Les Découvertes De Charline: Jour 10 Matin

Charline, dix-huit ans, retrouve par hasard Julian, quarante-quatre ans, qui lui présente sa nouvelle compagne Sylvia, trente-huit ans. Charline est une ancienne meilleure amie d’une fille de Julian. Elle a toujours été amoureuse de lui.
Le couple libertin a la ferme intention de guider Charline très lentement vers la perte de sa virginité. Ils lui proposent un job de femme de ménage et de cuisinière pendant leurs congés. Ils prennent tout leur temps pour amadouer Charline, l’invitant à nager seins nus à la piscine, lui passant de la crème solaire de façon très sensuelle, lui offrant des vêtements pour qu’elle leur fasse un défilé de mode en retour. Ils n’hésitent pas à lui donner une fessée de gamine quand Charline rompt une promesse qu’elle avait faite plusieurs fois. Elle découvre un couple échangiste et naturiste visiblement très à l’aise avec leur sexualité libérée. Charline se caresse de plus en plus en pensant à eux. Ils la font languir et désirer, la poussant au bout de ses envies. Sylvia, au cinéma, trois jours auparavant, l’avait invitée à porter un plug anal, puis laissée masturber Julian. Leur relation à trois avance en complicité sensuelle. Le lendemain le couple laisse Charline regarder Julian faire jouir sa compagne lors d’un massage tantrique initiatique et merveilleux. La veille le couple l’amène dans un sauna regarder Sylvia masturber deux mecs sous ses yeux.


Charline arriva à la villa tout excitée en temps et en heure, vêtue d’une petite robe printanière. Sylvia l’attendait en buvant son café. Elle lui apprit que Julian avait dû s'absenter pour une affaire urgente. Charline avait déjà vu que sa voiture n’était pas là, pensant qu’il était parti faire les courses. Depuis le début de leur rencontre, chaque journée du couple semblait improvisée. Sylvia était déjà partie de son côté surveiller ce qui se passait à sa boutique. Même s’ils étaient en congés trois semaines, ils devaient faire attention à leur business.



La caméra dans la cuisine se recentra sur Charline. Elle ignorait que la maison était équipée d’un réseau complet de caméra. Julian lui avait parlé d’un système de sécurité ren car Sylvia avait une peur bleue d’un cambriolage.

Sylvia lui tendit un courrier de Julian.

- Un petit cadeau pour toi, Charline. Je l’ai trouvé dans le frigo, bizarre comme endroit non ? C’est là ou vous cachez vos correspondances secrètes ?

Charline se sentit pâlir. Jamais Julian ne lui avait écrit de lettre. Quant au frigo, c'est vrai que Sylvia n’y venait presque pas, compte tenu que Charline faisait la cuisine et Julian les courses. C’était donc un endroit parfait pour y cacher une correspondance secrète entre eux deux. Charline se méfia car Sylvia avait un humour potache. D’ailleurs avec son sourire en coin Charline ne savait pas si c’était une de ses blagues ou pas. Pour en avoir le cœur net, elle ouvrit l’enveloppe cachetée et reconnut immédiatement l’écriture carré de Julian. Après l’avoir parcouru en diagonale, elle la referma comme un cadeau précieux car elle contenait un peu de son parfum et des mots très doux.

- Tu sais que l’on ne se cache rien depuis le début, surtout sous mon toit et que l’on se fait confiance ?

Charline hocha la tête

- Alors lis moi à haute voix le courrier que mon amour t’a écrit

- Il me demande précisément de ne rien te dire.

Comme l’enveloppe était cachetée, Charline pensa que Julian n’avait pas partagé son contenu avec Sylvia. C’était gênant, d’autant plus que ce qu’il avait écrit était clair, simple et direct. Charline était dans une situation délicate. Les yeux noirs de Sylvia passèrent en mode furax. Charline plia l’enveloppe en deux et la glissa dans son petit sac à main, comme si la faire disparaître des regards allait arranger la situation. Charline se sentit déglutir

- Vous ne me faites pas de cachotteries dans mon dos tous les deux au moins ?

Charline frissonna.
Elle se sentait poussée dans un coin, ne sachant que faire. La fessée n’était pas loin. Sylvia n’avait jamais hésité à la corriger quand son comportement était celui d’une gamine.

- Allez Charline ne fait pas ton et lis-moi donc ce courrier

- Julian sait ce qu’il fait, j’imagine.

La réplique était imparable. Le sourire de Sylvia avait disparu et elle fonça sur Charline

- Il me demande juste de t’aider à ranger ton sous-sol et à te faire des papillotes de poisson au lait de coco.

Charline avait lâché les infos les moins croustillantes de courrier. Les yeux de Sylvia étincelèrent et elle stoppa sur place. La fessée venait de s’éloigner.

- Ah le salaud !

Sylvia regarda la caméra bien en face, visiblement dégoûtée par ce qu’elle venait d’entendre. Julian depuis ses écrans de contrôle riait de bon cœur du coup qu’il venait de lui faire. Elle avait perdu à la courte paille et c’est Julian qui avait gagné le droit d’écrire le courrier. Qui sait ce que Sylvia aurait écrit si elle avait gagné ?

Charline savait que les papillotes au lait de coco était un des plats préférés de Sylvia. Le souci venait donc de ce fameux sous-sol. Sylvia avait toujours interdit à Charline de rentrer dans la chambre du couple en dehors de sa présence. Elle avait été justement fessée pour s’être bêtement faite prise en train de braver cette interdiction. Un escalier bâti récemment dans la salle de bain, donnait accès à cet endroit mystérieux. C’était une configuration architecturale bizarre. Le sous-sol de la maison avait été divisé en deux. Julian avait aménagé sa partie avec sa cave à vin et cigare réfrigérée, une table de billard, un flipper des Chesterfield pour regarder des films ou écouter de la musique avec un système sono et vidéo de dernière génération. La vraie pièce de mec ou il regarderait les matchs de rugby avec les copains. Mais que contenait donc l’autre partie du sous-sol ?

- Tu veux que je te prépare un petit déjeuner ?

Charline se faisait toute douce tandis que Sylvia était dans ses pensées, ne sachant que faire ni que dire au challenge que son amoureux venait de lui lancer.
Son sous-sol était son endroit le plus intime et le plus secret. Y faire entrer Charline était une étape qui la faisait entrer un peu plus dans leur couple au moment où elle avait envie d’y mettre plus de distance. L’expression “ne pas le messager” se vérifia car toute la haine que Sylvia ressentait pour Julian se focalisa sur l’innocente Charline, mais après tout tant pis pour elle. Sylvia avait été à l’origine de ce jeu potache, et voilà qu’elle se retrouvait comme un arroseur arrosé.

- Non merci pour le petit déjeuner. Mon sous-sol n’a pas besoin de rangement, je m’en occupe très bien toute seule. Mais je pense que mon chéri a envie que tu le vois. Donc cela se fera à mes conditions.

Charline trouva le ton assez cérémonial et le moment grave. Une atmosphère de grand mystère flottait dans l’air et un long silence se fit tandis que Sylvia réfléchissait.

- Allez viens, suis-moi.

Sylvia prit fermement la main de Charline et la conduisit d’un pas décidé vers la chambre. Julian mis sur grand écran la caméra de cette pièce

- Déshabille-toi

Julian adorait voir le petit corps de Charline nu. La petite depuis dix jours avait appris à obéir à tous les ordres sans rechigner et s’exécuta. Sylvia avait fait un tour dans la salle de bain et revint avec le sex toy déjà utilisé plusieurs fois par Charline

- Enfile-toi donc ce plug que tu aimes tant.

Elle obtempéra sans sourcier, léchant le métal pour le fluidifier et le monter à température, se remémorant les émotions vécues avec cet objet particulier à son cœur. Il était un peu à l’origine de son histoire avec le couple. C’était très gênant d’enfiler le plug sous les yeux de Sylvia, sans trop lui montrer à quel point elle était ravie de le faire, mais au contraire, simuler une contrainte.

- Ne me fait pas croire que tu n’aimes pas ça petite salope

Sylvia avait capté son stratagème et Charline se sentie toute conne.


- Je veux bien te faire rentrer dans mon sous-sol mais d’abord je vais te bander les yeux. J’imagine que rien n’est dit que tu dois avoir les yeux ouverts dans ce courrier

Charline fit non de la tête. Sylvia se glissa derrière elle, lui arrangea les cheveux pour que le foulard ne glisse pas et bloque bien sa vue. Elle prit un malin plaisir à serrer le nœud bien fort.

- Mais avant de descendre j’ai quelques questions pour toi.

Comme Charline ne pouvait plus rien voir Sylvia fit un doigt d’honneur à Julian qui rigola derrière son écran de contrôle. Non seulement il avait gagné au jeu mais il savait à quel point ce qu’il demandait à Sylvia de faire était une double défaite pour elle qui n’était pas particulièrement une bonne perdante.

- As-tu aimé que je te suce les seins l’autre jour avec la chantilly ?

- Oh oui, lâcha Charline spontanément, un peu trop rapidement

- Explique-moi donc tes émotions

- C’était tellement doux et excitant

- Comme cela ? Charline senti le souffle de Sylvia s'approcher de sa poitrine. Elle se tendit, attendant que les lèvres se posent en effleurement sur ses tétons

- Oh oui c’est si doux.

Sylvia s’était positionnée de telle façon à ce que son regard moqueur soit face à la caméra. Elle allait faire payer Julian à son tour. Ses doigts vinrent se mêler à ses lèvres et à sa langue pour s’emparer des seins de l’étudiante.

- Avoue que tu adores mon petit plug anal

Charline n’osa pas avouer, se contentant d’hocher la tête. Une main de Sylvia descendit faire bouger un peu le plug comme si elle allait le lui retirer. Charline serra ses fesses et dandina du bassin pour essayer de l’en empêcher. Ce plug était sien et elle aurait tout fait pour le garder.

- Avoue aussi que tu adores m’embrasser

Charline hocha la tête à nouveau, avançant ses lèvres en recherche de celles de Sylvia. A leur contact Charline frissonna

- Avoue que tu es excitée

En acceptation elle lâcha une petite respiration chaude de bonheur. Sylvia joua à embrasser Charline et lui sucer les seins de la façon la plus érotique et sensuelle. Elle savait que Julian devait bander. Quand elle sentit la petite bien chaude et proposa de passer à la suite

- Parfait alors descendons dans ma pièce de loisir.

Charline yeux bandés se sentit toute gauche, craignant de se cogner et surtout de tomber dans les escaliers. Elle n’avait pas d’autre choix que de faire confiance à Sylvia, ce qui n’était pas pour la rassurer.

Les tétons de Charline étaient dressés, tant par la fraîcheur de la pièce que son niveau d’excitation. Sa vue étant coupée par le foulard et le plug dans ses fesses rendirent la descente de l’escalier interminable et laborieuse.

Arrivé en bas Sylvia tapa un code et le cliquetis d’une serrure trois points se fit entendre. La porte s'entrouvrit dans un bruit de vide d’air, comme si elle était étanche. Charline avança dans la pièce à petit pas. Sylvia referma la porte derrière elle qui se verrouilla automatiquement. Le silence se fit glaçant.


Sylvia fit avancer Charline de quelque pas, bougeant un banc pour le mettre face à la caméra dans un grincement pas agréable à entendre. Puis elle invita Charline à s’asseoir sur une matière en cuir tout froid qui la fit frissonner. Charline bougea ses fesses pour trouver la bonne position à prendre avec ce plug qui la possédait.

- Lève tes deux mains au ciel, chaton

La petite poitrine de Charline se souleva dans le mouvement. Un roulement métallique de poulie se fit entendre et une odeur d’huile un peu comme dans les garages auto se fit sentir. Sylvia passa autours de ses poignets des attaches à base de scratch. Charline frissonna. Ce sous-sol devait être un donjon sado masochiste comme dans les articles qu’elle avait lu sur le sujet. Charline sentit le dossier du banc basculer et elle se retrouva dans une position semi allongé inconfortable. Puis Sylvia tira sur une corde afin que les bras de Charline soient maintenus par ce système au lieu qu’elle doive les maintenir en l’air par sa propre force.

- Relâche tes bras Charline, laisse-toi porter

Elle se glaça sur place d’autant plus que Sylvia venait de mettre une musique à base de hard rock mystique assez étrange. Le même que Sylvia avait déjà choisie sur sa piste de lecture. Après tout ce style allait bien avec les yeux noirs de Sylvia. Le couple était déjà échangiste exhibitionniste, alors pourquoi pas portés dans le BDSM non plus ?

- Écarte tes cuisses Charline.

Elle obtempéra et Sylvia utilisa le même style d’attaches à base de scratch sur ses chevilles que sur ses poignets. Sous le choc, Charline n’osait ni protester ni demander des explications. Les gestes de Sylvia n’étaient ni violents ni doux, plus des gestes de professionnelles, un peu comme si elle était chez un docteur. Sylvia releva le banc pour que les jambes de Charline soient allongées à l’horizontale tandis que son corps était suspendu en l’air par la poulie.

- Écarte encore tes cuisses chaton

Sylvia posa sur les cuisses de Charline un objet long et froid dont elle vint coller l’extrémité tout contre son clito. L’étudiante se contracta de peur, ne sachant pas ce que cela pouvait être et craignant le pire. Sylvia fit passer un ruban de soie sous ses genoux et vint serrer ses jambes l’une contre l’autre, maintenant l’objet froid entre ses cuisses.

- Je te présente le plus merveilleux des godes que je connaisse.

A peine annoncé, Charline ressentit le picotement des premières vibrations arriver, visiblement télécommandé par Sylvia. Pieds et poings liés, jambes attachée, Charline se retrouva à la merci de ce vibro

- La pièce est particulièrement bien isolée alors tu peux te lâcher et profiter de ces moments de bonheur. Personne ne va t’entendre. Bon je te laisse un peu d’intimité mon chaton et tu verras qu’enchainer les orgasmes fait un bien fou. Je t’ai choisi mon programme préféré pour que tu penses à moi.

Charline se raidit sous une vibration un peu plus forte et lâcha un petit souffle qui trahissait son plaisir. La porte se referma sous un bruit de vide d’air et Sylvia partie en courant rejoindre son Julian. Elle arriva dans les combles essoufflés, entendant les halètements sincères de Charline venant des hauts parleurs

- Salaud, je te déteste

Julian était tout sourire et rigola, fier du bon coup qu’il venait de faire à sa chérie. Ils regardèrent nus dans les bras l’un l’autre la petite vivre son premier orgasme bien sonore et sa surprise quand le vibro redémarra presque aussitôt pour l’apporter vers un second.

C’est avec ce fond sonore qu’ils firent l’amour, Sylvia prenant tout son temps pour maximiser la que vivait Charline.

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Charline semi inconsciente entendit vaguement la porte s’ouvrir. L’enchainement de ses orgasmes sous le pouvoir diabolique de cette machine l’avait vidée de toute son énergie. Son clito était hyper douloureux et le son trop fort de cette musique mystique envahissante l’avait rendu presque sourde. Le haut de son corps sans force était retenu par les attaches et ses jambes parcourues par tant de vibration étaient flasques. Le parfum de Julian était dans l’air et elle sentie qu’il la détachait délicatement. Elle sut que c’était bien Julian quand il la prit dans ses bras comme une plume. Le plug tomba au sol dans un bruit métallique, les fesses de Charline ne pouvant plus se contacter. Julian l’emporta comme un Prince charmant elle se blottir tout contre lui dans la position d’une mariée franchissant le seuil de sa maison. Elle sentie des larmes couler sur ses joues. Son corps repu d’orgasmes était comme sans vie. Une fois de plus Julian venait de la sauver et elle prononça de multiples mercis imperceptibles. Elle s'évanouit dans ses bras, se sentant désormais hors de risque et placée sous sa protection. Julian la borda dans le lit de la chambre d’ami et la regarda tendrement dormir. Pas pour longtemps car Sylvia vint le chercher pour l’attirer de nouveau à elle afin de lui refaire l’amour.


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