redressa et renversa les rôles en mallongeant là où son corps brûlant se trouvait quelques instants auparavant. A cet instant, jétais en semi-érection et mon sexe nattendait quune caresse dAmélie pour se dresser entièrement. Elle baissa mon caleçon et sempara de mon sexe de sa main droite. Elle me masturba, sa main descendant et remontant sur mon sexe, tout en me regardant. Je ne tardai pas à réagir sous ses caresses expertes et mon sexe, durci par lexcitation à un tel point que je navais jamais connu, se dressait de son entière taille. Comme moi auparavant, ses yeux contemplèrent mon pénis tout en accélérant le rythme des caresses. Mon pénis en érection mesure un peu moins dune vingtaine de centimètres et nest pas particulièrement épais, ce qui fait que je me situe dans la norme. Elle joua avec mes bourses et lécha mon sexe sur toute la longueur. Amélie répéta lopération plusieurs fois et sarrêta sur mon gland auquel elle donne des petits coups de langues. Une fois satisfaite, elle posa ses lèvres sur mon gland et labsorba, ses lèvres imprimant une succion sur mon pénis, puis relâcha la pression et refit de même plusieurs fois. Elle changea ensuite de technique et engloutit la moitié de mon pénis dans sa bouche tout en enserrant mon sexe à la base avec sa main. Elle me suça avec force tout en faisant des vas et viens avec sa bouche et sa main. Je dois avouer que jai du faire un immense effort pour ne pas éjaculer dans sa bouche. Elle retirait parfois sa main pour engloutir entièrement mon pénis. Jamais je navais éprouvé un tel plaisir, même lors de mon dépucelage.
Elle sarrêta à un moment donné et menfila un préservatif, sorti de je ne sais où. Elle se positionna à genoux, son sexe en dessus du mien, et, tout en saidant de ma main, sempala progressivement sur ma verge. Désireux de faire son désir tout autant que le mien, je la laissais contrôler la pénétration, la position dans laquelle nous étions lui conférant cet avantage. Elle se pencha sur moi, membrassa, tandis que son bassin se soulevait et retombait rapidement sur mon sexe. Suivant son rythme, je laidais en enfonça plus ou moins mon sexe dans son vagin. Mes mains caressèrent ses seins, ou tinrent parfois ses hanches. Jétais dans un état quasi-secondaire tellement le plaisir était intense et je lus sur le visage dAmélie quelle aussi éprouvait énormément de plaisir. Elle avait visiblement du mal à ne pas crier dextase, et moi aussi. Je sentis soudain son vagin se contracter autour de mon sexe et cest sans mal que je devinais un violent orgasme de sa part.
La pénétration sarrêta quelques instants plus tard, le temps pour nous de récupérer quelque peu. Amélie se retira et sallongea à mes côtés. Mes doigts vinrent trouver le contact humide de lentrée de son vagin, et se lubrifièrent sur le fluide corporel dAmélie. Ceci étant fait, je plaçais mon index de façon légèrement recourbé devant lentrée de son anus. Lentement, jappuyais afin de forcer lentrée et de dilater son sphincter. Elle poussa un petit cri de surprise et marrêta en me saisissant le poignet. « Non, pas par là, je nai jamais
» « Aies confiance en moi. » « Jai peur .. On ma dit que ça faisait mal » « Cela fait un peu mal au début mais si on sy prend bien, tu ne ressentiras après que du plaisir. Laisse-moi essayer et aies confiance, si tu as trop mal, dis-le moi » « Ok ». Je sentis à la façon dont son corps se crispa quelle appréhendait beaucoup. Jaccentuais la pression avec mon index. Mon doigt entra doucement et jattendis quelle se fasse à lidée, avant de faire remuer mon index. Je glissais ensuite mon majeur afin de la dilater encore un peu plus, préparant ainsi le passage pour mon sexe. Pendant ce temps, Amélie avait pris mon pénis dans sa main et était en train de me masturber, malgré le contact du préservatif. Lorsque jarrivais à rentrer et sortir facilement mes deux doigts de son anus, je compris que je devais y aller. Mes gestes se firent encore plus doux quils nétaient déjà et, ma main enrobant son sein, je plaça mon sexe devant lentrée de ses fesses. Le gland rentra tout doucement mais malgré cela, Amélie devait avoir mal car je lentendis serrer les dents. Toutefois, elle ne marrêta pas et je continuai à enfoncer mon pénis.
Une fois inséré, jattendis quelques secondes avant de faire des vas et viens. Son anus était plus étroit que son vagin et mon sexe était bien plus serré, sensation très agréable. Visiblement, Amélie appréciait aussi car elle mordonna dans un murmure dy aller plus fort. Je mexécutais et, mon sexe allant le plus loin possible, je sentis mes testicules claquer contre ses fesses. Elle poussa successivement des petits cris dans lesquels je crus distinguer plaisir et douleur. Au bout dun moment, je sentis que je nétais plus loin déjaculer. Jen fis part à Amélie qui me demanda de me retirer. Elle sinstalla dans une position plus adaptée à ce quelle souhaitait faire et menleva rapidement le préservatif. Elle prit mon sexe dans sa bouche et me suça. En temps normal, je naurais pas voulu éjaculer dans sa bouche car je trouve ça un peu dégradant pour la femme, mais, Amélie le désirant visiblement, je la laissai faire. Le sperme afflua rapidement dans mon urètre et jéjaculais en petites secousses dans la bouche dAmélie. Elle avala ma jouissance et madressa un sourire que je navais encore jamais vu sur ses lèvres. Il restait un petit filet de sperme à la commissure de ses lèvres. Elle lessuya avec son index et nettoya ce dernier avec sa langue. Elle fit de même pour mon gland puis nous restâmes enlacés durant un long moment. Elle sendormit la première, et je restais un moment à la contempler dormir, blottie contre moi, avant de la rejoindre dans le sommeil.
Nous refîmes lamour à notre réveil, une dernière fois, avant de devoir ranger la chambre et de la quitter à regret. Ce fut notre première expérience sexuelle entre nous deux, et il y en eut beaucoup dautres après. 5 ans ont passé et nous sommes toujours ensemble, mais depuis cette année, nous sommes dans un appartement commun, ce qui a permis dintenses et dinoubliables soirées en perspective.
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