Sms Party
5 jours que je lui ai envoyé un sms « salut c bastien, jai aimé la façon dont nous nous sommes rencontré. Tu as maintenant mon tel, fais signe quand tu veux
», et aucune nouvelle. Je pense quil ne se passera rien. Cétait un bon moment, mais juste un plan. Jy ai cru en ouvrant le papier, mais jaurai du écouter Olivier « Einmal ist keinmal ! ». Au moment où il mavait sorti cette putain de phrase, je métait exclamé « hein ? tu parles allemand toi ? et ça veut dire quoi dabord ? » « une fois nest jamais » « et ? » « et
si tu ne las pas encore revu, considères que cétait un one shot, un bon moment mais juste un plan ».
Putain, fais chier !!!! Hassan, jarrive pas à piger
pourquoi tu me files ton numéro pour ne pas donner signe de vie ensuite. Ah les mecs !!!! Je nai pas trop la tête à bosser. Javoue quil a réussi à squatter mes pensées, et je ferai bien de len chasser. Cétait un fantasme, mais il faut que je passe à autre chose. Dailleurs jai réunion sur la réorganisation du service à partir de la rentrée de septembre, et ça va être chaud. Nous ne sommes pas tous daccord sur les plans du chef. Une nouvelle bataille démarre et je suis parti dans le sud avec Hassan en tête de gondole. Bordel !!!
Avant la réunion, je file aux toilettes, pissotière, lavage de main, un peu deau froide sur la tête, puis lensemble sous le sèche-mains électrique histoire de bien se réveiller. Un café par-dessus et je devrai être opérationnel. Je récupère mes affaires, crayons, bloc-notes et mon café, je rentre dans la salle de réunion, tout le monde arrive. Je minstalle à côté de Steven, pose mon portable devant moi et le chef prend la parole. Top chrono, voilà le monologue qui commence.
Il ne sest pas passé 5 minutes que mon téléphone se met à vibrer sur la table, je le récupère en hâte pour quil ne fasse pas de bruit. Je mexcuse, et laisse le patron reprendre son laïus. Jen profite pour regarder la cause de ce raffut.
Deux heures plus tard, nous sortons enfin de la bataille. Status quo
personne ne gagne cette bataille. Men fous, tout ce qui mintéresse est de répondre à ce mec, « hé ! oui je suis dispo
RDV 20h au café Latelier, ça te va ? ». 2 minutes interminables avant de recevoir enfin sa réponse « nickel, 20h
tu as bon gout pour le café. Biz ». Ma journée va se finir en beauté !!!
Le lendemain, après le boulot, je file chez moi, pas le jour à rester traîner pour finir un dossier. Il est clair que mon beau ptit beur ne sera pas sur le parking à mattendre ce soir. Jarrive chez moi, et me déshabille direct pour prendre une douche. Je repense au moment passé avec Hassan dans mon bureau, et je me mets à bander. Je limagine avec moi sous leau, il est derrière moi, et passe sa main sur mon ventre. Il me caresse avec du savon, le torse, le ventre, laine, les hanches, les cuisses, le sexe
Je bande et je me caresse en pensant à lui, en voulant quil soit là de suite, prêt à me faire lamour sous cette putain de douche. Je bande et je jouis
Cest plus à faire et ça me calmera peut être un peu tout à lheure.
Je choisis rapidement mes vêtements : un jean, un boxer mauve, une chemise parme avec col et rebords noirs, mes chaussures art
classe sans être prétentieux. Je me regarde dans la glace, ça ira très bien. Je file dans ma voiture pour le centre-ville, je préfère être en avance, quitte à le revoir un peu plus tôt
Je tourne en ville pour trouver une place, et à peine garé je reçois un sms « je vais être un peu en retard, biz ». Schitttt !!!! Il a pas le droit de me faire ce coup là
Jy suis, je vais vers le café
Je prendrai un premier verre
20h30.
Nous avons pas mal discuté, le temps de boire trois verres, de mieux se connaître, de savoir ce quil fait comme job, ses passions, de savoir quil est homo, mais que dans son quartier vaut mieux pas que lon sache ça, quil a eu un copain pendant 2 ans mais que depuis 6 mois il est seul. Maintenant il sait que jai 30 ans, que jai atterris ici il y a deux ans pour ce nouveau boulot, que je fais de la photo et quil serait un très bon modèle.
22h. « on va manger un bout ? » « oui, tu as envie de quoi ? » « jsais pas
». On saccorde sur un restau libanais, bon et chaleureux. Nous continuons à discuter, je tombe sous son charme au fur et à mesure. Il est attentionné, à lécoute mais nhésite pas à se dévoiler aussi. Jadore
Minuit et demi. Fin de repas et nous repartons vers ma voiture. Cest la plus proche, je vais lemmener jusquà la sienne qui est à lautre bout du centre-ville. A plusieurs moments, sa main frôle la mienne, jaimerai quil la prenne, mais cela en restera à ces touchers furtifs. Nous traversons la rue, ma voiture est à 200 mètres maintenant. Cest une petite rue à larrière du théâtre. Nous nous taisons lun comme lautre, nous nentendons que nos pas contre le macadam. Je crois que janticipe aussi la fin de la soirée, nous allons nous quitter
ça mrend un peu triste. Pas vraiment envie que ça arrive, pas de suite
La rue forme un virage, sur la droite lentrée dun immeuble, ma voiture est en face. Je passe devant lui pour traverser, il me suit. Je me suis garé juste après une petite ruelle. Je prends mes clés dans ma poche et mapprête à appuyer pour ouvrir les portes. Alors je sens ma main retenu et me faire happer par une force rapide et inattendue.
Quelques dizaines de pas nous sépare de ma voiture maintenant, il sarrête et me fait face. Je ne comprends pas ce qui se passe, mais sans me donner une explication il membrasse fougueusement et me plaque contre le mur. Abasourdi mais excité par cet acte soudain, je me laisse faire et noue ma langue à la sienne.
Bientôt ses mains caressent la peau de mon ventre, puis soulèvent ma chemise pour laisser ses lèvres déposer des baisers sur mon nombril, mes tétons. Il déboutonne ma chemise et écarte les deux pans pour lui laisser entrevoir mon torse légèrement poilu. Il dépose de nouveaux baisers sur mes pectoraux, et commencent à titiller mes tétons de ses doigts et ses lèvres. Je bande déjà très fort, la bosse sest bien formée dans mon jean un peu serré. Il la vue, et il lempoigne de sa main. Il en veut, et va bientôt défaire les boutons du pantalon. Il le glisse à mes genoux, et vient maintenant déposer ses baisers sur cette bosse déjà plus libre. Aussitôt ma queue réagit et rebondit dans mon boxer. Cela lexcite de se faire convoiter en pleine rue.
Il baisse mon boxer et me voici dénudé, la bite à lair toute bandée, plus dure que jamais. Il lempoigne, caresse mes couilles et dirige sa bouche vers mon gland. Il me taille une pipe rapide mais précise, il mexcite virulemment, me doigte aussi vite fait. Je gémis doucement, jessaye de me montrer discret. Il se relève, membrasse et rapidement me retourne face contre le mur
Il déboutonne son jean, et sort sa queue qui très vite vient prendre place entre mes fesses.
Et deux secondes, ma queue force sur mon anneau et pénètre entre mes deux lobes, marrachant un petit cri de douleur. Il est tellement excité que ses va-et-vient démarrent sans plus attendre. Il me déchire, mais je prends de plus en plus de plaisir. Jaime le sentir en moi, sentir la chaleur de sa bonne queue bien dure.
Il att ma queue et me branle, Il sarrête dun coup et pose sa main sur ma bouche. Deux types passent dans la rue principale à 30 mètres de nous. Il attend un peu, puis reprend son limage profond. Il accélère même le mouvement, en tirant en même temps sur ma queue. Je ne me retiens pas bien longtemps et libère ma semence dans sa main. Une minute cest à son tour de lâcher son sperme dans mon trou en poussant quelques gémissements. Il me donne sa main à lécher et membrasse avant de maider à me rhabiller. Il membrasse de nouveau et me dit « jadore te prendre
cest vraiment trop bon ! ».
Nous rejoignons ma voiture. Je démarre et le dépose. Il membrasse tendrement et me dit « à très vite, dors bien
». Un nouveau baiser, un geste de la main, il rentre dans sa caisse. Je démarre. Je fais le tour du pâté de maisons, je repense à la dernière heure, à ce moment magique, excitant, son sperme coule un peu dans le fond de mon boxer. Jai tellement pris mon pied encore une fois avec ce mec, ça vaut bien une peu de sensation de froid et dhumidité dans le fond de pantalon. Faut juste que je ne croise pas mes voisins en entrant dans mon immeuble. La honte sinon, et surtout avoir une démarche des plus classiques, naturelles !
Je me gare, personne en vue. Je sors vite de ma caisse, et me dirige vers la porte de limmeuble. Putain, ça vibre dans ma poche « hummm tas vraiment un trop bon cul, jaime vraiment ça. On se voit samedi ? bonne nuit, biz ». Hassan tu vas me rendre accroc !!!!
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