Gisèle6
P Nous profitions bien de nos congés tous les deux, en amoureux
. Je crois que je commis une erreur. Celle de lui demander de se priver de soutien gorge de maillot de bain. Beaucoup de femme le faisait ici, alors pourquoi pas elle. Elle pouvait se le permettre. Consciemment ou pas (mais rois que oui) elle "allumait" complaisamment les hommes qui reluquaient sa poitrine et malheureusement, il étaient nombreux. Notez bien j'en profitais de retour à notre caravane. Mais après nos débordements passés, honnêtement, je crois que je ne lui suffisais plus. Un orage fut le déclancheur de la suite de notre histoire.
Il fut violent. A tel point qu'un arbre risqua de tomber sur notre caravane. Le Directeur du camp en toute logique nous fit évacuer vers un autre emplacement. Les deux jeunes qui occupaient l'emplacement voisin nous aidèrent à nous installer. Je sympathisais avec eux et nous primes l'habitude d'aller ensemble à la plage. Évidemment, ils ne se gênaient pas pour admirer Gisèle, il étaient les mieux placés
.
G je m'en étais aperçu, je leur plaisais
le fantasme de la femme mûre et experte. S'ils avaient connu mes écarts passés
. Malgré tout, malgré quelques allusion et leur attitude un peu flirt, ils restaient corrects jusqu'au mardi qui précéda notre départ (nous quittions le camp le dimanche). Philippe les trouvant vraiment sympa invita tout le monde au restaurant. Il y eut apéritif, puis apéritif, puis bon vin et tout le monde se retrouva bien gai. Moi un peu plus n'ayant que peu, je vous l'ai dit, l'habitude de l'alcool. En fait pompette serait le terme exact. Si bien qu'en arrivait au camp ma démarché était peu assurée, mon équilibre précaire et mon esprit un peu retardé sinon embrouillé. Si bien que l'un des deux m'attrapa par le coude et voyant les chaises retournées m'invita à m'asseoir sur ses genoux en ajoutant à l'adresse de Philippe :
"Cela ne te gêne pas j'espère ?".
Et, sans attendre une réponse, il me plaça donc sans plus de commentaire, sur sa jambe droite en mattrapant par la taille pendant que Philippe ouvrit une nouvelle bouteille et servit à boire.
P Je ne sais pas si Gisèle se rendais bien compte, mais elle avait désormais, un sein à demi dénudé, sans compter le manège plus ou moins discret de celui qui lui caressait la fesse. J'avais tout vu depuis le début et un peu (un peu) dans une brume alcoolisée je la laissais lâchement se faire peloter.
"Tu as des seins superbes » complimenta l'autre en face delle.
G Je dus sourire niaisement tout en ayant de plus en plus chaud mais me sentant tellement bien. Je ne bougeais même pas quand la seconde bretelle glissa et que j'entendis une voix me dire à l'oreille :
"Ne soit pas timide, ils sont magnifiques, laisses les respirer, on a tout vu à la plage, alors un peu plus ! Peu convaincue par largumentation je baisse la tête et vois que mes seins sont pratiquement sortis de ma robe. Ils dardent fièrement leur pointe sous le tissu. J'entrepris de remettre de l'ordre dans ma tenue, mais avant que jaie pu dissimuler ma poitrine pour mener à bien la remise en place, Yves m'avait précédé et passé la sienne sous l'étoffe... et Philippe qui, les yeux fixes, ne disait rien !
"Euh
non
non
.
"Tu as l'air chaude comme la braise !" me murmure til à loreille en y plaçant un petit bisou et en mordillant le lobe de mon oreille tout en continuant de me peloter par dessous létoffe. J'étais complètement désorientée, et ne sachant plus vraiment que dire ou faire surtout devant l'absence de réaction de mon mari. Finalement, je crois que cela ne lui déplaisait pas de me voir de nouveau entreprise par deux soupirants.
P Il est vrai que le spectacle de Gisèle, une fois de plus aux prises avec des hommes me mettait dans un état second mélange d'excitation perverse et de dépit. À chaque fois c'est le coté excitation qui l'emportait et j'en voulais encore, encore
et encore.
Yves la cala de nouveau avec sa main sur la fesse droite et sa main gauche sous son sein. Je le voyais bien avac sa main qui lui caressait de nouveau la fesse mais sous ma jupe cette fois. Il lavait relevée lorsquil lavait recalée. Romain regardait son entrejambe avec insistance. Elle me parut magnifique, ainsi, au bord de la rupture. Rattrapé par je ne sais quel démon je m'adressais au deux hommes :
"Nest-ce pas quelle est belle ?"
"Cest sûr !" répondirent en .coeur.
C'est Romain je crois qui interrogea son compère :
"D'ailleurs elle est tellement belle que je crois qu'elle pourrais nous départager. Avec Gisèle nous nous montrerions très ardents !"
J'interogeais, un peu perplexe :
"De quoi s'agit-il ?"
"D'un concours de baisers ! Nous cherchons une arbitre
."
Je m'entendis dire d'une voix étranglée :µ
"Pourquoi pas toi chérie ?"
G "Pourquoi pas toi chérie ?"
Mon mari venait de prononcer cette phrase
comme si de rien était.
Je bafouillais :
"oui
oui, je veux bien mais pas ici !"
Je ne me voyais pas arbitrer un concours de baiser en plein milieu du camp de camping.
Romain regretta :
"Cest dommage, mais fais nous plaisir, écartes bien tes jambes, ça sera votre petit cadeau"
Jécartais mes. La main gauche de Denis lâche ma poitrine pour se placer sur mon sexe avec une rapidité fantastique. Je fermais les yeux et jécarte machinalement les cuisses afin de lui faciliter la tâche. Il pétrit ma vulve par-dessus mon string puis passe lentement son doigt en dessous. Je me sentis molle et me laissais aller sur le torse de Yves. Une main vint à nouveau caresser le sien délaissé, ouvrant les yeux je vis Romain debout à coté de moi pétrir ma poitrine à deux mains.
J'entendis un "rentrons". Philippe venait de me sauver de l'exhibition.
P Nous rentrâmes tous les quatre dans la caravane. Gisèle fut installée entre les deux garçons et moi sur la banquette d'en face
en spectateur. Le soi-disant concours débuta. Ce fut Yves, le premier à l'embrasser plutôt goulûment
puis Romain. Comme si cela coulait de source, ils l'avaient dénudée jusqu'à la taille et sans barguigner mon épouse se laissait peloter outrageusement les seins qui devinrent bientôt l'objet de leurs baisers, puis de leurs succions
.
G Leurs mains me sembleaient douces et ils comprimait mes seins comme j'aime le faire que l'on me fasse. Yves me tourna encore la tête et membrassa à pleine bouche pendant que Romain glissais à son tour la main sous mon string.
"Elle est toute mouillée cette petite salope, jadore ça !" dit-il. Il plaça sa main de manière à explorer la totalité de ma fente.
Cette fois ils me firent lever pour tirer ma jupe et mon string sur mes cuisses et mes fesses. Depuis longtemps, je ne luttais entre mon plaisir et la morale.
P Elle fut vite allongée sur la couchette et Yves ajusta son sexe avec une main sur lentrée du sien. Il frotta gland contre sa vulve et donna un coup de rein Il venait de l'enfiler d'un seul coup et elle lâcha un râle de plaisir. Je notais qu'elle le fit avec plus de force que quand moi, je la pénétrais, cela me fit un peu dépit. Elle écarta les jambes au maximum et se laisse aller, attrapant la bouche de Yves pour sentir sa langue contre la sienne. Les autres enlèvent leur pantalon et s'approchent. On latt par les cheveux et un autre sexe de bon calibre buta contre ses lèvres. Romain entrait en action
.
G Une queue
une deuxième queue forçait mes lèvres
enfin ! Depuis Hassan et Roger que je n'avais connu cette sensation de deux sexe pour me combler. J'avais honnêtement essayé d'oublier ces sensations pour redevenir sage. Peine perdue, elles étaient trop fortes comme ancrée en moi et je m'en apercevait bien aujourd'hui. Yves me fit jouir et moi je fis jouir Romain. Puis Romain me pénétra et je masturbais Yves entre mes seins. Et puis tout le monde se quitta. Enfin, je veux dire qu'ils partirent tous les deux et me laissèrent avec mon époux qui contre attente tint le coup plutôt bien et qui mêlant son foutre à celui des autres me fit prendre un petit pied mignon comme tout !
Le lendemain, le réveil fut un peu pénible. Je n'osais pas sortir de la caravane. Philippe vint à mon secours, m'assurant que rien n'était changé entre nous et qu'il demeurait complice de mes ébats qui d'après lui me transfiguraient. Je dois à la vérité que recommencer avait été ma première pensée au réveil. J'osais ma sortie. Les deux garçons nous attendaient, café et croissants, s'il vous plait ! il m'embrassèrent légèrement sur la bouche, un peu comme de vieux amants. Je fus un peu réticente, il faisait grand jour et les voisins étaient présents. Nos trois derniers jours se passèrent dans un rêve, pour moi. Il nous fallut trouver, à la plage, un endroit plus discret. Si comme avant je ne portais pas soutien gorge, il nous fallait quand même être un peu loin des autres baigneurs. Il est vrai que j'étais encadrée par mes deux soupirants, mais ceux-ci avaient constamment une main dans mon maillot. J'étais doigtée en permanence. Ce qui fait qu'après le repas du midi tout le monde était chaud pour une sieste des plus coquine et que le soir tout le monde était redevenu très entreprenant pour me faire repasser à la casserole.
P Pour la dernière nuit, Yves et Romain me demandèrent l'autorisation de faire venir Gisèle dans leur tente pour la nuit. Réticent, au début, je vis dans ses yeux que cela lui faisait plaisir. Je donnais ma permission. J'allais connaître les affres de l'attente du cocu consentant
.
G Voilà ! Je les avais rejoints nue. Ils avaient voulus, ces deux petits cochons, que je laisse tous, oui tous mes vêtements dans la caravane et que je vienne nue les rejoindre dans leur tente. Quand la pénombre fut propice, je parcourus rapidement la dizaine de mètre qui me séparait d'eux et vint me blottir entre eux. Patin, caresses, pelles et pelotage furent au menu du début de soirée avant qu'ils ne m'interrogent :
"Tu sais pourquoi on voulais que tu vienne ici ?"
"Non !"
"Ben voilà
. On a très envie de te sodomiser, mais ça nous gênais de demander çà devant ton mari !"
Pour un peu ils auraient essayé de se faire passer pour timide. Je fis semblant de céder qu'après qu'ils eurent beaucoup insisté alors que j'aime mieux vous dire que j'avais presque espéré cela. Je fus donc sodomisée à tour de rôle par les deux garçons pendant que l'un besognait mon anus, l'autre me bâillonnait de sa bite pour éviter que je n'ameute le camping.
C'est ainsi, moi, le derrière endoloris et Philippe avec de superbes cornes que nous finîmes nos vacances. Finîmes ? Pas complètement
car pour le trajet de retour je ne dus porter qu'une petite robe légère à l'exclusion de tout autre vêtement et sous-vêtement. Bien entendu, sur l'autoroute, robe fut relevée, fesses mises à l'air et cuisses écartées. Les routiers et autres passagers des bus se régalèrent
. Où allions nous si mon époux devenait, lui aussi, aussi pervers que les autres ?
P Finalement une complicité, un motus vivendi, s'installa entre ma femme et moi.
G Et puis, il y eut cette alerte à la bombe
.
Un petit crétin en mal d'école buissonnière fit téléphoner au proviseur disant qu'une bombe était cachée dans l'établissement. Principe de précaution oblige, le proviseur, afin que la police investigue pria élève et personnel de rentrer dans leur foyer. N'ayant pas d'autres choses à faire, je décidais de rentrer directement avec la ferme intention de m'accorder un petit plaisir solitaire et prolongé.
Tiens
une voiture était garée devant chez nous ! Il aurait pu stationner ailleurs, quel sans gêne ! Tiens le portail n'était pas verrouillé ! J'aurais pourtant juré que
mais on fait les choses si machinalement. La porte d'entrée non plus
là tout devenait bizarre. Personne n'avait l'air de dévaliser la maison
alors ? Je restais dans l'entrée interrogative. Pas de bruit
à pas silencieux j'entrais dans le salon
rien ! Aucun bruit au rez-de-chaussée. Arrivée près de l'escalier je tendis l'oreille et perçu un bruit de voix, puis des gémissements. Je reconnu la voix de Philippe
. Est-ce que
est ce que par hasard, je portais aussi des cornes ? Pourquoi alors ne pas me l'avoir dit. À pas de loup je gravis l'escalier. Ouf l'autre voix était masculine et cette fois je perçus des gémissements en provenance de notre chambre
mon mari gémissait. Le molestait-on ? J'allais pénétrer en force dans notre chambre et me retint et risquait un regard à l'intérieur. Muette, statufiée, sidérée
mon cher et tendre était dans la pièce, un autre homme s'y trouvais également. Le second sodomisait le premier avec vigueur (je sais que quoi je parle). Interdite, je regardais la scène, assommée
. Mon mari était penché en avant et poussait des petits grognements, des mains qui le tenaient par les hanches et un homme s'agitait derrière lui.
Il a aussi le pantalon baissé et il est en train de le sodomiser.
Je suis abasourdie pourtant, tétanisée, j'assistais au spectacle de la verge de l'inconnu, entrant et sortant de l'anus de mon mari. Je suis heurtée de découvrir un penchant de mon mari que je ne connais pas. Je ne savais pas qu'il était attiré par les hommes. Ils ne m'ont pas entendus arriver et je regarde mon mari se faire enculer. Malgré ma surprise, je sens que je mouille ma culotte. L'inconnu s'est retiré de mon mari, j'ai vu à ce moment là, son anus ouvert puis se faire remplir de nouveau. Elle est longue et grosse et il se fait ramoner en profondeur. Finalement, la scène qui se déroule devant moi, m'avait excitée au plus haut point. Pour un peu je me serais bien fait sodomiser aussi
.
Puis le sang afflua et d'un coup me revinrent à l'esprit tous ces atermoiements, ces excuses, ces manques d'érection, ces petites éjaculations parcimonieuses. Mon mari jouait-il les tapettes depuis longtemps ?
"Je peux me joindre à vous ou s'agit-il uniquement d'une partie entre homme ?"
Inutile de préciser que le type débanda vite laissait Philippe un instant dans la position qu'il occupait le cul béant tourné vers moi. Je fis demi-tour et redescendit attendre dans le salon. Ils ne tardèrent pas à me suivre. Philippe me présenta vite fait son
ami, Mathias qui vida les lieux assez vite, faute d'autre chose.
Philippe avec une assurance que je ne lui connaissait plus, me dit :
"Finalement ce n'est pas plus mal. Je ne savais pas trop comment t'annoncer les choses. C'est mieux comme ça. Cela fait dix-huit moi que Mathias est mon amant
je vais aller m'installer chez lui. Nous règleront les détails petit à petit."
Vite fait, bien fait, hop
pesé, emballé
Gisèle avait tout prit en pleine tête d'un coup. La réaction fut un peu chaude. Je ne vous ennuierais pas avec ces péripéties, je crois que ce n'est pas cela qui vous intéresse.
Reprenons
j'étais toujours dans ma maison, et seule désormais. Philippe avait emmené quelques affaires. Officiellement nous étions toujours mari et femme ou femme et femme si vous voulez. Sa présence en général me manquait beaucoup quand même. Son absence en tant qu'amant ne changeait par rapport à avant
et moi je m'étiolais carrément. Son départ avait amplifié les choses. Mon sentiment de culpabilité vis-à-vis de lui étant histoire ancienne, je pouvais, je voulais, je désirais pouvoir donner libre court à ce que j'avais, si je puis dire, touché du doigt.
J'eus une occasion d'aventure avec
la voisine d'en face. Pourquoi pas ?.... avec Nadine j'avais réalisé que j'aimais bien les femmes
aussi. De temps à autres, nous prenions un thé ou un verre entre voisine. Un jour, il y eut un regard, un mot. Ceci entraîna un début de confidence de sa part. Malheureusement elle se reprit et m'indiqua que ne supportant plus ce quartier ou elle avait particulièrement heureuse, elle allait s'éloigner quelques temps pour faire un break et le vide. Elle me demanda si je voulais bien ouvrir un peu chez elle de temps en temps histoire que le pavillon ne paraisse pas trop inhabité. Elle me précisa qu'elle avait demandé aussi ce service à une très bonne amie (elle avait insisté sur le très et j'avais saisi
) que je connaissais puisqu elle était professeur de math dans le lycée ou je travaillais, Nathalie S
à la sacrée réputation
. Comme pour me consoler Jocelyne me murmura doucement qu'à son retour, nous aurions peut être beaucoup de choses à nous raconter et elle ajouta laissant sa phrase en suspend "et plus si
.).
Petit à petit je me sentis dépérir. Le diagnostic était simple, plus de partie de jambes en l'air
donc manque
. Je n'étais pas du genre à déprimer. Il me fallait une solution. J'en examinais beaucoup, sans résultats. J'en vins à deux choses regretter Fabrice et sa bande et aussi attendre que Roger et Nadine reprennent contact avec moi. Dans les deux cas j'en fus pour mes frais. Le seul contact que j'avais était Fabrice et il semblait s'être volatilisé. Allant rôder près de chez lui je pus même me rendre compte qu'il avait déménagé. Quand à Roger et Nadine ils auraient dut être revenus depuis longtemps. Quand je dis que je les regrettais, ce n'est pas tout à fait exact ils m'avaient tous fait un peu peur. Ce n'est que par une sorte de fascination vicieuse, je crois, que je déplorais toute cette débauche. S'approcher de la flamme, même si on sait à l'avance que l'on va se brûler
.
Se consumer dans le vice et brûler dans les flammes ardentes et torrides de l'enfer
.
Comment tout à recommencé ? Eh bien voilà. L'ai-je déjà dit j'ai une sur, tour à tour, nous avons des plus et des moins. Elle : plus jeune de deux ans, plus rousse, les yeux bleus, les seins moins gros. Moi plus féminine, mieux arrangée, allez disons le plus sexy aussi. Comme moi elle est mariée, la pauvre
. Je dis la pauvre car bien qu'ayant épousé un industriel lui garantissant une confortable existence sans avoir à travailler, je ne donnerais pas ma place contre la sienne. François, son mari est comment dire
cavaleur le mot est faible. Obsédé serait plus vrai. Il drague, séduit, saute et tire sur tout qui porte une jupe : employée, collaboratrice, clientes, fournisseurs, amies et relations, sans oublier sa femme et les amies de celle-ci
un bouc
il essaie même avec les copines de sa fille et bien sûr il à tenté de me mettre dans son lit ou ailleurs. Dès qu'il m'a vue et même le soir de son mariage histoire d'un petit coup entrer dans le cercle familial. Bien sûr j'ai résisté. C'est presque devenu un jeu entre nous il ne sa passe pas une réunion de famille ou il tente sa chance et ou il se casse les dents. Il me propose presque la botte devant ma sur Claire. Elle, elle vit cela tranquillement. Elle à toujours eu un caractère cool, pratiquement baba-cool, style vestimentaire qu'elle adopte volontiers. C'est un goût que je ne partage pas trop, mais enfin
du moment qu'elle est heureuse ainsi c'est tant mieux.
Pourquoi est que je vos raconte tout cela, c'est par ce que ma sur et son époux ont eu une fille, ma nièce en somme, la jolie Caroline. Elle à superbement grandi et au moment ou elle menait un vie de patachon et brûlait la chandelle par les deux bout, elle décida de croquer la vie autrement et de se marier. Cela surprit un peu tout le monde surtout que l'heureux élu passait, si j'en crois ce qui m'a été rapporté était (ou est) un drôle de luron.
Bref une belle cérémonie s'annonçait et tout le monde s'y préparait. J'avais quand même glissé à ma sur que pour une telle fête, et alors qu'elle allait devenir belle-mère, il lui faudrait se départir un peu de son look habituel. Elle m'avait laissé interloquée d'un "tu crois ?" désinvolte.
Le jour de la cérémonie j'eus un vrai choc. Je ne faillis pas reconnaître ma propre sur. Elle avait fait couper sa tignasse e apparut superbement coiffée, parfaitement maquillée, magnifique
vraiment. Pour la cérémonie elle arborait un très beau tailleur, mais ce soir c'est là qu'elle parut éclatante. Dans une superbe robe longue bleu pétrole en satin au décolleté un tout petit plus sage que le mien mais compensé par ce qu'il recelait. Hormis les copines de la mariée en raison de leur jeunesse, ma sur et moi étions, il faut bien le reconnaître parmi les plus belles femmes de la soirée
et ce n'est pas désagréable. Mon beau-frère non en complimenta d'ailleurs en nous prenant toutes les deux familièrement pas la taille et en déclarant :
"Mais quelle famille ! Si le bon dieu existait vraiment j'aurais deux superbes femmes dans mon lit ce soir."
Je lui répondis avec humour :
"Mais il existe
mon cher beau frère, c'est pourquoi il garanti les liens sacrés du mariage"
"Tu as raison Gisèle ! Et puis ce soir je crois que je vais avec avoir fort à faire pour combler ma petite Claire. Il n'y as pas que la mariée qui va avoir un nuit de noce agitée. Claire ne le seras pas demain
les courbatures vont lui gâcher le lendemain de fête
"
Claire sourit à ces rodomontades et me surprit encore en disant :
"Chiche mon époux ! J'espère que tu vas être à la hauteur
j'ai envie de folies ce soir
."
Il est vrai qu'à l'issue d'une soirée comme cela
.
Faisant partie de la famille, je me retrouvais à la table principale et faute d'époux entre Julien, un des témoins du marié et un oncle de celui-ci. Après les apéritifs et toast d'usage, le dîner débuta sous les notes distillées par l'orchestre. François ouvrit le bal avec ma nièce, et a tour de rôle ils vinrent chercher les participants. Je ne pus bien sûr, pas éviter mon beau-frère qui me fit sentir et remarquer son érection, témoin dit-il de mon charme et de ma beauté. Il me fit danser plusieurs fois y croyant sans doute toujours
en pure perte ! A coté de moi le jeune homme paraissait tout silencieux, c'est moi qui engageais la conversation avec lui. Très timide, il était néanmoins charmant, même assez joli garçon. C'est moi aussi qui lui suggérait :
"Vous me faites danser ?"
En plus il le faisait bien, avec beaucoup de classe et de distinction. Sa discrétion n'allait quand même pas jusqu'à lui faire regarder le plafond. Ses yeux se posaient parfois sur la naissance de mes seins. Il ne faisait pas cela comme François qui semblais hypnotisé par mes appâts, mais quand même
.
Finalement je me pris à penser qu'il aurait préféré la compagnie d'une amie de Caroline et qu'il s'ennuyait à mes cotés. Un peu en même temps que je pensais cela, je changeais brusquement d'avis. Il avait fait tomber sa serviette. Il se baissa de mon coté pour la ramasser et au lieu de cela, je sentis sa main se refermer sur ma cheville. Avant que je n'aie pu esquisser le moindre mouvement la main glissa sous ma robe longue sur mon mollet nu. Impossible de me dégager, entre le Tonton et moi il y avait malencontreusement le pied de table
. Je tentais de rester immobile peu désireuse de faire un esclandre. De plus sa main était chaude.... Il atteignit mon creux poplité et entreprit de contourner mon genou qu'il enveloppa. J'avais du mal à conserver une apparence sereine. Toujours sous ma robe la main commença à quitter mon genou pour remonter sur ma cuisse. Cette fois je pus le bloque de ma main et penchant je lui soufflait.
"Qu'est ce qui vous prend ! Vous êtes fou ! Cessez immédiatement !"
Je sentis que c'était à regret qui lâcha ma cuisse mine de rien. Il n'empêche que cette attaque aussi brusque qu'inconvenant avait laissé des traces. Mon cur battait la chamade et quelque chose c'était passé au niveau de mon ventre. Sans un mot je me levais, prit mon sac et descendis au lavabo pour souffler un peu. Les gens allaient et venaient donc je passais inaperçue. Je passais aux toilettes femmes et tentais de remettre de l'ordre dans ma tête. Quel petit crétin ! Il se croyait tout permit
et puis quoi encore ? N'empêche que je sentais bien une légère dilatation des lèvres de ma vulve
. Cela faisait un certain temps que j'étais en manque.
J'avais eu un peu chaud, beaucoup dansé finalement. Je sortis du cabinet et m'approchais d'un lavabo pour, comme beaucoup de femme en la même circonstance, me remaquiller un peu.
C'est alors que dans le miroir, je vis la porte du local réservé normalement aux femmes s'ouvrir. Ce ne fut pas une femme qui s'encadra dans la porte
mais LUI. Tétanisé je le vis s'approcher derrière moi. Statufiée, je n'esquissais même pas un geste de défense quand ses mains se posèrent sur ma taille. Il se serra contre moi, me collant contre la vasque. Si tout à l'heure en dansant il avait eu la délicatesse de ne pas me faire sentir son bas ventre, là ce n'était plus la même chanson. Son bassin était rivé à mes reins et ce que je sentais
. Il courba un peu la tête et sa bouche se posa sur mon épaule dénudée, elle glissa lentement sur celle-ci. Il allait m'embrasser dans le cou, c'était sûr
puis l'oreille
il me ferait ensuite tourner la tête pour s'emparer de mes lèvres
. Je ne les lui refuserais pas
.
Il ne se passa rien de tout cela. Il se baissa un peu et saisissant le bas de ma robe il entreprit sans hâte de la relever avec l'évidente intention de me la retrousser.
Je ne pus articuler qu'un :
"Non
non
pas ici
. !!!"
Avant que je n'aie pu réaliser ce qui m'arrivait, il avait passé un bras autour de mon ventre. Toujours collé à moi et solidement maintenue, il me poussait vers l'un des cabinets duquel il verrouilla la porte dès que nous y fûmes entrés. D'une poigne à laquelle je ne m'attendais pas, d'une main, il me fit courber vers l'avant; à tel point que je dus prendre appui sur la cuvette. De son autre main, il recommença ce pourquoi je l'avais interrompu tout à l'heure, c'est-à-dire retrousser ma robe longue. Je sentis l'une de ses jambes passer entre les miennes et s'appuyer sur l'une d'elle pour me les faire écarter. D'une passivité qui me surprend encore maintenant mes jambes s'ouvrirent comme pour lui signifier mon accord. Celui reçu, il persévéra. Mon mini slip de dentelle ne fut pas une véritable barrière. Il le dégagea de mes fesses et le fit glisser le long de mes jambes. Sa jambe s'appuya encore pour m'ouvrir de nouveau. Désormais, il ne se présentait plus d'obstacle à sa détermination. Ses doigts glissèrent sur ma vulve et entre mes lèvres, comme pour mieux les entrouvrir et écarter un poil follet qui y aurait été collé. Quelque chose de plus gros, de plus chaud qu'un doigt vint au contact de mon sexe. L'ambiance de la fête, un peu d'alcool, son récent et rapide manège, sa façon de disposer de moi sans finalement que lui accorde mon consentement tout cela avait du concourir à ma grande disponibilité puisqu'il me pénétra d'une lente mais unique poussée. Il ressortir et me prit bine à fond cette fois ci me faisant lâcher un gémissement de femelle couverte. Je n'avais peu eu l'occasion (le plaisir ?) de voir le membre qui était en moi. Mais au vu des sensations que je ressentais il était d'une bonne taille. A classer dans le tout début de mon petit hit-parade personnel. Il me tenait étroitement, ses mains crispées sur ma taille et me pistonnait régulièrement et surtout puissamment
très puissamment. La moindre des choses que l'on pouvait dire était que le jeune homme baisait bien. Il me faisait décoller, conquise désormais. Pourtant nous dûmes cesser brutalement nos transports. La porte des toilettes venait de s'ouvrir
. Un bruit de pas vers le cabinet d'à coté. Julien cessa tous mouvements. Un bruit de cuvette que l'on rabat, celui de l'étoffe que l'on remonte, celui d'un slip que descend
un petit silence
et le bruit d'un jet dru
. Solidement enfiché en moi, Julien faisait de petits mouvements circulaires de bassin, comme pour me maintenir sous pression. Il y parvenait fort bien et je me surpris à penser "mais qu'elle se dépêche de pisser cette c
". Effectivement elle acheva
et se paya le luxe d'un petit pet avant de ce rajuster. Chasse d'eau, lavabo, le bruit de talon s'éloigna, la porte se referma
silence
. Un petit cri le rompit
mon cri
celui que je poussais quand Julien me ré enfila d'un coup de rein qui me projeta en avant. Je me mordais les lèvres
pour ne pas gémir, pour ne pas lui die "encore
encore
", pour ne pas lui dire que c'était bon
. De toute façon, il n'était pas besoin que je lui signifie, il se sentait très bien et me murmurais à l'oreille :
"Tiens, prends
prends
prends
."
Aux contractions provoquées par mon début d'orgasme, il répondit en se lâchant complètement. Et ce fut en même temps que les derniers spasmes de ma jouissance que je reçu le flot brûlant de sa semence. Il ressortit de moi, me déposa un baiser sur l'épaule. Je compris qu'il se rajustait et il me laissa en disant simplement :
" A tout à l'heure !"
Je restais ainsi dans ma position comme une
comme une conne, hébétée, le sexe remplit par un jeune inconnu qui m'avait baisée sans même m'avoir embrassées. Je m'était faite bien avoir
et
et
et j'avais adoré
j'aurais même aimé qu'il recommence de suite. Il y avait belle lurette que je n'avais pas été honorée de telle façon. Il m'avait prise un peu à la hussarde
qu'est que cela avait été bon. Etait-il aussi performant dans la volupté
. Je m'assis sur la cuvette pour laisser s'écouler le trop plein du sperme dont il m'avait gratifié et je cherchais des yeux mon slip. J'eus beau regarder partout
la fine dentelle dont j'avais pensé qu'elle serait un rempart pour ma féminité avait disparue. Cet infâme et adorable petit salaud me l'avait dérobé. J'en serais quitte pour être intégralement nue sous ma robe puisque, premièrement ma robe m'en interdisait le port vu son décolleté et son dos nu et deuxièmement le temps radieux avait fait que je ne portais ni collants, ni bas. Sans slip, avec ce qu'il m'avait mis, j'en serais quitte pour être mal à l'aise toute la soirée. En me pressant un peu pour que mon absence ne se remarque pas trop, je me remaquillais de façon à être un peu plus présentable et aussi (un peu) pour plaire de nouveau
.
Ma sur avait remarqué ma disparition et s'inquiéta :
"Mais où était tu donc passée ? Je te cherchais partout !"
Je prétextais avoir été prendre le frais. Je crois qu'elle n'en crut pas un mot. Si elle avait su
ce n'était pas le frais que j'avais été prendre
.
Je repris ma place à table entre mon voisin et Julien. Il y eut un petit moment de gêne entre nous puis il me demanda avec une voix très chaude :
"Voulez-vous m'accorder cette danse ?"
Bien sûr que je le voulais
et je me retrouvais dans ses bras. Il me fit danser beaucoup moins cérémonieusement qu'aux danses précédentes mais tout de même cela restait correct, limite, mais correct. Il me guida quand même vers le fond de la piste de danse pour profiter de l'écran que nous faisaient les autres danseurs vis-à-vis des tables. Plusieurs fois il m'attira souplement contre lui. Je ne faisais rien pour éviter ces doux rapprochements contre son corps qui se collait au mien. Je lui demandais :
"Je crois que vous avez un petit quelque chose qui m'appartient !"
"Certes, certes !"
"Et
vous pensez me le resti ?"
"Mais absolument pas !"
"Vous pensez le conserver en guise de trophée ?"
Il rit et répondit :
"Pas du tout ! Mais quelque soit la suite, il constia une merveilleux souvenir. Et puis vous ne vous sentez pas mieux ainsi ?"
"Modérément
et c'est un peu gênant !"
"Cela ne vous séduit pas de vous sentir à la merci du premier goujat venu ?"
"
"
"En attendant, chère Gisèle, c'est un vrai plaisir désormais de pourvoir vous apprécier plus en détails !"
En disant cela il avait glissé la main sur mes fesses. Involontairement je me serrais un peu plus contre lui.
"Ah ! Vous voyez !"
"Non, je vous en prie
pas devant tout le monde ! On pourrait nous voir !"
Il cessa son manège. Nous regagnâmes nos places. Je me sentais, en autre, le feu aux joues et je me demandais si je n'allais pas succomber à de nouvelles bêtises. Pour mon voisin cela ne faisait, sans nul doute, pas l'ombre d'une incertitude. Il tenta encore, et ce à plusieurs reprise de passer une main sous ma robe. Je l'en empêchais avec de plus en plus de mal. D'une part, il se faisait de plus en plus insistant et d'autre part j'avais de plus en plus envie qu'il prenne possession de moi.
La soirée s'avançait et déjà quelques convives étaient partis. Bien qu'étant de la famille et lui témoin du marié, il paraissait être une heure convenable pour prendre congé. D'ailleurs, il m proposa :
"Voulez vous que je vous raccompagne ?"
Je fis semblant d'hésiter et avec une hypocrisie parfaite je répondis :
"Oui
si vous me promettez d'être sage
."
Avec la même hypocrisie, je suppose, il rétorqua :
"Mais
bien entendu !"
Je saluais donc les mariées, la famille du marié, la mienne, et ma sur qui s'inquiéta de savoir comment je rentrais. Lui ayant indiqué que Julien me raccompagnais elle eut une mimique a à la fois complice et faussement indignée, l'air de penser "toi ma belle
la nuit n'est pas finie
".
A ma grande surprise, Julien fut effectivement sage pendant le trajet qui nous ramena devant mon pavillon. Il coupa et son moteur. Il y eut un instant de silence
. Qui allait faire le premier pas ? Ce fut lui !
"Tu ne m'invite pas à entrer ?"
"Si
si
bien sûr
."
Les dés étaient jetés. Je le précédais pour ouvrir ma porte. A peine avais-je refermée celle-ci, j'avais encore la main sur le trousseau de clés, que je me retrouvais plaquée contre la porte. La bouche de Julien écrasait la mienne, son corps écrasait le mien. Sa bouche était vorace et sa langue exploratrice. Il me sembla qu'elle était (elle aussi) longue puisque non seulement il l'enroulait autour de la mienne, mais me léchait l'intérieur des joues et aussi le palais. En une fraction de seconde je parvins à penser quel plaisir elle pourrait procurer
ailleurs
. Il se baissa et remonta ma robe jusqu'au dessus des hanches. Je le sentis se déboutonner.
"Non
non
pas ici !"
Je me le voulais dans une longue étreinte voluptueuse. Pas toujours de la même façon
. Tout à l'heure il m'avait cela fort bien, mais à la hussarde, je voulais changer les genres
. Je l'entraînais vers ma chambre. En traversant le salon, ma robe s'envola définitivement et ce qui lui restait de vêtements aussi. Ma chambre était à l'étage. Il voulait me prendre dans l'escalier. Je le suppliais d'attendre mon lit. Il me promit :
"Un jour, tu verras je te le ferais monter
."
Ce fut enfin ma chambre et je me retrouvais vite sur le dos. Il se rua sur moi et
en moi. Il me prenait de toute sa longueur, bien à fond comme je l'aimais, puissamment, m'écrasant de tout son poids. Je râlais de bonheur. Comme pour, encore mieux me laminer et m'anéantir il passa mes jambes sur ces épaules. De cette façon, il pouvait encore plus peser sur ma vulve et aller plus loin dans ma chatte ouverte comme un fruit mûr. De temps à autre, il se penchait entre mes jambes et me réclamait ma langue qu'il suçait. Je la lui offrais et lui rendais la pareille. C'était la marée
la grande marée
. Non seulement je mouillais abominablement, accompagnant de bruits mouillés le claquement de son bassin contre moi, mais les vagues de plaisirs m'envahissaient et j'étais prête à ce que l'une d'elle vienne me submerger et c'est ce qui arriva. Un glapissement rauque accompagna ma jouissance et un grondement mâle vint lui faire écho. Nous venions, tels des amants chevronnés, de nous accorder un bel orgasme conjugué. En fait, l'avenir me le prouva à maintes reprises, c'est lui à attendant mon plaisir, ne se libérait qu'à cet instant
quel amant !
Écrasé par la fatigue et les sens apaisés nous sombrâmes dans le sommeil.
Je rêvais
je devais rêver
une main me caressait habilement un sein
je crus que je rêvais
. Tout me revint à l'esprit
Julien était bien là, j'allais dire et chair et en os. Pour les os je ne sais pas mais en chair
oui, et en muscle aussi
comme celui qui frottait contre ma cuisse
.
Il me prit dans ses bras et m'embrassa longuement pour me souhaiter le bonjour. Son désir avait l'air intact et
et le mien aussi. Tout tendrement, il se coucha sur moi et me pénétra avec douceur. Nous n'émergeâmes du lit et de la chambre après nous être aimé longuement, je crois. Je profitais d'un moment de solitude, lorsqu'il fut sous la douche, pour téléphoner à ma sur pour savoir si la soirée c'était bien terminée. C'était le cas. Pour tout les invités restant et surtout pour elle
. Mon beau-frère fut parait-il très performant et l'honora deux fois me dit-elle, une fois par devant et une par derrière ce qui la fit ajouter :
"Si c'est comme cela qu'il traite ses maîtresse, cela vaut le coup que je fasse quelques efforts de présentation, non ? Mais
et toi ?"
Je répondis que je lui donnerais peut-être des détails plus tard et que pour l'instant j'étais dans l'expectative. Ce fut à mon tour d'aller me rafraîchir sous la douche. A ma sortie, Julien m'attendait toujours nu et m'ôta prestement mon peignoir en me disant qu'il aimait me voir nue et qu'il fallait que je reste ainsi. C'est donc nue que je nous préparais une petite collation réparatrice. Durant cette confection, il n'arrêta pas de poser ses mains et sa bouche sur moi. Il continua son manège pendant même notre casse-croûte. Si bien qu'à la fin du repas il était de nouveau en érection et je ne pus m'empêcher de le masturber. Il se leva soudain. Son sexe était à la hauteur de ma bouche. L'attirant à moi, je l'embouchais
. Il m'arrêta vite
dommage ! Il voulait me prendre encore
.
"Cette fois, ailleurs que dans ta chambre, tu es d'accord ?"
Où il voulait
. Ce fut sur la table de cuisine une fois qu'il eut repoussé notre dînette. Après qu'il m'eut placée sur le dos et m'avoir ouvert de ses doigts il s'installa entre mes cuisses relevée et me prit avec la même fougue que les fois précédentes. C'est cramponnée à table de cuisine que je le laissais me clouer et une fois encore s'épandre dans mon vagin reconnaissant.
Signe de fin de week-end
nous prenions presque sagement un verre lorsque la question fatidique ne demandait qu'à se poser. Il se sacrifia :
"Veux-tu que nous nous revoyions, Gisèle ? J'en serais très heureux !"
Juste avant de l'embrasser, je lui soufflais :
"Moi aussi !"
"Alors, si nous nous revoyons, tu me fait cadeau de ton slip ?"
"Oui Julien, si tu le veux
."
"De toutes façons quand nous serons ensemble tu n'en auras plus besoins !"
Il partit d'un grand éclat de rire et ajouta :
"Je ne veux même plus que tu en porte quand nous sommes ensemble d'accord ?"
Je promis
.
Nos occupations ne nous permettaient pas de nous revoir pendant la semaine. Mais il fut entendu que nous passerions le week-end ensemble.
Le début de semaine fut long. Le seul moment agréable fut de revoir ma sur qui me soumit à la question. Je lui avouais mon aventure. Elle fit semblant de me morigéner d'avoir cédé à un petit jeune et me traita de nymphomane et de mante religieuse. Je lui avouais que c'était peut être moi qui allait me faire dévorer mais que j'étais prête qui à me brûler les ailes. Finalement elle me fit part de son soulagement de me voir à nouveau conquise. Un temps elle avait eu peut que je déprime après le départ de Philippe. Elle me prédit quand même que cette histoire finirait mal !
Oui
et non
.
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