L'Infirmière
Suite à un accident de scooter, Fabien est couvert d'hématomes qui nécessitent des soins, mais surtout, a été plâtré du genoux, et du poignet gauche. Une infirmière doit passer tout les matins pour les pansements, et la toilette. Fabien est âgé de dix huit ans, mais ses connaissances sont très limitées. Inconnues. Prise par son travail, Agathe, sa mère âgée de trente neuf ans, demande à sa soeur Martine si elle peut venir s'occuper de son fils pendant son absence. Martine est une très jolie brune de trente deux ans très sexy. Le sexe, quel qu'il soit, ne lui fait pas peur. C'est avec plaisir, qu'elle accepte de rendre service à Agathe.
Il est dix heures du matin, quand l'infirmière, très belle, très jeune, vingt deux ans au plus se présente au domicile de Fabien. Elle a une tenue vestimentaire à couper le souffle. Les deux femmes se fusillent du regard. Mais un regard provocateur, plein de vice.
-Bonjour, je m'appelle Aurore, c'est pour les soins du jeune homme.
-Bonjour, répond Martine, suivez moi, il est prêt. Il vous attend à la salle de bains.
Aurore découvre un beau jeune homme. Fabien, vêtu d'un peignoir, se sent honteux devant la belle infirmière.
-J'en ai vu d'autre, le rassure-t-elle.Tu vas voir, ça va bien se passer.
Martine enlève le peignoir. Fabien se retrouve tout nu. Les deux femmes ouvrent grand les yeux en voyant son sexe. Il est plus que honorable. Timidement, Aurore avance une main pour le laver, étant obligée de lui décalotter la queue, pour bien lui nettoyer le gland.
Fabien, dont les attouchements ne le laisse pas insensible, cherche sa tante du regard. Celle-ci exquise un petit sourire. Elle a décidé de dévergonder son neveu aujourd'hui.
-Voilà, ça c'est fait, dit Aurore toute rouge. Au lit pour les pansements maintenant.
Pendant que l'infirmière prépare les gazes et autres pommades, Martine explique à son neveu ce qu'il doit faire. Aurore arrive avec son nécessaire de soins.
Aurore se retrouve allongé sur le corps de Fabien. Il suit les instructions de sa tante. Il envoie une main entre les jambes de l'infirmière. Celle-ci a un mouvement de recul.
-Mais...lâchez moi enfin, ça va pas. Lève ta main salaud. Et vous, libérez mes poignets.
Fabien écarte le string, touchant pour la première fois un sexe de femme. son doigt court sur la fente. Aurore se débat, mais sans pouvoir se dégager. Martine, ironiquement, la fixe dans les yeux.
-Mais c'est quoi ce petit bouton tata? C'est bien dur tu sais.
Aurore dévisage Martine qui reste imperturbable. Elle trouve les caresses loin d'être désagréables. Elle se pince les lèvres. Sur, ça lui plait. Cela se traduit par un peu d'humidité qui perle sur ses lèvres intimes.
-Heu....Mais c'est mon petit clitoris, murmure Aurore. Qu'est-ce-que tu lui fait? Polisson.
-ah,ah, sourit Martine. Tu as trouvé l'endroit ou les femmes aiment se faire gratter.
Qui les fait jouir.
-C'est ce qui va se produire, soupire Aurore. Ma chatte est toute mouillée. Quel salaud.
Martine lâche l'infirmière maintenant apprivoisée. Elle passe derrière elle, lui ôte le string, et la force à monter un genoux sur le lit pour mieux s'écarter. Le majeur de Fabien excite toujours le clitoris, pendant que Martine pénètre sa chatte avec deux doigts. Aurore monte son second genoux. Elle cambre ses reins pour mieux offrir sa chatte, et mieux se faire doigter. Elle fini d'ouvrir le peignoir du patient, et lui prend les couilles. Elle fait rouler les testicules entre ses doigts. Elle remonte sur la colonne de chair, décalotte la queue en érection, et la prend en bouche.
-Allez, l'encourage Martine, taille lui une bonne pipe, c'est sa première. Régale-le petite
pute, et avale.
Avec le pouce, Martine taquine le petit trou d'Aurore, qui n'en fini pas de remuer son cul.
-Tu te régales salope. C'est bon ce que je te fais, hein? Tu aimerais pas te faire
emmancher par une belle bite. Suce la encore un peu pour qu'elle soit bien raide.
Vas-y ma chérie.
Aurore joue avec la queue de Fabien, enroule le gland avec sa langue. Ils sont prêts tous les deux. Elle enjambe le jeune garçon, et s'empale sur son membre. C'est elle qui fait des mouvements du bassin en poussant des râles de plaisir. Elle fait passer son petit haut par dessus sa tête. Deux magnifiques globes jaillissent, provoquants. Elle prend la main de Fabien, et la plaque sur ses seins.
-Ha...ha..quel vicieux, comme il me nique, gémit-elle. S'il te plait, doigte moi le clito, regarde
comme il quille. Et le bout de mes seins, comme ils sont dressés ces vilains.
Martine fait tourner le majeur de sa main gauche sur le bouton d'Aurore. Elle introduit celui de la main droite dans son petit trou. Les seins attendront. Aurore s'agite de plus en plus sur la queue de Fabien. Elle est en nage. Sa mouille coule sur les bourses de son partenaire Elle ne peut plus se retenir.
-Enfooiirééés, hurle-t-elle. Vous me faites jouir bande d'enfoirés, ha..ha..oui...
Elle s'écroule sur le torse de Fabien, lui prend les lèvres. Tant bien que mal, il répond au baiser.
-Putain, quel volcan, dit Martine. Tu aimes te le faire mettre toi. Comme tu as joui, salope.
Fabien n'a rien compris. Le fonctionnement du corps féminin lui échappe. Ce qui ne l'empêche pas d'envoyer des jets de semence dans la chatte d'Aurore, en lançant des plaintes de plaisir.
-Alors mon chérie, demande Martine. C'est bon, hein? Tu lui a mis un bon coup de queue.
Tu as entendu comme elle a gueulé. Elle reviendra demain se faire niquer. Allez, il faut
te reposer. C'est à moi maintenant.
Il est douze heure quand Agathe rentre du bureau. Fabien dort. Elle est attirée par des rires et des petits cris provenant de l'étage. Elle monte sans bruit, et ouvre la porte de la chambre.
-On s'amuse bien, à ce que je vois, dit-elle en souriant. L'infirmière je suppose? Et toi
ma soeur, décidément, tu ne changeras jamais.
-Oh ma chérie, dit Martine, viens jouer avec nous. Elle aime tu sais. Tu l'entendrai crier
quand elle joui.
-Vilaines, faites moi de la place. je prend une douche, et j'arrive. Chauffe la bien. On va
s'occuper d'elle.
-Je vous en prie, supplie Aurore, dépêchez vous. Prenez moi.
Les deux soeurs vont jouer avec l'infirmière une bonne partie de l'après midi, jusqu'à l'épuiser. Tant pis, les patients attendront.
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