Le Gloryhole Du Sexe
Aujourdhui, je vais vous raconter une expérience que je viens de faire sur la Côte dAzur, dans le sud de la France. Jy passe mes vacances avec mon mari, comme tous les ans depuis fort longtemps. Nous sommes un couple libertin dune quarantaine dannées et nous apprécions beaucoup les plaisirs du sexe. Notre passion réciproque pour lamour physique sest développée petit à petit, lorsque nous navons plus pu nous contenter de nos rapides étreintes de jeunesse.
Peu à peu, nous avons évolué en prenant des chemins de traverse qui se sont révélés extrêmement stimulants pour notre libido. Bien sûr, nous pratiquons échangisme et mélangisme fréquemment. Notre voyage dans le sud a dailleurs pour but, entre autres, de nous permettre de faire de nouvelles rencontres.
A chaque fois que nous venons dans la région, nous fréquentons létablissement de celle que tout le monde ici appelle madame Odette. Cest un club échangiste très coté parmi les libertins du secteur et connu bien au-delà. Situé dans une agréable propriété provençale, bien cachée derrière de hauts murs et un rideau de palmiers. Ny entre pas qui veut. Il faut montrer patte blanche pour y accéder et profiter dun environnement exceptionnel et de rencontres raffinées. Nous sommes des habitués de la maison puisquil nous arrive de venir sur la Côte pour le week-end, juste pour nous y rendre et goûter aux délicieux plaisirs quon peut y trouver.
Cette année, madame Odette a investi dans une salle réservée à la pratique du glory-hole. Elle a fait installer dans un recoin de la villa une petite chambre fermée par de simples cloisons. Tout autour de celle-ci, dautres pièces plus vastes accueillent les visiteurs qui le souhaitent. A travers la cloison on a percé de nombreux trous de tailles et formes variées, à différentes hauteurs. Dans la pièce, il ny a que très peu de mobilier : un tabouret très simple, un fauteuil confortable et un petit escabeau. Bien sûr, une porte permet dy accéder, mais à lexception de celle-ci et des multiples orifices de la cloison, il ny a pas douverture.
Quand je suis arrivée avec mon époux, Charles, dans la maison dOdette, jai tout de suite apprécié lambiance feutrée et fortement chargée dérotisme qui y régnait. Je me souvenais des bons moments passés les autres années dans cet antre du vice : Comment jy ai connu mon premier orgasme anal, comment jy ai léché ma première chatte épilée, le jour où mon mari sest fait enculer pour la première fois par une maîtresse femme devant moi
Je me demandais quelle découverte jallais encore pouvoir faire qui me permettrait dassouvir mon besoin toujours grandissant de sexe. Je nallais pas être déçue, une fois de plus !
Quelques minutes après notre arrivée, Charles et Odette me conduisirent vers la nouvelle pièce. Arrivés devant la porte, ils louvrirent et minvitèrent à entrer. Puis, il refermèrent la porte sur moi. Jétais seule, dans une sorte de cagibi qui ne devait pas faire plus de quelques mètres carrés. Il faisait noir. Brusquement, les spots se sont allumés. Jétais éblouie. Une voix se fit entendre, métallique, comme trafiquée électroniquement :
- Déshabille-toi ! Quitte tes vêtements et ne garde que tes sous-vêtements. Tout de suite !
Obéissante, je quittai ma robe légère et mon petit gilet. Je mapprêtais à ôter mes chaussures quand la voix retentit à nouveau :
- Non, garde tes chaussures sur tes bas. Avec tes talons aiguilles, tu fais bien plus salope.
Je me retrouvai donc en porte-jarretelles et bas noirs, talons hauts et soutien-gorge pigeonnant. Je ne portai pas de culotte en arrivant. Ma petite touffe rasée de près était encadrée par les attaches de mes bas.
Je restai ainsi pendant plusieurs minutes, à me demander à quelle sauce jallais être mangée. On me faisait attendre, vraisemblablement pour faire monter la pression. Je remarquai que des trous avaient été percés deux par deux à hauteur dhomme. Je compris rapidement quil sagissait dorifices destinés à accueillir des paires dyeux.
Mon attente prit fin au bout dun moment quand la voix inconnue résonna dans la pièce :
- Tourne-toi maintenant !
Toujours docile, je pivotai. Dans mon dos, une belle queue était apparue, passant par lun des innombrables trous de la paroi. Ce nétait pas celle de mon mari, mais elle était aussi grosse. Son propriétaire pouvait en être fier. Je mapprochai, imaginant sans peine ce que lon attendait de moi. Arrivée auprès delle, je la pris entre mes doigts et commençai à la branler. Je faisais coulisser ma main sur toute la longueur du manche de chair et, parvenue au bout, je caressais le gros gland rougeaud. Parfois, je mattardais plus longuement sur celui-ci pour bien lexciter. Leffet escompté était au rendez-vous car je sentais la bite grossir encore entre mes doigts.
A environ un mètre de là, un autre sexe apparut bientôt. Je fus tentée de délaisser le premier pour aller moccuper de ce nouvel arrivant. Mais la voix me rappela à lordre :
- Non, tu dois toccuper des deux en même temps. Tu nes pas bégueule, tu peux le faire. Branle-les bien ! Ton mari nous a dis que tu étais une bonne branleuse, prouve-le !
Je devais écarter assez largement les bras pour parvenir à prendre les deux phallus en main. Je me suis mise à genoux, à mi-chemin entre les trous qui laissaient passer les sexes dressés. Les bras tendus, je commençai à masturber les belles queues de concert. Ce qui me faisait bizarre, cétait de ne pas pouvoir toucher les couilles qui, normalement auraient dû se trouver sous les tiges. Je me concentrai donc sur les bâtons noueux et les gros glands baveux qui les surmontaient..
A peine quelques minutes plus tard, une troisième bite fit son apparition. Cette fois-ci, elle émergea de la cloison juste à hauteur de mon visage. Les trous avaient été percés de telle manière quelle ne pouvait arriver que là.
Visiblement, quelquun avait du sen apercevoir car la voix se fit à nouveau entendre, toujours aussi directive :
- Ton mari navait pas menti, tu suces aussi bien qu tu branles. Ca a lair de texciter. Je crois que tu mérites une petite récompense.
La queue qui venait de minonder la gueule disparut dans son trou, aussitôt remplacée par une autre, bien mieux montée.
- Tourne-toi mais narrête pas de branler nos amis. Ils vont bientôt jouir, ce serait dommage de les lâcher maintenant. Viens coller ta chatte sur notre nouvel arrivant. Il va bien te prendre.
Jétais trop chaude pour ne pas sauter sur loccasion. Je tournai donc le dos à la cloison et changeai de main pour masturber les bites déjà présentes. Je collai les talons contre la plinthe du mur et vint placer mon cul contre la paroi. Le trou était exactement à la bonne hauteur pour permettre au sexe bandé de venir se loger dans mon ventre. Celui-ci me perfora la vulve en mécartant les grandes lèvres et se fourra immédiatement bien au fond de mon trou. Jentamai aussitôt une danse indécente sur le pieu de chair. Mes mains et mon sexe coulissaient en cadence sur les trois manches. Jétais triplement reliée au mur de la salle.
Le mouvement lancinant de mes doigts sur les deux verges eut bientôt raison de leur endurance pourtant excellente.
- Il faut sortir maintenant. Tu as bien travaillé mais la soirée nest pas finie. On tattend dehors.
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