Ma Première Expérience Avec Un Autre Homme Devant Mon Mari - Suite
Comme je lai raconté dans la première partie, nous avions déjà discuté avec mon mari pour que je fasse l'amour devant lui avec un autre homme. Jétais assez réticente mais petit à petit, mon mari men parlant sans cesse, je commençais à ne plus y être farouchement opposée. L'occasion ne s'était pas encore présentée et je pensais que tout cela ne se passerait finalement pas.
Comme je lai raconté dans la première partie, nous avions déjà discuté avec mon mari pour que je fasse l'amour devant lui avec un autre homme. Jétais assez réticente mais petit à petit, mon mari men parlant sans cesse, je commençais à ne plus y être farouchement opposée. L'occasion ne s'était pas encore présentée et je pensais que tout cela ne se passerait finalement pas.
Régulièrement, à la maison, je portais des tenues sexy comme il les aimait et ce jour-là, jétais habillée en soubrette. Une minijupe noire très courte dissimulait à peine les jarretelles noires qui tendaient des bas noirs résille sur mes jambes. En haut, je portais un chemisier blanc transparent qui laissait voir mes seins soutenus par un soutien-gorge noir seins nus. Un petit tablier de dentelle blanche transparente complétait le tout. Javais mis un string noir mais il me lavait déjà retiré et il gisait sur la table basse de notre salon. Je faisais un peu de ménage ainsi vêtue et à chaque fois que je passais à côté de lui, il en profitait pour me caresser les seins ou soulever ma jupe pour caresser mes fesses ou ma toison noire fournie.
Soudain, la sonnette d'entrée sonna. Il alla ouvrir. Jentendis alors que cétait notre ami Thierry. Je me réfugiais précipitamment dans la chambre mais en passant dans le couloir, ils maperçurent, ma mini jupe voletant autour de mes jambes et dévoilant mes cuisses nues au-dessus de la lisière des bas. Christian proposa à notre ami de s'asseoir avant de venir me chercher. Il ouvrît la porte et me dît :
"Viens.
Alors que je commençais à retirer ma jupe pour me changer, il me dît brusquement
"Non! Viens comme ça."
Je le regardais, interloquée
"Comme cela?"
Je n'en revenais pas.
"Mais oui. Tu te souviens de ce dont nous avons discuté. Toi avec un autre homme. Eh bien c'est l'occasion, non?"
Je le regardais longuement puis rajustant ma jupe :
"Tu y tiens vraiment ? Eh bien pourquoi pas!"
Je retournais au salon, un peu gênée. Lorsque jentrais Thierry écarquilla les yeux
"Mais, mais" bredouilla-t-il.
Il ne songea même pas à se lever pour membrasser tant il était estomaqué de me voir dans cette tenue. Alors je remarquais que ma culotte était toujours sur la table basse et je vis le regard de Thierry aller de mes jambes au petit tas de dentelle noire sur la table.
"Bonjour" dis-je "Tu veux boire quelque chose?"
Notre ami acquiesça. Alors je me dirigeais vers le bar et leur tournant le dos et me penchant en avant pour attr les verres, jétais sûre de leur dévoiler le haut de mes cuisses au-dessus des bas et le début des rondeurs de mes fesses. Thierry était abasourdi. Je revins avec les verres.
"Excuses moi. J'étais en train de faire un peu de ménage. Je vais finir".
Pendant que Christian essayait de discuter avec Thierry qui avait un tout autre centre d'intérêt, jallais et venais, faisait voleter ma jupe autour de mes jambes, me penchais pour dévoiler mes fesses ou mes seins dans l'ouverture du chemisier que javais largement déboutonné. Je me prenais vraiment au jeu de l'exhibition devant notre ami et jen montrais de plus en plus. Tout à coup, je vis que notre ami était complètement tétanisé. Jétais accroupie, cuisses écartées, jupe relevée exhibant ma toison. Mais Thierry lui ne bougeait pas. Jen profitais pour me mettre à quatre pattes. Mes seins sortaient presque de son chemisier.
"A ce que jai vu tu as lair davoir pris plaisir à te montrer. Mais pour la suite je crois quil va falloir que tu prennes l'initiative. Sinon il ne va pas bouger"
Jacquiesçais. Nous revînmes dans le salon et je me plantais devant Thierry.
"Je te plais".
Et sans attendre sa réponse je terminais de déboutonner mon chemisier que jenlevais en faisant saillir mes seins. Puis je dégrafais ma jupe et la laissais tomber avant de l'enjamber. Je me mis à me caresser lentement les seins en le regardant droit dans les yeux avant de faire descendre mes mains sur mes cuisses et les remontant lentement en soulevant le tablier de dentelle au-dessus de ma toison. Notre ami était tétanisé. Je vins alors se mettre à genoux devant lui, et me mis à caresser la bosse qui déformait son pantalon.
"Hm ! Tu as l'air en forme"
Sans attendre, je m'attaquais à la ceinture puis à la braguette de son pantalon et je lui ôtais complètement. Ensuite jentrepris de lui enlever également son caleçon pour dégager son membre tendu qui jaillit. Il avait une queue longue et grosse parfaitement raide. Je la connaissais déjà, car avant de me marier, javais eu un flirt avec lui et lavais masturbé jusquà ce quil vienne dans mes mains. Il avait l'air affolé d'autant plus que je commençais à le masturber entre mes seins avant de l'empoigner et de me mettre à le sucer longuement.
« Viens ».
Thierry se leva et vint saccroupir entre mes jambes. Jétais très excitée. En effet, ma chatte était déjà trempée et cela se voyait à mes poils humides. Thierry commença alors à me lécher la chatte mais je lui pris la tête.
« Non ! Pas ça. Prends-moi ! Mets-moi ta grosse queue et baises moi ! »
Christian avait lair tout aussi surpris que Thierry par ces propos. Apostropher ainsi notre ami je métonnais moi-même. Javais vraiment envie de me faire prendre par notre ami. Thierry me regardait interloqué ainsi que mon mari. Celui-ci lencouragea.
« Eh bien ! Vas-y puisquelle te le demande ».
Alors il se redressa et vint placer son gland contre la fente humide de mon sexe.
« On va la mettre en levrette. Ce sera plus facile. »
Thierry se sépara de moi. Je me mis alors à genoux sur le canapé en me tournant vers notre copain.
"Vas-y! Remets-la-moi. Elle est bonne".
Il ne se fit pas plus prier, approcha sa bite de ma chatte et me pénétra sans effort en levrette. Il me prit par les hanches et entama de longs va-et-vient me bousculant. Mes seins tressautaient à chaque de boutoir. Mon tablier blanc se balançait également sous les assauts que je subissais en râlant. Christian sapprocha par l'arrière du canapé et se plaçais devant moi. Jouvris aussitôt la bouche pour le sucer. Je mis mes mains en coupe sur le dossier attrapant ses couilles pendant que je le suçais. Il mattrapa la tête et guida ma bouche sur sa queue tandis que Thierry continuait à me pistonner. Puis, mon mari se retira de ma bouche et me murmura à l'oreille
"Que dirais-tu d'un petit sandwich?"
Je le regardais les yeux vagues de plaisir avant de répondre
"Oh oui! Je vous veux tous les deux"
Il dit alors à Thierry
"Attends. On va passer à autre chose".
Thierry sortit sa bite de mon sexe. Mon mari lui demanda de s'asseoir ce qu'il fit queue pointée vers le plafond. Je vins me mettre alors à genoux au-dessus de lui et empoignant son membre, le pointais vers ma chatte avant de m'empaler lentement. Je me mis alors à monter et descendre sur le pieu qui m'emplissait. Pendant ce temps, Christian me massa le petit trou avec de la crème. Puis il pointa son gland et me tenant par les hanches s'enfonça lentement en moi. Je connaissais déjà la double pénétration que javais pratiquée avec un gode mais c'était la première fois avec deux vrais queues. Je partis dès quil eut terminé de m'enfiler. Alors commença une chevauchée fantastique : je mactivais sur la queue de Thierry pendant que mon mari soccupait de mon anus. Thierry avait empoigné mes seins qu'il malaxait et léchait. Puis, je me payais un deuxième orgasme au moment où sentant Thierry qui partait, mon mari déchargea également. Je meffondrais sur le côté, leur sperme s'écoulant de ma chatte et de mon petit trou.
Quelques temps plus tard, alors quils discutaient ensemble assis sur le canapé, je vins masseoir dans un fauteuil devant eux. Avant cela, javais continué à vaquer à mes occupations, toujours vêtue en soubrette, de mon seul porte-jarretelles, de mes bas, de mon soutien-gorge et de mon tablier. Je ne manquais aucune occasion pour leur offrir le spectacle de ma croupe cambrée et de ma chatte poilue en me mettant à quatre pattes devant eux, ce qui les excitait à en voir leurs érections renaissantes.
Alors je me mis à me caresser les seins, à ouvrir mes cuisses et à me caresser la chatte. Jen redemandais et memployais à les exciter pour quils me baisent à nouveau. Ce que je réussis sans peine. Thierry présentait à nouveau une superbe érection et mon mari nétait pas en reste. Je vins alors magenouiller devant eux et me mît à les sucer à tour de rôle.
Je veux que vous preniez tous les deux comme tout à lheure
Daccord, nest ce pas Thierry ?
Oh oui tout à fait daccord
Dit-il tout en râlant car javais entrepris de lui lécher le gland en tournant ma langue tout autour de la grosseur violacé.
Par contre, on va changer de place. Cest Thierry qui va tenculer. Ca te va?
Lui était tout à fait daccord mais il avoua quil navait jamais sodomisé une femme. Christian lui dit quil allait lui montrer.
Il me fit mettre à quatre pattes et menduisis lanus de crème. Ensuite je le sentis me détendre lanus avec le pouce. Thierry mît aussitôt en pratique, enfonçant tout son pouce dans mon petit trou. Enfin, il lui montra comment enfoncer sa queue tout en me tenant fermement pour forcer le passage et comment enfiler la plus grande longueur par va et vient successifs.
Mon mari se dégagea de mon anus pour lui laisser la place. Lopération était facilitée du fait que javais déjà lorifice dilaté par la pénétration de mon mari et il sy prît plutôt bien. Je commençais déjà à gémir.
Attends ! on va la mettre tout les deux.
Il ressortît comme à regret. Christian sallongea sur le canapé et je vins vite mempaler sur sa bite.
A toi maintenant.
Thierry sapprocha derrière moi et je le sentis bientôt senfoncer assez loin en moi. Je pris alors linitiative des opérations allant et venant sur leurs deux queues qui senfonçaient simultanément en moi. Jahanais, je gémissais puis je fus prise dun nouvel orgasme.
Enfin, je sentis Thierry qui se déversait en moi et mon mari le suivit immédiatement après. Jétais épuisée.
Notre ami était comblé et mon mari également. Javais accepté de me faire prendre par un autre homme devant lui et javais réellement apprécié le sandwich quils mavaient fait subir.
Ce fut le prélude à une période où mon mari me fit accepter de plus en plus de pratiques sexuelles en particulier avec des inconnus quil me choisissait.
Je devins petit à petit, et je vous raconterai la suite plus tard, ce que les hommes qui profitent de nos faveurs appellent une salope et ceux ou celles qui nous envient, des putains.
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