Les Visiteurs 1
Un samedi après midi, nous avons reçu une invitée. Pour plus de commodités je lappellerais Gigi.
Elle devait avoir dans la quarantaine et était passée demander service à mon beau-père. Plus tard après avoir consulté ma mère, il vint mannoncer dans ma chambre (accompagné de ma mère) que son amie logerait chez nous avec son fils quelques jours le temps quelle puisse régler certains problèmes dordre familial.
Comme je donnais mon approbation sans vraiment hésiter, ils me conseillèrent de « rester tranquille »...
« Je ne comprends pas ce que vous voulez dire... » Hasardai-je.
- Ne fais pas linnocente lynda, je te parle de tes envies lubriques. Tu te tiens à carreau jusquà ce quils sen aillent. Coupa ma mère.
Plus rien à ajouter quand elle prend cet air, finie la discussion !
Les deux premiers jours se passèrent bien. Enfin, comme mes parents le souhaitaient. Mais le lundi daprès, ils partirent pour le boulot et je restai à la maison avec
Gigi et son fils Didier qui était âgé de 20 ans.
Jattendis que Didier soit seul en bas au salon pour descendre (sa mère venait de sortir faire des courses).
Jenfilai une robe de chambre bleue très longue, mais vraiment assez transparente et comme dhabitude
rien dautre en dessous.
Didier prenait son petit déjeuner et quand il me vit descendre les marches de lescalier, je sentis son regard traverser ma robe de soie.
Feignant de ne pas men apercevoir, je lui lançai un bonjour en métirant une fois près de la table où il était assis.
Leffet fut sans conteste celui que jattendais : ses yeux restèrent fixés sur la tâche triangulaire que mon pubis devait dessiné.
Cest la réaction quil eut en suite qui dépassa toutes mes espérances. Il approcha sa main gauche pour toucher ma hanche avant de sexclamer :
- Tu nas rien en dessous ? Tu es complètement nue !
Je lui donnai une tape sur la main en répondant :
« Cest pas des manières ça.
- Je nai pas à chercher à savoir puisque je vois tout déjà.
Je baissai les yeux comme pour vérifier ce quil disait puis je fis semblant dêtre gênée quil mait vue ainsi.
Ensuite jajoutai :
« Je suis tellement habituée à descendre comme cela que je nai même pas fait attention. Je suis désolée...je vais monter mhabiller »
- En tout cas moi ça ne me gêne pas. Lança t-il.
Je mapprochai donc de lui et comme il était toujours assis, il eu son visage juste au niveau de mon pubis.
La bouche entre-ouverte, il approcha sa tête contre moi en me prenant les fesses à deux mains.
Il fit remonter ma robe de chambre jusquà ce que mes fesses soient à nue sans se soucier de la présence de la bonne dans la maison...mais peut être pensait-il quon était seuls.
« Tu sais que la bonne est juste à côté dans la cuisine ? » Lui dis-je alors que je commençais à mouiller comme une folle et que mes tétons menaçaient de percer ma robe.
- Je sais, mais ça fait un moment quelle est là dedans sans montrer son nez au salon. Répondit-il en caressant mes fesses nues.
On entendait les bruits que faisait la bonne juste à côté et cela menvoya une forte dose dadrénaline.
Je tirai sur la braguette de son pantalon et libéra son pénis. Il tira lui-même son pantalon jusquà ses genoux tout en restant assis et minvita à monter à califourchon sur lui.
Je nen revenais pas, il était aussi pervers que moi. Mais tout ceci me plaisait au plus haut point et comme je mouillais déjà, son pénis neut aucun mal à glisser en moi jusquà ce que je mempale complètement sur lui.
On resta trois secondes à se savourer ce moment, puis je commençai à monter et descendre dabord lentement puis de plus en plus vite.
Dans la vitre de largenterie derrière lui je voyais la porte de la cuisine (dans mon dos). Et de temps à autres, je voyais la bonne circuler dans sa pièce en passant devant la porte sans même jeter un regard dans notre direction.
Jôtai entièrement ma robe et me retrouvai toute nue sur les cuisses de Didier, ce rendit Didier encore plus excité.
Si excité que sa chaise se mit à faire du bruit tellement il ne tenait plus en place sous moi.
La bonne due entendre les craquements de la chaise car bientôt je la vis dans le cadre de la porte, un torchon en main. Didier sarrêta et chuchota :
- Ca craint Lynda, la boniche nous regarde.
« Je sais mon trésor, fais moi jouir...cest juste ce que je te demande » Répondis-je à son oreille en reprenant lentement mes mouvements de montée et de descente.
Dans la vitrine, je voyais que la bonne nous regardais toujours et la situation devint si épicée que Didier ne mit pas longtemps à éjaculer. Il se raidit sur sa chaise en me pressant les hanches et je senti son sperme minonder.
Jondulai encore quelques dizaines de secondes pour ensuite me lever complètement, libérant le pénis de mon vagin. En me retournant pour prendre ma robe de chambre, je croisai le regard de la bonne puis elle retourna à ses occupations.
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